Le sculpteur, la muse et le cocul.

- Par l'auteur HDS fredlahaute -
Auteur couple.
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Récit libertin : Le sculpteur, la muse et le cocul. Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le sculpteur, la muse et le cocul.
Je m'appelle Patricia, je suis mariée à Paul depuis dix ans. Ensemble nous avons deux enfants, Loic et Gwenaelle. Nous vivons dans une grande ville de province du nord de la France. Paul est comptable et moi je travaille pour le service culturel de la ville. Tous les deux nous avons une vie bien rangée et nous sommes toujours très amoureux, malgré les années, nos enfants et nos travails respectifs. Notre vie sexuelle nous comble, même si je regrette que nos ébats soient de plus en plus espacés. Alors qu'est-ce que je fais ici me direz vous? Et bien je ne le sais pas moi-même.

Tout a commencé il y a deux semaines, lors de la préparation d'une exposition au musée de la ville. L'exposition, est mon initiative et doit mettre en lumière le talent des artistes originaires de la région. Une dizaine d'artistes plus ou moins reconnus ou en passe de l'être, ont répondu favorablement à mon invitation. Ce jour là, nous sommes au musée où je les ai convié pour découvrir ensemble les salles, fraichement rénovées, où leur oeuvres seront exposées. La Mairie à organisé un petit vin d'honneur pour les accueillir. Depuis dix heure ce matin là, je supervise la mise en place du buffet et j'accueille les artistes au fur et à mesure de leur arrivée. Tout le monde est arrivé sauf Caleb, un sculpteur. Comme l'heure du rendez-vous est largement dépassée, je fais mon petit discours prévu et nous commençons ensemble, le tour des différentes salles et des zones affectées aux différents artistes. Je suis en tête et la petite troupe d'une vingtaine de personnes me suit, dans un léger brouhaha de conversations et de talons raisonnant dans les pièces vides. Quand je leur désigne leur secteur les artistes avec leurs assistants, s'arrêtent pour mesurer les murs, les surfaces, me posent quelques questions ou font leurs commentaires, puis nous passons à la zone suivante. Dans la salle numéro trois, puisqu'il s'agit de la zone de Caleb, on passe rapidement, car il n'est toujours pas là. Quand toutes les zones sont passées en revue, nous revenons vers le début de l'exposition où nous entamons le buffet. Les conversations reprennent, des petits groupes se forment. En bonne hôtesse, je circule entre eux pour capter l'humeur de mes artistes, afin de les mettre à l'aise. En pleine conversation avec un petit groupe, je me sens observée. D'ailleurs le regard des peintres avec qui je discute, se tourne par intermittence vers quelqu'un dans mon dos. Eux aussi sont intrigués par ce qui se passe, là juste derrière moi. La conversation devenant de plus en plus hachée, je finis par me retourner. Effectivement, à cinq mètres derrière moi, un homme debout me fixe avec insistance, comme si les autres n'existaient pas, comme si nous étions seuls dans la pièce. C'est un bel homme. Son visage est fin, il mesure un mètre quatre-vingt, sa musculature est athlétique, il doit avoir à peine trente ans et sa posture est droite comme un "i". Son regard carnassier me gêne. Il fixe mes yeux, dans une attitude presque de convoitise. Quelque peu décontenancée, son regard insistant déshabille mon âme. Il me sonde. Je suis troublée, il est vraiment beau. Je sens naitre dans mon ventre un désir animal d'être touchée par ses belles mains, mes entrailles se tordent et mon vagin frémit d'excitation. L'espace d'un instant, qui me parait être une éternité, le temps s'est arrêté. Mon esprit est en feu, j'ai du mal à réfléchir, mais je réussi quand-même à briser le silence. Je bredouille en me dirigeant vers lui:

-Vous devez être "Caleb"?

Seul un léger sourire sur son visage me confirme son identité, mais il ne lâche pas mes yeux. Alors c'est moi qui anime la conversation pour occuper mon corps et mon esprit à autre chose qu'à imaginer me faisant l'amour.

-Si vous voulez bien me suivre je vous montre votre emplacement.

Je me dirige vers la troisième salle, en me retournant pour m'assurer qu'il me suit bien. Son pas est léger, ses gestes mesurés, j'imagine son regard posé sur mes fesses. Ma respiration s'accélère, ma peau est moite, je transpire.

-Voila, c'est ici. Votre espace est délimité au sol par le scotch bleu.

En me retournant, je vois que son intérêt pour son travail surpasse tout. Il ne me voit plus mais observe les lieux avec attention, comment la lumière entre dans la pièce, les couleurs du sol, des murs environnants et comment s'articule le passage des visiteurs. Il sort de sa poche un petit carnet et fait un croquis rapide mais très réaliste. Puis jugeant qu'il avait tout ce qu'il voulait son regard revient à moi. Il me détaille maintenant de la tête aux pieds dans un sourire approbateur. Mes yeux d'abord, puis mon visage, il descend sur ma poitrine où il fait une pose et fait une moue qui semble dire "pas mal". Son regard glisse sur la peau de mes bras jusqu'à mes jambes pour finir à mes pieds. Je suis très excitée. Je n'ai jamais ressenti ça pour aucun homme, même pour mon mari. Avec Paul, le désir est arrivé avec le temps. Nous étions des copains de copains et c'est à force de se côtoyer qu'on a fini par se mettre ensemble. Avec Caleb, je sens que si il me le demandait, je pourrais me donner à lui, dans les toilettes du musée, là tout de suite. Mais il ne me le demande pas. Alors nous retournons avec les autres. Caleb me suit, mais il ne s'arrête pas au buffet et sort, sans un au revoir. Quand il quitte la pièce, je pousse un soupir, pour évacuer toute cette tension sexuelle, que j'avais accumulé. Mais ça ne me suffit pas. Alors, en quittant le musée je fais un crochet rapide par la maison où Paul est en télé-travail. Les enfants sont à l'école, ils mangent à la cantine. Paul est surpris de me voir rentrer. Il est dans la cuisine, il fait une pause pour manger. Je lui fait comprendre en quelques secondes que j'ai envie de lui. Il me sourit me prend la main et commence à se diriger vers notre chambre mais je lui dit non, là maintenant. Je lui tourne le dos et je m'accoude sur la table de la cuisine. Un peu perturbé, il fini par s'approcher de moi. Il relève ma robe sur mes reins, baisse ma culotte sur mes genoux et me pénètre sans difficulté. La situation l'a excité au plus haut point, comme moi, et nous jouissons rapidement, tous les deux. Il se retire, je remonte ma culotte je lisse ma robe, embrasse mon mari et lui dit simplement à ce soir, avant de disparaître sans plus d'explication. Nous ne reparlons pas de ce moment avec Paul. Au final, il est assez flatté qu'il me fasse cet effet et que je lui ai proposé ce moment différent de notre manière habituelle de faire l'amour. Il dois se dire qu'après mes grossesses je retrouve mon gout pour l'aventure et le petit grain de folie qui pouvait égayer notre vie sexuelle, lorsque nous étions plus jeunes.

Le vie reprend et les journées de travail se s'enchainent. Un matin, le maire vient dans mon bureau l'air un peu gêné. Il finit par se lancer et me dit que Caleb me réclame. Il a une proposition à me faire. Il veut: "immortaliser ma plastique avantageuse" dans une oeuvre pour l'exposition. Voyant l'expression sur mon visage, il me laisse entendre qu'il va me dégager du temps libre, payé, pour que je puisse poser pour lui. Je suis un peu en colère et en même temps intriguée de voir comment se passe une séance. Je dois bien l'avouer, je suis aussi excitée à l'idée de le revoir. Je lui demande quand, il me dit tout de suite, et me donne simplement l'adresse de son atelier.

Et me voila, il est dix heure du matin je suis sur le parking de son atelier, attendant le courage de descendre de la voiture. J'ai un peu peur, pas de lui mais de moi, de ce que je me sens capable de faire, c'est à dire de ruiner quinze ans de vie commune, ma famille et mon mariage. On frappe à la fenêtre de ma voiture, c'est lui qui s'impatiente. Je descend il me précède. La maison est une grande bâtisse de maître. L'entrée est assez monumentale, avec son perron en haut des quatre marches, ses deux colonnes qui supportent un auvent au fronton sculpté. Deux larges portes donnent accès à un hall qui distribue toutes les pièces de la maison. Je le suis et nous traversons un salon orné de mobilier à la fois rustique et moderne. Il sort par une petite porte donnant sur le jardin en direction d'une bâtisse ressemblant à une serre toute en verre. Il ouvre la porte et me laisse entrer avant de refermer derrière nous. En entendant la porte se refermer, je suis comme un petit animal sur lequel le piège vient de se refermer. Il comprend mon malaise et me sourit.

-Détendez-vous, je me permet de prendre votre manteau et votre sac vous n'en aurez pas besoin.

Je me laisse faire, ses mouvements sont doux et précis. Je frémit quand ses mains me frôlent. Il me propose un verre, je choisit de l'eau. Je lui bredouille:

-Mr le maire n'a pas été précis, de quoi s'agit-il exactement?

-Je ne le lui ai pas dit.

-Moi j'ai besoin de savoir.

-Et bien moi je n'en ai pas besoin. Les choses se révéleront d'elle-même. Quand je commence à sculpter un bloc de granite, je ne sais pas ce que je vais trouver à l'intérieur.

Je me dis à moi-même, il est perché celui-là.

-Tenez, vous par exemple, quand on vous voit avec votre look de femme au foyer, mère et femme mariée, on n'imagine pas ce dont vous serez capable dés que l'on va gratter un peu la surface, alors qu'en sera-t'il, quand le premier coup de burin pénétrera votre chaire?

Je suis de plus en plus mal à l'aise. Il ne prend même pas la peine de masquer ses allusions salaces , mais cela m'excite. Il tourne autour de moi comme lion. De sa main, il arrange mes cheveux, et effleure la peau de mon cou. Je soupire et ça le fait sourire. Il part un instant pour aller nous chercher un verre, j'en profite pour observer les lieux. L'atelier se divise en trois secteurs distincts. La partie détente avec deux fauteuils, une table basse, un méridienne et caché dans le coin, derrière des tentures, un lit. Une petite salle de bain dont je ne vois que le lavabo, et où j'imagine un wc et une douche. Et enfin l'atelier lui-même qui occupe à lui seul les deux tiers de l'espace, avec ses maillets, ses burins, ses treuils à chaine et ses crochets. Ça ressemble à l'antre d'un tueur en série. Il me tend mon verre, et sirote le sien en s'asseyant de le fauteuil sans m'inviter à m'assoir. Il ne me quitte pas des yeux. Je commence à m'impatienter alors je prend les devants:

-Bon alors? Par quoi on commence.

-Il faudrait que vous vous mettiez nue.

Il me lance un défi et son regard semble me dire: "Toi la petite provinciale coincée de mère de famille, es-tu capable de te mettre nue devant un inconnu?"

Je reste immobile une seconde, je tente de ne pas réagir et de ne pas montrer que j'ai peur, que mon coeur s'est mis à battre à deux-cents à l'heure. Il ajoute avec une pointe d'ironie dans la voix:

-Vous pouvez aller vous changer dans la salle de bain. Il y a un peignoir propre sur l'étagère.

Je fais taire mes peurs, ma fierté reprenant le dessus:

-Non ça ira.

En une seconde ma jupe tombe sur le sol. Ma culotte la rejoint tout de suite, pour lui monter de quel bois je suis faite, qu'une provinciale aussi peut avoir du courage. Ensuite c'est mon chemiser et mon soutient-gorge que j'enlève pour les poser sur la méridienne. Je ramasse mes vêtements en lui tournant le dos pour le laisser admirer mon cul et sans doute une partie de ma fente luisante. Je m'assied sur la méridienne pour enlever mes chaussures mais il m'arrête:

-Non gardez les chaussures.

Il se lève, prend mes vêtements pour les poser sur le bras du fauteuil. Puis il me donne ses consignes.

-Allongez-vous sur le dos les deux épaules contre le matelas, le bassin tourné vers moi, non pas trop.

Il 's'énerve et se lève pour placer mes jambes, en poussant sur mon genou, relever mon bras, tourner mon bassin, s'assurer que je ne tourne pas mes épaules. Ses mains me touchent, pour lui, c'est professionnel, mais pour moi l'effleurement m'émoustille, il est sensuel. A aucun moment il ne me regarde comme une femme qu'il désire, mais seulement comme une poupée que l'on modèle pour en obtenir la pose que l'on veut, au nom de l'esthétique et du mouvement. Soudain, il s'écarte, prend du recul et là, je vois renaitre dans ses yeux la convoitise que j'y avais lu à la galerie.

-Magnifique. Ne bougez pas. Et puis merde, je te tutoie, le "vous" c'est trop long.

Je le vois qui ouvre un tiroir dans son atelier. Il revient et commence à esquisser mes formes, sur mon socle, qu'est la méridienne. La sanguine bouge rapidement sur le papier, dans un bruit de grattement, tandis que ses yeux magnifiques scrutent les moindres recoins de ma plastique. Il se penche, me caresse du regard, s'attarde sur mes seins qui se mettent à gonfler d'excitation, aussi surement que si ses mains les avait titillé. Puis soudain, il arrache la feuille, se déplace dans mon dos et reprend une nouvelle esquisse. Cette fois, je sens son regard sur mes fesses. Ma fente se met à couler, j'espère qu'il ne s'en aperçoit pas. L'atelier est peu chauffé mais mon corps est en feu, il suffirait d'une petite étincelle pour l'embraser tout entier. Il arrache une nouvelle feuille qu'il dépose délicatement sur la petite table. Puis il reprend son dessin.

-Les détails maintenant. Il n'y en a plus pour longtemps, ne bouge pas.

Sa voix puissante et sure d'elle, et son tutoiement me font l'effet d'une bombe dans le ventre. Il me donne ses directives, mais malgré tout je sens de l'attention dans ses paroles. Il me motive.

Il s'approche de moi, et mon coeur s'emballe. Il dessine mon visage. Cette proximité que j'espérais tout à l'heure, est presque déplaisante, car il me dévisage, il scrute chacun de mes traits, d'une façon clinique. Sa voix est rassurante et ce jeu n'a rien de sensuel. Il arrache une nouvelle page, maintenant, il détaille ma poitrine, un sein après l'autre puis mes bras. De ses yeux, il caresse ma peau et souligne mes courbes. Sur une nouvelle page, c'est au tour de mon ventre, puis de mes jambes. Comment ne peut-il voir mon désir suinter entre mes cuisses? Il dépose le dernier croquis sur la petite table. Nos yeux se croisent un instant mais déjà son regard a changé, quand il s'est posé sur mes seins, il a rougit.

-Voila tu peux te détendre maintenant. J'ai tout ce dont j'ai besoin pour commencer à travailler.

Il me tourne le dos, il n'ose pas me regarder, car il sait que l'artiste ayant terminé son travail, l'homme va vouloir réclamer son due. Je comprend, qu'il me laisse, en quelque sorte, une chance de fuir, avant que la bête en lui ne se réveille et me dévore.

Sans rien dire, je ré-aligne mes membres et détend mes muscles douloureux. Je m'assied au bord de la méridienne, puis je me lève et marche pour que le sang y circule à nouveau et réchauffe mes membres. Je n'ai plus aucune pudeur à être nue dans cette espace industriel entièrement vitré, au risque d'être vue par quelqu'un qui passerait dans le jardin. Il m'entend me déplacer et ma fuite semble apaiser ses épaules. Mais, soudain il s'inquiète de ne plus entendre mes talons claquer sur le parquet, quand il se retourne je me suis déjà glissée dans les draps de son lit. Un instant bluffé par mon toupet, il me fixe et marche dans ma direction. Son visage est impassible. Je n'arrive pas à déterminer s'il va me renvoyer chez moi ou si il me désire. Debout à deux mètres du lit, il me dévisage puis s'adresse à moi:

-Je ne met jamais de capote.

Je hoche la tête et me force à lui sourire malgré, la tension sexuelle qui me tend. Pendant qu'il se déshabille, je revois toute ma vie de femme mariée défiler devant mes yeux. Ma rencontre avec Paul, notre premier baiser, la première fois que nous faisons l'amour, le mariage, la naissance des enfants, la dernière fois que nous avons fait l'amour.... Je mets en balance toute cette vie, avec le moment présent. Comment Paul pourrait-t'il réagir si il apprenait que je suis sur le point de le tromper avec ce beau mâle?

Ma tête est feu. Mais il n'est plus question de se poser des questions. Si je suis là c'est que ma décision est déjà prise.

En quelques secondes, il est nu. Quand il se redresse, je vois que son corps est magnifique. Sa queue pointe une seconde dans ma direction, avant de viser fièrement vers le ciel.

Sans un mot, il se glisse dans les draps, sans me toucher. Il reste un instant, allongé sur son flan, ses yeux plantés dans les miens. Puis il soulève le drap pour admirer mon corps. Il est silencieux et j'ai peur qu'il hésite encore, mais soudain sa tête plonge sous la couverture et cela devient un feu d'artifice de sensations. Tandis que sa bouche embrasse et dévore ma poitrine, ses mains glissent sur ma peau de mes hanches à mon cou. Je sens de temps en temps son sexe dur se frotter à ma cuisse. Sans me faire prier, je participe à l'étreinte en jouant d'une main fébrile dans ses cheveux et de l'autre sur la peau de son dos. Dans sa ferveur, il tire sur un de mes tétons, ce qui m'arrache un cri que j'ai du mal à étouffer. Il a entendu, mais il ne s'excuse pas et il continue l'exploration méthodique de mes seins et de mes limites. Sa bouche entame une descente sur mon ventre et sans hésiter il enfouit son visage entre mes cuisses. Sa langue fouille sans ménagement entre mes lèvres et aspire mon clitoris qu'elle se met à caresser avec une infinie douceur, dont je le croyais incapable. La caresse est infiniment douce et mes gémissements ne peuvent que l'en convaincre. Et comme si cela ne suffisait pas, je l'encourage de ma voix essoufflée:

-Putain ce que c'est bon!

Il lève les yeux vers moi, l'air étonné. La totalité de son visage, jusqu'au bout de son nez, est luisant de ma mouille. Sa tête replonge entre mes cuisses et je retiens de nouveaux gémissements, appuyant sa tête de mes mains ou la repoussant pour l'éloigner de mon entre-jambes, quand je m'approche trop prés de la jouissance. Ma peau est moite et mon souffle court, je tire sur ses cheveux, mais sa tête résiste. Sa langue insiste sur ma minuscule verge gorgée de sang, me menant inexorablement à l'orgasme. Quand il est devenu inévitable, j'abandonne et je me détend pour attendre les spasmes qui secouent tout mon corps.

Ayant obtenu ce qu'il voulait, le rythme de sa langue ralenti peu à peu avant de s'arrêter. Puis il se redresse et au lieu de s'allonger contre moi, pour me laisser le temps de récupérer, à genoux entre mes jambes, il positionne ses cuisses sous mes fesses qu'il soulève pour glisser un coussin sous mon bassin.

J'ai du mal à croire qu'il s'apprête à me pénétrer, si vite, si tôt, alors que mon clitoris est toujours aussi douloureux de sa jouissance récente. Sans attendre, dés qu'il est prêt, il enfonce son énorme dard dans ma chatte et commence ses vas et viens. J'assiste à la scène sans pouvoir m'y opposer. Il dispose de mon corps sans se procurer de moi. Mais en même temps, n'est-ce pas cela qui m'attire chez lui? Cette assurance qui l'anime, cette arrogance qui m'hypnotise pour obtenir ce qu'il veut de moi. Entre ses mains, je suis une poupée de chiffon, qu'il modèle à sa guise, comme si il savait, mieux que moi, ce qui est bon pour mon corps.

D'ailleurs, les mouvements lents de sa bite dans mon vagin, lui donnent raison. Au lieu d'augmenter l'inconfort de mon bouton, ils entretiennent ma jouissance, qui continue de grandir et se propage dans tout mon bassin. Il redresse ma jambe droite sur son épaule, pour embrasser la face interne, avant de la laisser tomber sur l'autre, pour me faire pivoter sur le flanc. Sans se retirer, il se couche derrière moi en cuillère et continue de me pilonner. Ses bras rendus libres, me serrent contre son torse puissant, me pétrissant la poitrine et me massant le clito. Il en profite pour m'asséner des coups de reins plus puissants. Son énorme gland heurte le fond de mon vagin. Ce n'est pas très confortable, mais sa hampe, en se retirant lentement, coulisse de tout son long et me remplit à nouveau d'un mouvement sec. La position est bestiale, prisonnière de ses bras devant, je sens le contacte de son corps sur toute la surface de dos. Incapable de lui rendre ses caresses, mes mains ne peuvent que lui caresser les bras, alors je me laisse guider et je profite. Chaque coup de rein me rapproche de la jouissance, encore un peu et je vais jouir. Il doit s'en douter alors il se retire, pour se remettre à genoux sur le lit, me maintenant collée au matelas de tout le poids de sa main. Puis quand il est bien stable sur ses appuis, ses mains glissent sous mes hanches pour me soulever en position de levrette. Encore une fois, je me laisse faire impuissante et ce qui me surprend, c'est que je n'en ai pas honte. Est-ce sa personnalité particulièrement autoritaire ou la conscience de ma faute en trompant mon mari qui m'interdit de m'insurger, ou plus simplement que j'aime qu'il me domine. J'aime qu'il prenne sans demander, qu'il ordonne et même qu'il me malmène.

Son épée rentre dans mon fourreau, m'arrachant un soupir de plaisir, qu'il réprime par une tape sur les fesses. Le son sec de sa main sur ma peau, m'éloigne du plaisir un instant. Mais il reprend sa lente danse, rythmée par le claquement de ses hanches qui s'écrasent sur mon cul. De sa main libre, il caresse mon dos et son doigt joue avec ma rosette, qu'un trait de salive vient lubrifier. Sans prévenir, son doigt s'y enfonce jusqu'a la garde, il touche sa bite a travers la fine parois. Le souffle coupé, je suis envahie aussitôt, par un nouvel orgasme plus puissant. Les fortes contractions de mon vagin et les spasmes qui me parcourent, me laissent sans force. Je m'effondre sur le matelas tandis que mon amant endurant accélère sa besogne. En quelques secondes il me rejoint dans la plénitude de la jouissance, il se retire juste à temps pour inonder mes hanches de sa semence chaude, qui se répand en saccades.
Une heure plus tard je me réveille seule, dans l'atelier. Je prend une douche me rhabille, et quitte discrètement l'atelier par les jardins. Derrière une fenêtre de la vénérable maison, une silhouette m'observe. il n'y a rien de plus à ajouter. L'aventure a été inoubliable.
Le soir, je retrouve mon mari plus amoureuse que jamais. La connivence est là comme aux premiers temps de notre mariage. Il s'en étonne mais n'insiste pas. Je le guide rapidement vers notre chambre pour lui faire l'amour. Il se laisse docilement guider jusqu'à l'orgasme qui nous emporte tous les deux vers la suite du reste de nos vies.

Les avis des lecteurs

Belle histoire, bien racontée , je ne sais pas si elle est réelle ou non, mais j'aime les femmes mariés qui se laisse prendre sans capote,je n'en met jamais non plus.
Dommage qu'il se soit retiré pour éjaculer....

Superbement écrit



Texte coquin : Le sculpteur, la muse et le cocul.
Histoire sexe : Une rose rouge
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