Julia et le cheminot
Récit érotique écrit par Antoine-LRH [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Julia et le cheminot
Je bosse à la gare depuis quelques années maintenant. Une petite gare normande, pas bien grande, mais avec son lot de passages, de visages, de destins pressés. Et moi, je suis là, derrière mon guichet, à vendre des billets, répondre aux demandes, gérer les râleurs et les pressés. Souvent seul. Et souvent, franchement, je m’ennuie un peu.
Mais ce jour-là, j’ai su tout de suite que ce ne serait pas un jour comme les autres.
Elle est entrée dans la gare comme un rayon de soleil dans une journée d’hiver. Blonde, sublime, habillée d’un ensemble clair qui épousait à merveille les courbes de son corps. Un petit haut moulant qui dessinait sa poitrine incroyable, une veste rose pâle, et un pantalon qui mettait en valeur ses longues jambes et des fesses à faire exploser le contrôle de soi de n’importe quel homme normalement constitué. Julia.
Elle s’est approchée du guichet avec un sourire franc, des yeux rieurs, et cette façon de se mouvoir, légère, presque dansante, comme si elle flottait.
— Bonjour ! Je voudrais une carte jeune, s’il vous plaît.
Sa voix était douce, chaleureuse, et son sourire m’a mis dans un état second. Je suis resté bloqué une demi-seconde, le temps de remettre mes idées en place.
— Bien sûr… heu… vous avez moins de 28 ans ? Parce que là, c’est pas évident à dire… vous faites très jeune, hein. Trop peut-être !
Elle éclate de rire. Une cascade claire et joyeuse. Elle rentre dans mon jeu direct, et moi je me surprends à plaisanter plus que d’habitude. Elle me trouble. Vraiment. Je suis censé être pro, carré, mais là, impossible de rester de marbre.
On rigole, je la taquine, elle me renvoie la balle, et pendant ce temps, je remplis son formulaire. Son nom est un peu compliqué, alors elle me tend sa carte d’identité avec un petit clin d’œil.
— Tiens, je te laisse mon passeport pour éviter que tu m’écrives un nom farfelu.
Je prends le papier, nos doigts se frôlent. Elle reste un peu. Trop peu. Et puis elle s’en va, toujours aussi rayonnante, son corps s’éloignant dans le couloir vitré. Et là, mon regard est happé, comme magnétisé par le mouvement de ses fesses, parfaitement dessinées dans ce pantalon crème.
Je reste quelques secondes à fixer la porte après qu’elle l’a franchie. Mon esprit s’emballe. Je fantasme. Déjà.
Quelques minutes plus tard, en rangeant le guichet, je me rends compte que j’ai gardé sa carte. Je l’appelle immédiatement depuis mon téléphone pro.
— Bonjour Julia, c’est Ben de la gare… j’ai gardé votre carte par erreur.
Elle revient rapidement. Toujours ce sourire. Cette joie communicative. Ce regard qui pétille. Elle prend sa carte et repart, légère, presque irréelle.
Je passe les jours suivants à penser à elle. À ses formes, à son rire, à son naturel. Je la revois marcher, je l’imagine nue. Je me branle en pensant à elle. Mais je n’ai pas l’intention de franchir une ligne. Du moins, c’est ce que je crois.
Le week-end passe. Le dimanche soir, je rallume mon téléphone pro et là, je découvre un message :
« Je me suis permise de garder votre numéro quand vous m'avez appelé. J'aimerais vous parler. »
Je sens mon cœur battre un peu plus fort. Je lui réponds, un peu tendu, un peu excité :
« Je suis de service demain, si vous voulez passer. »
Sa réponse me cloue sur place :
« Je préfère vous voir en dehors du travail. »
Elle a pris les devants. Et j’adore ça. Je lui propose un bar proche de la gare, un endroit discret, cosy, où je sais qu’on pourra discuter au calme.
- La soirée -
Le lendemain soir, je suis en avance. Le bar que j’ai choisi, c’est un petit endroit à la déco soignée, ambiance tamisée, lumière chaude, musique jazz discrète. Pas trop de monde, assez pour ne pas se sentir observés, pas trop pour qu’on ait à hausser la voix. J’ai commandé une bière, histoire de calmer un peu l’excitation. Mon cœur tape fort. Je me demande si je fantasme tout ça. Si elle va vraiment venir.
Et puis elle entre.
Julia.
Je la vois passer la porte, et instantanément tout ce qu’il y a autour disparaît. Elle porte une robe noire, courte, juste assez décolletée pour me faire perdre toute contenance. Elle avance vers moi avec ce même sourire éclatant, cet air joyeux, libre, qui me retourne les tripes.
— Salut Ben. Je ne te dérange pas trop, j’espère…
Je me lève pour l’accueillir, je lui souris comme un con, un peu trop content, un peu trop nerveux.
— Tu rigoles ? J’étais pressé de te revoir. Assieds-toi.
Elle commande un verre de vin. On parle de tout et de rien, on rit, encore. Elle me regarde souvent dans les yeux, longtemps. Elle me frôle souvent le bras quand elle bouge. Elle joue. Elle sait. Et moi, je suis là, à lutter pour ne pas la dévorer des yeux, mais mon regard s’échappe malgré moi. Vers ses lèvres, vers sa poitrine que la robe met parfaitement en valeur, vers ses jambes croisées sous la table. Elle le voit, bien sûr. Et ça l’amuse.
Au bout d’une heure, elle pose son verre, me fixe.
— Tu veux me raccompagner ?
Je hoche la tête. Pas besoin de parler. Elle sait déjà.
- L’escalier -
On sort du bar, l’air est frais, la nuit déjà tombée. Elle marche à mes côtés, à petits pas, tranquilles, comme si tout était déjà décidé. Son parfum me monte à la tête, floral, doux, entêtant. Je la dépose devant chez elle, une maison de ville avec une petite cour, un escalier en pierre un peu ancien.
— Tu veux monter ?
Sa voix est calme, posée, comme si elle me proposait un café. Mais dans ses yeux, il y a tout : le feu, le jeu, le désir.
Je coupe le moteur. Je la suis.
Elle monte devant moi. Et là… je ne peux pas m’en empêcher. Ses fesses ondulent à chaque marche, moulées dans cette robe noire si courte que j’entrevois presque le haut de ses cuisses. Je suis à deux doigts de poser les mains dessus.
Elle se retourne en haut de l’escalier, un sourire en coin :
— Tu mates mon cul depuis tout à l’heure, hein ?
Je souris à mon tour, sans me justifier. J’ai même pas besoin de répondre.
On entre.
Je n’ai pas le temps de faire deux pas dans le salon qu’elle se retourne, s’approche et m’embrasse. Un baiser profond, intense, sa langue vient chercher la mienne, elle me mord doucement la lèvre. Elle colle son corps contre le mien, je sens sa poitrine écrasée contre mon torse, ses mains qui me caressent la nuque. Et déjà, je bande comme un fou.
Elle me pousse doucement vers le canapé, puis s’agenouille devant moi.
— J’avais envie de ça depuis la gare.
Elle déboutonne ma braguette, sort ma queue déjà dure. Ses yeux brillent, elle la caresse, la sent contre sa joue, la lèche doucement de la langue avant de la prendre profondément dans sa bouche.
Je suis là, assis, haletant, en train de la regarder me sucer avec une gourmandise incroyable. Elle me fixe en le faisant, ses lèvres glissent sur ma queue, lentement, puis de plus en plus vite. Sa bouche est chaude, douce, parfaite. Je gémis, je lui caresse les cheveux, elle s’active, me fait perdre la tête. Elle prend tout, crache un peu, salive beaucoup. J’en peux plus. Je la retiens, je veux pas finir maintenant.
Je la fais se relever, je l’embrasse, j’ai envie d’elle partout.
Je la plaque contre le mur, je soulève sa robe. Pas de culotte. Sa chatte est rasée, déjà trempée. Je m’agenouille, je colle ma bouche contre elle, je la lèche avec voracité, je me gave de son goût. Elle gémit fort, s’accroche à mes cheveux, me supplie de continuer. Je la fais jouir comme ça, les jambes tremblantes, le dos plaqué au mur.
Elle me tire vers le canapé, m’allonge, grimpe sur moi. Elle glisse ma queue entre ses seins, les serre autour, me regarde faire des va-et-vient pendant qu’elle me lèche le bout. Et là, je craque. Je jouis. Fort. Elle ouvre la bouche, prend tout. Avale. Me regarde avec un sourire triomphant, ses seins encore luisants.
Mais c’est pas fini.
Je la retourne, je la prends en levrette, mes mains sur ses hanches, sa robe encore à moitié relevée. Je la pilonne, fort, elle crie, elle jouit encore. Je la retourne, elle me monte dessus, m’embrasse, me chevauche. Ses seins bondissent devant mes yeux, elle me met la tête dedans, je les lèche, je les mordille. Je la sens vibrer. Moi aussi. Elle accélère, on se prend, on se dévore.
Je la prends à nouveau, allongée cette fois, ses jambes sur mes épaules, sa bouche haletante, ses seins tendus, sa chatte trempée qui m’engloutit. Je sens que je vais finir. Elle le sait. Elle me dit :
— Viens… je veux te sentir… en moi…
Et je me laisse aller, profondément, tout entier, dans son corps brûlant.
- Après le feu, les aveux -
On reste allongés là, encore moites, les corps collés, les cœurs tambourinant. L’odeur du sexe flotte dans l’air, douce et brute. Julia est recroquevillée contre moi, nue, la peau encore brûlante. Ses doigts glissent sur mon torse.
— Tu veux rester dormir ?
Elle pose la question doucement, presque comme une évidence. Je la regarde, un peu surpris, un peu excité à l’idée de prolonger ça.
— Tu veux que je parte ? je lui demande, un sourire en coin.
— Non. Je veux te sentir encore. Juste cette nuit.
Elle se lève, se dirige vers la salle de bain. Sa silhouette nue, éclairée par la lumière chaude de la pièce, me donne aussitôt envie de la reprendre. Ses fesses fermes, hautes, parfaites. Ce corps, mon Dieu.
Quand je la rejoins sous la douche, elle me tourne le dos, se lave tranquillement, l’eau ruisselant le long de ses reins. Je passe mes mains sur ses hanches, elle sourit sans se retourner.
— Faut que je te dise un truc.
Je reste là, contre elle, ma queue déjà raide à nouveau, frôlant le bas de son dos.
— Dis toujours.
— J’ai un copain. Il rentre demain. Mais j’avais envie de toi. Je t’ai fantasmé, à la gare. J’en avais besoin.
Je reste silencieux quelques secondes, puis je ris doucement.
— Ma copine est en vadrouille pour quelques jours. Ce soir, c’est juste… pour nous.
Elle se retourne, l’eau perle sur ses seins, sur son ventre plat, descend le long de ses cuisses. Elle me fixe avec une intensité nouvelle. Ses mains descendent sur ma queue, la caressent, la reprennent en main.
— Je veux encore. Mais cette fois… je veux que tu me prennes par derrière.
Je la plaque doucement contre le mur de la douche, elle cambre son dos, m’offre ses fesses. Je m’agenouille, commence par l’embrasser entre les cuisses, lentement, profondément. Je la prépare, je la mouille, je prends le temps. Elle gémit, elle se détend.
Je lubrifie sa rondelle avec soin, j’y passe un doigt, puis deux. Elle est prête. Je me redresse, la caresse, la pénètre doucement, centimètre par centimètre. Elle crie doucement, mélange de douleur et de plaisir. Une fois en elle, je commence à la baiser, lentement, puis plus fort, mes mains serrées sur ses hanches, son cul rebondissant à chaque coup.
— Tu veux tout ? Tu veux que je te défonce le cul ?
Elle hoche la tête, haletante.
Je l’encule, violemment, longtemps. Je la fais jouir comme ça. Et quand je suis sur le point d’exploser, je me retire.
— À genoux.
Elle obéit aussitôt. Je me branle devant elle, elle tire la langue, se caresse. Je viens fort, en giclées chaudes, épaisses, sur son visage, sur sa bouche grande ouverte. Elle avale, étale le reste sur ses joues, les yeux brillants.
— T’es une bombe, Julia. Une putain de bombe.
Elle sourit, le sperme encore sur la lèvre inférieure.
— Et toi, t’es un putain de bon coup.
- Le matin -
Je me réveille avant elle. Elle dort nue, belle, calme. La lumière du matin filtre à travers les rideaux. Je la regarde quelques secondes, puis je me glisse entre ses jambes. Elle dort encore, mais je commence doucement à la lécher. Son corps réagit très vite, elle gémit dans son sommeil, s’étire. Quand elle ouvre les yeux, j’ai la langue profondément en elle.
— Putain, Ben…
Elle jouit doucement, tendrement, puis je monte sur elle, je la baise une dernière fois, lentement, dans ses draps défaits. On jouit ensemble. Puis je me rhabille.
— Je dois y aller.
— Je sais. C’était… intense.
Je l’embrasse. Longtemps. Et je pars.
- L’après -
Depuis cette nuit, Julia repasse à la gare de temps en temps. Elle fait mine d’acheter un billet, parfois même elle salue d’un clin d’œil discret. Et puis je reçois un message, le soir même :
« J’ai encore envie de toi. Ce soir ? »
Alors on se retrouve. Chez elle, ou ailleurs. Et c’est à chaque fois aussi sauvage. Sans attaches, sans mots inutiles. Je la prends comme elle veut être prise. Elle me rend fou. Elle me suce dans des parkings, elle gémit mon prénom dans des chambres d’hôtel, elle m’envoie des photos, des vidéos.
Le plan cul parfait. Une bombe. Mon fantasme devenu réel. Et chaque passage à la gare me donne envie de la reprendre encore.
Mais ce jour-là, j’ai su tout de suite que ce ne serait pas un jour comme les autres.
Elle est entrée dans la gare comme un rayon de soleil dans une journée d’hiver. Blonde, sublime, habillée d’un ensemble clair qui épousait à merveille les courbes de son corps. Un petit haut moulant qui dessinait sa poitrine incroyable, une veste rose pâle, et un pantalon qui mettait en valeur ses longues jambes et des fesses à faire exploser le contrôle de soi de n’importe quel homme normalement constitué. Julia.
Elle s’est approchée du guichet avec un sourire franc, des yeux rieurs, et cette façon de se mouvoir, légère, presque dansante, comme si elle flottait.
— Bonjour ! Je voudrais une carte jeune, s’il vous plaît.
Sa voix était douce, chaleureuse, et son sourire m’a mis dans un état second. Je suis resté bloqué une demi-seconde, le temps de remettre mes idées en place.
— Bien sûr… heu… vous avez moins de 28 ans ? Parce que là, c’est pas évident à dire… vous faites très jeune, hein. Trop peut-être !
Elle éclate de rire. Une cascade claire et joyeuse. Elle rentre dans mon jeu direct, et moi je me surprends à plaisanter plus que d’habitude. Elle me trouble. Vraiment. Je suis censé être pro, carré, mais là, impossible de rester de marbre.
On rigole, je la taquine, elle me renvoie la balle, et pendant ce temps, je remplis son formulaire. Son nom est un peu compliqué, alors elle me tend sa carte d’identité avec un petit clin d’œil.
— Tiens, je te laisse mon passeport pour éviter que tu m’écrives un nom farfelu.
Je prends le papier, nos doigts se frôlent. Elle reste un peu. Trop peu. Et puis elle s’en va, toujours aussi rayonnante, son corps s’éloignant dans le couloir vitré. Et là, mon regard est happé, comme magnétisé par le mouvement de ses fesses, parfaitement dessinées dans ce pantalon crème.
Je reste quelques secondes à fixer la porte après qu’elle l’a franchie. Mon esprit s’emballe. Je fantasme. Déjà.
Quelques minutes plus tard, en rangeant le guichet, je me rends compte que j’ai gardé sa carte. Je l’appelle immédiatement depuis mon téléphone pro.
— Bonjour Julia, c’est Ben de la gare… j’ai gardé votre carte par erreur.
Elle revient rapidement. Toujours ce sourire. Cette joie communicative. Ce regard qui pétille. Elle prend sa carte et repart, légère, presque irréelle.
Je passe les jours suivants à penser à elle. À ses formes, à son rire, à son naturel. Je la revois marcher, je l’imagine nue. Je me branle en pensant à elle. Mais je n’ai pas l’intention de franchir une ligne. Du moins, c’est ce que je crois.
Le week-end passe. Le dimanche soir, je rallume mon téléphone pro et là, je découvre un message :
« Je me suis permise de garder votre numéro quand vous m'avez appelé. J'aimerais vous parler. »
Je sens mon cœur battre un peu plus fort. Je lui réponds, un peu tendu, un peu excité :
« Je suis de service demain, si vous voulez passer. »
Sa réponse me cloue sur place :
« Je préfère vous voir en dehors du travail. »
Elle a pris les devants. Et j’adore ça. Je lui propose un bar proche de la gare, un endroit discret, cosy, où je sais qu’on pourra discuter au calme.
- La soirée -
Le lendemain soir, je suis en avance. Le bar que j’ai choisi, c’est un petit endroit à la déco soignée, ambiance tamisée, lumière chaude, musique jazz discrète. Pas trop de monde, assez pour ne pas se sentir observés, pas trop pour qu’on ait à hausser la voix. J’ai commandé une bière, histoire de calmer un peu l’excitation. Mon cœur tape fort. Je me demande si je fantasme tout ça. Si elle va vraiment venir.
Et puis elle entre.
Julia.
Je la vois passer la porte, et instantanément tout ce qu’il y a autour disparaît. Elle porte une robe noire, courte, juste assez décolletée pour me faire perdre toute contenance. Elle avance vers moi avec ce même sourire éclatant, cet air joyeux, libre, qui me retourne les tripes.
— Salut Ben. Je ne te dérange pas trop, j’espère…
Je me lève pour l’accueillir, je lui souris comme un con, un peu trop content, un peu trop nerveux.
— Tu rigoles ? J’étais pressé de te revoir. Assieds-toi.
Elle commande un verre de vin. On parle de tout et de rien, on rit, encore. Elle me regarde souvent dans les yeux, longtemps. Elle me frôle souvent le bras quand elle bouge. Elle joue. Elle sait. Et moi, je suis là, à lutter pour ne pas la dévorer des yeux, mais mon regard s’échappe malgré moi. Vers ses lèvres, vers sa poitrine que la robe met parfaitement en valeur, vers ses jambes croisées sous la table. Elle le voit, bien sûr. Et ça l’amuse.
Au bout d’une heure, elle pose son verre, me fixe.
— Tu veux me raccompagner ?
Je hoche la tête. Pas besoin de parler. Elle sait déjà.
- L’escalier -
On sort du bar, l’air est frais, la nuit déjà tombée. Elle marche à mes côtés, à petits pas, tranquilles, comme si tout était déjà décidé. Son parfum me monte à la tête, floral, doux, entêtant. Je la dépose devant chez elle, une maison de ville avec une petite cour, un escalier en pierre un peu ancien.
— Tu veux monter ?
Sa voix est calme, posée, comme si elle me proposait un café. Mais dans ses yeux, il y a tout : le feu, le jeu, le désir.
Je coupe le moteur. Je la suis.
Elle monte devant moi. Et là… je ne peux pas m’en empêcher. Ses fesses ondulent à chaque marche, moulées dans cette robe noire si courte que j’entrevois presque le haut de ses cuisses. Je suis à deux doigts de poser les mains dessus.
Elle se retourne en haut de l’escalier, un sourire en coin :
— Tu mates mon cul depuis tout à l’heure, hein ?
Je souris à mon tour, sans me justifier. J’ai même pas besoin de répondre.
On entre.
Je n’ai pas le temps de faire deux pas dans le salon qu’elle se retourne, s’approche et m’embrasse. Un baiser profond, intense, sa langue vient chercher la mienne, elle me mord doucement la lèvre. Elle colle son corps contre le mien, je sens sa poitrine écrasée contre mon torse, ses mains qui me caressent la nuque. Et déjà, je bande comme un fou.
Elle me pousse doucement vers le canapé, puis s’agenouille devant moi.
— J’avais envie de ça depuis la gare.
Elle déboutonne ma braguette, sort ma queue déjà dure. Ses yeux brillent, elle la caresse, la sent contre sa joue, la lèche doucement de la langue avant de la prendre profondément dans sa bouche.
Je suis là, assis, haletant, en train de la regarder me sucer avec une gourmandise incroyable. Elle me fixe en le faisant, ses lèvres glissent sur ma queue, lentement, puis de plus en plus vite. Sa bouche est chaude, douce, parfaite. Je gémis, je lui caresse les cheveux, elle s’active, me fait perdre la tête. Elle prend tout, crache un peu, salive beaucoup. J’en peux plus. Je la retiens, je veux pas finir maintenant.
Je la fais se relever, je l’embrasse, j’ai envie d’elle partout.
Je la plaque contre le mur, je soulève sa robe. Pas de culotte. Sa chatte est rasée, déjà trempée. Je m’agenouille, je colle ma bouche contre elle, je la lèche avec voracité, je me gave de son goût. Elle gémit fort, s’accroche à mes cheveux, me supplie de continuer. Je la fais jouir comme ça, les jambes tremblantes, le dos plaqué au mur.
Elle me tire vers le canapé, m’allonge, grimpe sur moi. Elle glisse ma queue entre ses seins, les serre autour, me regarde faire des va-et-vient pendant qu’elle me lèche le bout. Et là, je craque. Je jouis. Fort. Elle ouvre la bouche, prend tout. Avale. Me regarde avec un sourire triomphant, ses seins encore luisants.
Mais c’est pas fini.
Je la retourne, je la prends en levrette, mes mains sur ses hanches, sa robe encore à moitié relevée. Je la pilonne, fort, elle crie, elle jouit encore. Je la retourne, elle me monte dessus, m’embrasse, me chevauche. Ses seins bondissent devant mes yeux, elle me met la tête dedans, je les lèche, je les mordille. Je la sens vibrer. Moi aussi. Elle accélère, on se prend, on se dévore.
Je la prends à nouveau, allongée cette fois, ses jambes sur mes épaules, sa bouche haletante, ses seins tendus, sa chatte trempée qui m’engloutit. Je sens que je vais finir. Elle le sait. Elle me dit :
— Viens… je veux te sentir… en moi…
Et je me laisse aller, profondément, tout entier, dans son corps brûlant.
- Après le feu, les aveux -
On reste allongés là, encore moites, les corps collés, les cœurs tambourinant. L’odeur du sexe flotte dans l’air, douce et brute. Julia est recroquevillée contre moi, nue, la peau encore brûlante. Ses doigts glissent sur mon torse.
— Tu veux rester dormir ?
Elle pose la question doucement, presque comme une évidence. Je la regarde, un peu surpris, un peu excité à l’idée de prolonger ça.
— Tu veux que je parte ? je lui demande, un sourire en coin.
— Non. Je veux te sentir encore. Juste cette nuit.
Elle se lève, se dirige vers la salle de bain. Sa silhouette nue, éclairée par la lumière chaude de la pièce, me donne aussitôt envie de la reprendre. Ses fesses fermes, hautes, parfaites. Ce corps, mon Dieu.
Quand je la rejoins sous la douche, elle me tourne le dos, se lave tranquillement, l’eau ruisselant le long de ses reins. Je passe mes mains sur ses hanches, elle sourit sans se retourner.
— Faut que je te dise un truc.
Je reste là, contre elle, ma queue déjà raide à nouveau, frôlant le bas de son dos.
— Dis toujours.
— J’ai un copain. Il rentre demain. Mais j’avais envie de toi. Je t’ai fantasmé, à la gare. J’en avais besoin.
Je reste silencieux quelques secondes, puis je ris doucement.
— Ma copine est en vadrouille pour quelques jours. Ce soir, c’est juste… pour nous.
Elle se retourne, l’eau perle sur ses seins, sur son ventre plat, descend le long de ses cuisses. Elle me fixe avec une intensité nouvelle. Ses mains descendent sur ma queue, la caressent, la reprennent en main.
— Je veux encore. Mais cette fois… je veux que tu me prennes par derrière.
Je la plaque doucement contre le mur de la douche, elle cambre son dos, m’offre ses fesses. Je m’agenouille, commence par l’embrasser entre les cuisses, lentement, profondément. Je la prépare, je la mouille, je prends le temps. Elle gémit, elle se détend.
Je lubrifie sa rondelle avec soin, j’y passe un doigt, puis deux. Elle est prête. Je me redresse, la caresse, la pénètre doucement, centimètre par centimètre. Elle crie doucement, mélange de douleur et de plaisir. Une fois en elle, je commence à la baiser, lentement, puis plus fort, mes mains serrées sur ses hanches, son cul rebondissant à chaque coup.
— Tu veux tout ? Tu veux que je te défonce le cul ?
Elle hoche la tête, haletante.
Je l’encule, violemment, longtemps. Je la fais jouir comme ça. Et quand je suis sur le point d’exploser, je me retire.
— À genoux.
Elle obéit aussitôt. Je me branle devant elle, elle tire la langue, se caresse. Je viens fort, en giclées chaudes, épaisses, sur son visage, sur sa bouche grande ouverte. Elle avale, étale le reste sur ses joues, les yeux brillants.
— T’es une bombe, Julia. Une putain de bombe.
Elle sourit, le sperme encore sur la lèvre inférieure.
— Et toi, t’es un putain de bon coup.
- Le matin -
Je me réveille avant elle. Elle dort nue, belle, calme. La lumière du matin filtre à travers les rideaux. Je la regarde quelques secondes, puis je me glisse entre ses jambes. Elle dort encore, mais je commence doucement à la lécher. Son corps réagit très vite, elle gémit dans son sommeil, s’étire. Quand elle ouvre les yeux, j’ai la langue profondément en elle.
— Putain, Ben…
Elle jouit doucement, tendrement, puis je monte sur elle, je la baise une dernière fois, lentement, dans ses draps défaits. On jouit ensemble. Puis je me rhabille.
— Je dois y aller.
— Je sais. C’était… intense.
Je l’embrasse. Longtemps. Et je pars.
- L’après -
Depuis cette nuit, Julia repasse à la gare de temps en temps. Elle fait mine d’acheter un billet, parfois même elle salue d’un clin d’œil discret. Et puis je reçois un message, le soir même :
« J’ai encore envie de toi. Ce soir ? »
Alors on se retrouve. Chez elle, ou ailleurs. Et c’est à chaque fois aussi sauvage. Sans attaches, sans mots inutiles. Je la prends comme elle veut être prise. Elle me rend fou. Elle me suce dans des parkings, elle gémit mon prénom dans des chambres d’hôtel, elle m’envoie des photos, des vidéos.
Le plan cul parfait. Une bombe. Mon fantasme devenu réel. Et chaque passage à la gare me donne envie de la reprendre encore.
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