Le Goût de l’Inattendu

- Par l'auteur HDS Antoine-LRH -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le Goût de l’Inattendu Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Tags : Bisexualité
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Le Goût de l’Inattendu
J'avais 24 ans à l'époque. Pas vraiment le genre à m'attacher. Je batifolais sans trop me poser de questions, un peu à droite, un peu à gauche. Des histoires sans suite, des coups d’un soir, quelques textos salaces et des rendez-vous volés entre deux week-ends de concours.
Mais Hélène, c’était différent.
On s’était trouvés sur un terrain de CSO, dans l’effervescence d’un samedi de concours. Elle, cavalière amateur élite, fière, assurée, élégante en selle. Moi, éleveur passionné, plus à l’aise avec les chevaux qu’avec les humains. On n’avait pas mis longtemps à glisser de la complicité au sexe.
Hélène était en couple. Depuis longtemps, déjà. Un mec beau, grand, musclé, presque trop parfait. Elle me parlait parfois de lui, sans jamais trop en dire, juste assez pour que je comprenne qu’elle l’aimait malgré tout. Ça la rendait plus désirable encore. Parce qu’elle venait à moi en cachette. Parce que c’était interdit. Et parce que, dans ces moments-là, elle se donnait comme si elle s’échappait de sa propre vie.
Pendant plus de deux ans, elle fut mon plan cul attitré. Une régularité dans le désordre de ma vie sexuelle. Parfois chez moi, parfois à l’arrière de son 4x4 entre deux paddocks, parfois même dans un box vide à la nuit tombée. Toujours avec ce regard chargé de tension, de frustration, et de cette excitation de braver les limites.
Puis son mec l’a su.
Une tempête. Elle a tout quitté. Lui, leur appartement, leur vie bien rangée. Retour chez sa mère, retour à elle-même. Elle venait me voir encore, parfois. Le sexe restait intense, plus triste peut-être. Chargé d’un goût de revanche. Puis ils se sont remis ensemble. Elle me l’a dit sans détours. Et nos rencontres se sont espacées. Sauf de temps en temps, quand l’envie l’emportait sur la raison, dans mes écuries, à l’abri des regards, pour un coup rapide, presque brutal, sans un mot de trop.
Et puis ce jour-là, ce message :
"J’ai envie de te voir et j’ai un truc à te proposer."
J’avais à peine lu qu’elle avait déjà ma réponse. Oui.
Elle est arrivée le soir même.
Elle est arrivée en soirée, comme prévu. Un jean serré, un petit haut noir qui découvrait légèrement sa taille. Pas de chichis, pas de gêne. Elle connaissait les lieux, elle savait où poser son sac, où se servir un verre. Elle s’est installée sur le canapé pendant que je finissais de ranger deux-trois trucs dans la cuisine.
On a bu un verre, en toute amitié.
Du moins, c’est ce que je tentais de me faire croire. Parce qu’en vrai, je n’arrivais pas à détacher mes yeux d’elle. Ce corps que je connaissais par cœur. Ce cul, surtout. Ce cul que j’avais si souvent pris, caressé, giflé, fourré. J’avais envie d’elle. Comme au premier jour. Comme toujours.
Mais je restais sage.
Elle parlait de sa vie, de son mec. De leur retour ensemble, de la reconstruction.
— "Je lui ai dit que j'avais besoin de plus de folie, de plus de sexe. Vrai sexe. Celui qui me laisse des traces le lendemain. Il fait des efforts. Il a même accepté... l’anal."
Elle m’a regardé en coin en prononçant ce dernier mot, comme si elle savait que ça allait faire réagir mon bas-ventre. Elle avait raison.
Elle m’excitait.
Puis elle a posé son verre, s’est tournée vers moi, sérieuse, presque solennelle.
— "Je suis venue te voir parce qu’il est prêt. Il veut me voir me faire baiser par un autre. Peut-être même me baiser avec un autre. J’ai toujours rêvé d’avoir deux mecs en moi. Et tu es l’homme parfait pour ça. Lui aussi. Vous me connaissez par cœur."
J’ai senti mon souffle se bloquer. Mon cœur battre plus vite. Et ma queue durcir sans la moindre hésitation.
Je l’ai regardée. Longtemps.
Puis j’ai simplement dit :
— "D’accord."
Elle n’a pas souri. Elle s’est levée lentement, s’est approchée de moi, a défait ma ceinture d’un geste fluide, précis. Puis elle s’est mise à genoux devant moi, comme elle l’avait fait tant de fois. Et là, sans un mot, elle m’a sucé.
Lentement d’abord, comme pour réveiller des souvenirs. Puis plus fort, plus profond, plus sale. Elle me baisait la queue avec sa bouche comme une affamée. Je l’ai laissée faire, les doigts dans ses cheveux, les reins qui poussaient un peu plus à chaque va-et-vient. Je sentais que j’allais venir. Elle aussi.
Quand c’est arrivé, elle ne s’est pas arrêtée. Elle a tout pris. Jusqu’à la dernière goutte. Avalée, proprement, comme une promesse tenue.
Elle s’est relevée, s’est recoiffée sans précipitation.
— "Je te tiens au courant. Il a hâte. Moi aussi."
Et elle est repartie.
Deux jours plus tard, je les croise sur un terrain de concours.
Elle portait ce pantalon blanc, celui des jours de compétition. Celui qui moulait parfaitement son cul de rêve. Chaque pas soulignait ses formes. Je n’arrivais pas à décrocher mes yeux d’elle.
À ses côtés, Aymeric. Grand, sûr de lui, les épaules larges sous un tee-shirt qui lui collait à la peau. Son torse dessinait les reliefs d’un mec qui prend soin de lui. Il dégageait cette assurance tranquille de ceux qui savent ce qu’ils valent.
Ils s’approchent. Il me tend la main avec un sourire franc.
— "Il paraît qu’il faut qu’on se cale un rendez-vous."
Je le regarde droit dans les yeux, sans détour.
— "Moi, j’attendais que vos nouvelles."
On cale ça pour le lendemain.
20h. Chez moi.

Le lendemain soir, ils arrivent à l’heure.
Elle passe la porte avec cette démarche féline, un legging noir qui épouse chaque courbe, et un débardeur moulant, sans soutien-gorge. Ses seins se dessinent clairement sous le tissu fin. Les tétons déjà un peu durs, excités. Elle sait ce qu’elle fait. Elle sait l’effet qu’elle produit.
Aymeric suit, calme, détendu. Il a changé de tee-shirt mais pas d’attitude. Il entre comme s’il avait toujours fait partie de l’endroit.
On se sert un verre en terrasse.
L’air est doux, la campagne autour de nous est calme. Pas un voisin à moins de 800 mètres. Le genre de soirée où tout est permis. On parle chevaux, concours, bagnoles. On rigole. On trinque. Rien ne presse.
Puis, d’un coup, elle pose son verre, se lève, et déclare :
— "Bon… Les gars. C’est bien de parler chevaux et bagnoles, mais je suis là pour me faire baiser, moi."
Silence.
Je la regarde, un sourire en coin.
— "Ma bite est à toi quand tu veux."
Elle s’approche. S’agenouille. Défait ma braguette sans un mot. Et elle commence.
Sa bouche, chaude, douce, affamée, glisse sur ma queue déjà raide. Ses yeux plantés dans les miens, elle me suce comme elle m’a toujours sucé : sans retenue, comme si elle retrouvait un jouet préféré.
Je bascule en arrière sur le canapé, la laisse faire quelques minutes, puis je me penche en avant. Je la fais se relever, baisse son legging, et lui bouffe la chatte, là, en plein air, sur la terrasse. Elle gémit tout de suite, fort. Le goût d’elle me revient, chaud, salé, humide. Je la tiens par les cuisses, je la dévore.
Aymeric s’approche à son tour.
Tranquille. Il ouvre sa braguette et sort sa queue.
Une putain de queue. Grosse, longue, lisse, impressionnante. Facilement 19 ou 20 cm. Elle la regarde comme une gamine devant un cadeau trop grand. Puis elle l’attrape à deux mains, l’embrasse, la lèche, tente de l’avaler. Elle peine, sa bouche n’arrive pas à tout prendre. Elle salive dessus, la travaille avec envie pendant que je continue à la manger.
Je me redresse. La retourne. La mets en levrette sur le canapé d’extérieur.
Et je la baise. Fort. Ma queue s’enfonce dans sa chatte déjà trempée.
Pendant que je la prends, elle garde la queue d’Aymeric dans sa bouche. Elle gémit, elle suce, elle serre.
Le tableau est parfait. Moi qui la baise comme un animal, lui qui regarde avec un sourire, sa queue dans la bouche de sa meuf.
On décide de continuer à l’intérieur.
Elle se lève, nue, tranquille, comme si elle était chez elle. Son corps est sublime, encore excité, humide entre les cuisses, les seins lourds, les tétons durs. Elle traverse le salon et file droit vers ma chambre, sans se retourner.
Avec Aymeric, on est encore à moitié à poil, le pantalon au genoux. On se regarde à peine, on le remonte à la va-vite et on la suit.
Dans la chambre, plus de retenue. On se fout à poil tous les deux. Deux mecs nus, bandés, face à une femme qui les connaît par cœur.
Elle s’agenouille entre nous, une main sur chaque queue. Elle nous suce à tour de rôle. L’un, puis l’autre. Elle alterne avec une précision d’orfèvre, prenant le temps de bien baver sur chacun, de les faire briller, de les sentir gonfler dans ses doigts, dans sa bouche.
Aymeric est au bord. Il le dit, souffle court. Et quelques secondes plus tard, il explose dans sa bouche. Il gémit fort, la main posée sur sa tête, la tenant doucement contre lui. L’autre main… vient se poser sur moi. Contre ma hanche. Puis sur mon cul. Il me tient fermement.
Je reste figé. Surpris.
Je ne m’y attendais pas. C’est la première fois qu’un homme me touche comme ça. J’ai un réflexe, je me recule légèrement, par automatisme.
Elle, elle a tout avalé. Elle se relève, s’approche, m’embrasse à pleine bouche. J’hésite un instant. Un goût salé, étrange. Et puis… l’excitation reprend le dessus. Je la veux. Là. Maintenant.
Je m’allonge sur le lit. Elle grimpe au-dessus de moi, à califourchon sur mon visage, ses cuisses de chaque côté de ma tête. Je plonge ma langue en elle. Elle est trempée, chaude, réactive. Je la lèche sans m’arrêter, elle ondule, gémit, se frotte contre ma bouche avec de plus en plus de violence.
Et puis je sens une main.
Une main plus large. Plus forte. Ce n’est pas elle.
Elle se pose sur ma cuisse, remonte lentement vers ma queue, la saisit. Me branle. Doucement d’abord, puis avec plus de rythme. C’est Aymeric.
Je suis perdu. Mon cerveau hésite. Mon corps, lui, ne refuse rien. J’ai jamais été touché par un mec. Mais là… j’me laisse faire. C’est trop bon. Je bouffe sa meuf pendant qu’il me branle. Je ne sais plus qui je suis, mais je m’en fous. Je suis ailleurs.
Hélène jouit violemment, dans un cri, son jus coule sur mon visage, mes lèvres, mon menton. Je suis trempé, son goût partout. Elle s’écroule sur moi, à bout de souffle, puis glisse lentement le long de mon corps. Sa bouche trace une ligne sur mon torse, mon ventre… jusqu’à ma queue que son mec vient de lâcher.
Et là, sans attendre, elle s’empale.
Sa chatte avale ma queue trempée, chaude, affamée. Je la baise fort, les mains sur ses hanches. Elle rebondit sur moi, en rythme. Et pendant que je la prends comme un fou, elle suce Aymeric, à genoux au-dessus de nous, sa queue déjà bien dure de nouveau.
Je suis à bout. Mon souffle est court, mes reins claquent encore sous elle, et je sens la jouissance monter. Elle le sent, elle me connaît.
Juste avant que je vienne, elle se retire de ma queue, glisse lentement vers le bas de mon ventre, attrape ma bite chaude et tendue, et commence à me sucer.
Pendant ce temps, Aymeric s’approche. Il la prend en levrette, tout en douceur. Sa grosse queue s’enfonce dans sa chatte trempée. Elle gémit, la bouche pleine de moi. Elle ondule, savoure chaque centimètre. Il la baise lentement au début, puis plus vite. Et en quelques minutes, il grogne, se tend, et jouit en elle. Sa respiration saccadée, ses mains agrippées à ses hanches. Il reste un instant en elle, puis se retire. Elle s’effondre entre nous, épuisée, tremblante.
On reste là. En vrac. En sueur.
On fait une pause.
Tout a été trop intense, trop fort, trop bon.
Vingt, trente minutes passent. On discute à peine, les corps étendus, encore chauds.
Puis, doucement, l’envie revient. Le feu sous la peau.
Elle le sent avant nous.
Elle s’approche d’Aymeric, allongé sur le dos. Commence à lui lécher la queue doucement. Elle la fait revenir à la vie avec ses lèvres et sa langue. Puis elle me fait signe. Je m’allonge à côté. Elle alterne, passe de l’un à l’autre. Deux queues dans sa bouche, deux mecs bandés, prêts à la reprendre.
Mais au bout d’un moment, elle s’arrête, souffle, haletante.
— "J’en peux plus les gars... faut que j’aille boire."
Elle se lève et nous laisse là. Tous les deux. Nus. Raides.
Je regarde Aymeric. Il me lance un regard un peu gêné.
— "Désolé pour tout à l’heure… j’avais envie de tester. Toucher une autre bite que la mienne."
Je le fixe un moment. Puis je lui demande :
— "Et t’as aimé ?"
Il me regarde droit dans les yeux, sans détour.
— "Ouais. J’aurais même bien été plus loin."
Je reste silencieux. J’sais pas quoi répondre. Une partie de moi est curieuse. L’autre, prudente. J’me laisse traverser par le doute, le trouble. Mais mon corps, lui, est toujours en feu.
Elle revient, un verre à la main, nue, le regard brûlant.
— "Ben, prends-moi le cul. Chéri, tiens-toi prêt à me prendre la chatte."
Elle se tourne, me tourne le dos, s’agenouille au bord du lit. Sa main vient saisir ma queue, encore bien dure. Et doucement, elle la guide vers son anus.
Elle a l’habitude. C’est fluide. Ma queue glisse en elle sans résistance. Elle pousse un soupir, se cambre. Moi, je gémis. Sa chaleur, sa façon de se contracter, c’est démentiel.
Aymeric se branle en nous regardant, sa grosse queue luisante dans sa main.
Elle gémit de plus en plus fort, puis crie :
— "Viens chéri. Je suis prête !"
Il s’approche. Elle s’arrête un instant, se tend. Et je la sens se contracter à fond autour de moi. Puis je sens ses couilles frapper les miennes. La double pénétration est là. Réelle. Son cul serre ma queue comme un étau. La chatte prend celle de son mec.
On est tous les deux en elle. Je sens chaque coup de reins d’Aymeric me secouer. Ses couilles cognent les miennes. La sensation est folle. Nouvelle. Surprenante. Terriblement excitante.
Elle hurle. Elle transpire, elle tremble. Elle pleure de plaisir.
Elle en peut plus. On la baise en cadence, plus fort, plus vite.
Et puis je craque. Je viens dans son cul. Fort. Je me tends, je grogne, je décharge tout. Elle ne s’arrête pas, continue à jouir en même temps. Aymeric, lui, se retire juste après.
Et là… sans prévenir, il lui écarte les fesses, baisse la tête, et commence à lécher son cul. Celui que je viens de remplir.
Je reste abasourdi.
Je le regarde faire. Aymeric, penché sur le cul de sa meuf, en train de lécher ce que je viens de remplir. Il y va franchement, langue profonde, bruit humide. Il boit tout, sans gêne, sans retenue. Et moi… je reste figé.
Jamais je n’aurais pu faire ça.
Jamais je n’aurais imaginé le voir faire ça.
Et pourtant, ce que je ressens, là, maintenant, c’est pas du dégoût. C’est de l’excitation pure.
Après quelques minutes, il se redresse. Sa queue est raide, énorme, encore plus luisante qu’avant.
Il lui attrape les hanches, la remet en levrette, et la prend par le cul. Sa bite entre en elle avec force, avec envie. Elle hurle. Il la pénètre à fond, d’un coup.
Et moi… je regarde. Hypnotisé. Et je pense à ce que contient son cul à ce moment-là. Mon sperme. Et maintenant sa queue.
J’ai la queue qui remonte comme un cheval en rut. Dur, violemment dur.
Je les regarde baiser. Elle jouit fort. En jet. Un orgasme brutal, sans filtre. Aymeric, lui, est à bout de souffle, les muscles tendus, les cuisses tremblantes.
Moi aussi.
On s’effondre tous les trois sur le lit, les corps emmêlés, poisseux de sueur, de foutre, de plaisir.
On ne parle pas. On respire. On récupère. Longtemps.
Puis je dis calmement :
— "On va à la douche ?"
Elle lève les yeux, épuisée, un sourire flou aux lèvres.
— "Allez-y… moi je tiens plus debout. Vous m’avez cassé, les mecs."
Je me lève, le corps lourd mais l’esprit encore en feu.
Je sors de la chambre, elle me rattrape dans le couloir, nue, débraillée, magnifique. Elle m’embrasse longuement, tendrement. Un baiser de remerciement, de complicité, presque amoureux.
Je file à la salle de bain.
J’ouvre l’eau, laisse couler un filet tiède dans ma petite douche à l’italienne.
Je commence à me laver. Les muscles encore tendus. Le crâne encore flou. Le sexe calmé.
Aymeric entre. Nus tous les deux.
Pas de gêne. Comme deux potes après une grosse séance à la salle. Il me parle de son cheval, je lui parle de ma nouvelle bagnole. On discute de travaux, de carrelage, de projets.
L’eau coule sur nos corps. La fatigue tombe. La discussion flotte. 5 à 10 minutes passent, naturelles.
Puis, alors qu’on est dos à dos, je commence à me savonner.
Je sens ses fesses musclées, humides, contre les miennes. Mon sexe se redresse aussitôt. Un réflexe.
Je me ressaisis. Me concentre sur mes gestes. Mais l’excitation ne redescend pas.
Je le sens bouger. Son bras passe au-dessus de moi pour attraper le gel douche. Et là… je sens sa queue dure et lisse glisser contre mon cul.
Je bande encore. Fort.
Je me retourne.
Nos regards se croisent.
Ma queue est là, droite, gonflée.
La sienne aussi, fièrement dressée.
Il pose sa main sur ma bite. Doucement. Commence un va-et-vient lent, maîtrisé.
Je pose mes mains sur son torse. Il est sculpté, carré, ferme. Je sens son souffle.
Il descend ses mains sur mes fesses, me les serre, les caresse. J’en fais autant.
Il se rapproche. Son visage vient à quelques centimètres du mien. Il tente de m’embrasser.
Je tourne légèrement la tête.
— "Non."
Il s’arrête aussitôt.
Ne dit rien.
Ne bouge plus.
Alors, doucement, je tends la main…
Et je la pose sur sa queue.
Comme lui, quelques instants plus tôt, c’était la première fois que ma main entrait en contact avec une autre queue que la mienne.
Je ne savais pas si toutes les queues étaient comme ça… mais la sienne, là, dans ma paume, je la trouvais incroyablement douce. Une peau tendue, chaude, parfaitement lisse. Et elle me paraissait encore plus énorme maintenant que je la touchais. Raide. Dure. Grosse.
Je laisse mes doigts descendre jusqu’à ses couilles. Volumineuses, pleines, pourtant déjà vidées plusieurs fois ce soir.
Elles pendent lourdes, comme prêtes à recommencer. Ça me fascine.
Et là, il remet sa main sur la mienne. Ferme. Il me branle fort, avec ma propre main.
C’est direct. Brut. Et à la fois très bien fait.
Je suis gêné. Clairement. Mais… je ne recule pas. Il y a un truc puissant là-dedans. Un mélange de contrôle et de plaisir.
Il me regarde, plus bas, plus calme. Puis me demande, la voix presque hésitante :
— "Je peux te sucer ? J’ai envie de voir ce que ça fait."
Je suis figé.
Je ne réponds rien. Je suis trop gêné pour parler. Mais je hoche la tête. Légèrement.
Et ça suffit.
Il s’agenouille sous la douche. Attrape ma bite avec une assurance douce. Commence par me lécher les couilles, lentement. Puis remonte sa langue le long de ma verge.
Je frissonne.
Il joue avec mon gland, enroule sa langue autour, comme s’il le goûtait, comme s’il l’apprenait. Puis il l’avale. Pas d’un coup. Progressivement.
Et là, il me suce comme un pro. Des va-et-vient profonds, précis. Il y met tout ce qu’il a.
Je ne pensais jamais vivre ça.
Et je ne pensais jamais aimer ça.
Mais à ce moment précis, les yeux fermés, l’eau ruisselant sur mes épaules, je me laisse faire.
Puis j’entends des pas.
La porte de la douche s’ouvre.
Hélène arrive.
Aymeric se redresse d’un coup, naturellement, sans affolement.
Ma queue descend aussitôt, réflexe incontrôlable. La sienne, non. Elle reste là, dresse fièrement, énorme.
Hélène nous voit. Sourit. Ne semble pas du tout surprise.
Elle s’approche, nue, encore un peu rouge, le corps marqué par le plaisir.
— "Bah alors mon amant t’excite ?"
Elle rit doucement. Puis ajoute, plus directe :
— "Demande-lui de te faire ce que je t’ai fait l’autre jour. Il encule parfaitement."
Et là, tout s’éclaire.
Je la regarde. Je comprends. Elle l’a déjà godé.
Elle lui a pris le cul. Et il a aimé ça.
Et maintenant… il a envie d’aller plus loin.
Tout le monde propre, la peau encore chaude de la douche, je propose :
— "Allez, on va manger un morceau. On mange pour reprendre des forces… et reprendre la partie. Ta petite chatte n’a pas fini de souffrir ce soir."
On rigole tous les trois.
On grignote ce qui traîne dans la cuisine : quelques restes, un peu de pain, du fromage, des tomates. Rien de bien sérieux, juste de quoi caler l’estomac.
On est toujours à poil, détendus, comme une bande de potes après une soirée trop arrosée… sauf que la tension sexuelle plane à chaque regard.
Mes yeux ne quittent pas les seins d’Hélène. Je les adore. Leur forme, leur mouvement, leur peau tendue. Et sa chatte… impossible de ne pas y jeter un œil. Rasée de près, encore un peu rouge, légèrement gonflée.
Parfois, je jette un coup d’œil sur la queue d’Aymeric. Même au repos, elle reste impressionnante. Épaisse, lourde. Prête à repartir à tout moment.
Hélène, un sourire aux lèvres, lâche d’un ton léger :
— "Bon… on va baiser les gars. Demain j’ai concours, faut qu’on aille se coucher après."
Elle rigole. Moi aussi.
Et sans prévenir, je me lève d’un bond, je la chope dans mes bras comme un voleur qui kidnappe sa proie.
Elle rit encore plus, passe ses bras autour de mon cou, s’accroche à moi avec ses jambes. Ses cuisses m’enlacent.
Il ne m’en faut pas plus pour bander.
Je sens sa chatte frotter contre mon ventre. Elle descend un peu, je sens son sexe effleurer le bout de mon gland tendu. Je craque.
Je la plaque doucement contre le mur du couloir. Elle s’y accroche. Je m’ajuste, je vise bien. Et je la pénètre.
D’un coup.
— "Attache ta ceinture", je lui souffle à l’oreille.
Elle éclate de rire en ondulant contre moi, les bras accrochés à mes épaules.
Aymeric, derrière, nous suit, hilare. Il regarde la scène avec amusement et excitation.
Je marche, lentement, avec ma bite profondément ancrée en elle, et elle qui se cambre à chaque pas. On atteint le salon, je la dépose sur le fauteuil.
Je m’étale par terre, nu, bien à plat, la queue toujours dure. Je lui fais comprendre d’un simple geste qu’il est temps de me sucer.
Elle descend, commence à me prendre dans sa bouche comme elle sait si bien le faire. Aymeric reste debout, à quelques centimètres, silencieux, dur comme un roc.
Et là, elle le regarde, lui fait signe :
— "Viens nous rejoindre."
Je pense qu’elle veut le sucer, le prendre avec moi. Mais non.
Elle l’invite à venir me sucer.
Il ne se fait pas prier.
Il s’agenouille, attrape ma queue à son tour, pose ses lèvres, commence à m’explorer, doucement.
Pendant plusieurs minutes, ils se partagent ma bite.
Entre la douceur experte d’Hélène, qui connaît chaque nerf de mon sexe, et l’inexpérience touchante d’Aymeric, c’est perturbant… mais parfaitement jouissif.
J’ai du mal à croire ce que je vis, mais je ne veux rien arrêter. Je suis entre deux plaisirs, deux énergies, deux rythmes. Et j’adore ça.
Hélène se redresse, me fixe, les yeux brillants, le sourire sale.
— "Une petite sodo, Ben ?"
Je réponds aussitôt, sans réfléchir :
— "Oui… emmène ton cul, ma belle."
Elle se redresse, me regarde, l’air joueur, les lèvres brillantes.
— "Mon cul, tu vas le bouffer… mais celui de mon mec, ça va te rendre dingue."
Je reste un instant figé.
Je comprends ce qu’elle veut dire. Elle veut que je le baise. Lui.
Et ça me chamboule.
J’en ai pas envie.
Enfin… je crois. Parce que dans le fond, cette soirée me rend fou. Tout est flou. Troublant. Brûlant. Et j’ai pas envie de passer pour un mec coincé, pas maintenant, pas avec eux.
Aymeric est là, debout, la queue raide, bien droite. Il me regarde, sans détour, et me lâche tranquillement :
— "J’avais jamais sucé avant… mais j’ai déjà pris des trucs dans le cul. Jamais de bite, par contre."
Je reste sur le cul. Jamais j’avais imaginé vivre ça. Jamais j’avais même pensé à enculer un mec.
Je me suis toujours senti 100 % attiré par les femmes. Mais là… cette soirée me fait péter tous les cadres.
Hélène nous regarde, amusée. Elle prend les devants.
Nous attire tous les deux vers la chambre, les corps encore brillants de plaisir.
Elle installe Aymeric à quatre pattes sur le lit. S’agenouille derrière lui. Et commence à lui bouffer le cul.
Langue précise, mouvements lents. Il gémit. Fort. Il aime ça, c’est évident. Il cambre, il s’ouvre.
Elle se tourne vers moi, en souriant :
— "Je te prépare le terrain, Ben."
Je m’allonge sur le lit, un peu à l’écart.
Et pendant qu’elle le travaille, lui se penche… et recommence à me sucer.
C’est doux, plus assuré qu’avant. Il me prend avec plus d’aisance. Et pendant ce temps, il gémit, parce qu’elle le dévore.
Quelques minutes passent comme ça.
Puis elle se relève, s’essuie la bouche.
— "C’est prêt."
Il se tourne, vient s’installer à l’envers sur moi, à califourchon, son dos contre mon torse. Hélène vient se placer entre nous, attrape ma queue, la guide doucement. Elle vise, pousse lentement.
C’est serré. Très serré.
Il grimace, mais il ne recule pas. Il souffle :
— "C’est bon."
Je sens ma queue s’enfoncer entièrement en lui, lentement. Une chaleur différente. Une pression incroyable.
Et lui… s’active tout seul, monte, descend, s’empale sur moi avec une envie que je n’aurais jamais imaginée.
Moi, je suis au bord de l’explosion. Et en même temps, complètement ailleurs.
Hélène grimpe sur moi, à califourchon sur ma tête. Sa chatte contre ma bouche.
Je la bouffe pendant que je baise son mec.
La scène est dingue. Surréaliste. Et pourtant si réelle.
Mes mains se baladent sur ses cuisses, ses fesses. Et puis, presque sans réfléchir, je les glisse plus bas. Je les pose sur les couilles d’Aymeric.
Elles sont pleines, tendues, lourdes.
Je commence à le branler doucement pendant qu’il continue de rebondir sur ma queue.
Les minutes passent.
Il gémit. Fort.
Elle aussi.
Je suis perdu dans le plaisir.
Et puis, d’un coup, il jouit dans ma main.
Un long jet chaud, puissant, salissant.
Et contre toute attente… je ne suis pas écoeuré. Ça m’excite. Vraiment.
Hélène crie, se cambre. Un jet puissant me frappe le visage. Elle jouit à son tour, violemment.
Et moi, je sens que je viens. Je le dis, la voix rauque.
— "J’vais venir…"
Il se redresse aussitôt, glisse hors de moi, se penche. Sa bouche attrape ma queue.
Il me pompe. Fort. Profond.
Et je jouis dans sa bouche, en gémissant, incapable de me retenir.
Il avale tout.
On vient de vivre une scène folle.
J’ai baisé mon plan cul et son mec. Et plus encore, j’ai aimé ça.
Je ne sais pas si c’est le fait de la prendre devant lui, ou de le prendre lui, ou peut-être les deux à la fois…
Peut-être que c’est aussi le fait que ce mec était sacrément canon. Mais au fond, qu’importe : j’ai aimé. Et je ne le regrette pas une seconde.
Après une dernière douche plus sage, chacun à son rythme, les deux amoureux se rhabillent, rient doucement, fatigués, heureux.
On passe devant la maison. Je les accompagne jusqu’à la voiture. Le ciel est noir, l’air est doux. L’odeur de la nuit et du sexe flotte encore autour de nous.
Hélène se tourne vers moi, m’attrape par la nuque, et m’embrasse à pleine bouche. Un baiser de gratitude, de chaleur, de lien.
Puis elle souffle, les yeux brillants :
— "J’ai passé une soirée incroyable. J’en veux d’autres comme ça. Et d’autres… juste avec toi."
Aymeric hoche la tête, sourire complice.
Il s’approche, tend la main, mais au dernier moment me serre dans ses bras.
— "Doublement merci. Tu peux la baiser quand tu veux. Mais je veux le savoir… et participer de temps en temps."
Il rigole.
— "Je comprends mieux pourquoi elle aime ta queue, maintenant."
Je lui réponds avec un sourire moqueur.
Et pour la blague, je lui mets la main au paquet, à travers son jogging. Sa verge molle, ses couilles lourdes sous mes doigts.
— "Elle est sympa aussi, ta queue."
Il rit fort. Hélène lève les yeux au ciel, faussement exaspérée :
— "Non, les gars… on ne remet pas ça."
On éclate tous de rire.
— "Je sais même pas comment je vais poser mon cul sur ma selle demain en concours… Vous me l’avez détruit."
Elle grimace en riant.
— "Là, il faut que j’aille dormir."
Je m’apprête à faire la bise à Aymeric, un geste naturel, amical…
Mais lui m’attrape par le cou et m’embrasse goulument, sans prévenir.
Je ne réponds pas au baiser.
Mais je ne le repousse pas non plus. Je me laisse faire, les lèvres entrouvertes, le souffle suspendu.
Ma main glisse une dernière fois contre sa queue, que je sens revenir à la vie sous le tissu.
Et puis…
C’est fini.
Ils montent en voiture, un dernier regard, un dernier sourire.
Moi, je reste là, devant la maison, vide d’énergie, vidé de mes doutes, plein de souvenirs.
Et une certitude :
Je vais les revoir bientôt.
Dès le lendemain, en concours.
Le lendemain, en début d’après-midi, je prends la route en direction du Pôle équestre. Le concours a lieu chez un ami à moi, propriétaire des lieux. L’ambiance est bonne, le soleil tape doucement.
Mais moi, je suis encore fatigué des folies de la veille. J’ai mal dormi, les jambes un peu lourdes, la tête ailleurs. Mais avec un sourire que je n’arrive pas à effacer.
J’aperçois Hélène à cheval, sur la piste d’échauffement. Elle trotte tranquillement, concentrée, Aymeric à pied, à ses côtés, en coach bienveillant. Elle le regarde, sourit, détendue.
Je m’approche. Elle me voit, s’avance doucement vers le bord de la piste, toujours à cheval.
Je passe la barrière, m’approche d’elle. Elle penche la tête, je lui fais la bise. Elle sent bon. Toujours. Ce parfum léger, reconnaissable entre mille.
— "Ça va ?" je lui demande, un peu complice.
Elle éclate de rire, assez fort pour que ses copines entendent à quelques mètres.
— "J’ai mal au cul comme si j’en avais pris deux hier soir !"
Je souris, un peu surpris, mais amusé.
— "T’es trop gourmande… je te l’ai toujours dit."
Elle rigole, Aymeric approche en souriant.
Il me fait la bise comme si tout était normal. En fait, tout est devenu normal.
On reste tous les deux au bord de la piste, les yeux fixés sur notre cul préféré, qui chauffe sa monture avec élégance.
Autour de nous, des cavaliers, des cris, des sabots. Mais plus personne à portée de voix.
Alors on parle.
On reparle de la veille. De cette nuit irréelle. De ce qu’on a fait, de ce qu’on a ressenti. De ce qu’on pensait ne jamais vivre. On rigole, on se dit que c’était génial. Et surtout… qu’on a envie de recommencer. D’une manière ou d’une autre.
Hélène entre en piste. Un parcours propre, net, efficace.
Sans faute. Elle décroche une deuxième place. La remise des prix a lieu un peu plus tard, ses copines la félicitent, lui sautent dans les bras, lui disent qu’elle doit payer un verre pour fêter ça.
Aymeric lui fait un clin d’œil.
— "Vas-y, bois un verre. On s’occupe du cheval."
Elle nous confie les rênes, au sens propre comme au figuré.
On marche doucement vers le camion, tous les deux, le cheval derrière. On discute. Pas de cul cette fois. Des selles, du bit, de l’alimentation, des projets.
Deux potes qui rigolent, qui bossent, qui s’entendent bien.
Et presque… on en oublierait que quelques semaines avant, il apprenait que je baisais sa meuf.
Le cheval est rentré, brossé, détendu.
Je décide de partir. Je regarde Aymeric.
— "Tu diras au revoir à Hélène pour moi ?"
— "Ouais, t’inquiète."
Je rentre chez moi.
Je me pose. Enfin. Un peu de calme, les pensées encore pleines d’images de la veille.
Et puis, j’entends un véhicule arriver.
Le bruit est familier.
Je sors.
C’est le camion d’Hélène.
Et au volant… c’est Aymeric.
Il descend, tranquille, l’air détendu.
— "J’ai dit à Hélène de nous rejoindre chez toi pour l’apéro. Ça te gêne pas, au moins ?"
Il me regarde avec un demi-sourire. Celui d’un mec qui sait très bien ce qu’il fait.
Moi, je souris aussi.
— "T’es chez toi ici, maintenant, non ?"
On commence l’apéro tranquillement, posés sur la terrasse. La lumière tombe doucement, l’air est doux, silencieux.
Je le regarde, un sourire en coin.
— "Par contre, ce soir… ça durera pas comme hier. Je me lève tôt demain. J’ai rendez-vous à Paris, trois heures de route."
Il me répond du tac au tac, avec ce sourire d’enfant qui prépare une bêtise :
— "T’en fais pas… On se suce, quand Hélène arrive, on la baise, et on te laisse tranquille."
Je rigole.
— "Programme efficace… Tu prends de l’assurance, dis donc."
Il hausse les épaules, faussement modeste, les yeux brillants. Et avant même que j’aie le temps de réagir, il a déjà sa queue demi-molle en main.
Je le regarde. Je souris.
Je pose ma main sur sa queue.
Chaleureuse. Lourde.
Et je me penche.
Je la prends doucement en bouche. Elle grandit très vite entre mes lèvres, durcit en moi, gonfle.
Je le suce avec envie, sans retenue.
Je le bouffe. Je lui lèche les couilles lentement, les aspire, les embrasse. Il gémit. Fort.
— "Putain j’aime ça… Je tiendrai pas longtemps", souffle-t-il.
Il me prévient. Je le sens monter. Je le finis à la main, fermement, bien calé.
Il jouit en silence, les yeux fermés, le souffle saccadé. Sa main sur mon épaule.
Puis c’est son tour.
Il se penche, me prend dans sa bouche. Appliqué. Franc. Il veut bien faire, et il y arrive.
Au bout d’un moment, il relève la tête, son regard accroché au mien.
— "Je veux que tu me baises."
Je ne dis rien. Je hoche la tête.
Il se retourne, se met à quatre pattes sur le canapé.
Je vais chercher le flacon de lubrifiant qu’on utilise avec Hélène. Je m’approche. Je prépare.
Et je le prends.
Sans ménagement.
Un coup sec, profond. Il crie, mais ne bouge pas. Il l’encaisse. Il l’aime.
Je le lime fort. Je le tiens par les hanches, puis je descends mes mains. J’attrape ses couilles, que je serre légèrement pendant que je le prends.
Il gémit, me parle, se cambre.
Je sens ma jouissance venir, rapide, puissante.
— "Tu veux que je vienne où ?"
— "Sur mon cul."
Je me retire à la dernière seconde, gicle sur ses fesses, en longs jets chauds et denses.
On reste là, un instant, le souffle court. Puis on se lève.
On se rhabille. Tranquillement.
Il regarde son téléphone.
— "C’est Hélène. Elle vient pas. Elle est crevée. Pas en forme."
Je hoche la tête. Aucun problème.
Il termine son verre. S’approche.
On se fait la bise, version spéciale.
Une main sur la joue, l’autre sur nos bites. Un dernier contact entre hommes qui ont partagé plus que prévu.
Il me regarde, un sourire calme aux lèvres.
— "À bientôt."
Et il part.
Je reste là. Seul. Mais pas vide.
Plein d’images. De sensations. De choses à penser.

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