Léa, la fille de mes voisins, plus fille que jamais

- Par l'auteur HDS Antoine-LRH -
Auteur homme.
  • • 7 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Antoine-LRH ont reçu un total de 37 208 visites.
Récit libertin : Léa, la fille de mes voisins, plus fille que jamais Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 9 929 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Léa, la fille de mes voisins, plus fille que jamais
Je m'appelle Ben. Cette histoire remonte à une dizaine d'années. J'avais alors 27 ans, jeune chef d'entreprise, en couple depuis deux ans avec une fille que j'avais rencontrée peu après une rupture longue et douloureuse. On avait décidé de s'installer ensemble, de changer d'air, de nous construire un cocon à nous, dans ma ville, à moi.

Fini la campagne où elle vivait, je l'avais rapatriée ici, en ville. On a trouvé une maison parfaite, nichée dans une petite cité calme et bourgeoise, avec des allées fleuries, des voisins discrets, et surtout ce sentiment d'intimité feutrée que je recherchais. Autour de nous, des familles tranquilles, des professions libérales, des patrons de PME, comme nous. Une vraie petite bulle.

À gauche, un couple de bobos avec un gamin. Sympa, mais pas franchement notre style. À droite, un couple plus classique avec deux enfants : un garçon et une fille de 20. Quand on a emménagé, c'était en juillet, et leur grande, Léa, n'était pas là. Partie en vacances entre copines.

On s'est installés doucement, pris nos marques, puis nous aussi, on est partis. La Corse, le soleil, les plages… mais au fond, j'étais pressé de rentrer. J'aimais déjà cette maison. Et, sans le savoir encore, j'étais surtout pressé de découvrir ce qu'elle allait m'offrir.

On est revenus fin août. En arrivant devant la maison, je coupe le moteur et sors de la voiture… et là, mon regard est littéralement aspiré. Juste en face, une jeune femme descend de voiture. Elle est de dos. Un legging crème ultra moulant épouse chaque centimètre carré de ses fesses. C'est pas un cul, c'est une œuvre d'art. Haut perché, parfaitement galbé, ferme… hypnotique.

Je reste figé. Mes yeux n'en décrochent pas. Je n'ai même pas le temps de voir son visage. J'ai déjà le souffle court.

Ma copine me grille direct :

— Vas-y, fais-toi plaisir, lâche-t-elle, un sourire en coin.

Elle ajoute, presque admirative :

— Bon, en même temps… elle a un super beau cul.

Elle ne croit pas si bien dire.

On décharge les valises. Et quelques minutes plus tard, je la revois, cette silhouette. Cette fois-ci, j'ai la confirmation. C'est Léa, la fille des voisins. Dix-neuf ans. Ma voisine. Et ce petit cul parfait… il va vivre juste là, à vingt mètres de mon jardin. Je suis aux anges.

Une fois nos affaires rangées, je m'installe en terrasse avec un café. Le soleil de fin d'après-midi caresse les façades blanches. La mère de Léa s'approche, engage la conversation. Elle est gentille, vraiment. Mais je lutte pour ne pas être distrait. Elle me parle des vacances, me demande si on s'est bien reposés.

Je lui retourne la question :

— Et vous, heureuse de retrouver les enfants ?

Et là… comme un ralenti au cinéma. Léa s'approche. Sa mère me la présente officiellement.

Et je me prends une claque.

Elle est aussi belle de face que de dos. Un vrai bijou. De grands yeux bleus en amande, éclatants. Un nez légèrement retroussé, espiègle. Une bouche dessinée comme au pinceau, pleine, presque pulpeuse. Ses cheveux bruns, lisses, encadrent son visage d'ange.

Et puis ses seins. Mon regard les devine sous son tee-shirt blanc, sans soutien-gorge. Deux petites pointes parfaites qui affleurent le coton. Pas trop gros, pas trop petits. Juste ce qu'il faut pour faire monter une chaleur sourde dans le bas-ventre.

Elle est timide. Elle rougit en me parlant, baisse parfois les yeux. Un mélange d'innocence et de sensualité à l'état brut. J'ai le cœur qui cogne. Le sexe en alerte. Chaque seconde me donne envie de plus.

Elles repartent. Ma tasse est vide. Mon esprit, lui, bouillonne. Je la suis des yeux jusqu'à ce qu'elle disparaisse derrière la haie.

Son cul reste imprimé dans ma rétine.


Et je sais déjà que ce n'est que le début.

Les semaines ont filé, doucement. Le rythme de la rentrée, le boulot, les dîners avec des amis, les discussions creuses avec les voisins… Tout aurait pu rentrer dans un train-train calme, lisse. Mais il y avait elle. Léa.

À chaque fois que je la croisais, que ce soit sur le pas de sa porte ou simplement à travers la fenêtre de la cuisine, mon corps se tendait. Ce cul. Mon Dieu, ce cul. Il me rendait dingue. Toujours ce legging, ou parfois un short, ou ce simple jogging qui laissait parfaitement dessiner la cambrure de ses reins, le galbe rebondi de ses fesses, le rebond délicat de ses seins sous un t-shirt trop léger.

Je la matais comme un fou. En douce, en silence. Et puis la nuit, je la fantasmais. Je me l'imaginais dans mon lit, nue, offerte, timide au premier abord, mais sauvage dès qu'elle sentait une queue en elle. J'en étais convaincu : les plus réservées sont souvent les plus déchaînées. Et elle, dans son genre angélique, elle devait être une salope magnifique, du genre à te supplier qu'on la prenne plus fort encore.

Et puis, ce vendredi-là, je croise mes voisins. Ils partaient en week-end. Leur fils chargeait des valises dans le coffre pendant que le père vérifiait les pneus. Un échange de banalités, et je propose, par réflexe :

— Si vous voulez, je peux jeter un œil à la maison pendant votre absence.

La mère me sourit :

— Oh c'est gentil, mais Léa reste là ce week-end. Elle a des devoirs, elle préfère rester tranquille.

J'acquiesce avec un sourire poli. Mais à l'intérieur, un frisson me parcourt l'échine. Léa. Seule. Juste à côté.

Ce week-end-là, mi-septembre, il faisait chaud. Étonnamment chaud. L'été s'accrochait comme une dernière caresse moite. Ma compagne, elle, décidait de partir à la mer, dans notre maison secondaire. Avec Clémence, sa meilleure amie. Une petite blonde fine, sensuelle, pleine de peps… que j'aurais volontiers baisée aussi, je l'avoue. L'idée de la voir en maillot de bain me faisait déjà bander. Et j'étais frustré de devoir rester.

Mais j'avais un rendez-vous important dimanche, je ne pouvais pas partir. Elles prirent la route. Et moi, je restai seul.

Samedi, je traîne dans le jardin. Torse nu, en short. Je taille quelques branches, remets de l'ordre dans les massifs, sans réelle motivation. J'attendais quelque chose. Ou plutôt quelqu'une.

Et comme un appel silencieux exaucé, je l'aperçois. Léa. Dans son jardin, de l'autre côté du grillage. Penchée. En train de jardiner. Un short en jean qui lui sciait les cuisses, dévoilant ses jambes dorées par l'été. Un débardeur léger. Elle ne me voit pas. Ou fait mine.

Je fais semblant de ne pas la voir non plus. Je m'approche du grillage. Prends un sécateur. Coupe quelques herbes sèches sans conviction. Mais elle, elle se rapproche. Petit à petit, elle désherbe elle aussi, à quelques pas du grillage.

Elle est là. À peine un mètre cinquante. Penchée. Offrant une vue directe sur ce cul qui me hante. Ma queue durcit dans mon short. J'avance un peu. Je me racle la gorge.

— Salut Léa. Tu vas bien ?

Elle se redresse lentement. Se tourne vers moi. Un petit sourire timide. Toujours ce regard azur qui vous perce. Une mèche brune collée à sa tempe.

— Oui… ça va, et toi ?

Sa voix est douce. Légère. Presque enfantine. Mais son corps, lui, est celui d'une femme. Une femme à baiser, sans détour.

Je m'appuie contre le grillage. Mes yeux plongent dans les siens, mais s'échappent déjà sur sa poitrine, visible sous la fine couche de tissu. Je devine ses tétons, légèrement durcis. Peut-être par la chaleur. Peut-être par autre chose.

— Tu fais un peu de jardinage ? dis-je, en me forçant à rester naturel.

Elle hoche la tête.

— Oui… Je m'ennuie un peu, alors je m'occupe.
— T'as bien raison. Tes parents sont partis pour le week-end ?
— Oui. Ils reviennent dimanche soir.

Je hoche la tête. Une seconde de silence. Le vent est chaud. Il soulève doucement l'odeur de la terre et celle, plus intime, plus animale, de la tension.

Je suis dur comme jamais. Mon esprit se remplit d'images d'elle, nue, haletante, offerte contre ce même grillage. Mais je reste calme. Patient. J'attends que le feu monte chez elle aussi.

Et c'est là que tout commence à vraiment changer.

On discute quelques minutes encore, elle et moi, séparés par ce simple grillage. Des banalités, quelques sourires, des regards un peu plus appuyés, des silences qui disent bien plus que nos mots. Et puis elle retourne à son jardin. Moi, je reste là, debout, les mains pleines de terre et la queue en feu.

À peine rentré à l'intérieur, je ne tiens plus. Le corps tendu, l'esprit habité par ses formes, par cette proximité, par l'image de sa peau dorée, de ses seins qui tressautent sous le tissu… Ma bite est déjà raide. Je me pose sur le lit, baisse mon short, attrape le lubrifiant dans le tiroir de la table de nuit.

Le moindre souvenir d'elle suffit : ses cuisses, ses fesses moulées dans ce short, son souffle timide, ses yeux d'un bleu brûlant… Je me branle, ferme les yeux, imagine ses doigts à elle autour de ma queue, sa bouche qui descend lentement… Je gémis bas. Je retiens ma respiration. Et je jouis. Fort. Un jet épais, brûlant. Je suis secoué, vidé, presque groggy. Mais soulagé.

Un peu plus tard, vers 19h30, je m'installe en terrasse. La chaleur du jour s'estompe, la lumière devient douce. J'ai préparé quelques gâteaux apéro, un verre bien frais de Coca, de la musique tranquille. Je suis bien. Torse nu, jambes allongées, les sens encore éveillés, mais plus calmes.

Et puis, au bout d'une vingtaine de minutes, un cri. Aigu. Vif. Ça vient de chez les voisins. Immédiatement, je tends l'oreille. Plus rien. Je me redresse, j'attends. Silence. Je commence à me rasseoir quand j'entends la sonnette du portillon. Je me lève, intrigué.

C'est Léa.

Elle a l'air totalement paniquée. Elle ouvre le portillon, court vers moi sans réfléchir, comme une enfant cherchant refuge. Je referme derrière elle. Elle parle vite, essoufflée, les yeux écarquillés :

— Y'a une souris… chez moi… une grosse ! J'ai horreur de ça… j'suis désolée, mais j'ai vraiment trop peur !

La panique se lit sur son visage. Elle tremble. Moi, je suis figé. Parce que les souris, c'est aussi ma phobie. Mais merde… elle est là, contre moi, fébrile, presque collée. Et je sens sa peau sur la mienne.

Elle porte un short léger en toile, si fin qu'on jurerait voir la forme exacte de sa culotte. Un soutien-gorge de sport noir lui comprime joliment la poitrine. Sa peau est tiède, douce, à peine moite. Et son parfum, discret, m'envahit. J'ai la queue qui se durcit instantanément. Je tente de me contrôler.

— Viens… je vais t'aider.

Je prends sur moi. Je l'accompagne jusque chez elle. Sa main s'accroche à mon bras. Elle se blottit carrément contre moi. J'ai l'impression que sa cuisse frôle la mienne à chaque pas.

Arrivés dans la cuisine, elle n'ose pas avancer. Moi non plus. L'idée de voir cette saloperie me file la chair de poule. Mais je prends une grande inspiration.

— Attends ici… Je vais chercher un piège. J'en ai dans mon garage. Je déteste ça moi aussi.

Elle hoche la tête, les yeux reconnaissants. Et elle me suit. On repasse par le jardin, on entre dans ma maison. Je la sens un peu plus détendue. Je trouve le piège, une boîte noire bien fermée. On retourne chez elle, je la pose dans la cuisine, près de la plinthe d'où elle pense avoir vu la bête.

— Voilà… maintenant, on attend. Tu veux venir boire un verre en attendant que ça marche ?

Elle hésite une seconde. Son regard croise le mien. Puis elle acquiesce doucement.

— Oui… j'ai pas trop envie de rester seule là.

On retourne chez moi, je l'installe sur la terrasse. Elle s'assied, croise les jambes, tire un peu sur son short. Je ne sais pas si c'est pour se couvrir… ou pour attiser.

Je sers deux verres. On parle. Longtemps. Une heure. Deux. Je découvre une Léa drôle, vive, maligne. Toujours ce mélange de candeur et de quelque chose de plus… profond. Un frisson, parfois, passe dans son regard. Et j'ai envie de la déshabiller à chaque instant.

Ma copine m'appelle. Je décroche. Je lui raconte rapidement, je dis que Léa est avec moi, qu'elle a eu peur. Elle rit doucement, me dit que je suis un ange.

Un ange ? Si elle savait.

Je n'ai qu'une envie : faire glisser ce short. L'embrasser fort. Mordre ses seins, laper sa peau. Glisser mes doigts dans sa petite chatte encore fraîche et la prendre, là, tout de suite, sur ma table de jardin. La foutre à genoux, l'attraper par les hanches et la pilonner en levrette. Faire claquer son cul de rêve contre mes cuisses.

Mais je ne fais rien. Pas encore. La nuit est fraîche maintenant, elle frissonne. Elle est toujours aussi peu vêtue. Je lui propose de rentrer.

— Viens… on va aller voir si le piège a marché.

Elle me suit. Sa nuque est tendue. Sa démarche est plus lente. Je sens que quelque chose change. Que le vent tourne.

La tension est palpable.

Et cette fois, si le piège ne s'est pas refermé sur une souris…

Il se refermera peut-être sur nous.

Le cœur serré, on pousse à nouveau la porte de chez elle. L'atmosphère est lourde, tendue. Léa marche juste derrière moi. Je jette un coup d'œil vers le piège, posé contre la plinthe de la cuisine.

Je m'approche, lentement, les yeux fixés dessus.

Et là, sans prévenir, la saloperie me passe entre les jambes. Une boule de poils vive et grise, rapide comme l'éclair. Un cri m'échappe. Un vrai cri de terreur, guttural, ridicule. Je bondis en arrière, les bras en l'air, les jambes raides. Mon cœur tambourine dans ma poitrine.

— PUTAIN !

Léa hurle à son tour. On se précipite tous les deux dehors, sans réfléchir. La porte claque derrière nous. Nos respirations sont saccadées, nos yeux écarquillés. On tremble, mais on éclate de rire malgré tout, un rire nerveux, hystérique, qui nous fait presque pleurer.

— J'peux pas dormir là, c'est mort… dit-elle entre deux rires, les mains sur ses genoux.
— Je comprends, je comprends totalement… Une fois, ça m'est arrivé, j'ai fini à l'hôtel. L'angoisse est horrible.

Elle secoue la tête. Prend son téléphone. Compose un numéro. Je la regarde faire, appuyé contre le mur du jardin, toujours torse nu, les muscles encore tendus par la peur.

— Allô ?... Emma ?... Merde, t'es pas là ?... Ouais j'suis chez moi… une putain de souris… non mais j'te jure elle a couru entre mes jambes !… Bah ouais, j'peux pas dormir avec ça… Ok… Bon, t'es pas là tant pis. Bisous.

Elle raccroche, l'air dépité. Je la vois perdue, un peu fragile. Et ça m'excite encore plus. Cette vulnérabilité, cette douceur sous tension. Elle cherche une solution du regard, ses bras croisés sur sa poitrine, son short remonté sur ses cuisses.

Je sors mon téléphone à mon tour.

— Attends, j'appelle ma copine.

Je compose. Elle décroche rapidement.

— Hey, ça va ?
— Oui, tranquille. Et toi, le week-end ?
— Écoute… je t'appelle parce que j'ai une situation un peu… spéciale.
— Dis toujours.

Je jette un œil à Léa qui regarde le ciel, le visage encore tendu par la peur.

— Léa, la fille des voisins, a eu une souris chez elle. Elle est seule ce week-end, elle flippe à mort. Elle a essayé d'appeler une copine, mais elle n'est pas là. Elle veut pas dormir chez elle, elle est en panique.

Silence à l'autre bout.

— Tu veux que je fasse quoi ?
— Je sais pas, mais moi, je peux pas la laisser comme ça. Je me disais… elle pourrait peut-être dormir ici ? Dans la chambre d'amis.

Un nouveau silence. Puis elle soupire :

— Ok. Mais dans la chambre d'amis, Ben. Pas dans notre lit avec toi.

Je souris, même si elle ne le voit pas.

— Bien sûr. T'inquiète pas. Je la pose dans la chambre d'amis, c'est tout. Promis.
— C'est toi l'ange du quartier, hein.

Elle raccroche.

Je lève les yeux vers Léa.

— Tu peux dormir à la maison si tu veux. On a une chambre d'amis. C'est pas un palace, mais c'est tranquille. Et t'auras pas de souris.

Elle hésite une seconde. Puis hoche la tête, reconnaissante.

— Franchement… merci. Je vais juste prendre deux-trois affaires.

Elle monte dans sa chambre. Moi, je traverse le jardin, le cœur battant. J'ouvre la maison. Je remonte le lit de la chambre d'amis. Je tends les draps, passe un coup de main dans la salle de bain.

Cinq minutes plus tard, elle arrive. Un petit sac à la main, un sweat jeté sur les épaules. Elle est magnifique. Sa silhouette, même dans l'ombre, me donne envie de lui arracher ses vêtements. Mais je reste calme. Extérieurement.

Elle entre dans la maison. En tongs. Avec ses jambes parfaites, sa bouche rosée, ses yeux encore brillants de l'émotion.

Je lui montre la chambre.

— C'est ici. Y'a de quoi poser tes affaires. Si t'as besoin de quoi que ce soit, tu m'appelles.

Elle sourit, un peu gênée.

— Merci… vraiment. J'suis un peu ridicule mais… je panique vraiment avec ces trucs-là.
— Tu n'as rien de ridicule.

Je la regarde. Elle me regarde. Le silence s'installe. Long. Dense.

La tension sexuelle est là. Presque visible. Si elle tendait la main, elle pourrait la toucher.

Et je sens qu'elle le sait aussi.

Je redescends à la cuisine, le ventre qui gargouille doucement. Il est tard, mais la soirée, elle, ne semble pas vouloir s'arrêter. J'ouvre le frigo, sors deux trois bricoles, de quoi grignoter.

Quelques minutes plus tard, j'entends des pas dans l'escalier. C'est Léa. Elle descend, toujours aussi légère dans sa tenue. Elle s'arrête dans l'embrasure de la porte, me regarde avec un sourire doux.

— Tu fais à manger ?
— Juste un petit truc rapide. Tu veux quelque chose ?

Elle s'approche un peu, penche la tête sur le côté.

— T'es trop mignon…

Je souris. Elle s'installe au bar pendant que je termine. On mange sur le pouce, côte à côte, presque comme un vieux couple. Mais je n'ai qu'une seule pensée : ses seins, ses hanches, ses lèvres. J'ai envie de les goûter. Lentement. Profondément.

Après le repas, on se pose au salon. Canapé, lumière tamisée. Sa jambe frôle la mienne. Elle parle beaucoup. De sa vie, de ses envies, de ses études, de ses galères, de ce qu'elle aime. Elle est brillante. Touchante. Et sexy. Putain, tellement sexy. Chaque mouvement de ses lèvres me donne envie de les attraper, de les écraser contre les miennes. Je bois ses mots, mais je fantasme déjà son corps.

Il est presque minuit quand elle me regarde, un peu hésitante.

— Dis… je peux abuser et prendre une douche ?
— Bien sûr, vas-y.

Je l'accompagne jusqu'à la salle de bain, lui montre les serviettes propres, les produits.

— Je prendrai la mienne après toi. J'ai une réunion tôt demain, je vais pas trop traîner.
— Ça marche.

Elle referme la porte doucement. Ma chambre est juste à côté. J'y entre, m'allonge un instant sur le lit, les bras derrière la tête. L'eau commence à couler. Mon esprit s'emballe.

Je l'imagine. Nue. Sa peau pâle perlant sous l'eau chaude. Ses cheveux foncés ruisselants le long de sa nuque, puis de ses épaules. Son dos creusé, délicat. L'arrondi de ses fesses. Ses seins fermes, mouillés, lourds de sensualité. Ses jambes longues, fuselées, son ventre plat. Et ce petit sexe que j'imagine imberbe, doucement rosé, offert à mes yeux si je poussais la porte.

Ma queue durcit immédiatement.

Mais soudain… l'eau s'arrête. Brutalement. Je me redresse.

Deux ou trois minutes seulement. Trop court. Bien trop court pour une femme sous la douche.

La porte s'ouvre doucement.

— Léa ? Y a un problème ?

Un léger silence. Puis sa voix, presque timide, mais ferme :

— Oui… tu peux venir ?

Mon cœur fait un bond. Je me lève d'un coup. Traverse le couloir. Mon souffle s'accélère. J'ouvre doucement la porte.

Elle est là. Nue. Sous la douche. L'eau vient de reprendre. Elle est de dos, la tête penchée, ses cheveux mouillés collés à sa peau. Son corps est un poème. La lumière chaude souligne les contours parfaits de sa silhouette. Son dos fin, sa cambrure, le galbe parfait de ses fesses, ses jambes à tomber par terre.

Je me fige. Ferme un instant les yeux pour ne pas perdre le contrôle.

— Qu'est-ce qu'il se passe ?

Elle se tourne légèrement, sans vraiment dévoiler sa poitrine.

— J'ai besoin que tu me frottes le dos…

Je reste là, figé. Une seconde. Deux.

Je n'ai qu'une envie : la rejoindre. L'attraper. La posséder.

Mais je veux aussi savourer chaque millimètre de cette montée.

Alors, lentement, je franchis le seuil.

Je ne réfléchis pas une seconde. Dès qu'elle me demande de la rejoindre, mes mains glissent sur mon short. Il tombe au sol. Ma queue est déjà dure, tendue, impatiente. J'entre dans la douche à l'italienne, le carrelage tiède sous mes pieds, la buée douce contre ma peau.

Léa se retourne.

Ses yeux descendent lentement. S'arrêtent sur moi. Un sourire étire ses lèvres. Elle lève les yeux au ciel, faussement agacée, presque moqueuse. Mais dans son regard, une flamme.

Elle tend le bras, me donne le flacon de gel douche. Je le prends, silencieux. Mes doigts s'enroulent autour de la bouteille, tremblants d'excitation. Je verse le liquide dans ma paume, commence à faire mousser. Et mes mains viennent se poser sur son dos.

Sa peau est chaude, lisse, presque soyeuse. Le savon glisse sur ses omoplates, puis descend lentement le long de sa colonne, jusqu'à sa chute de reins. Elle ne bouge pas, elle s'offre. Entièrement.

Je poursuis vers ses hanches. Puis ses fesses. Parfaites. Rondeurs fermes, pleines, sculptées comme dans mes fantasmes les plus brûlants. Je les savonne, les masse. Elle soupire doucement.

Ma voix devient rauque :

— J'ai envie de te baiser.

Elle ne se retourne pas tout de suite. Sa voix me parvient, nette, presque grave :

— Alors… baise-moi comme tu veux.

Le feu s'allume. Il ne s'éteindra plus.

Je l'attrape aussitôt. Mes mains se posent sur ses hanches, ses bras viennent s'enrouler autour de mon cou. Je la soulève sans effort. Sa poitrine se colle contre mon torse, je sens ses pointes dures contre ma peau, je sens son souffle contre ma gorge, je sens… tout.

Ma queue frôle ses fesses à chaque pas.

On sort de la salle de bain, trempés, brûlants. J'avance à grandes enjambées vers la chambre d'amis, la tenant fermement, comme si elle allait s'échapper. Mais elle ne bouge pas. Elle s'agrippe à moi.

Je la pose sur le lit.

Je me penche sur elle. L'embrasse à pleine bouche. C'est un baiser fou, animal, une collision de langue et de souffle. Je l'embrasse comme si je voulais l'avaler.

Mes mains explorent. Son corps est une carte au trésor. Je découvre ses seins, que je prends en bouche, un à un, lentement. Je les embrasse, les lèche, les mords doucement. Elle gémit.

Je descends. Ma bouche trace un chemin humide sur son ventre, jusqu'à la naissance de ses cuisses. Sa peau sent le propre, le désir, l'été. Je l'écarte doucement. Son sexe est parfait. Lisse. Frais. Offert.

Ma langue s'aventure lentement. Je la goûte. D'abord doucement, puis plus profondément. Je l'explore. Elle s'ouvre à moi, gémissante, tremblante. Mes mains maintiennent ses cuisses ouvertes. Ma bouche ne la quitte plus.

Et puis, elle me murmure :

— Tourne-toi…

Je lève les yeux. Elle sourit, allongée, nue, ses cheveux encore humides collés à ses tempes. J'obéis. Je me retourne. Sa bouche m'accueille avec une lenteur divine. Tandis que je la lèche encore, elle me suce. Nos souffles se croisent, nos gémissements s'accordent.

Ses mains me caressent, explorent mes fesses, mon dos, mes hanches. Elle est à la fois douce et précise. Et sa voix glisse, comme un ordre intime :

— Prends-moi. Sans me respecter. J'aime trop ça.

Je me redresse. La retourne. Ses reins se cambrent, ses fesses se dressent sous mes yeux. Offerte. Prête. Je la pénètre lentement, puis plus fort. Elle crie. De plaisir. De surprise. Elle m'encourage. Me réclame. Je la tiens par la taille, je la prends comme un animal. Sa peau claque contre mes cuisses. Son dos se creuse. Elle se retourne, grimpe sur moi.

Je la regarde, reine brûlante. Elle me chevauche avec fougue. Mes mains sur ses hanches, ma bouche sur ses seins. Je les lèche, les goûte, les mordille. Elle ondule. Ses gémissements deviennent presque incontrôlables.

Je la retourne à nouveau. Ma langue descend. Explore plus bas. Elle gémit fort, tire les draps. Je lui embrasse le creux des reins, puis je m'enfonce doucement. Elle se tend, elle hurle presque. Et elle en redemande.

Je la prends à nouveau. Cette fois, plus lentement. Plus profond. Elle tremble sous moi, se cambre, me supplie presque.

Et quand elle me dit :

— Viens dans ma bouche…

Je me retire. Elle se penche, m'accueille. Ses yeux levés vers les miens, ses lèvres autour de moi. Je me libère dans sa gorge, en gémissant son prénom. Elle avale, me regarde, essuie sa bouche avec l'audace d'une reine.

Et sans un mot, elle se lève, m'attrape par la main.

— On retourne à la douche ?

Je hoche la tête.

Elle sourit.

Et la nuit… recommence.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Elle commence très fort, cette histoire, sans précipitation, mais... J'adore.

Histoire Erotique
Merveilleuse histoire, bien écrite et qui monte en puissance...
Merci

Cyrille

Histoire Erotique
C'est très bien écrit et très excitant, belle histoire!

Histoire Erotique
Très belle histoire sensuelle et erotique sans vulgarité avec du sexe pur
Daniel

Histoire Erotique
Histoire toujours magnifique, écrite de main de maître.
Un érotisme croissant, parfaitement décrit, des sentiments puis du sexe torride, sans une once de vulgarité.

Un grand BRAVO !

Histoire Erotique
Très excitant! Merci pour le récit.



Texte coquin : Léa, la fille de mes voisins, plus fille que jamais
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Antoine-LRH

L’Ukrainienne et le campeur en rut - Récit érotique publié le 02-06-2025
Léa, la fille de mes voisins, plus fille que jamais - Récit érotique publié le 28-05-2025
Correspondance charnelle - Récit érotique publié le 26-05-2025
Au galop - Récit érotique publié le 02-05-2025
Le Goût de l’Inattendu - Récit érotique publié le 01-05-2025
Julia et le cheminot - Récit érotique publié le 30-04-2025
La mariée et son patron - Récit érotique publié le 23-04-2025