Julia face à un dilemme 3 - histoire érotique

Maintenant, Julia attend avec impatience les jours du rendez-vous, elle devient de plus en plus accro aux délires de ses beaux-parents. Lorsqu'elle voit sa belle-maman se faire enfoncer des monstres de silicones dans les orifices, Julia mouille comme une fontaine.
Chez elle, la coquine s'exerce lorsqu'elle est seule. Elle commence par des carottes de plus en plus épaisses, pour terminer avec des concombres de Six, sept centimètres de diamètres. Mais le compte n'y est pas, elle voudrai égaler belle-maman.

Enfin, il est temps de rejoindre Hortense, Roger et Firmin. Hortense, dès qu'elle voit Julia, s'allonge sur le banc, ouvre largement les brancards, elle attend patiemment la bouche de Julia. Une fois là, la belle-fille se jette entre les cuisses de sa belle-mère et lui broute le minou avec une efficacité inouïe, quelques coups de langue suffisent à faire jouir Hortense. Elle agite son bassin en grognant de plaisir, sous les regards des deux hommes qui bandent comme des chevaux.

Firmin, en regardant son patron, sait ce qu'il veut. Il lui décalotte le gland. Sa langue connait bien le cèpe épais de Roger, elle tourne sur le chapeau, lui titille le frein avant de le gober. Les aspirations de Firmin font couiner Roger de plaisir. De sa main libre, le serviteur bien intentionné saisit les couilles velues de son maitre et les triture, il les presse fortement comme aime Roger. Tout en savourant le gland, il donne quelques coups de poignets vigoureux sur la hampe.
Roger se cabre et remplit de sa semence la bouche de son suceur. Il lui caresse les cheveux en disant :

-Avalez-bien toute ma semence mon ami, oh oui, pressez-moi bien la bite, Firmin, buvez jusqu'à la dernière goutte, oh comme c'est bon !


Hortense se met sur le ventre, elle s'écarte les fesses avec ses mains et dit en soufflant :

-Julia, bouffe-moi bien le cul ma salope, fais-moi jouir du cul !

Julia crache sur l'anneau ridé, plaque sa bouche dessus et aspire fortement le muscle boursouflé qui a connu des sodomies gigantesques. Sous l'aspiration, l'anus s'ouvre légèrement, Julia profite de cet instant pour enfoncer sa langue dans le conduit anal. Hortense se cabre en criant :

-Oh putain, c'est démon ma chérie !

Habilement, Julia fouille la gaine extensible, elle se redresse et y enfonce sans prévenir trois doigts. Belle-maman se cabre en poussant un long râle, le ramonage anal et virulent. Hortense se tortille, elle finit par exploser de jouissance. Julia passe à l'étape supérieure, elle prend un gode énorme. Enduit de gel l'anus d'Hortense et place le monstre contre. Elle pousse fortement, sa belle-mère se cabre en soufflant comme un dragon, lentement l'engin s'enfonce dans la gaine qui se distend. Julia regarde, émerveillée, l'engin de silicone pénétrer le rectum. Elle se demande si elle-même pourrai recevoir un tel engin dans le cul.


Julia ramone le cul d'Hortense, en la faisant couiner de plaisir. Soudain belle-maman crie :

-Va à fond oh putain, je vais jouir, va à fond, va à fond !

Julia enfonce au maximum l'objet monstrueux dans le cul d'Hortense qui pousse un long râle en jouissant. Maintenant Roger et Firmin défoncent Hortense, ils lui arrachent des gémissements terribles. Elle a le visage déformé par un rictus affreux, un filet de bave s'échappe de ses lèvres. Elle obtient plusieurs jouissances à la suite. Son corps est une machine à jouir. Rassasiée, repue, gavée de sperme, elle demande grâce.


À présent, c'est au tour de Julia, elle veut tester quelques engins. Hortense veut initier Julia, elle prend un rota, (c'est un combiné, gode qui taquine le clito pendant le membre factice, ondule dans le vagin) Le résultat est garanti. Julia s'agite en geignant. Sa chatte dégouline terriblement, après une jouissance fabuleuse, elle est prête à passer l'étape supérieure. Roger place sur les mamelons des pinces et comprime les tétons. Julia grimace, quelques caresses rapides sur son clito lui font oublier la douleur.


Hortense, applique sur le clito une pompe et l'actionne en regardant la boule de chair gonfler. À chaque coup de pompe, le clito augmente en volume, rapidement, il devient méconnaissable. La belle-mère, minutieuse, retire l'engin et prend entre deux doigts le clito, qu'elle branle très lentement, en le pressant de temps en temps. Julia se cabre, elle hurle :

-Oui, oui, oh, je vais jouir Belle-mamannnnnnnnn!

Une puissante giclée de cyprine est expulsée du vagin, Julia se contorsionne sur le banc en gémissant. Quelques succions sur la boule sensible sont nécessaires, pour faire jouir une seconde fois la belle-fille. Une pompe est placée sur la vulve, en quelques minutes la chatte, augmente de volume, elle se déforme à grande vitesse. Les grandes lèvres sont gonflées comme jamais, juste au-dessus le clito forme une boule énorme.

Hortense, satisfaite du résultat, retire la pompe, caresse un bon moment la chatte monstrueuse, qui ne cesse de rejeter son jus. Elle prend un gode et l'enfonce progressivement dans la chatte martyrisée. L'engin de silicone pénètre jusqu'à butter contre le col de l'utérus. Hortense fait quelques ramonages, Julia s'accroche au banc en serrant les dents, le gode de bon diamètre, agité par des mains expertes, fait gémir Julia. Hortense sait comment dilater la chatte de la soumise, elle se sert du gode comme d'une godille, Julia souffle comme un bœuf.


Les deux hommes regardent l'initiation de Julia en écarquillant les yeux. Enfin, Hortense retire le gode et choisit un plus redoutable. Elle l'enduit de gel lubrifiant ainsi que la chatte hyper gonflée. Elle enfonce quatre doigts dans la gaine vaginale pour l'enduire de gel, la coquine prend plaisir à fouiller le vagin, ses yeux vicieux le prouvent. Enfin, elle présente le gode en lui faisant faire des demi-rotations, l'engin pénètre doucement la chatte en la distendant terriblement. Julia croit mourir, et que sa chatte va se déchirer. Avec lenteur, le mandrin prend place dans la gaine distendue.


Très lentement, mais avec peine le gode coulisse dans la chatte. Roger, sollicité par sa femme, pose sur le clito monstrueux de Julia un vibro, et l'actionne. Julia se cabre, sont corps fait le pont, elle gémit comme une bête malade. Firmin, aux ordres, serre plus fortement les pinces sur les mamelons de Julia, qui pousse des gémissements affreux. Roger augmente la vibration, le corps de Julia, est prit de frémissements incontrôlables. Hortense tente d'accélérer le va-et-vient. Julia pousse un hurlement, une jouissance fabuleuse, lui secoue le corps. Plusieurs orgasmes à la suite la font geindre, de violents spasmes lui secouent les entrailles. Enfin, Hortense retire l'engin dilatateur de la chatte en fusion de Julia. Roger reste sans voix, le trou béant rejette un jus odorant, qu'Hortense avale comme une affamée. Elle ne peut s'empêcher de gober le clito et de le sucer avidement.


Julia est au bord de la syncope, elle halète comme une bête malade, et jouit encore une fois, elle se laisse retomber sur le banc, anéantit. Sa belle-mère est excitée comme jamais. Elle s'allonge sur une table basse et en ouvrant les cuisses, dites :

- Mes chéris, faites de moi une machine à jouir !

Pendant que sa belle-fille récupère lentement, Hortense attend le bon vouloir des deux mâles. Roger agite au-dessus de sa tête une lanière de cuir. Le bougre vise la chatte, le premier coup fait grimacer sa femme. Enfin, une pluie de coups s'abat sur l'entrejambe d'Hortense. Sa chatte est douloureuse, ses grandes lèvres sont boursouflées, son clito enflé.

Firmin se charge de bouffer la chatte de sa patronne, pendant que son patron offre à sa femme sa queue épaisse à sucer. Les bouches voraces sont très efficaces. Hortense remplit la bouche de son serviteur, pendant qu'elle-même reçoit le sperme de son mari dans la bouche. Les deux hommes prennent Hortense dans toutes les positions inimaginables. Elle jouit coup sur coup. Après une période de récupération, c'est au tour de la belle-fille de goutter aux bites des deux hommes. Prise en double plusieurs fois de suite, voire deux bites dans le même orifice, Julia jouit affreusement.
Après une douche réparatrice, elle rentre chez elle, les orifices en marmelades.