Julien venait d’avoir 18 ans (2)

- Par l'auteur HDS EricDeFrance -
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Récit libertin : Julien venait d’avoir 18 ans (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Julien venait d’avoir 18 ans (2)
Julien venait d’avoir 18 ans

Chapitre 2

C’était bien Julien qui cette nuit-là était sur lui. L’avait réveillé car, visiblement, il avait envie... son membre dressé en attestait... ce membre qu’Eric sentit doucement entrer en lui...

Comme par réflexe il avait allumé la petite lampe de chevet qui était de son côté du lit. Pratique : il fallait un clic pour avoir une lumière normale, et deux pour avoir une lumière plus douce, tamisée. Juste ce qu’il fallait dans le moment qu’il vivait, et allait vivre.
Cette lumière lui permettait de voir, mais avait l’avantage de ne pas être trop forte. Il n’aurait pas aimé. Et Julien non plus.

Julien, dont le corps se dressait face à lui. Son torse imberbe et musclé, tendu comme un arc, qu’il se mit à caresser. Son beau visage aussi, légèrement crispé par l’effort, ses yeux qu’il fixait, et qui le fixaient, et cette bouche qui lui souriait.
Et sa bite, bien dure, qu’il sentait entrer en lui. Qui ne lui faisait pas mal, au contraire, qui lui faisait du bien. A ses entrailles d’abord, qui aimaient de plus en plus se faire pénétrer. A sa libido toujours active, et rarement assouvie. A son égo de vieux mâle aussi, qui goûtait la sensation, rare et précieuse, de se faire baiser par un jeune de 18 ans.

Julien, qu’il sentait en lui, qui s’était enfoncé jusqu’à la garde, et qui commençait des mouvements de va-et-vient qui lui faisaient un bien fou.
Allongé sur le dos, Eric sentait la bite du jeune garçon au plus profond de lui. Il en percevait les contours, l’épaisseur, la dimension. Il commençait à bien la connaître. Elle devait faire dans les 20 cm, était longue et plutôt fine, et, surtout, Julien s’en servait à merveille. Il la faisait aller dans le fondement d’Eric qui, tellement il était bien, ne pouvait plus bouger.

C’est Julien qui était à la baguette, si l’on ose dire, et qui, en tout cas, menait la danse.
Depuis qu’ils étaient devenus amants, il l’avait baisé 3 ou 4 fois, mais jamais de cette façon. Puissante, virile, envoûtante en quelque sorte.
Eric se sentait envoûté, comme pris dans des tenailles. Il n’arrivait même pas à gémir, tellement c’était bon. Il se contentait de rythmer les assauts de Julien en gardant la bouche ouverte et en poussant des soupirs rauques, à peine audibles.

Le jeune garçon qui, jusque là, était resté le buste droit, se pencha légèrement en avant, releva le fessier d’Eric, sortit sa bite légèrement, et l’enfonça de plus belle.
Eric mit la tête en arrière, et encaissait le pilonnage de Julien, qui le défonçait complètement.
Il resta un moment dans cette position, totalement soumis aux assauts du jeune homme, dont les coups de rein qui le transperçaient étaient réguliers.
Il sentait sa bite en lui particulièrement, comme du béton, et percevait les mouvements de Julien, qui faisaient explorer ses fondements à son sexe, tantôt à gauche, tantôt à droite, tantôt en bas, tantôt en haut.

Le garçon, pourtant si jeune, se comportait en expert du sexe. Il avait ça en lui, aimait ça, visiblement, et se débrouillait comme un chef.
Jamais Eric n’avait été pris de cette façon, par aucun autre amant, et même les 3-4 fois précédentes, Julien n’avait pas été si fin, si délicat, si aimant en quelque sorte.
Il y avait peut-être eu Axel, l’année précédente, au même âge, expérimenté également, mais bien moins endurant, et beaucoup moins délicat.
Eric n’en finissait pas de prendre du plaisir, il avait l’impression que le temps s’était arrêté, il n’avait aucune idée de l’heure d’ailleurs, il savait juste que c’était la nuit ou, au plus, le petit matin.

L’immeuble était totalement silencieux. Comme il était bien insonorisé et que la chambre donnait de l’autre côté de la route, vers une forêt paisible, on n’entendait aucun bruit.
Uniquement celui du lit qui grinçait légèrement, et les gémissements, qui se conjuguaient, des deux amants.
Tout à coup, Eric réalisa qu’en fait Julien n’était pas en train de le baiser. Comme les autres fois. Comme les autres mecs. Il était tout simplement en train de lui faire l’amour. Et c’est pour ça que c’était si bon.

Il éprouva le besoin de bien le regarder. Sa belle gueule, marquée par l’effort, le plaisir, l’endurance. Son sourire, quand leurs regards se croisaient. Ses cheveux, bruns et longs, un peu ébouriffés, et que, souvent, il éprouvait le besoin de remettre en arrière pour éviter qu’ils ne le gênent. Sa peau mate, légèrement cuivrée. Et puis son torse, imberbe, musclé, hyper bien proportionné, sexy à souhait. Sans parler de ses mains, douces et viriles, qui lui touchaient la poitrine et lui caressaient la joue.
Lui aussi avait envie de le caresser, de le toucher. Déjà, regarder ce beau gosse le faisait bander, l’attirait, l’excitait.
Ce moment était un vrai moment de grâce.

Tout en continuant ses mouvements de va-et-vient, Julien pencha son corps en avant, rapprocha son visage de celui d’Eric, puis colla ses lèvres aux siennes, et enfonça sa langue. Les deux hommes se roulèrent une bonne pelle, bien baveuse, bien sensuelle, comme ils faisaient de temps en temps, pas trop souvent non plus, mais Eric aimait tellement ça, et Julien embrassait drôlement bien, comme le reste. Expert en tout, décidément.

Il détacha ses lèvres, se releva, Eric le vit grimacer, se mordre les lèvres, et soupirer. Il était en fait à deux doigts de jouir, et se ressaisit car il avait envie de retarder le moment.
- Retourne-toi, s’il te plaît.
Eric s’exécuta, de fort bonne grâce. Depuis le début, c’est Julien qui menait la danse, pour son plus grand plaisir, et il avait envie que ça continue.
Il se retourna donc, se mit à plat ventre, et s’appuya sur ses coudes.
Julien, dont l’érection n’avait pas diminué, releva le fessier d’Eric, approcha son visage, et vint lui bouffer le cul. C’était la première fois qu’il le lui faisait, et Eric, qui n’aimait pas trop qu’on le lui fasse, se laissa faire, et se laissa aller.

Il faut dire que, comme pour le reste, Julien bouffait le cul à la perfection. Lentement, goulûment, sensuellement. Du coup, Eric prenait son pied, cette douceur était bien agréable, après le pilonnage qu’il avait encaissé, qui lui avait fait du bien, certes, mais avait mis son cul à rude épreuve.
Julien se releva, et enfonça de nouveau sa bite, toujours aussi dure, qu’il saliva au préalable, ne serait-ce pour étaler la petite goutte qui perlait en haut du gland.

Il fit ça doucement, délicatement, ce qui permit à Eric de bien encaisser, il se pencha et vint coller son corps au sien, et le prit dans cette position, bien agréable.
Eric fermait les yeux, et ouvrait la bouche, totalement à la merci de ce jeune fougueux qui savait si bien s’y prendre et lui faisait tant d’effet.
Julien vint souffler à son oreille :
- Je vais jouir, j’en peux plus...

Et, à ce moment-là, le jeune homme émit un cri grave et puissant, pendant de longues secondes, tandis qu’Eric sentit comme une décharge au fond de lui.
Julien n’en finissait plus de cracher en lui, preuve qu’à son âge ses couilles se remplissaient aussitôt qu’elles se vidaient, puisqu’ils avaient joui la veille au soir.
Tout l’intérieur d’Eric fut inondé, Julien, qui n’arrêtait pas de gueuler, vint affaler son corps sur celui de son aîné qui lui aussi, et dans le même mouvement, avait spermé sur les draps.

Eric sentait toujours le sexe de Julien en lui, toujours autant en érection, même si, désormais, il ne bougeait plus.
Le jeune garçon s’était littéralement collé à Eric, qui sentait le poids et la chaleur de son corps sur lui.
Julien avait du mal à reprendre sa respiration. Il sentait son souffle chaud, et saccadé, sur lui, il avait cessé de gueuler, mais il continuait à soupirer assez bruyamment.
Il sentit la bite qui était en lui depuis un moment se retirer lentement.
Julien, qui avait commencé à débander et à s’apaiser, fit lentement glisser son corps à côté du sien. Il sentit le bras du jeune homme entourer son épaule et son visage se coller près du sien.

Les deux hommes se sentirent pris dans une douce et agréable torpeur, et finirent par s’endormir, apaisés par cette baise, chaude et intense.
Non, en fait, ils n’avaient pas baisé. Ils avaient fait l’amour.
A suivre...

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