Julien venait d’avoir 18 ans (4)
Récit érotique écrit par EricDeFrance [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Julien venait d’avoir 18 ans (4)
Julien venait d’avoir 18 ans
Chapitre 4
Ils avaient eu chaud... se dit Eric en refermant vite la porte.
Il n’osait plus bouger, de peur de faire du bruit, mais il lui fallait aller vers le coin séjour, faire quelque chose, comme si de rien n’était... pour avoir l’air naturel une fois que la porte s’ouvrirait, et qu’il apparaîtrait. Nu. Sans doute.
Mais la porte ne s’ouvrit pas, et l’appartement était à nouveau plongé dans le silence. Eric se demandait même s’ils n’avaient pas rêvé, avec Célestin, tout à l’heure, quand ils avaient entendu le bruit d’une porte s’ouvrir.
Il attendit quelques instants, à nouveau dans l’entrée, là où Célestin l’avait embrassé, il y a deux minutes.
Il repensa à ce moment, d’une intensité et d’une sensulatité particulières. Il avait l’impression d’avoir pu, pendant quelques instants, pénétrer l’intimité de ce jeune homme si beau et si envoûtant. Qui, depuis des mois, si ce n’est des années, lui faisait beaucoup d’effet. Mais qui lui paraissait inaccessible. Et avec qui il n’avait jamais rien tenté. Contrairement à son frère.
Ce frère, Julien, qui était là, à peine à quelques mètres de cette porte fermée. Qui s’était sans doute levé pour aller aux toilettes, et qui s’était certainement recouché.
Qui était certainement allongé, nu, à quelques mètres de lui. Et qui l’attendait. Peut-être. Ou qui s’était rendormi.
Il voulut en avoir le coeur net, et ouvrit la porte intermédiaire qui séparait le coin jour du coin nuit de son appartement.
La porte de sa chambre était entrouverte, preuve que Julien s’était bien levé, puisque lorsque lui s’était levé quand Célestin avait tambouriné à la porte il l’avait refermée derrière lui.
La chambre était plongée dans la pénombre, et le silence.
La pénombre car il était presque 10 heures en ce dimanche matin et le jour créait un peu de lumière à travers les volets sombres et opaques.
Il rentra dans la pièce, referma la porte derrière lui, ota son peignoir de bain, avant de se faufiler sous la couette.
Il était là, il sentait sa chaleur, mais ne le voyait pas.
Il lui semblait endormi, et il vint se blottir contre lui.
Ce corps chaud, encore moite de sommeil, qui semblait au repos après avoir été si actif cette nuit.
Le contact avec sa peau douce lui fit de l’effet, et lui donna envie de caresser ce corps qui l’émoustillait tant.
Il commença par le torse, qu’il sentit ferme et musclé sous ses mains. Il s’attarda sur les tétons, et c’est là qu’il eut envie de bouffer.
Il ouvrit la bouche et la referma sur l’un de ses tétons, le plus près de lui, pendant qu’il caressait l’autre.
Le contact avec cette peau si proche, si douche, si chaude l’électrisait véritablement.
Il sentit en lui le désir monter, et, comme dirait l’autre, ce désir commençait à être visible à l’oeil nu...
Julien commença à bouger, à réagir.
Leurs visages, déjà très proches, se rapprochèrent encore, leurs bouches, leurs lèvres se frolèrent, et, comme naturellement, ils s’embrassèrent.
Eric reprit ses caresses sur le torse, et descendit.
Jusqu’à sa queue, qu’il sentit bien raide, et empoigna.
Il commença à le branler doucement, tout en continuant à l’embrasser de façon langoureuse.
Ce jeune homme était décidément chaud comme la braise. Son corps, nu, était brûlant, bouillant même.
Eric eut envie de lui et se mit sur lui.
Lui aussi bandait bien.
Tout en continuant à l’embrasser, il se frotta contre lui. Corps contre corps. Torse contre torse. Bite contre bite.
Avec son genou, il lui écarta les cuisses, et vint frotter sa bite contre le bas de ses couilles et l’entrée de son fondement.
Julien gémissait et commençait à se trémousser. A se dandider. A s’offrir à lui.
Son cul était large et accueillant. Il l’était déjà la première fois qu’il l’avait pénétré. Il ne cessait de s’élargir à chaque coït.
En expert du sexe qu’il était, Julien se positionna de façon à présenter sa rondelle à la bite de son aîné. De son aïeul, pourrait-on dire.
Parfois, Julien se demandait pourquoi il était attiré par ce vieux, qui pourrait largement être son père, presque biologiquement son grand-père.
Depuis que les premiers émois sexuels avaient commencé à le titiller, il avait senti qu’il était plus attiré par les garçons que par les filles, même s’il aimait la compagnie des filles de son âge.
Et il s’était senti attiré non pas par les garçons de son âge, mais par les vieux. D’au moins 40 ans.
Pourquoi, il ne saurait le dire, mais c’était ainsi.
Et il avait toujours été attiré par Eric. Qu’il voyait souvent. Et qui, plus récemment, était devenu son voisin. Et maintenant son amant.
Il avait toujours aimé sa compagnie. Discuter avec lui. Passer du temps avec lui.
Evidemment baiser avec lui.
Ils avaient déjà fait beaucoup de choses, mais il prenait à chaque fois du plaisir. Dans un sens comme dans l’autre.
Le baiser l’excitait. Sentir sa bite en lui lui faisait aussi beaucoup de bien.
Et ce matin là, il avait envie de sa bite en lui. De ressentir le plaisir venant des entrailles.
C’est pour ça qu’il avait écarté les cuisses. Ecarté les fesses. Présenté son cul car il avait envie de se faire prendre. Comme la vraie salope qu’il pouvait être.
Il sentit la bite d’Eric entrer lentement mais profondément en lui.
Pour savourer l’instant, il ferma les yeux, ouvrit la bouche, soupira, et se laissa aller.
Eric entama des mouvements de va-et-vient qui lui procuraient un plaisir intense. Soutenu. Régulier.
A certains moments il ressentait une légère douleur, mais qui lui faisait du bien.
Dans ces moments-là il aimait avoir mal, il avait même envie qu’il lui fasse mal.
Il avait en tout cas envie de se donner à lui, de lui appartenir.
Dans ces moments-là, il voulait même être sa chose. Son objet.
De son côté Eric prenait son pied à baiser ce jeune homme qui l’attirait et l’excitait tant.
Il avait envie de son trou, si accueillant, et dans lequel il se sentait si bien, mais il avait aussi envie de ses fesses, de son cul.
De le posséder et le bouffer.
Il se retira lentement, et Julien, qui avait dû sentir ce dont il avait envie, se retourna, se mit sur le ventre et lui offrit ses fesses charnues et musclées.
Eric y posa ses mains, une sur chaque, et commeça à les caresser, à les malaxer, à les pétrir.
Sa bouche s’approcha et il vint les embrasser, les lécher, et prendre possession de sa rondelle qui venait de se prendre sa bite.
Elle était encore un peu dilatée, Eric le sentait, et il vint la lécher et la bouffer. Comme il aimait tant. Sa pratique favorite.
Julien adorait ça, et trouvait en plus qu’Eric faisait ça très bien.
Il se mit à gémir de plus en plus fort, tellement c’était bon, et il se mit à bouger son cul, prêt qu’il était à se prendre un nouvel assaut.
Eric aussi avait envie de le pénétrer, et de remplacer sa langue par sa bite.
Il rentra avec encore plus de facilité que tout à l’heure, et reprit ses mouvements de va-et-vient si agréables.
Cette fois, Julien ne gémissait pas, il gueulait, et se mit à exprimer clairement le plaisir qu’il ressentait :
- oh oui... c’est bon... c’est trop bon... baise-moi... je suis ta chienne...
Eric était même ému d’entendre ces paroles, traduisant un bien-être et un laisser-aller total, et qui pouvaient surprendre chez un jeune homme de bonne famille, si bien élevé, si gentil, et même si distingué quand on le croisait dans la vie, lui qui jouait à l’ange innocent, et qui était un vrai démon des plus vicieux...
Pendant qu’il le baisait dans cette position, Eric en profitait pour glisser ses mains sous son corps, et pour caresser à nouveau son torse, ses tétons, pour descendre aussi et empoigner sa bite qui était bien raide.
Il aimait l’avoir en main, la ressentir, la branler.
C’est ce qu’il fit pendant qu’il continuait à le pilonner dans l’anus et qu’il lui donnait les derniers assauts avant de cracher.
Il aimerait qu’ils crachent en même temps, et ça lui paraissait possible.
Au moment où il sentait en lui la sauce monter, il accentua ses mouvements de branle autour du sexe de Julien, qui continuait à gémir.
- Je viens, eut-il le temps de lui dire.
- Moi aussi, répondit-il dans un souffle.
Et au même moment, au même instant, à la même seconde, les deux hommes éjaculèrent dans un cri de jouissance aigu et prolongé.
Julien sentait le jus d’Eric en lui, et Eric sentait le jus de Julien dans sa main et sur les draps.
C’était une communion totale. Intense.
Julien se décala pour se remettre sur le dos. Eric s’affala à côté de lui, sur le ventre.
- Putain, c’était bon.
- Comme jamais, lui répondit Julien.
- Ah oui ?
- Oui, vraiment, j’ai pris mon pied comme jamais, j’en peux plus, mais c’est trop bon...
Eric passa son bras de l’autre côté du cou du jeune garçon, se blottit contre lui, et se sentit envahi par une douce moiteur.
Julien ferma les yeux, et lui aussi se laissa aller, et même s’abandonna.
Ils ressentirent un profond bien-être, et ne tardèrent pas à s’endormir.
A suivre...
Chapitre 4
Ils avaient eu chaud... se dit Eric en refermant vite la porte.
Il n’osait plus bouger, de peur de faire du bruit, mais il lui fallait aller vers le coin séjour, faire quelque chose, comme si de rien n’était... pour avoir l’air naturel une fois que la porte s’ouvrirait, et qu’il apparaîtrait. Nu. Sans doute.
Mais la porte ne s’ouvrit pas, et l’appartement était à nouveau plongé dans le silence. Eric se demandait même s’ils n’avaient pas rêvé, avec Célestin, tout à l’heure, quand ils avaient entendu le bruit d’une porte s’ouvrir.
Il attendit quelques instants, à nouveau dans l’entrée, là où Célestin l’avait embrassé, il y a deux minutes.
Il repensa à ce moment, d’une intensité et d’une sensulatité particulières. Il avait l’impression d’avoir pu, pendant quelques instants, pénétrer l’intimité de ce jeune homme si beau et si envoûtant. Qui, depuis des mois, si ce n’est des années, lui faisait beaucoup d’effet. Mais qui lui paraissait inaccessible. Et avec qui il n’avait jamais rien tenté. Contrairement à son frère.
Ce frère, Julien, qui était là, à peine à quelques mètres de cette porte fermée. Qui s’était sans doute levé pour aller aux toilettes, et qui s’était certainement recouché.
Qui était certainement allongé, nu, à quelques mètres de lui. Et qui l’attendait. Peut-être. Ou qui s’était rendormi.
Il voulut en avoir le coeur net, et ouvrit la porte intermédiaire qui séparait le coin jour du coin nuit de son appartement.
La porte de sa chambre était entrouverte, preuve que Julien s’était bien levé, puisque lorsque lui s’était levé quand Célestin avait tambouriné à la porte il l’avait refermée derrière lui.
La chambre était plongée dans la pénombre, et le silence.
La pénombre car il était presque 10 heures en ce dimanche matin et le jour créait un peu de lumière à travers les volets sombres et opaques.
Il rentra dans la pièce, referma la porte derrière lui, ota son peignoir de bain, avant de se faufiler sous la couette.
Il était là, il sentait sa chaleur, mais ne le voyait pas.
Il lui semblait endormi, et il vint se blottir contre lui.
Ce corps chaud, encore moite de sommeil, qui semblait au repos après avoir été si actif cette nuit.
Le contact avec sa peau douce lui fit de l’effet, et lui donna envie de caresser ce corps qui l’émoustillait tant.
Il commença par le torse, qu’il sentit ferme et musclé sous ses mains. Il s’attarda sur les tétons, et c’est là qu’il eut envie de bouffer.
Il ouvrit la bouche et la referma sur l’un de ses tétons, le plus près de lui, pendant qu’il caressait l’autre.
Le contact avec cette peau si proche, si douche, si chaude l’électrisait véritablement.
Il sentit en lui le désir monter, et, comme dirait l’autre, ce désir commençait à être visible à l’oeil nu...
Julien commença à bouger, à réagir.
Leurs visages, déjà très proches, se rapprochèrent encore, leurs bouches, leurs lèvres se frolèrent, et, comme naturellement, ils s’embrassèrent.
Eric reprit ses caresses sur le torse, et descendit.
Jusqu’à sa queue, qu’il sentit bien raide, et empoigna.
Il commença à le branler doucement, tout en continuant à l’embrasser de façon langoureuse.
Ce jeune homme était décidément chaud comme la braise. Son corps, nu, était brûlant, bouillant même.
Eric eut envie de lui et se mit sur lui.
Lui aussi bandait bien.
Tout en continuant à l’embrasser, il se frotta contre lui. Corps contre corps. Torse contre torse. Bite contre bite.
Avec son genou, il lui écarta les cuisses, et vint frotter sa bite contre le bas de ses couilles et l’entrée de son fondement.
Julien gémissait et commençait à se trémousser. A se dandider. A s’offrir à lui.
Son cul était large et accueillant. Il l’était déjà la première fois qu’il l’avait pénétré. Il ne cessait de s’élargir à chaque coït.
En expert du sexe qu’il était, Julien se positionna de façon à présenter sa rondelle à la bite de son aîné. De son aïeul, pourrait-on dire.
Parfois, Julien se demandait pourquoi il était attiré par ce vieux, qui pourrait largement être son père, presque biologiquement son grand-père.
Depuis que les premiers émois sexuels avaient commencé à le titiller, il avait senti qu’il était plus attiré par les garçons que par les filles, même s’il aimait la compagnie des filles de son âge.
Et il s’était senti attiré non pas par les garçons de son âge, mais par les vieux. D’au moins 40 ans.
Pourquoi, il ne saurait le dire, mais c’était ainsi.
Et il avait toujours été attiré par Eric. Qu’il voyait souvent. Et qui, plus récemment, était devenu son voisin. Et maintenant son amant.
Il avait toujours aimé sa compagnie. Discuter avec lui. Passer du temps avec lui.
Evidemment baiser avec lui.
Ils avaient déjà fait beaucoup de choses, mais il prenait à chaque fois du plaisir. Dans un sens comme dans l’autre.
Le baiser l’excitait. Sentir sa bite en lui lui faisait aussi beaucoup de bien.
Et ce matin là, il avait envie de sa bite en lui. De ressentir le plaisir venant des entrailles.
C’est pour ça qu’il avait écarté les cuisses. Ecarté les fesses. Présenté son cul car il avait envie de se faire prendre. Comme la vraie salope qu’il pouvait être.
Il sentit la bite d’Eric entrer lentement mais profondément en lui.
Pour savourer l’instant, il ferma les yeux, ouvrit la bouche, soupira, et se laissa aller.
Eric entama des mouvements de va-et-vient qui lui procuraient un plaisir intense. Soutenu. Régulier.
A certains moments il ressentait une légère douleur, mais qui lui faisait du bien.
Dans ces moments-là il aimait avoir mal, il avait même envie qu’il lui fasse mal.
Il avait en tout cas envie de se donner à lui, de lui appartenir.
Dans ces moments-là, il voulait même être sa chose. Son objet.
De son côté Eric prenait son pied à baiser ce jeune homme qui l’attirait et l’excitait tant.
Il avait envie de son trou, si accueillant, et dans lequel il se sentait si bien, mais il avait aussi envie de ses fesses, de son cul.
De le posséder et le bouffer.
Il se retira lentement, et Julien, qui avait dû sentir ce dont il avait envie, se retourna, se mit sur le ventre et lui offrit ses fesses charnues et musclées.
Eric y posa ses mains, une sur chaque, et commeça à les caresser, à les malaxer, à les pétrir.
Sa bouche s’approcha et il vint les embrasser, les lécher, et prendre possession de sa rondelle qui venait de se prendre sa bite.
Elle était encore un peu dilatée, Eric le sentait, et il vint la lécher et la bouffer. Comme il aimait tant. Sa pratique favorite.
Julien adorait ça, et trouvait en plus qu’Eric faisait ça très bien.
Il se mit à gémir de plus en plus fort, tellement c’était bon, et il se mit à bouger son cul, prêt qu’il était à se prendre un nouvel assaut.
Eric aussi avait envie de le pénétrer, et de remplacer sa langue par sa bite.
Il rentra avec encore plus de facilité que tout à l’heure, et reprit ses mouvements de va-et-vient si agréables.
Cette fois, Julien ne gémissait pas, il gueulait, et se mit à exprimer clairement le plaisir qu’il ressentait :
- oh oui... c’est bon... c’est trop bon... baise-moi... je suis ta chienne...
Eric était même ému d’entendre ces paroles, traduisant un bien-être et un laisser-aller total, et qui pouvaient surprendre chez un jeune homme de bonne famille, si bien élevé, si gentil, et même si distingué quand on le croisait dans la vie, lui qui jouait à l’ange innocent, et qui était un vrai démon des plus vicieux...
Pendant qu’il le baisait dans cette position, Eric en profitait pour glisser ses mains sous son corps, et pour caresser à nouveau son torse, ses tétons, pour descendre aussi et empoigner sa bite qui était bien raide.
Il aimait l’avoir en main, la ressentir, la branler.
C’est ce qu’il fit pendant qu’il continuait à le pilonner dans l’anus et qu’il lui donnait les derniers assauts avant de cracher.
Il aimerait qu’ils crachent en même temps, et ça lui paraissait possible.
Au moment où il sentait en lui la sauce monter, il accentua ses mouvements de branle autour du sexe de Julien, qui continuait à gémir.
- Je viens, eut-il le temps de lui dire.
- Moi aussi, répondit-il dans un souffle.
Et au même moment, au même instant, à la même seconde, les deux hommes éjaculèrent dans un cri de jouissance aigu et prolongé.
Julien sentait le jus d’Eric en lui, et Eric sentait le jus de Julien dans sa main et sur les draps.
C’était une communion totale. Intense.
Julien se décala pour se remettre sur le dos. Eric s’affala à côté de lui, sur le ventre.
- Putain, c’était bon.
- Comme jamais, lui répondit Julien.
- Ah oui ?
- Oui, vraiment, j’ai pris mon pied comme jamais, j’en peux plus, mais c’est trop bon...
Eric passa son bras de l’autre côté du cou du jeune garçon, se blottit contre lui, et se sentit envahi par une douce moiteur.
Julien ferma les yeux, et lui aussi se laissa aller, et même s’abandonna.
Ils ressentirent un profond bien-être, et ne tardèrent pas à s’endormir.
A suivre...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci de ce retour
Ça fait plaisir
Bonnes lectures
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Bonnes lectures
Belle histoires, parfaitement écrite !
J'ai moi aussi eu une belle initiation par un homme plus âgé (il avait 56 ans à l'époque), professeur de dessin qui m'a fait découvrir les plaisirs du sexe, j'en garde une beau souvenir.
Je suis maintenant plutôt hétérosexuel, mais adore lire de belles histoires homme/homme.
En tout cas tu as une très belle plume, continue !
J'ai moi aussi eu une belle initiation par un homme plus âgé (il avait 56 ans à l'époque), professeur de dessin qui m'a fait découvrir les plaisirs du sexe, j'en garde une beau souvenir.
Je suis maintenant plutôt hétérosexuel, mais adore lire de belles histoires homme/homme.
En tout cas tu as une très belle plume, continue !