Karien femme dévouée 3 - histoire érotique

Une fois rentré chez lui, Ludovic annonce la réussite du contrat et que maintenant, ils ont la tête hors de l'eau pour un bon bout de temps. Sa femme, heureuse de la bonne nouvelle, se jette dans ses bras et l'embrasse fougueusement.

Ludovic freine ses ardeurs et lui dit que le succès de l'opération, il le doit à sa collaboratrice. Sans lui parler de l'hôtel, il lui raconte tout. Sa femme, Adeline, le regarde en écarquillant les yeux et dit :

-Elle a couché avec ce type pour avoir le contrat !

Ludovic lui explique :

-Je n'ai pas assisté à l'ébat, mais je l'ai entendu, mon Dieu que c'était violent, je précise que Karine à fait cela pour sauver la boite et par la même occasion son emploi, ne crois pas que c'est une pute !

Il ajoute en souriant :

-Et toi ma chérie, tu aurais baisé avec le type pour avoir le contrat !

Adeline le regarde en le snobant de haut, et répond :

-Pour toi mon chéri, je ferai n'importe quoi !

Intérieurement, Ludovic jubile, après le diner, elle sort de la douche, vêtue d'une nouvelle nuisette transparente, qui lui arrive à mi-cuisses. Elle tourne sur elle-même et dit :

-Comment tu me trouves mon chéri !

En souriant, Ludovic lui répond :

-Comme d'habitude, très bandante ma chérie !

En riant aux éclats, Adeline lui dit :

-Prouve-le !

Rapidement, Ludovic retire son pantalon et en riant, court derrière elle, en boxer. Il la rattrape au salon et la plaque au sol. Les deux roulent sur le sol comme des lutteurs, ils rient en jouant comme des enfants. Adeline est radieuse, elle est euphorique, sûrement l'annonce de la bonne nouvelle qui la met dans cet état. Le bougre l'immobilise, avec une main, il lui retrousse la nuisette, et d'un geste Habile réussi, à lui retirer la culotte. Les deux rient aux éclats. La main de Ludovic se plaque sur la chatte de sa femme et la presse fortement. Adeline se cabre en grimaçant. Elle dit :

- ça mon cochon, tu vas me le payer !

Elle se débat tellement qu'elle a réussi à se dégager des bras puissants de son mari. Elle lui saisit la verge au travers du boxer et la tient fermement. Ludovic n'ose plus faire un mouvement, à chaque tentative, elle presse fortement la verge endormie. Le bougre demande grâce. Elle le regarde et toujours en riant, lui dit :

-Comme gage mon salaud, tu vas me sucer les doigts de pieds aller plus vite que ça !

Adeline s'allonge sur le canapé et lui tend un pied. Ludovic lui prend le pied et commence à sucer le gros orteil. Il suce et tète comme si c'était une bite. Adeline trouve cela agréable, elle ferme les yeux et se met à ronronner comme une chatte. Ludovic lèche entre les doigts, les suce un derrière l'autre. Jamais Adeline a ressenti des frissons pareils.
Ludovic repose le pied au sol et ouvre les cuisses de sa femme, il tend la main vers le puits d'amour, fait glisser ses doigts sur la fente garnie d'une fine toison soyeuse, il regarde sa femme et lui dit en souriant :

-Mais ma salope, tu es trempée, ça t'a excitée que je te suce les orteils hein avoues !

Adeline avec un petit sourire narquois lui répond :

-Et alors c'était agréable, j'ai adoré !


Ludovic fait le mec outré, il dit :

-Pour cela, tu mériterais que je te donne une bonne fessée !

Il joint le geste à la parole, il place sa femme au travers de ses jambes, et lui retrousse le fin tissu de la nuisette. Il caresse le fessier avant de donner le premier coup. Adeline se cabre, mais ne se dérobe pas. Plusieurs coups, plus violents les uns que les autres, marquent la peau sensible de la femme soumise.

Il cesse de frapper et caresse longuement les fesses pour couper le feu qui brûle la peau. Sa main passe entre les cuisses et frotte doucement la vulve inondée. Il lui murmure à l'oreille :

- Ma cochonne, même la fessée te fait mouiller, je vais te prendre comme une bête pour te calmer !

Il enfonce trois dans la chatte en ébullition, et la ramone vivement. Adeline ne peut retenir ses gémissements, elle agite son bassin pour que les doigts s'enfoncent bien profondément en elle. Le pilonnage dure un bon moment, Adeline défaille. Elle pousse un cri lorsque son mari lui attrape le clito. Avec détermination, Ludovic le branle jusqu'à ce que sa femme jouisse.
Il bande comme un poney, il extirpe de son boxer sa queue qui oscille sur son bas-ventre. Il l'enfonce jusqu'aux couilles dans le ventre d'Adeline qui se cabre comme un cheval fougueux. Il s'accroche à ses hanches et la démonte comme un sauvage.

Adeline geint comme une bête blessée, sa bouche est déformée par une moue affreuse, elle grimace en agitant sa croupe. La bite infatigable de son mari voyage dans son ventre en la faisant geindre de plaisir. Ludovic cherche autre chose, il profite que sa femme est chaude comme de la braise, pour lui demander :

-Je te propose de joindre une autre personne à notre baise, oh comme j'aimerais te voir jouir avec d'autre, te prendre en double, j'en rêve depuis longtemps, tu es d'accord ma salope d'amour !

Sous l'excitation, Adeline est prête à tout, mais il faut voir à sang frais. Il répète :

- Alors, tu es d'accord, tu veux subir une défonce totale, faire des trucs inhabituels, répond ma chérie !

Ludovic la démonte fermement, il veut la faire craquer. Il lui pose toujours la même question. Au bord de l'explosion, elle finit par dire :

-Oui, oui, je ferai tout ce que tu veux, oh putain, je jouis, oui, oui, plus fort, plus fort !

Une jouissance terrible lui secoue les entrailles. Une fois qu'il lui a déversé son sperme dans le ventre, il se blottit contre elle et lui caresse doucement le corps. Lentement, la jouisseuse s'apaise. Il l'embrasse fougueusement et lui dit en faisant l'innocent :

Ah, j'oubliais, nous sommes invités à déjeuner demain chez ma collaboratrice Karine, et son mari Roman. Adeline acquiesce, prend la main de son mari et monte se coucher, elle sait que son mari va encore la baiser, aujourd'hui, elle est insatiable, c'est pour cette raison qu'elle ne se lave pas, elle est heureuse de participer aux délires de son mari aussi étranges qu'ils soient.

Après une seconde défonce redoutable, Ludovic s'endort. Adeline, elle, est rêveuse, elle pense à la proposition de son mari, qui est de faire l'amour à plusieurs. Cela la trouble, mais l'excite à la fois, elle s'agite. Son fruit commence à suinter, elle le presse pour calmer son excitation, mais rien n'y fait. Elle s'imagine être prise par deux mâles puissants, malmenée par leurs bites vigoureuses. Elle qui n'a jamais connu que son mari, serre les dents, ses doigts commencent à s'agiter sur sa fente, la fouille profondément, agressent sauvagement son clito. Elle se branle rageusement et arrive à ses fins, sa jouissance est terrible. C'est en respirant rapidement, en ayant honte de son acte, qu'elle s'endort.


Le lendemain matin, ses pensées reviennent, elle se blottit contre son mari en ronronnant. Jamais il ne l'a vu dans un état aussi câlin. Il lui passe sa main sous la nuisette, lui caresse la chatte, enfonce trois doigts ramone doucement le conduit. Puis porte ses doigts à son nez. Il sourit et dit en regardant sa femme droit dans les yeux :

-Hum, tu sens encore le sperme et la mouille d'hier ma chérie, c'est trop bon ça, tiens suce !

Il lui offre ses doigts à sucer. Sans rechigner, Adeline suce un après l'autre les doigts enduits de liquide vaginal. Ludovic ne reconnait plus sa femme, elle, si nareuse, et bien là, elle met du cœur à l'ouvrage. Le léchage se fait de plus en plus vorace. Ludovic en souriant lui dit :

-Oh ma chérie, une bonne bite te serait salutaire, je crois !

Puis, il lui glisse à l'oreille :

-Tu te souviens de notre petite conversation d'hier ma chérie !

Adeline se racle la gorge avant de répondre :

-Hum, hum, oui, pourquoi cette question !

Son mari lui répond avec une voix mielleuse :

-Il faut vraiment que tu passes à l'étape supérieure ma chérie !

Adeline le regarde et demande :

-C'est quoi l'étape supérieure Ludovic !

Un peu gêné, il répond :

-Nous ont avant parlé hier, tu étais d'accord, pour recevoir une autre bite dans ton corps, tu ne t'en souviens plus !

Adeline ravale sa salive et répond en fuyant le regard de son mari :

-Non, je n'ai pas oublié, tu sais que je ne suis pas très douée, j'hésite, je ne veux pas passer pour une ignare trop naïve des plaisirs du sexe, et d'abord, tu me vois le faire avec qui, je suis sûr mon cochon que tu as quelqu'un en tête !

Ludovic est un peu embarrassé, mais il répond franchement :

-Eh bien oui, j'avoue, je t'imagine avec Roman, le mari de Karine !

Adeline reste un moment sans voix, et demande :

-Il est comment cet homme !

Ludovic répond :

-C'est un très bel homme, d'ailleurs, tu le verras tout à l'heure au déjeuner !


Adeline, dubitative en fronçant les sourcils, dit :

-Mais qu'est-ce qui te dit que je lui plairai !


Son mari en souriant :

-Il ne peut te résister, tu es trop belle ma chérie !

Adeline se pince les lèvres et dit :

-Je suis certaine que vous avez déjà parlés de moi, et que vous avez mûris ce projet !

Ludovic ne fuit pas et répond :

-Oui, c'est vrai, je ne peux le nier, et je t'avoue aussi que j'ai couché avec la sienne, donc lui par vengeance, il te veut !

Adeline reste un moment sans voix, elle vient de recevoir un coup de poignard dans le dos. Puis en serrant les dents, elle dit :

-Cela fait combien de temps que tu baisses ta collabo hein, dis la vérité, espèce de salaud !

Ludovic, en baissant la tête, répond :

-Je t'assure qu'une seule fois après avoir signé le contrat !

Mais au lieu de ruer, Adeline reste un long moment pensive, et répond en le toisant du haut en bas, réplique :

-Bon puisqu'avec Roman ce n'est que vengeance, alors j'accepte, j'espère que ta pouffiasse, sera présente, c'est pour cela qu'ils nous ont invités aujourd'hui !

Ludovic n'en croit pas ses oreilles, il jubile intérieurement. Il préfère éviter la discussion. L'heure tourne, Adeline se pomponne, elle veut plaire à son futur amant.