L'architecte - histoire érotique

Ma boite vient de remporter un appel d'offres pour un chantier de rénovation, sur Marseille.
Je ne suis pas trop enchanté de la situation, je suis contraint de partager une chambre d'hôtel avec un camarade de travail.

Tous les soirs, je m'ennuie copieusement !

Le chantier est dirigé par un chef de chantier, sympathique, mais qui ne nous intéresse nullement pour cette histoire !
Il dirige nos travaux, sous les consignes d'un architecte, que je trouve assez imbu de sa personne.
L'homme est âgé, assez imposant, il ne nous adresse jamais la parole !
On ne doit être que du "petit personnel" pour lui !

Comme le chantier est proche d'un quartier "chaud", je cède au besoin de rencontrer des hommes en allant au cinéma porno du quartier !
Ca me procurera du plaisir, et ça m'occupera bien mieux, que de rester avec mon copain de chambre !

La soirée se déroule parfaitement.
Est-ce parce que je suis à Marseille ? Toujours est-il que je me fait défoncer par deux blacks, avec des bites bien longues, entre autres !
Je me coucherai avec le goût du foutre, du dernier, dans la gorge !

Le lendemain, je remarque un changement de regard et de comportement, de la part de l'architecte !
Le chef de chantier, vient me dire qu'il m'attend dans une pièce qui lui est réservée, pour me parler.
Je m'y rend sans savoir pourquoi !

"Bonjour, monsieur ! Vous voulez me voir ?".
"Oui, fermez la porte à clefs derrière vous !".

Il reprend:

"Ils t'ont plus les films ?".
"Les films ?".
"Oui, les films de cul ! Je te demande ça, parce que t'avais l'air plus intéressé par la bite de ceux qui étaient dans le cinéma ! Tu m'as l'air très gourmand, d'ailleurs !".

Je blêmis, je me raidi, j'ai toujours peur d'être en position de faiblesse ! Qu'on révèle mon homosexualité au grand jour !
Il ajoute, en souriant, et en étant visiblement heureux d'avoir acquis un grand pouvoir sur moi.

"Viens me montrer, comment tu suces ! Petite salope !".

Il se tourne sans se lever de son fauteuil de bureau.
Je m'avance sans deviner qu'il était déjà entrain de se branler !
Il a sa verge tendue à l'extrême !

Timidement, je m'accroupi devant lui, entre ses jambes.
Je dépose quelques coups de langues sur son gros gland, pendant que je sens le contact de ses deux mains sur ma nuque.

Il murmure:

"Hummm ! Orhhh ! C'est bon ! T'es doué ! Je sens qu'on va bien s'amuser tous les deux !".

Je commence à saliver sur sa bite, ce qui m'aide à coulisser plus amplement sur elle.
Il constate mon réel plaisir à le sucer !

"Elle te plait ma bite ? Tu aimes la sucer ?".
"Hummmm ! Gllllllllllllrp ! Oui ! Elle est bonne ! Mais je m'attendais pas à vous faire ça !".
"Hummm ! C'est ça qui est génial ! Personne ne le saura ! Ca te dis de dormir chez moi ? Je vis seul !".
"Mmmmm ! Glllllllllrp ! Mmmmmmm ! Oui ! Ce serait plus pratique pour moi ! Mmmmmm !...".

Je régale en lui léchant la verge sur toute la surface, je lui gobe les couilles de nombreuses fois.
Il râle de plaisir, à chaque fois que je le pompe avec frénésie, en me défonçant la gorge.

Il explose sans me prévenir, ce sont le gout poivré de son sperme, et ses râles qui me préviennent de son éjaculation !

"Arghhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! Orhhhh ! Putain, jeune ! Tu me fais jouir ! Avales ! Arghhhhhhhhhhhh ! ...".

J'avale tout son jus, bien goulument, comme un affamé !

"Arghhhhhhhhhhhh ! Quelle salope ! Putain, vivement ce soir ! Orhhhhhhhhhhh ! C'est bon !".

Il termine son insémination buccale, puis me redresse le visage:

"Hummm ! C'était génial ! Comment tu t'appelles déjà ?".

J'ingurgite le reste de sperme encore dans ma gorge.

"Gllllrp ! Pascal ! Merci, c'est gentil ! J'adore donner du plaisir à un homme !".
"Ca se voit ! Tu dors où ?".
"Avec un copain, à l'hôtel !".
"Trouves une excuse ! Tu viens chez moi, ce soir ! J'ai envie de te baiser maintenant !".
"Je trouverai un prétexte ! A ce soir ! Et merci, c'était agréable !".

Je donne l'excuse qu'un ami Marseillais m'a proposé de dormir chez lui.
Le reste de ma journée, fut un peu perturbée par mes pensées perverses.
Je n'arrivais plus à chasser les images de cette queue juteuse dans ma gorge, et ce gout puissant de foutre poivré !
Dès lors, quand on le critiquait, je me taisais, il avait d'autres qualités pour moi !

Puis, en fin de journée, Armand, l'architecte, m'attend au bout de la rue, pour m'emmener chez lui.
A peine, à t'on passé la porte, qu'il m'empoigne, et m'impose un baiser interminable et vicieux, pendant lequel, je lui malaxe la verge, et lui, se concentre sur mon cul !

Je me place à l'équerre, en lui dévorant la bite.
Il peut ainsi me défaire les vêtements.
Je me retrouve nu avant lui, il me pousse vers un large fauteuil.

Je lui tourne le dos, il se baisse pour me saliver l'anus, puis se dresse pour positionner son gros gland entre mes fesses.

"Putain ! Pascal, tu m'excites ! J'ai pas l'habitude de mélanger le boulot et le cul ! Mais je peux pas rater cette occasion de te baiser !".
"Orhh ! Tant mieux ! Je suis content que tu m'ais vu ! Je préfères utiliser mon temps à me faire baiser, plutôt que m'emmerder à l'hôtel !".

Je sens déjà son gros gland qui pousse et m'écartèle l'œillet anal.
Il gagne en profondeur à chaque retour dans mon anus.
On pousse un long râle commun, lors de sa très lente progression, jusqu'à me toucher le fond du cul.

"Orhhhh ! Pascal ! Je suis trop bien ! C'est bon !".
"Orhhhh ! Pour moi aussi ! C'est trop bon !".

Sa verge n'atteint pas les dimensions extrêmes que j'ai déjà encaissé avec d'autres amants, mais il me rempli parfaitement le cul, quand même !

Il me possède sans se précipiter, chaque montée de plaisir anal est supérieure à la précédente !
Je vis plusieurs orgasmes puissants, qui le rendent fou de bonheur, il aime me faire jouir du cul !

Quand à moi, je réalise que son endurance est exceptionnelle !
Il me tourne et me place sous lui, en m'ouvrant les cuisses, pour m'enculer encore et encore, en m'embrassant.

Je lui fait ressentir mes orgasmes, entre ses lèvres et sa langue qui me fouille la gorge.

Il est encore plus motivé, lorsque j'éjacule entre nos deux ventres, sans me toucher la queue.
Puis, mes râles se mêlent aux siens, nos lèvres sont toujours collées.
Sa verge est plantée dans mon cul, bien profondément, prise des secousses du déversement de son sperme.
Le moment est parfait, et on le fait durer le plus longuement possible !

Il me relève le cul et me demande de chasser son insémination !
Le sperme coule entre mes lobes fessiers.
Quand j'ai tout rejeté, il me plante, encore de nombreuses fois, sa grosse verge.

Il profite qu'il est encore bien dur, pour me baiser jusqu'à me donner un dernier orgasme anal !

Ensuite, il m'entraine sous sa douche, où on échange de nombreux baisers et caresses sensuelles !
Pour ce premier jour, il m'impose de manger à l'extérieur, puis on rentrera nous coucher.

La nuit fut intense et brève ! On subissait l'effet grisant de la nouveauté, tous les deux !

Je lui ai dévoré la bite en le réveillant, jusqu'à le boire avec gourmandise, il a adoré ça !

Chaque lundi, j'avais bien plus envie d'aller bosser sur Marseille, à présent !
Mon camarade de travail, était loin de se douter que l'architecte me cassait le cul tous les soirs de semaine !
Sans compter des petits "extras" sur le chantier !
Toujours dans le bureau provisoire. Pour aller plus vite, il m'enculait directement !
Putain, ce que j'aimais ça ! Bosser au milieu des autres, avec du sperme dans l'anus, c'est délicieusement pervers !
Ca n'a duré qu'un mois, mais c'était intense et génial !

Il n'était pas question de sentiment entre nous, que du partage de sexe et de perversité !
J'aimais sa capacité à me parler crument quand il me baisait !