L'étudiant - histoire érotique

...Ils passèrent une annonce sur une application de rencontre sexuelle : « femme blanche mariée cherche homme noir bien équipé pour cocufier son mari avec. Photo du sexe exigée avant la première rencontre. Pas sérieux, s’abstenir ! » Jerry.-Tu ne trouves pas que le « photo du sexe » exigée fait un peu trop sérieux, du genre, CV exigé ? On dirait une offre d’emploi ou un truc dans le genre.
Kate.-C’est nécessaire. Comme ça au moins ils savent ce qu’on cherche et ce qu’on ne cherche pas ! Cela laisse peu de place aux malentendus et aux mauvaises surprises.
Jerry.-Tu as raison ! Ça m’excite d’imaginer tes prétendants lire cette annonce comme ça m’excite d’imaginer tes prétendants baiser avec toi. Hum !
Kate.-Moi aussi ça me fait mouiller d’imaginer leurs grosses bites noires dans ma chatte blanche ! Leurs grosses bites qui baisent la chatte de ta femme...
Ils étaient très émoustillés. Ils firent l’amour plusieurs fois. Durant l’acte, Jerry imagina plusieurs fois sa femme baisant avec un Noir au pénis impressionnant, chaque fois qu’il se représentait sa femme couchant avec un Noir, son excitation augmentait puis après masturbation cela s’achevait en éjaculation ; quant à Kate, chaque fois qu’elle s’imaginait avec un homme Noir, cela la faisait mouiller.

Quelques jours plus tard, lorsqu’ils se connectèrent sur l’application de rencontre sexuelle, ils s’aperçurent qu’ils avaient reçu une multitude de messages. Ils commencèrent à faire le tri parmi toutes ces bites en érections qui la plupart du temps n’étaient pas noires, ou quand elles l’étaient, n’étaient pas de la dimension adéquate.
Jerry.-Tu penses quoi de lui ? Il s’appelle David.
Kate.-Hum... sexy !
Jerry.-Il est monté comme un âne ! Elle est terrifiante sa queue ! Elle va élargir ton vagin !
Kate.-Si seulement tu avais la même bite que lui, nous n’aurions pas à passer ce genre d’annonce.
Jerry.-C’est vrai. La vie est injuste ! J’aurais aimé avoir une grosse bite !
Jerry fit un cunnilingus à Kate. Il la fit jouir avec sa langue, ses lèvres, ses doigts. Elle lui fit une fellation en retour. Il éjacula dans la gorge de sa femme lorsqu’il imagina Kate sucer le gros pénis de David.

La date du rendez-vous sexuel arriva. Depuis qu’il avait lu l’annonce du couple sur Internet et depuis qu’il avait vu les photos du corps nu de Kate, une excitation neuve avait germé en David : une graine avait été implantée en lui lors de la première lecture de l’annonce, elle avait été arrosée par la réponse du couple à sa candidature, elle avait germé lors de l’établissement du rendez-vous, elle avait crû lors de ses masturbations devant les photos nues de Kate, il ne restait plus que la consommation charnelle à cette graine pour qu’elle porte des fruits.

Il faisait nuit. Nous étions un samedi. David roulait. Il passa un appel via le véhicule à Kate. La tonalité de l’appel téléphonique se mit à résonner dans tout l’habitacle. Kate décrocha.
Kate.-Allô !
David.- Bonsoir !
Kate.-Bonsoir !
David.-C’est David. J’appelle pour confirmer le rendez-vous de cette nuit.
Kate.-Oui c’est OK.
David.-Je ne te dérange pas au moins ?
Kate.-Non, tu ne me déranges pas du tout !
David.-Tu es où ?
Kate.-Je suis dans la chambre d’hôtel. Je t’attends. Et toi, tu es où ?
David.-Je suis au volant. J’arrive.
Kate.-Tu fais attention à la route et attention à l’amende pour conduite au téléphone !
David.-T’inquiète, je conduis sans les mains. Il est où ton mari ?
Kate.-À la maison. Ça l’amuse de faire le taxi chauffeur pour sa femme !
David.-C’est un bon mari.
Kate.-Un bon cocu surtout !
Ils rirent.
David.-Je suis en train de bander là dans la voiture !
Kate.-Hum… j’aime quand un homme me parle de sexe.
David.-Moi aussi je suis comme toi, sauf que moi c’est le contraire, exactement le contraire, j’aime quand une femme me parle de sexe, c’est même plus excitant que l’acte lui-même quand c’est bien fait ; c’est pour cela que les chansons sexuelles se vendent beaucoup. Tu es comment là ? Vêtue ou déshabillée ?
Kate.-Vêtue !
David.-Je veux que tu te mettes en petite tenue.
Kate.-C’est fait.
David.-Met le haut-parleur !
Kate.-C’est fait.
David.-Je veux que tu te doigtes, que tu m’imagines me masturber en pensant à toi... glisse tes doigts dans ta petite culotte... frotte ton clitoris en imaginant que c’est ma main qui te caresse la chatte... imagine tout le plaisir que je vais te donner cette nuit... frotte ta vulve vigoureusement !…
La nuit recouvrait la ville. Jerry, assis au salon, ne parvenait point à figer son attention sur le match de baseball qu’il était en train de regarder. Les Chicago Cubs contre les Pittsburgh Pirates. Il gardait l’attention mouvante comme sa bite qui passait de demi-molle à totalement dure, alternant les deux états selon sa perméabilité à l’idée que sa femme était en train de se faire baiser dans une chambre d’hôtel par une grosse verge noire. À sa décharge, le match de baseball manquait d’intérêt car déséquilibré, une équipe menait outrageusement au score, il était certain pour tout le monde que les Chicago Cubs gagneraient.
Jerry se leva. Il avait décidé d’abandonner la partie. Son ordiphone en main, il pénétra la salle de bain. Il était mû par une pressante envie de revoir sa femme nue et de revoir le braquemart du jeune homme noir qui la baisait. Il lança l’application de rencontre sexuelle. Il baissa son froc, son caleçon, puis se mit à masturber son pénis en érection tout en lisant les commentaires échangés entre son épouse et son amant ; tout en regardant leurs sexes, il les imaginait au lit ! Il se masturba plusieurs fois, éjacula plusieurs fois, mais son excitation restait intarissable, sa frénésie insatiable... *Extrait de "Baise-moi devant mon mari !" par Hujambo Korodani.