La table
Récit érotique écrit par Hujambo Korodani [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 49 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2022 dans la catégorie Fétichisme
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Couleur du fond :
La table
...Sous la table, où il se trouvait, avec la culotte d’une femme mariée en main, son pénis le démangeait. Là haut sa bouche à elle continuait de causer avec les autres et son mari comme si de rien n’était pendant qu’en dessous son vagin observait l’homme et qu’il comptait en profiter !
Il porta la culotte noire à son nez. La culotte noire chauffa son visage. Il inspira, ses narines perdues dans les odeurs intimes qu’avait laissées le vagin sur le sous-vêtement féminin. Le paradis en tissu ! Il aimait cette odeur et aurait voulu que le temps s’arrête pour respirer éternellement ces phéromones féminines. Mais il devait tôt où tard émerger. Émerger hors des arômes vulgaires. Un mouvement bref mais vif ! Ce fut un mouvement bref qu’il détecta très vite. Elle ouvrit les cuisses.
La nuit s’étendait jusque dans leur chambre. Le temps indiquait 23H. Il ne parvenait pas à s’endormir. Elle restait sous les couvertures. Il ne voulait pas la réveiller. Les couvertures étaient trop lourdes pour la tirer hors d’elles ! Et pis, il ne voulait pas déranger ; et pis, les femmes, au début elles se servent de votre corps comme couverture, et puis un jour elles vous remplacent par des couvertures !
Il se sentait coupable et honteux de le faire en sa présence, c’est pourquoi, il s’obligeait à le faire lorsqu’elle s’était endormie.
Il ramassa son mobile multifonction. Il relia les écouteurs au téléphone intelligent. Il régla au maximum le son, se connecta à YouTube, puis mit la musique pour vérifier que le son ne s’entendait pas de l’extérieur. Le son déroutait car il pouvait en même temps être aussi claire et sonore à l’intérieur des écouteurs tout en restant vide et silencieux à l’extérieur des écouteurs.
Ainsi rassuré, il remit les écouteurs aux oreilles puis se connecta sur un site pornographique. Il n’était pas très difficile niveau goût ; il aimait les vidéos amateures, celles au style non professionnel ; il préférait le candaulisme, le triolisme, tout ce qui était lié au partage sexuel ; il appréciait quand les femmes mariées dominaient et humiliaient leurs maris soumis ; il avait aussi ce truc sur les bagues de mariage : il trouvait très excitantes les scènes qui mettaient en évidences l’alliance au doigt des femmes mariées pendant qu’elles baisaient l’amant devant leur mari...
La nuit s’étirait et il était entraîné dans un tourbillon pornographique infini alimenté par l’intelligence artificielle qui le bombardait littéralement de vidéos pornographiques de plus en plus addictives et précises, de plus en plus ses préférences, de plus en plus ses vices, qui se transformaient en sévices, de délicieux sévices ! C’était comme si un rocher auquel ses pieds auraient été liés l’entraînait progressivement vers le fond inexorablement.
Chaque découverte d’une nouvelle vidéo de ses catégories préférées étaient comme la découverte d’un cadeau surprise ; le titre et la miniature de la vidéo vous mettaient l’eau à la bouche, après pour découvrir le goût de la vidéo, il faillait cliquer dessus.
Sa nouvelle vidéo de la nuit était une de ces basiques vidéos dans la quelle un mari filme les ébats de sa propre femme avec un autre homme ; l’épouse était allongée sur l’amant au gros pénis préservé qui tutoyait son vagin qui s’y encastrait répétitivement à chaque nouvelle monté puis nouvelle descende des fesses féminines. La caméra, issue d’un mobile multifonction tenu à la verticale, qui filmait la scène, tremblait un peu, manifestant l’émotion du mari qui voyait sa femme coucher avec un autre devant lui. Roger avait l’impression de vivre à la première personne cette scène et d’être présent avec les trois protagonistes.
Et puis, il y avait cette obstination, ce focus sexuel quasi obsessionnel, du mari, à cadrer le plus près possible la jonction du vagin de sa femme et du braquemart rival.
Roger introduisit sa main entre ses cuisses. Ses doigts atteignirent son pénis en érection. Il roula sa main sur sa verge et son gland. Il imagina sa femme Sandra. C’était elle maintenant qui se faisait baiser par la grosse queue plastifiée ! Ses fesses à elle qui se soulevaient puis qui abaissaient sur le gros sexe d’un amant. Ses battements de cœur s’accélèrent. Il mouilla sa main…
*Extrait de "Baise-moi devant mon mari !" par Hujambo Korodani.
Il porta la culotte noire à son nez. La culotte noire chauffa son visage. Il inspira, ses narines perdues dans les odeurs intimes qu’avait laissées le vagin sur le sous-vêtement féminin. Le paradis en tissu ! Il aimait cette odeur et aurait voulu que le temps s’arrête pour respirer éternellement ces phéromones féminines. Mais il devait tôt où tard émerger. Émerger hors des arômes vulgaires. Un mouvement bref mais vif ! Ce fut un mouvement bref qu’il détecta très vite. Elle ouvrit les cuisses.
La nuit s’étendait jusque dans leur chambre. Le temps indiquait 23H. Il ne parvenait pas à s’endormir. Elle restait sous les couvertures. Il ne voulait pas la réveiller. Les couvertures étaient trop lourdes pour la tirer hors d’elles ! Et pis, il ne voulait pas déranger ; et pis, les femmes, au début elles se servent de votre corps comme couverture, et puis un jour elles vous remplacent par des couvertures !
Il se sentait coupable et honteux de le faire en sa présence, c’est pourquoi, il s’obligeait à le faire lorsqu’elle s’était endormie.
Il ramassa son mobile multifonction. Il relia les écouteurs au téléphone intelligent. Il régla au maximum le son, se connecta à YouTube, puis mit la musique pour vérifier que le son ne s’entendait pas de l’extérieur. Le son déroutait car il pouvait en même temps être aussi claire et sonore à l’intérieur des écouteurs tout en restant vide et silencieux à l’extérieur des écouteurs.
Ainsi rassuré, il remit les écouteurs aux oreilles puis se connecta sur un site pornographique. Il n’était pas très difficile niveau goût ; il aimait les vidéos amateures, celles au style non professionnel ; il préférait le candaulisme, le triolisme, tout ce qui était lié au partage sexuel ; il appréciait quand les femmes mariées dominaient et humiliaient leurs maris soumis ; il avait aussi ce truc sur les bagues de mariage : il trouvait très excitantes les scènes qui mettaient en évidences l’alliance au doigt des femmes mariées pendant qu’elles baisaient l’amant devant leur mari...
La nuit s’étirait et il était entraîné dans un tourbillon pornographique infini alimenté par l’intelligence artificielle qui le bombardait littéralement de vidéos pornographiques de plus en plus addictives et précises, de plus en plus ses préférences, de plus en plus ses vices, qui se transformaient en sévices, de délicieux sévices ! C’était comme si un rocher auquel ses pieds auraient été liés l’entraînait progressivement vers le fond inexorablement.
Chaque découverte d’une nouvelle vidéo de ses catégories préférées étaient comme la découverte d’un cadeau surprise ; le titre et la miniature de la vidéo vous mettaient l’eau à la bouche, après pour découvrir le goût de la vidéo, il faillait cliquer dessus.
Sa nouvelle vidéo de la nuit était une de ces basiques vidéos dans la quelle un mari filme les ébats de sa propre femme avec un autre homme ; l’épouse était allongée sur l’amant au gros pénis préservé qui tutoyait son vagin qui s’y encastrait répétitivement à chaque nouvelle monté puis nouvelle descende des fesses féminines. La caméra, issue d’un mobile multifonction tenu à la verticale, qui filmait la scène, tremblait un peu, manifestant l’émotion du mari qui voyait sa femme coucher avec un autre devant lui. Roger avait l’impression de vivre à la première personne cette scène et d’être présent avec les trois protagonistes.
Et puis, il y avait cette obstination, ce focus sexuel quasi obsessionnel, du mari, à cadrer le plus près possible la jonction du vagin de sa femme et du braquemart rival.
Roger introduisit sa main entre ses cuisses. Ses doigts atteignirent son pénis en érection. Il roula sa main sur sa verge et son gland. Il imagina sa femme Sandra. C’était elle maintenant qui se faisait baiser par la grosse queue plastifiée ! Ses fesses à elle qui se soulevaient puis qui abaissaient sur le gros sexe d’un amant. Ses battements de cœur s’accélèrent. Il mouilla sa main…
*Extrait de "Baise-moi devant mon mari !" par Hujambo Korodani.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Dans tout vos récits les mecs ont perdu leurs couilles en route.
Bref vous avez bien fait de tout stopper.
Bref vous avez bien fait de tout stopper.