Le coucher du soleil
Récit érotique écrit par Hujambo Korodani [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le coucher du soleil
On avait l'habitude de partir dans le nord de la France durant le mois d'août. Notre destination n'était pas la même cette année-là. Je dus beaucoup insister pour qu’il accepte de partir dans le sud-ouest. J'étais contente même si je savais que je passerais mes journées à la plage, toute seule, pendant que Franck serait accaparé par les statistiques des matchs de foot. Je n'ai jamais compris les règles de ce sport, ça ne m'intéresse pas ; quand on me dit football, je pense aux millionnaires grossiers tapant un ballon ! Franck en est passionné, je respecte sa passion, mais j'aimerais qu'il s'occupe plus de moi, qu'il me touche, me sente… « Tu viens avec moi à la plage ? » : aucune réaction, les yeux rivés sur son téléphone, sûrement en train de regarder les pronostics du match de ce soir. J'avais beau tourner autour de lui avec ma nouvelle robe, il ne me jeta aucun regard ! Voyant que je ne l'intéressais pas, je pris mes affaires puis je partis à la plage. Le soleil tapait fort en ce début d'après-midi. J'arrivai à hauteur du parking. Il était bondé. Les voitures tournaient entre elles dans l'espoir de trouver une place. Je continuai ma marche. Je pris le sentier en hauteur. Je croisai quelques surfeurs plutôt mignons, la planche sous le bras, qui me reluquèrent au passage. Je me suis dit que c'était normal, qu’une femme seule attire les regards, surtout à la plage, et puis, à leur âge, les hormones sont à leur paroxysme. À presque quarante ans, mon mari ne me regardait plus comme ça, trop occupé par les classements des différents championnats européens et ses paris footballistiques.
Le sable s’étendait infiniment comme un tapis difforme mitraillé par les pattes humaines. J'enlevai les tongs puis posai mes pieds sur ce sable chaud. Quel bonheur ! J’avais l’impression de me faire délicatement masser la plante des pieds. Je m'approchai du bord de l'océan, marchai le long du rivage, les pieds dans l'eau. Je levai la tête : l’endroit était parfait ! J’eus envie d’aller tout en haut de la plage, au pied de la dune. Je quittai le bord de l'eau pour aller m'installer contre la barrière séparant la plage et la dune. Après avoir posé mon sac, je vis une serviette bleue sur la clôture, elle semblait abandonnée, là, en jachère, comme un champ pas ou peu cultivé, comme mon vagin peu labouré. « ...serviette, bienvenue au club des oubliées !… ». J’étalai la mienne le sable.
Sur le dos, étendue, le soleil cuisait mon corps, brûlants, ses rayons me pénétraient et répandaient leur chaleur en moi : j’avais l’impression d’être un panneau solaire. Je me souvins tout d'un coup de mon reflet dans le miroir l'année dernière. Les traces de bronzage du soutien-gorge m'ont vraiment embêtée. « ...Cette plage n'est pas naturiste mais, après tout, ce ne sont que des seins !… » Après une longue hésitation, je dégrafai mon haut de maillot qui dévoila au monde ma généreuse poitrine. Je m'allongeai, mes deux obus pointant le ciel. Mes yeux se fermèrent sous la chaleur. Je me perdis dans mes pensées. Avant de m'endormir, il m'arrive parfois de m'imaginer des histoires érotiques : j'ai besoin de ça. Franck ne me touchant plus, mes doigts apaisent ma détresse sexuelle. Je rêve souvent de douceur, de câlins, de bisous dans le cou… Mais la plupart du temps, la violence prend le dessus. Les fessées, les mots crus, la soumission… C'est ce que j'aime vraiment. C'est ce qui me fait mouiller. Franck ne savait pas faire ça.
J'entendis du bruit à côté de moi. J’ouvris les yeux, me redressai. Un homme se trouvait à côté de moi, à ma droite, debout, il était en train de s'essuyer la tête avec la serviette bleue qui était posée sur la barrière, il ne me voyait pas. Je le regardai durant quelques secondes puis tournai mon regard vers l'océan lorsqu'il releva la tête. J’esquissai un sourire, reposai mon regard sur lui. Il était encore là, il avait reposé la serviette, il regardait maintenant l'horizon, les deux mains sur les hanches. Un brun, cheveux courts, barbu, la trentaine environ. Mes yeux parcouraient son corps, un buste impressionnant, une musculature bien développée, les bras, les épaules, les pectoraux, les fessiers, les mollets, le pénis peut-être, tout son corps avait été modelé dans la salle de musculation, un esthète !
D'habitude, je n'aime pas ce genre de physique qui s’accompagne la plupart du temps d’une personnalité narcissique, pour ne pas dire ultra-narcissique ; c’était sûrement le contexte, la plage, le soleil, la chaleur, le maque sexuel, qui me rendait très agréable le spectacle de son corps plein de vigueur, de ses abdominaux légèrement dessinés, de son sexy petit short bleu, ce bout de tissu qui laissait transparaître une bosse démesurément grosse et gonflée ! Ça devait être quelque chose de baiser avec lui.
Ma température corporelle augmenta, ma langue humecta mes lèvres, je me sentais toute bizarre, j’étais en train de perdre le contrôle, cela devenait dangereux ! Je repris mes esprits. Je levai la tête en espérant croiser son regard. À mon grand étonnement, je retrouvai ses yeux fixés sur ma poitrine ! Il faut dire que ce n'est pas à chaque coin de rue qu'on voit des gros seins. Nos regards se croisèrent, j'aperçus un léger sourire sur ses lèvres. On se regarda quelques secondes. Je tournai la tête, gênée. Je pensais à mon mari. Je ne pouvais pas lui faire ça. On s'était promis fidélité. Mais Franck avait changé depuis, il n'était plus l'homme que j'avais choisi d'épouser. Je regardai le soleil qui descendait petit à petit. Cela faisait maintenant une bonne demi-heure que nos regards s'étaient croisés et qu'il était assis face à l'océan. Je sentis soudain un mouvement à ma droite. Il commençait à partir, la serviette sur l'épaule. Je le regardai s'en aller lorsque quelque chose tomba de sa poche. Je ne sais pas ce qui m'a pris mais j'ai quitté ma serviette et couru comme une folle pour le rattraper.
« Monsieur, monsieur ! » Il se retourna, étonné. Je ramassai ce qu'il avait laissé tomber. J’apportai son bout de papier. Sourires.
-Vous avez dû faire tomber ça de votre poche !
-Ah oui merci, mais… Il me regarda, hésita un moment. Il me redonna le papier.
-Si vous êtes libre ce soir, on pourrait peut-être se revoir ?
Sa voix gravement virile me choqua ! Elle semblait sortie des profondeurs d’un autre âge. Je ne savais pas quoi dire. Je me contentai de sourire. J’avais une folle envie de le toucher mais je n’osais pas. Il brisa le silence : « réfléchissez-y ! Si vous venez, demandez la table 69... » Il se retourna puis reprit sa route. Je restai là, figée, le papier entre les doigts. Il y était inscrit le nom d'un restaurant : « Le Mirador ». Je retournai à ma serviette. Je rangeai mes affaires. Je retournai à l'appartement où je retrouvai Franck encore devant son téléphone intelligent.
-Tu aurais dû venir à la plage, ça fait du bien !
-J'ai du travail Bianca, c'est un match important ce soir.
À peine avait-il fini sa phrase que son téléphone sonna : « allô ? Ouais salut Marc ! Tu vas bien ? Bon écoute, là j'ai une putain de stratégie, c'est sûr qu'on les baise ce soir ! » En entendant ces paroles, le déclic me vint. « ...Il faut absolument que je baise ce soir !... » me dis-je. Je m'étais mis cette idée en tête. J'étais prête à tout pour assouvir mes pulsions sexuelles.
Je suis allée dans la chambre pour me changer. Je suis directement entrée dans la douche pour désensabler ma peau. Je repensais à cette bosse, à ce corps, à cette voix, à toute cette vigueur physique et sexuelle. Mes doigts glissèrent le long de mon ventre, mon pubis, ils atteignirent mon vagin. J’imaginais les doigts rigides de l’inconnu frotter fiévreusement mon vagin, me provoquer des écoulements plaisants sur mon clitoris. Mes doigts frottaient ma vulve en visualisant le braquemart de cet inconnu. Un frison m’enveloppa : ce n’était pas la première que je pensais sexuellement à un autre homme en présence de mon mari, mais c’était la première fois que ces pensées étaient aussi intenses et aussi claires, bref, la première fois que je trompais émotionnellement mon mari. J’introduisis deux doigts dans mon vagin. Je les frottais contre ma paroi vaginale en imaginant le pénis de l’inconnu dans ma chatte. J’allais de plus en plus en vite et de plus en plus profond dans mon vagin. Le plaisir comme une onde de choc de plus en plus grande et vaste m’envahit. Au faîte de cette vague, mon corps se contracta, je restai figée éblouie durant de longues secondes. Petit à petit, progressivement, la jouissance s’évanouit. J’étais heureuse. Il était temps de me laver.
Une trentaine de minutes plus tard, j’étais prête : l'épilation, le vernis, le rouge à lèvres, mes vêtements, mon parfum, le soin de ne pas mettre de soutien-gorge pour l'exciter encore plus. Je repérai l'emplacement du restaurant sur le GPS de mon mobile multifonction. J'ouvris la porte de la chambre. Franck attendait le début du match sur le canapé, sa bière à la main.
-Je vais voir le coucher de soleil sur la plage.
-Mmm.
-Tu ne veux pas venir avec moi ?
-Non.
« ...J'ai vraiment tout tenté pour éviter de te cocufier mais tu ne me laisse pas le choix. Tu n’auras qu’à t’en prendre à toi même !… » Je fermai la porte.
En suivant précisément le GPS, j'arrivai enfin devant le fameux restaurant. Je passai la porte puis m'approchai de la réception. C’était une jeune femme.
-Bonsoir, je dois avoir une réservation pour la table 69.
-Oui, en effet, mon collègue va vous accompagner.
On marcha au milieu des tables, ensuite le serveur m’indiqua le bout de la terrasse du restaurant. Je le remerciai puis m’avançai vers la table. Il était là, assis. Un grand sourire se dessina sur son visage lorsqu'il me vit. « Salut ! Tu es venue finalement ! » J'acquiesçai. Nous rîmes. J'étais là, dans un restaurant au bord d'une plage, avec un inconnu et une folle envie de baiser.
On a bavardé pendant tout le repas. On a appris à se connaître. Il s'appelait Carlos, il avait 32 ans. Il habitait en Espagne, mais venait parfois en vacances en France. Après lui avoir expliqué mon métier de comptable, il me parla de ce qu'il faisait. Il avait créé son entreprise de coaching. Il aidait les hommes à être mieux dans leur vie sur différents plans, physique, psychologique, économique, social et relationnel. Il avait l’air intelligent. Mes chaussures à talons commençaient à me serrer les pieds.
-Ça ne te dérange pas que j'enlève mes chaussures ?
-Pas du tout, je t'en prie !
Je continuais de lui poser des questions sur son activité. Je dépliai ma jambe pour poser délicatement mon pied sur son genou. Il me regarda en souriant. Il continua de parler. J'approchai petit à petit mon pied de son entrejambe, en prenant soin d'effectuer de légers mouvements de va-et-vient sur sa cuisse. Arrivée à hauteur de son sexe, j'appliquai une légère pression, avec ma plante de pied, sur la bosse. Je répétai l'opération plusieurs fois jusqu'à ce que la bête se réveille. Via mes orteils je ressentais son excitation. Il bandait de plus en plus. J’étais en train de le rendre fou. Je prenais un malin plaisir à l’allumer comme cela dans un lieu public, à me comporter comme une mauvaise épouse.
Après avoir fini la bouteille de vin puis payé l'addition, nous marchâmes le long de la plage, main dans la main, les pieds dans l'eau. J’aimais la sensation que provoquait le sable entre mes orteils, le bruit des vagues, le vent, souffle doux et apaisant que nous soufflait la mer. La plage semblait nous appartenir. Nous nous sommes allongés au milieu de la plage, sur le sable sec, loin de tout, dans la nuit noire, sans personne autour de nous pour nous espionner. Cela faisait maintenant plusieurs heures que mon clitoris me titillait. Je me l'étais juré, il fallait que je baise ce soir ! Carlos était allongé sur le dos. Je suis montée sur lui. Je l’ai embrassé sur le front, sur le cou, il a vite fait de m’embrasser la bouche. C’était la première fois qu’un autre homme que mon mari m’embrassait sur les lèvres depuis mon mariage. J’étais joueuse cette nuit, j’ai décroché mes lèvres de ses lèvres. Je voulais le rendre fou, j’ai commencé à lui faire un strip-tease en dansant au-dessus de lui, les jambes écartées. Il prenait un malin plaisir à regarder sous ma robe.
Les vagues s’écrasaient avec fracas derrière nous sans nous mouiller. Je fis voler ma robe. Je ne restai qu’avec mon string comme unique vêtement, les seins à l’air, les reins et les bras dansants. Je m’accroupis. Je lui présentai mes seins voluptueux. Il se repétrit d’eux comme deux fruits sucrés. Sa bouche suça et aspira mes tétons l’un après l’autre. J’étais assise sur ses cuisses puissantes. Son visage dans mes seins.
Toujours assit, il ôta son tee-shirt. Mes mains caressèrent son dos, ses épaules, ma bouche recouvrit ses pectoraux de baisers.
-Tu as vraiment un corps de rêve !
-Merci ! C’est pour les moments comme celui-ci que je souffre à la salle.
Je me mis à masser son sexe à travers le tissu du pantalon. Il ne fallut pas longtemps pour le durcir. J’ai débouclé sa ceinture, déboutonné son pantalon que j’ai ensuite baissé, puis j’ai abaissé son boxer. Son braquemart tout droit dans la nuit. J’ai passé ma main autour de son sexe pour en apprécier les dimensions. C’était un pénis impressionnant.
-Putain ! Ta bite elle est plus grande que celle de mon mari.
-Ne lui dit pas ça.
-Pourquoi ?
-Il risque de me tuer.
Nous rîmes.
Je pris sa verge en bouche. Je me mis à la sucer pour la lubrifier. Elle durcit et s’allongea un peu plus dans ma bouche. Excitée, je l’introduisit dans mon vagin en m’asseyant progressivement dessus. À mesure que l’introduction progressait, notre plaisir augmentait.
-Il est où ton mari en ce moment ?
-Il est à la maison. Non il est plutôt à l’hôtel qu’on loue.
-Il fait quoi ?
-Il regarde un match de foot.
-C’est foot le nombre de cocu qui aime le football !
Nous rîmes.
Maintenant mes reins tournaient et chevauchaient le pénis de mon amant avec vigueur. Il était sexuellement plus résistant et plus puissant que mon mari.
-Tu es ce genre de salope mariée qui a besoin d’un amant pour prendre ton pied hein ?
-Oui, je suis ce genre de salope infidèle !
-Il est au courant au moins ton mari que tu le trompes ?
-Non, il ne le sait pas.
-Ah la salope ! J’adore baiser les femmes qui trompent leur mari.
J’aimais la manière dont mon amant me parlait, cela me faisait mouiller. Nous changeâmes de position. Nous nous mirent debout. Il était derrière moi, moi devant lui, le dos blottit contre son corps alors que son braquemart me pénétrait. J’étais sa salope, j’étais sa pute ! Il me baisait comme une poupée gonflable ! Ses mains tenaient mes hanches pendant que son pénis frottait l’intérieur de mon vagin. Je fermai les jambes pour encore mieux ressentir les frottements de sa bite contre mon vagin serré, semblable avec cette position au vagin d’une vierge. Tout mon corps se mit à trembler debout sous ses coups de reins. Je me délectais du plaisir adultérin qu’il m’offrait. Mon amant tenait, mon amant était fort, mon amant était viril, beaucoup plus viril que mon mari ! Il me baisa ainsi pendant plusieurs minutes, me faisant enchaîner les orgasmes. Je passais du rire aux larmes, des gémissements à la jouissance, je perdais toute notion.
Je m’écroulai sur le sol, à quatre pattes ! Je parvins à me retourner pour le regarder : il y avait devant moi un inconnu fort et puissant, au sexe incroyablement dimensionné, qui venait de sexuellement me détruire ! J'étais à ses pieds, j’étais sa femelle, j’étais sa chienne, moi la femme mariée d’un autre, j’étais toute à lui. Je me sentais n’être qu’un objet sexuel pour lui. J'aimais ça ! Il lut dans mes yeux ce désir troublant. Il se mit derrière moi, sur les genoux. Je posai fermement mes mains sur le sable, prête à encaisser ses ultimes coups de bite. Je le sentis me pénétrer lentement. D'abord le gland, puis le reste, petit à petit, en prenant tout son temps. Mon vagin était humide comme rarement. Il débutait par de légers va-et-vient mais je savais qu'il n'en resterait pas là. Soudain, mon smartphone sonna. C’était Franck. Je décrochai.
-Tu es où là ?
-Je t'ai dit que je regardais le coucher du soleil.
-Mais ça fait une heure qu'il est couché le soleil !
Me voir dans l'embarras semblait exciter mon amant Carlos. Il intensifia ses pénétrations ! Je subissais sa grosse queue qui allait de plus en plus loin et de plus en plus fort ! Le plaisir était si intense que je n’arrivais plus à réfléchir une excuse. « Je… Je… J'arrive » Je raccrochai sans avoir pu me justifier. Je venais à peine de reposer le téléphone dans mon sac que Carlos, de sa main gauche, m'attrapa les cheveux et me les tira vers lui. Mon vagin sentait ses profondes pénétrations. Sa main libre me fessa, les claquements étalant la douleur sur mes fesses pendant que son pénis répandait du plaisir dans mon vagin. Il m'ordonna de me retourner. J’obéis. Il fourra son monstre au plus profond de ma gorge dans laquelle il explosa en plusieurs jets ! En me tirant mes cheveux, il me fit avaler tout son foutre, puis il posa sur mon front son gros gland visqueux. Je le regardais en louchant.
Le sable s’étendait infiniment comme un tapis difforme mitraillé par les pattes humaines. J'enlevai les tongs puis posai mes pieds sur ce sable chaud. Quel bonheur ! J’avais l’impression de me faire délicatement masser la plante des pieds. Je m'approchai du bord de l'océan, marchai le long du rivage, les pieds dans l'eau. Je levai la tête : l’endroit était parfait ! J’eus envie d’aller tout en haut de la plage, au pied de la dune. Je quittai le bord de l'eau pour aller m'installer contre la barrière séparant la plage et la dune. Après avoir posé mon sac, je vis une serviette bleue sur la clôture, elle semblait abandonnée, là, en jachère, comme un champ pas ou peu cultivé, comme mon vagin peu labouré. « ...serviette, bienvenue au club des oubliées !… ». J’étalai la mienne le sable.
Sur le dos, étendue, le soleil cuisait mon corps, brûlants, ses rayons me pénétraient et répandaient leur chaleur en moi : j’avais l’impression d’être un panneau solaire. Je me souvins tout d'un coup de mon reflet dans le miroir l'année dernière. Les traces de bronzage du soutien-gorge m'ont vraiment embêtée. « ...Cette plage n'est pas naturiste mais, après tout, ce ne sont que des seins !… » Après une longue hésitation, je dégrafai mon haut de maillot qui dévoila au monde ma généreuse poitrine. Je m'allongeai, mes deux obus pointant le ciel. Mes yeux se fermèrent sous la chaleur. Je me perdis dans mes pensées. Avant de m'endormir, il m'arrive parfois de m'imaginer des histoires érotiques : j'ai besoin de ça. Franck ne me touchant plus, mes doigts apaisent ma détresse sexuelle. Je rêve souvent de douceur, de câlins, de bisous dans le cou… Mais la plupart du temps, la violence prend le dessus. Les fessées, les mots crus, la soumission… C'est ce que j'aime vraiment. C'est ce qui me fait mouiller. Franck ne savait pas faire ça.
J'entendis du bruit à côté de moi. J’ouvris les yeux, me redressai. Un homme se trouvait à côté de moi, à ma droite, debout, il était en train de s'essuyer la tête avec la serviette bleue qui était posée sur la barrière, il ne me voyait pas. Je le regardai durant quelques secondes puis tournai mon regard vers l'océan lorsqu'il releva la tête. J’esquissai un sourire, reposai mon regard sur lui. Il était encore là, il avait reposé la serviette, il regardait maintenant l'horizon, les deux mains sur les hanches. Un brun, cheveux courts, barbu, la trentaine environ. Mes yeux parcouraient son corps, un buste impressionnant, une musculature bien développée, les bras, les épaules, les pectoraux, les fessiers, les mollets, le pénis peut-être, tout son corps avait été modelé dans la salle de musculation, un esthète !
D'habitude, je n'aime pas ce genre de physique qui s’accompagne la plupart du temps d’une personnalité narcissique, pour ne pas dire ultra-narcissique ; c’était sûrement le contexte, la plage, le soleil, la chaleur, le maque sexuel, qui me rendait très agréable le spectacle de son corps plein de vigueur, de ses abdominaux légèrement dessinés, de son sexy petit short bleu, ce bout de tissu qui laissait transparaître une bosse démesurément grosse et gonflée ! Ça devait être quelque chose de baiser avec lui.
Ma température corporelle augmenta, ma langue humecta mes lèvres, je me sentais toute bizarre, j’étais en train de perdre le contrôle, cela devenait dangereux ! Je repris mes esprits. Je levai la tête en espérant croiser son regard. À mon grand étonnement, je retrouvai ses yeux fixés sur ma poitrine ! Il faut dire que ce n'est pas à chaque coin de rue qu'on voit des gros seins. Nos regards se croisèrent, j'aperçus un léger sourire sur ses lèvres. On se regarda quelques secondes. Je tournai la tête, gênée. Je pensais à mon mari. Je ne pouvais pas lui faire ça. On s'était promis fidélité. Mais Franck avait changé depuis, il n'était plus l'homme que j'avais choisi d'épouser. Je regardai le soleil qui descendait petit à petit. Cela faisait maintenant une bonne demi-heure que nos regards s'étaient croisés et qu'il était assis face à l'océan. Je sentis soudain un mouvement à ma droite. Il commençait à partir, la serviette sur l'épaule. Je le regardai s'en aller lorsque quelque chose tomba de sa poche. Je ne sais pas ce qui m'a pris mais j'ai quitté ma serviette et couru comme une folle pour le rattraper.
« Monsieur, monsieur ! » Il se retourna, étonné. Je ramassai ce qu'il avait laissé tomber. J’apportai son bout de papier. Sourires.
-Vous avez dû faire tomber ça de votre poche !
-Ah oui merci, mais… Il me regarda, hésita un moment. Il me redonna le papier.
-Si vous êtes libre ce soir, on pourrait peut-être se revoir ?
Sa voix gravement virile me choqua ! Elle semblait sortie des profondeurs d’un autre âge. Je ne savais pas quoi dire. Je me contentai de sourire. J’avais une folle envie de le toucher mais je n’osais pas. Il brisa le silence : « réfléchissez-y ! Si vous venez, demandez la table 69... » Il se retourna puis reprit sa route. Je restai là, figée, le papier entre les doigts. Il y était inscrit le nom d'un restaurant : « Le Mirador ». Je retournai à ma serviette. Je rangeai mes affaires. Je retournai à l'appartement où je retrouvai Franck encore devant son téléphone intelligent.
-Tu aurais dû venir à la plage, ça fait du bien !
-J'ai du travail Bianca, c'est un match important ce soir.
À peine avait-il fini sa phrase que son téléphone sonna : « allô ? Ouais salut Marc ! Tu vas bien ? Bon écoute, là j'ai une putain de stratégie, c'est sûr qu'on les baise ce soir ! » En entendant ces paroles, le déclic me vint. « ...Il faut absolument que je baise ce soir !... » me dis-je. Je m'étais mis cette idée en tête. J'étais prête à tout pour assouvir mes pulsions sexuelles.
Je suis allée dans la chambre pour me changer. Je suis directement entrée dans la douche pour désensabler ma peau. Je repensais à cette bosse, à ce corps, à cette voix, à toute cette vigueur physique et sexuelle. Mes doigts glissèrent le long de mon ventre, mon pubis, ils atteignirent mon vagin. J’imaginais les doigts rigides de l’inconnu frotter fiévreusement mon vagin, me provoquer des écoulements plaisants sur mon clitoris. Mes doigts frottaient ma vulve en visualisant le braquemart de cet inconnu. Un frison m’enveloppa : ce n’était pas la première que je pensais sexuellement à un autre homme en présence de mon mari, mais c’était la première fois que ces pensées étaient aussi intenses et aussi claires, bref, la première fois que je trompais émotionnellement mon mari. J’introduisis deux doigts dans mon vagin. Je les frottais contre ma paroi vaginale en imaginant le pénis de l’inconnu dans ma chatte. J’allais de plus en plus en vite et de plus en plus profond dans mon vagin. Le plaisir comme une onde de choc de plus en plus grande et vaste m’envahit. Au faîte de cette vague, mon corps se contracta, je restai figée éblouie durant de longues secondes. Petit à petit, progressivement, la jouissance s’évanouit. J’étais heureuse. Il était temps de me laver.
Une trentaine de minutes plus tard, j’étais prête : l'épilation, le vernis, le rouge à lèvres, mes vêtements, mon parfum, le soin de ne pas mettre de soutien-gorge pour l'exciter encore plus. Je repérai l'emplacement du restaurant sur le GPS de mon mobile multifonction. J'ouvris la porte de la chambre. Franck attendait le début du match sur le canapé, sa bière à la main.
-Je vais voir le coucher de soleil sur la plage.
-Mmm.
-Tu ne veux pas venir avec moi ?
-Non.
« ...J'ai vraiment tout tenté pour éviter de te cocufier mais tu ne me laisse pas le choix. Tu n’auras qu’à t’en prendre à toi même !… » Je fermai la porte.
En suivant précisément le GPS, j'arrivai enfin devant le fameux restaurant. Je passai la porte puis m'approchai de la réception. C’était une jeune femme.
-Bonsoir, je dois avoir une réservation pour la table 69.
-Oui, en effet, mon collègue va vous accompagner.
On marcha au milieu des tables, ensuite le serveur m’indiqua le bout de la terrasse du restaurant. Je le remerciai puis m’avançai vers la table. Il était là, assis. Un grand sourire se dessina sur son visage lorsqu'il me vit. « Salut ! Tu es venue finalement ! » J'acquiesçai. Nous rîmes. J'étais là, dans un restaurant au bord d'une plage, avec un inconnu et une folle envie de baiser.
On a bavardé pendant tout le repas. On a appris à se connaître. Il s'appelait Carlos, il avait 32 ans. Il habitait en Espagne, mais venait parfois en vacances en France. Après lui avoir expliqué mon métier de comptable, il me parla de ce qu'il faisait. Il avait créé son entreprise de coaching. Il aidait les hommes à être mieux dans leur vie sur différents plans, physique, psychologique, économique, social et relationnel. Il avait l’air intelligent. Mes chaussures à talons commençaient à me serrer les pieds.
-Ça ne te dérange pas que j'enlève mes chaussures ?
-Pas du tout, je t'en prie !
Je continuais de lui poser des questions sur son activité. Je dépliai ma jambe pour poser délicatement mon pied sur son genou. Il me regarda en souriant. Il continua de parler. J'approchai petit à petit mon pied de son entrejambe, en prenant soin d'effectuer de légers mouvements de va-et-vient sur sa cuisse. Arrivée à hauteur de son sexe, j'appliquai une légère pression, avec ma plante de pied, sur la bosse. Je répétai l'opération plusieurs fois jusqu'à ce que la bête se réveille. Via mes orteils je ressentais son excitation. Il bandait de plus en plus. J’étais en train de le rendre fou. Je prenais un malin plaisir à l’allumer comme cela dans un lieu public, à me comporter comme une mauvaise épouse.
Après avoir fini la bouteille de vin puis payé l'addition, nous marchâmes le long de la plage, main dans la main, les pieds dans l'eau. J’aimais la sensation que provoquait le sable entre mes orteils, le bruit des vagues, le vent, souffle doux et apaisant que nous soufflait la mer. La plage semblait nous appartenir. Nous nous sommes allongés au milieu de la plage, sur le sable sec, loin de tout, dans la nuit noire, sans personne autour de nous pour nous espionner. Cela faisait maintenant plusieurs heures que mon clitoris me titillait. Je me l'étais juré, il fallait que je baise ce soir ! Carlos était allongé sur le dos. Je suis montée sur lui. Je l’ai embrassé sur le front, sur le cou, il a vite fait de m’embrasser la bouche. C’était la première fois qu’un autre homme que mon mari m’embrassait sur les lèvres depuis mon mariage. J’étais joueuse cette nuit, j’ai décroché mes lèvres de ses lèvres. Je voulais le rendre fou, j’ai commencé à lui faire un strip-tease en dansant au-dessus de lui, les jambes écartées. Il prenait un malin plaisir à regarder sous ma robe.
Les vagues s’écrasaient avec fracas derrière nous sans nous mouiller. Je fis voler ma robe. Je ne restai qu’avec mon string comme unique vêtement, les seins à l’air, les reins et les bras dansants. Je m’accroupis. Je lui présentai mes seins voluptueux. Il se repétrit d’eux comme deux fruits sucrés. Sa bouche suça et aspira mes tétons l’un après l’autre. J’étais assise sur ses cuisses puissantes. Son visage dans mes seins.
Toujours assit, il ôta son tee-shirt. Mes mains caressèrent son dos, ses épaules, ma bouche recouvrit ses pectoraux de baisers.
-Tu as vraiment un corps de rêve !
-Merci ! C’est pour les moments comme celui-ci que je souffre à la salle.
Je me mis à masser son sexe à travers le tissu du pantalon. Il ne fallut pas longtemps pour le durcir. J’ai débouclé sa ceinture, déboutonné son pantalon que j’ai ensuite baissé, puis j’ai abaissé son boxer. Son braquemart tout droit dans la nuit. J’ai passé ma main autour de son sexe pour en apprécier les dimensions. C’était un pénis impressionnant.
-Putain ! Ta bite elle est plus grande que celle de mon mari.
-Ne lui dit pas ça.
-Pourquoi ?
-Il risque de me tuer.
Nous rîmes.
Je pris sa verge en bouche. Je me mis à la sucer pour la lubrifier. Elle durcit et s’allongea un peu plus dans ma bouche. Excitée, je l’introduisit dans mon vagin en m’asseyant progressivement dessus. À mesure que l’introduction progressait, notre plaisir augmentait.
-Il est où ton mari en ce moment ?
-Il est à la maison. Non il est plutôt à l’hôtel qu’on loue.
-Il fait quoi ?
-Il regarde un match de foot.
-C’est foot le nombre de cocu qui aime le football !
Nous rîmes.
Maintenant mes reins tournaient et chevauchaient le pénis de mon amant avec vigueur. Il était sexuellement plus résistant et plus puissant que mon mari.
-Tu es ce genre de salope mariée qui a besoin d’un amant pour prendre ton pied hein ?
-Oui, je suis ce genre de salope infidèle !
-Il est au courant au moins ton mari que tu le trompes ?
-Non, il ne le sait pas.
-Ah la salope ! J’adore baiser les femmes qui trompent leur mari.
J’aimais la manière dont mon amant me parlait, cela me faisait mouiller. Nous changeâmes de position. Nous nous mirent debout. Il était derrière moi, moi devant lui, le dos blottit contre son corps alors que son braquemart me pénétrait. J’étais sa salope, j’étais sa pute ! Il me baisait comme une poupée gonflable ! Ses mains tenaient mes hanches pendant que son pénis frottait l’intérieur de mon vagin. Je fermai les jambes pour encore mieux ressentir les frottements de sa bite contre mon vagin serré, semblable avec cette position au vagin d’une vierge. Tout mon corps se mit à trembler debout sous ses coups de reins. Je me délectais du plaisir adultérin qu’il m’offrait. Mon amant tenait, mon amant était fort, mon amant était viril, beaucoup plus viril que mon mari ! Il me baisa ainsi pendant plusieurs minutes, me faisant enchaîner les orgasmes. Je passais du rire aux larmes, des gémissements à la jouissance, je perdais toute notion.
Je m’écroulai sur le sol, à quatre pattes ! Je parvins à me retourner pour le regarder : il y avait devant moi un inconnu fort et puissant, au sexe incroyablement dimensionné, qui venait de sexuellement me détruire ! J'étais à ses pieds, j’étais sa femelle, j’étais sa chienne, moi la femme mariée d’un autre, j’étais toute à lui. Je me sentais n’être qu’un objet sexuel pour lui. J'aimais ça ! Il lut dans mes yeux ce désir troublant. Il se mit derrière moi, sur les genoux. Je posai fermement mes mains sur le sable, prête à encaisser ses ultimes coups de bite. Je le sentis me pénétrer lentement. D'abord le gland, puis le reste, petit à petit, en prenant tout son temps. Mon vagin était humide comme rarement. Il débutait par de légers va-et-vient mais je savais qu'il n'en resterait pas là. Soudain, mon smartphone sonna. C’était Franck. Je décrochai.
-Tu es où là ?
-Je t'ai dit que je regardais le coucher du soleil.
-Mais ça fait une heure qu'il est couché le soleil !
Me voir dans l'embarras semblait exciter mon amant Carlos. Il intensifia ses pénétrations ! Je subissais sa grosse queue qui allait de plus en plus loin et de plus en plus fort ! Le plaisir était si intense que je n’arrivais plus à réfléchir une excuse. « Je… Je… J'arrive » Je raccrochai sans avoir pu me justifier. Je venais à peine de reposer le téléphone dans mon sac que Carlos, de sa main gauche, m'attrapa les cheveux et me les tira vers lui. Mon vagin sentait ses profondes pénétrations. Sa main libre me fessa, les claquements étalant la douleur sur mes fesses pendant que son pénis répandait du plaisir dans mon vagin. Il m'ordonna de me retourner. J’obéis. Il fourra son monstre au plus profond de ma gorge dans laquelle il explosa en plusieurs jets ! En me tirant mes cheveux, il me fit avaler tout son foutre, puis il posa sur mon front son gros gland visqueux. Je le regardais en louchant.
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