L'HÔTEL DU DESERT EP 18 : Dure dure la soirée
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'HÔTEL DU DESERT EP 18 : Dure dure la soirée
L'HÔTEL DU DESERTEP 18 : Dure dure la soirée
Brice et Johnny se racontait leur première journée. Ils étaient tous les deux très satisfaits de la situation.
Brice s'était fait dragué par une touriste, il avait rendez-vous dans la soirée. Ils avait encore du boulot après le repas, un bal, une animation, ce serait comme ça tous les soirs. Et tous les soirs ils devraient participer.
C'était un boulot qui leur prenait beaucoup de temps mais qui restait très détendu et se passait dans une ambiance décontractée. Le parton était présent dans toutes les activités, du matin au soir, lui aussi il bossait. Il était même difficile au premier coup d’œil de savoir qui était le boss. Il faut dire aussi que à poil tout le monde se ressemble.
Le repas terminé Brice et Johnny se retrouvait à chauffer la salle, pour un bal qui se voulait joyeux. Nos deux héros n'en revenaient pas, tout le monde était à poil. Avec les effets de l'alcool, la danse, la peau qui se touchait, il y avait quelques début d'érection. Mais ça restait convenable. C'était pas pour déplaire à Brice et Johnny, qui par moment devaient faire de vrais effort pour ne pas trop se faire remarquer sur ce point.
En plein milieu de la fête, une jeune femme, une cliente, attrapait Brice par le bras et l'entraînait à l'écart et là, derrière un buisson, elle lui sautait dessus.
Elle le prenait dans ses bras, l'embrassait sur la bouche, lui écrasait sa poitrine contre son torse. Et lui, dégourdi comme il est, je vous le garantis, ne se contentait pas de la laisser faire. Il participait ! Il la caressait, la retenait contre lui et tentait de faire des câlins.
Des câlins, elle avait autre chose en tête et surtout pas de temps à perdre. Il bandait, elle le suçait. Brice était ravi, surpris mais ravi !
Ensuite sans lui laisser le temps de réagir, elle le repoussait en arrière sur le sol et sans prévenir, s'allongeait sur lui, et s'empalait sur sa queue. Brice était toujours ravi, peut être encore plus ravi même, mais toujours surpris.
Là elle prenait le contrôle de la situation, le caressait, se frottait contre lui, son seul but était de se donner du plaisir. Brice rajoutait les caresses et les baisers. Elle n'avait rien contre. C'est elle qui s'agitait, c'est elle qui glissait contre le corps de Brice, c'est elle qui s'enfonçait ou plutôt, qui enfonçait la queue de Brice bien à fond en elle ou qui en se soulevant la faisait ressortir.
Brice voulait dire quelque chose, elle lui posait une main sur la bouche, et continuait ses mouvements de va et vient encore plus rapide, encore plus ferme, encore plus décidé. Avec un doigt, elle se masturbait en même temps.
Brice laissait faire, il la caressait, là elle le laissait faire. S'il voulait en faire plus, elle le retenait. Il n'insistait pas. Elle l'avait transformé en jouet sexuel, pour son plaisir à elle, pour son seul plaisir.
Il ne trouvait pas la situation désagréable mais il était dépassé, ce contact, ces caresses, ce corps lui donnait certes du plaisir mais il était dépassé. C'était mécanique, le plaisir ne montait pas, le désir un peu mais son cerveau ne comprenait pas la situation. Et si pour elle le plaisir ne cessait de monter et que déjà elle sentait venir l'orgasme, ce n'était pas son cas à lui.
Elle jouissait, il faisait des yeux tout ronds. Elle criait, avec le bruit que faisait la sono on ne risquait pas de l'entendre. Elle se relevait, donnait un dernier baiser à Brice et repartait danser …
Il restait là encore quelques instant à se demander ce qui s'était passé. Il bandait, là par contre il était un peu embarrassé. Finalement il préférait attendre quelques minutes, mais grâce à son désarroi il parvenait à débander rapidement, ce qui le rassurait. Et c'est avec une grosse molle, bien lourde qu'il retrouvait la fête pour continuer l'animation. Personne n'avait remarqué sa disparition et tous les hommes étaient dans le même état que lui !
La soirée avançait Brice par moment se retrouvait au premier rang, sur la scène, le micro à la main, il mettait l'ambiance. Tout le monde le regardait, il s'en inquiétait un peu sur le moment, comme je vous disais il avait une grosse molle qui pendait lourdement et se balançait en fonction de ses mouvement, mais tous les hommes étaient comme lui, non, en fait si tout le monde le regardait c'est juste parce qu'il était mignon. Depuis la scène il pouvait voir toute la salle, enfin ça se passait en extérieure mais c'est une façon de parler.
Il apercevait au loin la fille qui lui était tombé dessus un peu plus tôt, elle entraînait une homme vers la plage, il y a plein de buissons avant d'y arriver …
Un autre animateur prenait la place, Brice pouvait souffler un peu. Il aimait bien se retrouver à poil comme ça Brice. C'est agréable mais par moment ça peut devenir embarrassant. Bon jusque là il contrôlait son érection.
Le nouvel animateur, qui venait de le remplacer, prononçait son nom suivi par le nom d'une employée du camping. Brice ne la connaissait pas encore. '' Une démonstration de danse '', continuait l'animateur, et ce sera … il tirait un papier d'une urne … '' Tango ! Notre ami Brice et notre collègue Méli, elle s'appelle Mélanie mais on l'appelle Méli, vont nous faire une démonstration de tango … ''.
Brice devenait tout rouge, '' Mais qu'est ce qu'ils me font ?'' se demandait-il , '' C'est une blague ? '' … Toute la foule criait leurs noms. Brice se retrouvait propulsé sur la piste de danse, même que le dernier à le pousser c'était son copain Johnny qui se bidonnait tant qu'il pouvait.
Brice se retrouvait à poil au milieu de la piste, tous les yeux étaient rivés vers lui mais là, je vous jure, il ne bandait plus du tout ! Une fille absolument sublime s'approchait de lui, elle avait des jambes qui n'en finissaient plus, des hanches fines, des fesses bien rondes, des seins voluptueux qui se tenaient bien des bras fins un visage radieux avec des lèvres pulpeuses et un sourire éclatant, des yeux bleus presque lumineux et une chevelure blonde qui formait une véritable couronne autour de son visage.
'' La je suis mal, je sens que je ne vais pas passer longtemps inaperçu ! '' se disait Brice.
Elle s'approchait de lui prenait position …
Tu sais danser le tango ? Lui demandait-elle.
Il faisait non de la tête.
Alors tu me suis . Concluait-elle .
Et la musique commençait. Les deux corps se frôlaient, se repoussaient, se retenaient, se touchaient. Brice ne comprenait plus ce qui se passait, c'est sans s'en rendre compte qu'il embrassait Méli, il la tenait alors contre lui, ses seins s'écrasaient contre son torse et lui bandait avec fierté.
Les spectateurs sifflaient, applaudissaient, criaient. Ça devenait chaud cette affaire. Dans ce camping il n'y avait que des célibataires et ce n'était pas le camping le plus prude de l'île. Brice ne faisait que commencer à le découvrir.
Ils ont réussi à terminer la danse avant de se retirer, sous les applaudissements de la foule. Si avant il y avait beaucoup d'homme avec de grosse molles, après ça, il y avait beaucoup d'homme qui portaient une grosse dure. Ça devenait très chaud cette affaire.
Jonas, le patron de ce camping adorait ce genre d'ambiance et savait parfaitement faire monter la fièvre. Des hommes et des femmes disparaissaient, par groupe de deux ou de trois, deux femmes un homme ou le contraire, toutes les combinaisons se formaient et la musique continuait …
Brice faisait parti des animateurs, aussi on attendait de lui qu'il reste et continue, pour lui c'était son travail. Méli restait elle aussi dans le coin et quand, tard dans la nuit, la soirée se terminait, que les lumière s'éteignaient les une après les autres, c'est elle qui venait le chercher, le prenait par le bras pour un dernier bain de minuit. Minuit était pourtant déjà loin. Ils avaient tout rangé. Une grosse partie des employés étaient déjà rentré se coucher, ceux là se lèveraient en premier, ceux qui terminaient tard pouvaient se lever plus tard …
Méli courait dans l'eau, Brice la suivait, ils étaient maintenant seuls, sur la plage, peut être pas seuls mais les autres groupes qui s'y trouvaient voulaient tout comme eux être tranquilles et personne ne s'approchait. Brice courait vers Méli et l'attrapait, il la serrait dans ses bras, elle se laissait faire, se retournait vers lui et ils se retrouvaient allongés sur le sable, il bandait, elle écartait les cuisses, il la pénétrait, elle refermait les jambes dans son dos.
Les deux corps roulaient l'un sur l'autre. Il se retrouvait dessus et la limait avec force et douceur à la fois. Quand elle décidait de retourner la situation, c'est lui qui se retrouvait allongé sur le dos et c'est elle qui faisait tout le travail. Il faisait nuit noire et c'est avec les doigts qu'ils se regardaient, ils se regardaient de très près, dans les moindres détails.
Elle se relevait, son corps se cabrait, ses cuisses se serraient, elle se soulevait avant de se laisser retomber, Brice soulevait son bassin et par moment donnait des coups violent qui arrachaient des gémissements et des cris de plaisir.
Des ombres passaient et lançaient quelques encouragements …
– Alors , bonne bourre ?
Ils ne savaient pas qui c'étaient, il faisait nuit et la voie seule trahissait s'il s'agissait d'un homme ou d'une femme.
Brice était maintenant assis en tailleur sur le sable, Méli était assise sur ses genoux, douillettement installé, la queue de Brice glissait confortablement au chaud, bien profond dans le ventre de Méli. Ils échangeaient des baisers, des caresses, par moment ne bougeaient pas, à d'autres moments ils s'agitaient et se caressaient avec leur propre corps.
Quand la chaleur montait trop, que les gémissements devenaient des hurlements, ils jouissaient. Ils jouissaient puis retombaient dans les bras de l'un, de l'autre. Ils ne bougeaient plus, juste quelques baisers, quelques caresses.
Puis Méli se relevait, Brice ne bandait plus, ils se sentaient bien.
– Tu danses très bien le tango finalement tu sais !
– C'est ça moque toi de moi, je ne sais plus ou est mon pantalon …
Elle pouffait de rire .
– Mais tu as oublié ou on est ou quoi ?
– Ah ! C'est vrai, je l'ai posé quelque part en arrivant sur l'île.
Ils revenaient sans se presser vers le quartier des employés. Ils se tenaient par la main.
– Tu es un bon coup tu sais. Lui disait Méli.
– Avec toi dans ses bras c'est pas trop difficile.
Elle lui donnait un baiser, et rentrait se coucher dans sa cabane. Brice prenait la direction de la sienne quand il entendait une voix qui l'appelait par son nom.
C'était la jeune femme avec qui il avait rendez-vous.
– Je ne savais pas que tu dansait si bien le tango. Lui disait-elle.
– Tu te moques, là je sens que tu te moques !
– Le final était étonnant. J'ai bien cru que tu allais la sauter là devant tout le monde. Mais tu sais, bien en forme tu es pas mal !
Elle ne laissait pas à Brice le temps de répondre et le prenait pas le bras, elle l'attirait avec force vers ce coin tranquille juste derrière les cabanes du quartier des employés. Rapidement il se retrouvait allongé sur le dos, elle allongée aussi mais sur lui. Elle le caressait, il remettait ça. La prenait dans ses bras, l'embrassait. Elle se repliait sur lui et sans prévenir lui suçait la queue, il lui caressait les cheveux et prenait ne position plus confortable pour elle. Installée à son aise, elle se suçait mieux et lui donnait plus de plaisir.
Elle s'en sortait bien la fille, il l'avait rencontrée dans la journée, elle était arrivée la veille et elle non plus n'avait pas de temps à perdre. Elle lui suçait la queue lui gobait les couilles longuement avant de se relever et de s'empaler sur la queue de Brice.
Il relevait le torse et écartait les jambes, elle refermait les cuisses dans le dos de Brice, ses seins fermes et chauds s'écrasaient sur le torse de son bar-man préféré de la soirée.
De nouveau pour Brice son corps roulait sur le corps de sa partenaire quelques instant plus tôt. Ce n'était plus la même partenaire c'est tout. Ils roulaient l'un sur l'autre, cette partie du terrain était gazonnée et les feuilles d'herbe les chatouillaient. Il y avait quelques rire qui se mêlaient aux gémissements de plaisir.
Brice mettait plus de temps pour sentir le plaisir monter, il bandait ferme la conclusion ne voulait pas venir. La fille ne s'en plaignait pas, son plaisir durait plus longtemps. Il la soulevait, s'agenouillait et la retenait contre lui, douillettement empalée sur sa queue. Elle s'accrochait à son cou, refermait ses cuisses autour des ses reins, il se balançait avec un mouvement régulier, elles frottait son sexe contre le bas ventre de Brice et gémissait de plaisir, elle gémissait de plus en plus fort.
Près d'une demie heure plus tard, elle lui gémissait à l'oreille '' Oui vas y viens, viens !''
Mais Brice n'arrivait pas à venir.
Il faisait durer, il ne le faisait pas exprès mais il faisait durer …
Elle était sur le point de se relever, en sueur, les bras et les jambes tremblantes quand il à joui. Il balançait alors des coups de bassins non voulus, non prévus. Elle hurlait de plaisir, il en faisait de même. Puis ils ne bougeaient plus. Se serraient l'un contre l'autre puis la fille se relevait, elle reprenait son souffle, lui donnait un dernier baiser avant de le laisser.
Il faisait chaud, le gazon était douillet, Brice décidait de s'endormir sur place. En fait, au réveil, l'endroit n'était pas aussi discret qu'il l'avait supposé dans la nuit. Très tôt tous les employés qui travaillaient le matin passaient juste à côté et Brice était réveillé par les saluts qu'ils ne manquaient pas de lui envoyer, histoire de le taquiner !
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Brice et Johnny se racontait leur première journée. Ils étaient tous les deux très satisfaits de la situation.
Brice s'était fait dragué par une touriste, il avait rendez-vous dans la soirée. Ils avait encore du boulot après le repas, un bal, une animation, ce serait comme ça tous les soirs. Et tous les soirs ils devraient participer.
C'était un boulot qui leur prenait beaucoup de temps mais qui restait très détendu et se passait dans une ambiance décontractée. Le parton était présent dans toutes les activités, du matin au soir, lui aussi il bossait. Il était même difficile au premier coup d’œil de savoir qui était le boss. Il faut dire aussi que à poil tout le monde se ressemble.
Le repas terminé Brice et Johnny se retrouvait à chauffer la salle, pour un bal qui se voulait joyeux. Nos deux héros n'en revenaient pas, tout le monde était à poil. Avec les effets de l'alcool, la danse, la peau qui se touchait, il y avait quelques début d'érection. Mais ça restait convenable. C'était pas pour déplaire à Brice et Johnny, qui par moment devaient faire de vrais effort pour ne pas trop se faire remarquer sur ce point.
En plein milieu de la fête, une jeune femme, une cliente, attrapait Brice par le bras et l'entraînait à l'écart et là, derrière un buisson, elle lui sautait dessus.
Elle le prenait dans ses bras, l'embrassait sur la bouche, lui écrasait sa poitrine contre son torse. Et lui, dégourdi comme il est, je vous le garantis, ne se contentait pas de la laisser faire. Il participait ! Il la caressait, la retenait contre lui et tentait de faire des câlins.
Des câlins, elle avait autre chose en tête et surtout pas de temps à perdre. Il bandait, elle le suçait. Brice était ravi, surpris mais ravi !
Ensuite sans lui laisser le temps de réagir, elle le repoussait en arrière sur le sol et sans prévenir, s'allongeait sur lui, et s'empalait sur sa queue. Brice était toujours ravi, peut être encore plus ravi même, mais toujours surpris.
Là elle prenait le contrôle de la situation, le caressait, se frottait contre lui, son seul but était de se donner du plaisir. Brice rajoutait les caresses et les baisers. Elle n'avait rien contre. C'est elle qui s'agitait, c'est elle qui glissait contre le corps de Brice, c'est elle qui s'enfonçait ou plutôt, qui enfonçait la queue de Brice bien à fond en elle ou qui en se soulevant la faisait ressortir.
Brice voulait dire quelque chose, elle lui posait une main sur la bouche, et continuait ses mouvements de va et vient encore plus rapide, encore plus ferme, encore plus décidé. Avec un doigt, elle se masturbait en même temps.
Brice laissait faire, il la caressait, là elle le laissait faire. S'il voulait en faire plus, elle le retenait. Il n'insistait pas. Elle l'avait transformé en jouet sexuel, pour son plaisir à elle, pour son seul plaisir.
Il ne trouvait pas la situation désagréable mais il était dépassé, ce contact, ces caresses, ce corps lui donnait certes du plaisir mais il était dépassé. C'était mécanique, le plaisir ne montait pas, le désir un peu mais son cerveau ne comprenait pas la situation. Et si pour elle le plaisir ne cessait de monter et que déjà elle sentait venir l'orgasme, ce n'était pas son cas à lui.
Elle jouissait, il faisait des yeux tout ronds. Elle criait, avec le bruit que faisait la sono on ne risquait pas de l'entendre. Elle se relevait, donnait un dernier baiser à Brice et repartait danser …
Il restait là encore quelques instant à se demander ce qui s'était passé. Il bandait, là par contre il était un peu embarrassé. Finalement il préférait attendre quelques minutes, mais grâce à son désarroi il parvenait à débander rapidement, ce qui le rassurait. Et c'est avec une grosse molle, bien lourde qu'il retrouvait la fête pour continuer l'animation. Personne n'avait remarqué sa disparition et tous les hommes étaient dans le même état que lui !
La soirée avançait Brice par moment se retrouvait au premier rang, sur la scène, le micro à la main, il mettait l'ambiance. Tout le monde le regardait, il s'en inquiétait un peu sur le moment, comme je vous disais il avait une grosse molle qui pendait lourdement et se balançait en fonction de ses mouvement, mais tous les hommes étaient comme lui, non, en fait si tout le monde le regardait c'est juste parce qu'il était mignon. Depuis la scène il pouvait voir toute la salle, enfin ça se passait en extérieure mais c'est une façon de parler.
Il apercevait au loin la fille qui lui était tombé dessus un peu plus tôt, elle entraînait une homme vers la plage, il y a plein de buissons avant d'y arriver …
Un autre animateur prenait la place, Brice pouvait souffler un peu. Il aimait bien se retrouver à poil comme ça Brice. C'est agréable mais par moment ça peut devenir embarrassant. Bon jusque là il contrôlait son érection.
Le nouvel animateur, qui venait de le remplacer, prononçait son nom suivi par le nom d'une employée du camping. Brice ne la connaissait pas encore. '' Une démonstration de danse '', continuait l'animateur, et ce sera … il tirait un papier d'une urne … '' Tango ! Notre ami Brice et notre collègue Méli, elle s'appelle Mélanie mais on l'appelle Méli, vont nous faire une démonstration de tango … ''.
Brice devenait tout rouge, '' Mais qu'est ce qu'ils me font ?'' se demandait-il , '' C'est une blague ? '' … Toute la foule criait leurs noms. Brice se retrouvait propulsé sur la piste de danse, même que le dernier à le pousser c'était son copain Johnny qui se bidonnait tant qu'il pouvait.
Brice se retrouvait à poil au milieu de la piste, tous les yeux étaient rivés vers lui mais là, je vous jure, il ne bandait plus du tout ! Une fille absolument sublime s'approchait de lui, elle avait des jambes qui n'en finissaient plus, des hanches fines, des fesses bien rondes, des seins voluptueux qui se tenaient bien des bras fins un visage radieux avec des lèvres pulpeuses et un sourire éclatant, des yeux bleus presque lumineux et une chevelure blonde qui formait une véritable couronne autour de son visage.
'' La je suis mal, je sens que je ne vais pas passer longtemps inaperçu ! '' se disait Brice.
Elle s'approchait de lui prenait position …
Tu sais danser le tango ? Lui demandait-elle.
Il faisait non de la tête.
Alors tu me suis . Concluait-elle .
Et la musique commençait. Les deux corps se frôlaient, se repoussaient, se retenaient, se touchaient. Brice ne comprenait plus ce qui se passait, c'est sans s'en rendre compte qu'il embrassait Méli, il la tenait alors contre lui, ses seins s'écrasaient contre son torse et lui bandait avec fierté.
Les spectateurs sifflaient, applaudissaient, criaient. Ça devenait chaud cette affaire. Dans ce camping il n'y avait que des célibataires et ce n'était pas le camping le plus prude de l'île. Brice ne faisait que commencer à le découvrir.
Ils ont réussi à terminer la danse avant de se retirer, sous les applaudissements de la foule. Si avant il y avait beaucoup d'homme avec de grosse molles, après ça, il y avait beaucoup d'homme qui portaient une grosse dure. Ça devenait très chaud cette affaire.
Jonas, le patron de ce camping adorait ce genre d'ambiance et savait parfaitement faire monter la fièvre. Des hommes et des femmes disparaissaient, par groupe de deux ou de trois, deux femmes un homme ou le contraire, toutes les combinaisons se formaient et la musique continuait …
Brice faisait parti des animateurs, aussi on attendait de lui qu'il reste et continue, pour lui c'était son travail. Méli restait elle aussi dans le coin et quand, tard dans la nuit, la soirée se terminait, que les lumière s'éteignaient les une après les autres, c'est elle qui venait le chercher, le prenait par le bras pour un dernier bain de minuit. Minuit était pourtant déjà loin. Ils avaient tout rangé. Une grosse partie des employés étaient déjà rentré se coucher, ceux là se lèveraient en premier, ceux qui terminaient tard pouvaient se lever plus tard …
Méli courait dans l'eau, Brice la suivait, ils étaient maintenant seuls, sur la plage, peut être pas seuls mais les autres groupes qui s'y trouvaient voulaient tout comme eux être tranquilles et personne ne s'approchait. Brice courait vers Méli et l'attrapait, il la serrait dans ses bras, elle se laissait faire, se retournait vers lui et ils se retrouvaient allongés sur le sable, il bandait, elle écartait les cuisses, il la pénétrait, elle refermait les jambes dans son dos.
Les deux corps roulaient l'un sur l'autre. Il se retrouvait dessus et la limait avec force et douceur à la fois. Quand elle décidait de retourner la situation, c'est lui qui se retrouvait allongé sur le dos et c'est elle qui faisait tout le travail. Il faisait nuit noire et c'est avec les doigts qu'ils se regardaient, ils se regardaient de très près, dans les moindres détails.
Elle se relevait, son corps se cabrait, ses cuisses se serraient, elle se soulevait avant de se laisser retomber, Brice soulevait son bassin et par moment donnait des coups violent qui arrachaient des gémissements et des cris de plaisir.
Des ombres passaient et lançaient quelques encouragements …
– Alors , bonne bourre ?
Ils ne savaient pas qui c'étaient, il faisait nuit et la voie seule trahissait s'il s'agissait d'un homme ou d'une femme.
Brice était maintenant assis en tailleur sur le sable, Méli était assise sur ses genoux, douillettement installé, la queue de Brice glissait confortablement au chaud, bien profond dans le ventre de Méli. Ils échangeaient des baisers, des caresses, par moment ne bougeaient pas, à d'autres moments ils s'agitaient et se caressaient avec leur propre corps.
Quand la chaleur montait trop, que les gémissements devenaient des hurlements, ils jouissaient. Ils jouissaient puis retombaient dans les bras de l'un, de l'autre. Ils ne bougeaient plus, juste quelques baisers, quelques caresses.
Puis Méli se relevait, Brice ne bandait plus, ils se sentaient bien.
– Tu danses très bien le tango finalement tu sais !
– C'est ça moque toi de moi, je ne sais plus ou est mon pantalon …
Elle pouffait de rire .
– Mais tu as oublié ou on est ou quoi ?
– Ah ! C'est vrai, je l'ai posé quelque part en arrivant sur l'île.
Ils revenaient sans se presser vers le quartier des employés. Ils se tenaient par la main.
– Tu es un bon coup tu sais. Lui disait Méli.
– Avec toi dans ses bras c'est pas trop difficile.
Elle lui donnait un baiser, et rentrait se coucher dans sa cabane. Brice prenait la direction de la sienne quand il entendait une voix qui l'appelait par son nom.
C'était la jeune femme avec qui il avait rendez-vous.
– Je ne savais pas que tu dansait si bien le tango. Lui disait-elle.
– Tu te moques, là je sens que tu te moques !
– Le final était étonnant. J'ai bien cru que tu allais la sauter là devant tout le monde. Mais tu sais, bien en forme tu es pas mal !
Elle ne laissait pas à Brice le temps de répondre et le prenait pas le bras, elle l'attirait avec force vers ce coin tranquille juste derrière les cabanes du quartier des employés. Rapidement il se retrouvait allongé sur le dos, elle allongée aussi mais sur lui. Elle le caressait, il remettait ça. La prenait dans ses bras, l'embrassait. Elle se repliait sur lui et sans prévenir lui suçait la queue, il lui caressait les cheveux et prenait ne position plus confortable pour elle. Installée à son aise, elle se suçait mieux et lui donnait plus de plaisir.
Elle s'en sortait bien la fille, il l'avait rencontrée dans la journée, elle était arrivée la veille et elle non plus n'avait pas de temps à perdre. Elle lui suçait la queue lui gobait les couilles longuement avant de se relever et de s'empaler sur la queue de Brice.
Il relevait le torse et écartait les jambes, elle refermait les cuisses dans le dos de Brice, ses seins fermes et chauds s'écrasaient sur le torse de son bar-man préféré de la soirée.
De nouveau pour Brice son corps roulait sur le corps de sa partenaire quelques instant plus tôt. Ce n'était plus la même partenaire c'est tout. Ils roulaient l'un sur l'autre, cette partie du terrain était gazonnée et les feuilles d'herbe les chatouillaient. Il y avait quelques rire qui se mêlaient aux gémissements de plaisir.
Brice mettait plus de temps pour sentir le plaisir monter, il bandait ferme la conclusion ne voulait pas venir. La fille ne s'en plaignait pas, son plaisir durait plus longtemps. Il la soulevait, s'agenouillait et la retenait contre lui, douillettement empalée sur sa queue. Elle s'accrochait à son cou, refermait ses cuisses autour des ses reins, il se balançait avec un mouvement régulier, elles frottait son sexe contre le bas ventre de Brice et gémissait de plaisir, elle gémissait de plus en plus fort.
Près d'une demie heure plus tard, elle lui gémissait à l'oreille '' Oui vas y viens, viens !''
Mais Brice n'arrivait pas à venir.
Il faisait durer, il ne le faisait pas exprès mais il faisait durer …
Elle était sur le point de se relever, en sueur, les bras et les jambes tremblantes quand il à joui. Il balançait alors des coups de bassins non voulus, non prévus. Elle hurlait de plaisir, il en faisait de même. Puis ils ne bougeaient plus. Se serraient l'un contre l'autre puis la fille se relevait, elle reprenait son souffle, lui donnait un dernier baiser avant de le laisser.
Il faisait chaud, le gazon était douillet, Brice décidait de s'endormir sur place. En fait, au réveil, l'endroit n'était pas aussi discret qu'il l'avait supposé dans la nuit. Très tôt tous les employés qui travaillaient le matin passaient juste à côté et Brice était réveillé par les saluts qu'ils ne manquaient pas de lui envoyer, histoire de le taquiner !
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