L'inceste

- Par l'auteur HDS Philus -
Récit érotique écrit par Philus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 48 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
  • • L'ensemble des récits érotiques de Philus ont reçu un total de 267 948 visites.
Récit libertin : L'inceste Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 13 696 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
L'inceste
Dix heures du matin. Trois femmes sortaient en papotant du vaste centre hospitalier de Chambéry. Trois infirmières que leurs collègues avaient surnommées « Les trois mousquetaires ». Il y a quelques mois en effet, lors d’une sympathique réception du personnel médical, Judith, Josette et Audrey avaient un peu forcé sur les cocktails. Elles avaient été photographiées, fendues en position de défense tel un escrimeur, coiffées d’un chapeau pointu en carton duquel tombaient des serpentins multicolores. À la main, en guise d’épée, une seringue pointée. La photo trônait depuis, bien en vue sur l’un des murs du bureau des infirmières. Elles en riaient beaucoup et leurs collègues encore plus.

Plus loin, les trois filles terminant leur service de nuit se firent la bise. Tandis que Judith et Josette s’orientaient vers l’entrée piétonne du parking souterrain de l’hôpital, Audrey Prillé, jolie brunette de trente-quatre ans, traversa à pied l’avenue de Lyon. Elle se dirigea vers l’appartement qu’elle louait en haut d’une tour de quinze étages située rue des Tilleuls. Un trois-pièces dans une HLM, extérieurement assez propre et intérieurement remis à neuf avant son emménagement. Ce qu’Audrey appréciait surtout, c’était le calme du quartier et la proximité de son lieu de travail.

Habituellement, comme après toutes ces nuits où elle travaillait, elle n’aspirait qu’à une chose, se coucher et dormir après avoir fermé les volets de la chambre pour se prémunir de la lumière du jour. Ce ne fut pas pour aujourd’hui, car Audrey ne vivait pas seule et elle devait annoncer une nouvelle. Avec elle demeurait son fils de dix-neuf ans qu’elle hébergeait depuis seulement deux ans. Né par « accident » quand elle avait elle-même tout juste quinze ans, Vincent a été élevé par sa grand-mère et à la mort de celle-ci, Audrey avait dû prendre ses responsabilités. Toutefois, elle ne ressentait pas en elle la fibre maternelle, c’était plutôt une femme qui aimait faire la fête, rentrer tard, danser, draguer… mais la cohabitation se déroulait sans problème particulier. Vincent était devenu un bel homme. Amateur de piscine, il était affûté et doté d’une musculature particulièrement bien dessinée. Audrey devait lui notifier la venue à demeure de son compagnon Jules.


— Alors comme ça il va y avoir un mec en permanence chez nous ? résuma Vincent, pas très content et en élevant la voix.
— Baisse d’un ton, tu veux ! rétorqua sa mère en pointant l’index sur son fils. Tu es ici chez moi et chez moi, je fais ce que je veux. Je prends la précaution de te prévenir, je n’étais pas obligée.
— J’espère seulement que ce n’est pas un connard et tâchez de ne pas faire de bruit quand vous baiserez, je te rappelle que j’ai la chambre juste à côté.
Après avoir lancé son scud, Vincent claqua la porte au nez de sa mère. Audrey, résignée, poussa un soupir et se prépara à aller chercher Jules à la gare.

*

Jules habitait Lyon et travaillait à la poste. Il avait obtenu sa mutation pour Chambéry quelques mois seulement après sa demande. Châtain, grand et mince, sportif, c’était un bel homme. Ses yeux bleus étaient affublés d’une légère myopie qui lui donnait un regard bienveillant quand il ne portait pas ses lunettes. Il n’avait jamais été marié, ne possédait aucun véhicule motorisé et n’était que locataire d’un meublé. Autant dire que le déménagement fut vite réalisé. Audrey avait pris sa voiture jusqu’à la gare de Challes-les-Eaux et attendit sur le quai l’arrivée du TER. Celui-ci n’était en retard que de cinq minutes.

Quand elle vit Jules descendre du train, Audrey ne put s’empêcher de courir vers lui pour lui sauter dans les bras. Le jeune homme en laissa tomber bruyamment sac et valise pour l’enlacer. Le baiser passionné dura bien trois minutes sous le regard tantôt attendri, tantôt amusé ou offusqué des autres voyageurs et du personnel de la SNCF. Se sentant soudain observé, le couple décida de partir.
Ils parvinrent au parc de stationnement souterrain puis à la voiture d’Audrey. Jules ôta son blouson et posa ses affaires dans le coffre. Audrey, au lieu de s’installer au volant, lui murmura les yeux brouillés par l’envie :
— Je n’en peux plus, viens !

Jules ne répondit rien, mais se laissa volontiers entraîner dans les toilettes du parking. Ils pénétrèrent, main dans la main, dans les lavabos réservés aux femmes et s’enfermèrent dans les WC les plus éloignés de l’entrée. À peine le loquet verrouillé, Audrey rabattit le couvercle de la cuvette et poussa Jules afin qu’il montât dessus. Le couple ainsi positionné, elle n’avait pas à se baisser pour que son nez soit au niveau de l’entrejambe du jeune homme.

Très excitée, Audrey s’acharna quelques secondes sur la ceinture en cuir de son compagnon. Maladroite et pressée, elle arracha presque le bouton principal après avoir ouvert la fermeture à glissière de la braguette. D’un geste vif, elle agrippa pantalon et boxer et amena le tout au niveau des genoux. Jules avait eu le temps de se mettre en condition, aussi sa verge se dressa-t-elle sur-le-champ. Audrey tira sur le prépuce, le gland rose et doux surgit et elle se jeta dessus la bouche grande ouverte. À cet instant précis, les deux amants fermèrent les yeux de félicité. L’homme poussa un fort soupir langoureux tandis qu’Audrey ahanait et suçait bruyamment le membre durci. Ce dernier n’était pas excessivement long, dans la moyenne confessait lui-même Jules. Cela permettait à la jeune femme d’enfourner la totalité de l’engin jusqu’à poser ses lèvres sur le pubis poilu de son partenaire tout en gardant l’extrémité du pénis coincé au fond de la gorge. Puis Audrey ressortit le gland de sa bouche, remonta la verge contre le ventre de Jules et se mit à dévorer les testicules enserrés dans le scrotum. Elle lécha ensuite la hampe puis le frein avant d’engouffrer à nouveau l’intégralité de la pine.
— Je viens ! se plaignit Jules.
— Mmmmm ! répondit-elle la bouche pleine.
— Aaaarrrhhh !

Audrey sentit sur la langue le foutre chaud de son homme. Elle compta les soubresauts du pénis qui éjaculait et sut ainsi qu’elle devrait avaler sept giclées de sperme. Quand Jules eut fini de soupirer, il repoussa sa partenaire avec douceur. De sa verge ramollie tomba une goutte de semence apparue à son extrémité pour s’écraser à terre. Audrey observait son amant, les lèvres serrées en cul de poule. Jules descendit de son piédestal et regarda sa compagne dans les yeux avec amour. Audrey ouvrit la bouche, remua la langue au milieu du liquide blanchâtre puis la referma avant de déglutir bruyamment. Le bonheur dans le regard, elle éclata de rire à cet instant en se saisissant fermement du membre de Jules.
— Attends deux minutes, tu veux ? lui chuchota-t-il.
— Branle-moi alors, supplia-t-elle.

La robe d’Audrey était légère et ample. Jules n’eut aucun mal à passer par en dessous. Il effleura l’entrejambe d’Audrey et ses doigts furent immédiatement trempés malgré la culotte. Il accrocha la ceinture du sous-vêtement et engagea sa main, médius en avant, vers le sexe brûlant de désir de sa compagne. Quand il introduisit les deux premières phalanges dans la vulve, Audrey poussa un cri et projeta sa tête en arrière.
— Ouiiii… Encore ! souffla-t-elle.
Jules caressa le clitoris avec énergie, puis effectua un va-et-vient intense entre les lèvres mouillées sous les gémissements d’Audrey qui agrippa ses seins avec force. Après quelques minutes, Audrey n’y tenait plus. Elle était devenue femelle, furie ; tout son être n’était plus qu’un immense vagin implorant qu’on le remplisse. Elle repoussa violemment son partenaire, arracha sa culotte, la jeta dans un coin et remonta sa robe à la taille.
— Prends-moi ! Tout de suite ! adjura-t-elle.

Sans se le faire dire deux fois, Jules, qui avait repris de la vigueur, souleva Audrey et la plaqua contre la porte en bois. Il se colla à elle, ses cuisses la soutenant surélevée et la pénétra au plus profond de son intimité pour la besogner avec force. Audrey ne touchait plus terre, au propre comme au figuré. La porte tapait bruyamment contre le chambranle à chaque coup de reins et attira l’attention de deux femmes qui se lavaient les mains. Bambambambam… Elles se regardèrent en souriant lorsque, quelques minutes plus tard, ce fut l’apothéose. Les deux orgasmes furent simultanés ainsi que les rugissements des deux amants. Jules éjacula longuement dans le vagin qui n’en finissait pas de se contracter de plaisir, puis ce fut l’accalmie, bam, bam, bam, et le claquement infernal ralentit pour s’arrêter enfin, bam……… bam………. bam.

— Bravo ! Bravo ! s’exclama à voix haute l’une des usagères des toilettes.

Pétrifié, le couple devint soudain silencieux. Jules reposa Audrey à terre avec précautions et se rhabilla. Audrey laissa retomber sa robe naturellement, mais renonça à remettre sa culotte tombée dans un endroit peu engageant des WC. Après quelques minutes, Jules défit le loquet prudemment et jeta un coup d’œil à l’extérieur. Les femmes étaient parties.
— Personne ! On y va !
Main dans la main, en courant presque, les deux amants regagnèrent la voiture en riant. Audrey, aux anges, appréciait fort le courant d’air frais qui lui caressait les fesses et sa vulve dégoulinante.

*

Quelques jours passèrent et les craintes de Vincent s’étaient avérées infondées. Non seulement Jules n’était pas un connard, mais le bruit issu des ébats amoureux de sa mère et lui était raisonnable. Toutefois, le regain d’activité sexuelle d’Audrey lui occasionnait de fortes envies qu’il compensait, entre autres, par la masturbation. Il s’adonnait à cet exercice à n’importe quel moment de la journée et c’est lors d’une telle séance que Jules le surprit.

Il était quinze heures ce mercredi. Audrey était au travail, car ses horaires étaient très irréguliers. Jules, afin de mieux lier connaissance avec Vincent, se dirigea vers la chambre du jeune homme dans le but de lui proposer d’aller au cinéma, voir un film nouvellement sorti. Il ouvrit doucement la porte de la pièce, mais resta figé dès qu’il vit ce qui se passait. Vincent, assis dans un fauteuil face à son écran d’ordinateur, lorgnait avec avidité une vidéo pornographique qu’il avait trouvée sur internet. Pantalon et slip au niveau des genoux, il s’octroyait une masturbation endiablée.

Vincent, casque sur les oreilles, n’avait rien entendu et Jules, par l’entrebâillement, reluquait avec force la bite du fils de son amie qui lui parut monstrueuse. Si sa propre verge de quatorze centimètres de long sur quatre de diamètre (il l’avait mesurée un jour de très forte érection) semblait suffire à Audrey, Jules ne pouvait s’empêcher d’être admiratif et envieux des organes sexuels de Vincent. À vue de nez, son pénis le surpassait bien de dix centimètres de longueur et de deux centimètres d’épaisseur.

L’envie soudaine de sucer un tel gland s’immisça en lui et il sentit son sexe durcir. Jules commença à se tripoter à travers le pantalon. Toujours hypnotisé par le membre de Vincent, il ouvrit sa braguette, sortit bite et couilles et se secoua vivement le prépuce. Les deux hommes poussaient quelques gémissements plaintifs, mais seul Jules entendait tout. Vincent émit un bref cri et sa première giclée de sperme s’étala sur l’écran, juste à l’endroit où une charmante blonde complètement nue se livrait à une fellation baveuse. Surpris par la projection, il attrapa un mouchoir en papier dans la boîte posée sur son bureau et finit de jouir dedans. Jules éjacula à son tour en se mordant un doigt pour ne pas crier et sa semence chuta sur le carrelage. Il referma la porte en silence, se rhabilla et fila dans la salle de bains. Pendant ce temps, Vincent se rajusta, quitta le site pornographique et, soulagé, démarra un traitement de texte, car il avait entreprit d’écrire une nouvelle érotique pour HDS.

Il n’avait absolument rien remarqué.

*

Jules redescendit au salon où il s’installa sur le canapé à méditer pour le reste de l’après-midi. Cet incident ramenait sur le devant de la scène, ce qu’il avait un peu oublié. En effet, cela faisait un an maintenant que Jules n’avait pas couché avec un homme, depuis qu’il sortait avec Audrey en réalité. Aussi loin qu’il se souvînt, même dans son adolescence, il avait toujours été attiré par les deux sexes, mais pour l’instant, Audrey lui avait amplement suffi. La vision du beau Vincent et surtout de sa bite extraordinaire venait de réveiller le penchant homosexuel qui sommeillait en lui. Il n’avait, bien entendu, rien avoué à sa compagne, mais il aimait masturber un homme, lui lécher le gland ou encore se faire sodomiser. Il reconnaissait facilement que s’il était actif avec une femme, il était passif avec ses partenaires masculins. La verge de Vincent, il la réclamait de tous ses vœux. Il voulait la branler, il voulait la sucer et surtout il la voulait entre les fesses.
Quand il y pensait, il sentait poindre une érection. Mais comment convaincre Vincent ? Quel est son penchant sexuel ? A-t-il une petite amie actuellement ? Est-il purement hétéro ? Quel bonheur s’il pouvait être bi ou homo actif !

Le soir même, Audrey revint vers dix-neuf heures. Vincent la prévint qu’il avait prévu de rencontrer des copains et qu’il rentrerait tard. Il était majeur et sa mère savait bien qu’il lui fallait un peu changer de décor. Pris d’une soudaine inspiration, Jules proposa à Audrey d’en profiter pour sortir au cinéma, voir le dernier Fast and Furious 52. Fatiguée, Audrey, que ce genre de production ennuyait au plus haut point, lui suggéra d’y aller seul pendant qu’elle se contenterait d’une soirée télé pour se coucher assez vite. C’est exactement ce que Jules espérait, car le film ne l’intéressait pas outre mesure, mais il voulait filer Vincent afin de savoir à quoi il s’occupait quand il s’absentait.

De fait, Vincent et Jules partirent en même temps vers vingt heures trente, laissant Audrey à l’appartement. Ils quittèrent l’immeuble et, ensemble, marchèrent jusqu’au Chemin de Jacob. À cet endroit et après s’être salués de la main, Jules tourna à gauche et Vincent à droite.

Jules se dissimula dès qu’il le put sous une porte cochère pour épier Vincent. Ce dernier bifurqua rapidement dans la rue du Chaney. Jules courut en catimini à sa suite pour ne pas le perdre de vue. Le jeune homme s’engagea ensuite dans le boulevard Massenet. À l’angle de ce boulevard et de la rue des Hirondelles, un pub superbement éclairé diffusait de la musique techno. Jules, caché derrière un poteau électrique, n’en crut pas ses yeux, car le fils de son amie se dirigeait droit vers un groupe de drag-queens tout excitées et colorées. Celles-ci l’accueillirent avec des cris de joie. Vincent claqua la bise à tout ce petit monde avant de pénétrer dans le bar. Quand il ouvrit la porte, le son lancinant de la techno envahit la rue. Jules s’approcha tout en congédiant d’un geste un travesti intéressé. Il observa la salle à travers la vitrine et un sourire illumina son visage. Son souhait s’était réalisé. Vincent dansait dans les bras d’un garçon et l’embrassait fougueusement sur la bouche. L’aspect de ce dernier, particulièrement efféminé, ne laissait aucun doute : Vincent aimait les hommes, mais ce n’est pas lui qui mordait l’oreiller.

Jules se reput du spectacle un moment puis rentra rapidement chez Audrey, qui était couchée en train de lire. Il monta dans la chambre et commença à se déshabiller.
— Il y avait trop de monde, mentit Jules. J’irai une autre fois.
Il s’allongea à côté de son amie, l’embrassa sur les lèvres et se tourna. Les yeux fermés, il fantasmait sur la bite de Vincent et cela lui provoqua une érection. Il finit par s’endormir, la main autour de sa verge.

*

Jules bénéficiait d’un congé à l’occasion de son déménagement et Audrey travaillait toujours avec des horaires irréguliers. Les deux hommes étaient donc souvent seuls à l’appartement et Jules en profitait pour surveiller de près les agissements de Vincent. Quelquefois, il tombait bien. Deux fois, il l’avait observé branler son panais démesuré et ces deux mêmes fois il s’était masturbé après l’avoir vu jouir.

À la troisième occasion, Jules n’y tint plus. Vincent, casque sur la tête, dévorait des yeux une vidéo pornographique qui représentait deux hommes nus allongés tête-bêche se suçant mutuellement. Il entra avec précautions dans la chambre et à pas feutrés, se plaça derrière Vincent qui continuait à se pignoler. Il posa les mains sur ses épaules, celui-ci sursauta violemment en poussant un cri de surprise. Il arracha ses écouteurs avec maladresse.
— Mais… commença-t-il.
— Doucement, doucement, calme-toi, l’interrompit Jules.
Il se pencha légèrement et se saisit du membre de Vincent pour le branler doucement. Il ferma les yeux en savourant le toucher soyeux de ce gros pénis qui peuplait ses fantasmes.
— Dis donc, la Nature t’a sacrément gâté avec un engin pareil !
Vincent, ne sachant comment réagir, retomba dans le fauteuil et finit par répondre timidement.
— Oui, je sais, avoua-t-il comme s’il était désolé.
— T’es pas content d’avoir une grosse bite ? Moi j’aurais bien aimé.
Vincent se rasséréna un peu et, excité, laissa Jules lui tripoter savamment le sexe. Il parut soulagé de pouvoir parler de ça.
— Il y en a beaucoup qui m’envient, mais ce n’est pas toujours un avantage, tu sais. Un ami a voulu la mesurer l’autre jour : vingt-quatre centimètres de long et vingt-et-un de tour. Les deux seules fois où j’allais baiser une fille, ça ne s’est pas trop bien passé. Quand elles ont vu ça, elles ont ouvert de grands yeux effrayés. La première a prétendu être vierge et ne voulait pas perdre son pucelage, alors elle m’a sucé, c’est tout. La deuxième m’a seulement branlé et a fichu le camp dès que j’ai éjaculé.
— Elles étaient sans doute trop jeunes. Il te faudrait des femmes de l’âge de ta mère, elles sont moins craintives.
— Les hommes, en revanche, ont tout de suite aimé.
— Je comprends, et moi aussi, fit Jules en reprenant sa masturbation.
Le silence tomba, seulement troublé par le bruit mouillé du prépuce qui allait et venait autour du gros gland rose.
— Quel morceau ! s’émerveilla Jules.
Vincent tourna légèrement son fauteuil pivotant pour faciliter la tâche de Jules. Il conservait les yeux fermés et soupirait d’aise. Soudain, il se contracta.
— Je jouis !........... gémit-il.
Jules accéléra et contempla le sperme jaillissant du méat avec une force peu commune. Le premier jet retomba sur les cheveux de Vincent, les suivants moins puissants, sur son tee-shirt. Les dernières gouttes débordèrent sur la main de Jules qui la lécha.
— Putain ! Tu branles bien, souffla Vincent, pas encore remis.
— Ne le dis pas à ta mère, mais je suis bisexuel et si tu veux on peut remettre ça un autre jour…
Il replaça le prépuce sur le gland et constata que la bite de Vincent, même flaccide, imposait le respect.

Entendant soudain le verrou de la porte d’entrée, les deux hommes se séparèrent rapidement. Jules quitta la chambre et alla accueillir Audrey, un sourire un peu forcé aux lèvres.
— Bonjour mon amour, lui susurra-t-il en l’embrassant.
Audrey, sentant contre elle la bosse dure de l’érection de son ami, lui dit en lui mettant la main à la braguette :
— J’arrive à temps, dis donc.
— Je crois bien… murmura-t-il à son oreille, bienheureux de s’en sortir ainsi. Il n’aurait pas su quoi répondre quant à l’origine de cette érection.
— Alors, viens vite, répondit Audrey en entraînant Jules dans la chambre.

*

Jules et Vincent avaient admis leur relation particulière, surtout dans le contexte où Jules était le compagnon d’Audrey et Vincent, son fils. Jules se masturbait souvent après avoir branlé le jeune homme et malgré tout, faisait régulièrement l’amour avec sa partenaire. Cela apportait même un petit plus apprécié par les deux amants sans, bien sûr, qu’Audrey en connût l’origine. Vincent, quant à lui, continuait à voir en soirée ses drag-queens et ses petits copains.

Un jour, alors qu’Audrey travaillait, Jules se présenta à la porte de la chambre du fils. Ce dernier, quittant son clavier et son écran, tourna son fauteuil vers lui et de but en blanc demanda :
— Tu ne voudrais pas me sucer ? La lopette que j’ai vue hier soir n’a jamais rien voulu savoir et j’en ai furieusement envie…
— D’accord, mais je n’avale pas, fit Jules en s’approchant.
— C’est pas grave si tu me suces à fond.
Jules avait déjà pratiqué des fellations avec ses partenaires passés. L’idée d’une éjaculation chaude sur la langue le fit bander.
— Baisse ton pantalon, intima-t-il.
Vincent, trop content, se leva brièvement, baissa pantalon et slip jusqu’aux chevilles et se rassit, cul nu. Il ne bandait pas encore, mais il écarta largement les jambes. Ses lourds testicules et sa verge démesurée pendouillèrent devant le bord du fauteuil. Jules se mit à genoux et glissa vers le jeune homme. La bite, maintenant en semi-érection, formait un arc de cercle et montrait le gland à moitié décalotté. De la main, Jules tira un peu le prépuce et happa le gros bout rose. L’érection devint totale dans la seconde et Vincent émit un fort soupir d’aise. Les yeux près du sexe de Vincent, Jules admirait une fois de plus la taille peu commune de ses organes. Il engloutit le pénis jusqu’à en avoir la nausée, et sa bouche était encore loin du pubis de son partenaire. Il n’avait jamais réalisé de deep throat, et il n’essaya pas ce jour-là.

De la langue, il tournait autour du gland, frottait le frein de ses deux lèvres humides et serrées, léchait la longue hampe, aspirait la peau du scrotum puis recommençait. Vincent couinait de plaisir. Soudain, il s’écria :
— Ta bouche, vite !
Jules s’exécuta et ouvrit la bouche ; son partenaire émit un cri.
— Arrhhhh !
Un liquide épais et chaud lui envahit les joues. Dans le creux de sa main, Jules ressentait la verge raide animée de soubresauts, de spasmes. À chacun d’eux correspondait une giclée de sperme. Jules ferma les yeux, il sentit la semence déborder par les commissures de ses lèvres et lui dégouliner le long du menton. Tandis qu’il débandait brusquement, Vincent repoussa avec douceur la tête de Jules qui recula légèrement. Un liquide blanc goutta sur le sol.
— Putain, tu suces bien aussi, affirma Vincent.
— On fait bien ce qu’on aime bien faire, énonça Jules doctement.
Après quelques minutes de silence, Jules tenait toujours enserrée la bite de Vincent. Il déposa un petit baiser dessus.
— Moi aussi, j’ai un truc à te demander, ajouta-t-il.
— Dis-moi, répondit Vincent curieux.
Jules secoua légèrement la verge molle et dit :
— Je voudrais que tu me la mettes dans le cul.
— Je ne pensais pas que tu aimerais ça, avança Vincent. Mais tu as vu le morceau, tu es prêt pour ça ?
— Oui. En se préparant bien et avec du lubrifiant, ça devrait passer. Je l’ai fait plusieurs fois avec un concombre.
— Eh bien d’accord ! Après-demain, maman ne revient du boulot qu’à sept heures le soir.
— Va pour après-demain vendredi, là je vais me laver les dents ! déclara Jules en clignant de l’œil.

*

En partant au petit jour pour démarrer sa vacation à l’hôpital, Audrey pensait déjà à ce qu’elle ferait avec Jules ce week-end. Ce n’était pas souvent qu’on lui autorisait deux jours complets, surtout les samedi et dimanche. Elle s’était dit qu’ils devraient en profiter doublement, car les congés pour déménagement de Jules se terminaient et il reprenait son travail lundi. À cette heure matinale, seuls résonnaient le chant des oiseaux, le bruissement des feuilles dans le vent et le bruit de ses pas. Audrey était heureuse, elle accéléra le rythme dans le frimas du matin gris comme si, en marchant plus rapidement, la journée même allait passer plus vite.

Vers quatorze heures, après avoir déjeuné en compagnie de Vincent et effectué quelques tâches ménagères, Jules pénétra dans la chambre du couple. Il ouvrit la porte du placard qu’Audrey lui avait dédié (c’est-à-dire à peine vingt pour cent de la totalité) et glissa la main au milieu de sa pile de tee-shirts. Il en ressortit un petit flacon rempli d’un liquide incolore et visqueux et muni d’un bouchon distributeur à poussoir. On aurait dit du gel hydroalcoolique, mais c’était mieux que ça. Jules se déshabilla complètement, s’assit sur le lit puis s’allongea sur le dos. Il remonta ses jambes pliées, ce qui fit basculer son bassin. Prenant une noix de lubrifiant intime sur son index, il en massa son sphincter. Il accomplit cette manœuvre plusieurs fois, puis il enfonça son doigt dans l’anus. Il assouplit convenablement les parois rectales en vue de ce qui allait se passer.
— Voilà, je suis prêt, déclara-t-il à voix haute.

Il se leva et, toujours nu, se présenta à la porte de la chambre de Vincent. Celui-ci était encore sur son ordinateur. Il ne visionnait rien d’érotique, mais jouait à un jeu de simulation spatiale. Il tourna la tête brièvement et poussa un petit sifflement en regardant ostensiblement le pénis dressé de Jules.
— Je vois que tu es déjà prêt par devant ; et par-derrière ?
— Oui, aussi, répondit Jules en montrant son flacon de lubrifiant.
— Toujours décidé ?
— Plus que jamais.
Vincent cliqua dans ses favoris et afficha un site pornographique.
— Va sur le lit, je me mets en condition.
Vincent choisit une vidéo où une femme à quatre pattes se faisait prendre par-derrière par un black particulièrement bien équipé, tandis qu’elle léchait béatement la bite d’un autre homme à genoux devant elle. Après quelques instants, les deux mâles retirèrent leur pénis de leur écrin respectif et finirent en éjaculant sur le dos de la demoiselle qui poussait des petits cris d’un plaisir factice. L’érection de Vincent vint aussitôt. Il quitta internet et présenta son vit de vingt-quatre centimètres sous le nez de Jules qui entreprit de le sucer.

Vincent ferma les yeux en pensant à sa mère. « Que dirait-elle si elle voyait ça ? Arriverait-elle à admettre que son fils et son mec soient bisexuels ? »
Jules s’appliquait tellement bien à sa tâche que Vincent commençait à ressentir les prémices d’un orgasme toutefois encore lointain.
— Mets-toi à quatre pattes maintenant, demanda-t-il en retirant son pénis de la bouche gourmande de son partenaire.
Jules avança sur le lit, prit la position voulue et posa tête et épaules sur le matelas. De ses deux mains libres, il écarta ses fesses.
— Vas-y, je suis prêt.
Vincent rajouta un peu de liquide dans le sillon interfessier de Jules et dirigea son énorme gland contre le sphincter offert. Il s’accrocha aux hanches et poussa violemment, le dard s’enfonça de dix centimètres.
— Aaaahhhh ! Doucement ! Doucement ! gémit Jules.
Vincent se rendit compte de sa brutalité. Il n’était pas avec ses petites « lopettes » dont l’habitude de la sodomie avait distendu les chairs. Il recula légèrement laissant quelques secondes s’écouler.
— Continue maintenant, émit Jules dans un souffle.
Avec précaution, Vincent avança centimètre par centimètre. Il fit gicler une nouvelle dose de lubrifiant, il n’avait rentré que la moitié de son engin.
— Plus loin ! implora Jules.
L’affaire était pratiquement conclue, puis Vincent parvint à toucher de son bas-ventre les fesses de Jules, épanoui.
Le va-et-vient qu’imprima Vincent à son pénis dans le rectum n’était plus que plaisir, pour l’un comme pour l’autre. Jamais Jules n’aurait l’occasion d’en absorber un plus gros que celui de Vincent, il en profitait un maximum. Soudain, Vincent s’exclama :
— Je viens Jules, je viens !
Avec un terrible gémissement, Vincent éjacula une dose de sperme conséquente qui se perdit dans les boyaux de son partenaire. Après une dizaine de giclées, Vincent se retira. Sa bite en arc de cercle débandait déjà. Un flot de liquide blanchâtre coula de l’anus demeuré béant de Jules et se répandit sur le lit après avoir longé ses testicules qui pendouillaient, peu vaillants.

La chambre était restée grande ouverte, car ils étaient sensés être seuls dans l’appartement. Seulement, à cet instant précis, une silhouette familière s’encadra dans la porte. Audrey, les yeux grands comme des soucoupes, la main sur sa bouche ouverte pour atténuer un cri muet avança d’un pas dans la pièce. Les deux hommes la regardèrent sans un mot, effarés, quand soudain, Audrey tourna les talons et s’enfuit en courant.

Conscient du travail accompli par les « trois mousquetaires » durant le dernier mois où le service était tendu en matière de personnel, la chef d’Audrey leur avait accordé une sortie anticipée afin de mieux profiter de leur week-end. Il y a fort à parier que, pour Audrey, celui-ci serait maintenant totalement compromis.

*

Vingt et une heures trente. La porte de l’appartement claqua et Audrey entra en trombe dans le salon où Jules regardait la télévision, assis dans le divan. Dès qu’il la vit, il éteignit le poste.
— Toi, tu dors ici, aboya Audrey en désignant le canapé du doigt, et tu fiches le camp demain matin à la première heure. Où est Vincent ?
— D’accord, d’accord, je pars demain, temporisa l’homme en montrant ses deux paumes, Vincent est dans sa chambre, je voudrais te parler de lui.
— Me parler ? Tu as des rapports homosexuels avec mon fils et tu veux me parler ? Et tu veux me dire quoi ? J’ai compris toute seule, je ne suis pas idiote. J’aurais au moins appris une chose, c’est que mon fils est homosexuel. Ce n’est pas que ça me gêne, mais c’est toujours bon de le savoir, s’exclama-t-elle, furibonde.
— Vincent n’est pas seulement homosexuel, il est bisexuel comme moi, précisa Jules.
Audrey, silencieuse, le dévisagea l’air interrogateur.
— Oui, Vincent a déjà couché avec des filles, mais tu connais sûrement sa morphologie, celles qu’il a rencontrées n’ont pas osé aller jusqu’au bout avec lui. Alors il s’est tourné vers les hommes, parce que justement ils apprécient cette particularité. Sinon, il est aussi à l’aise avec les femmes qu’avec les hommes.
— Mais, de quelle particularité tu parles, s’enquit Audrey inquiète, il n’est pas normal ? Qu’est-ce que tu me chantes ?...
— Oh ! Si, il est parfaitement normal, seulement son sexe fait deux fois la taille du mien. Les filles ont eu peur, mais les hommes entre eux aiment ça.
Audrey digérait l’information…
— C’est vrai que je ne l’ai jamais vu vraiment nu, observa-t-elle, radoucie, en se laissant choir dans un fauteuil.
Puis, après un petit moment de réflexion :
— Mais alors, toi aussi ?
Jules profita de l’accalmie pour poursuivre :
— Oui, moi aussi, et depuis longtemps, mais pas d’homme ni de femme depuis que je te connais. C’est par hasard que j’ai surpris ton fils en train de se masturber devant son ordinateur. Quand j’ai vu son pénis en érection, je n’ai eu de cesse de le faire éjaculer de toutes les manières possibles.
— Épargne-moi les détails, tu veux ?
— Oui, pardon. Je suis heureux et comblé à tous les niveaux avec toi, mais là j’ai été subjugué.

Audrey se releva doucement et se dirigea vers sa chambre. Elle revint peu de temps après, un sac et une valise dans chaque main. Elle les jeta à ses pieds.
— J’ai remis tes affaires dans ton sac et ta valoche, demain tu vires tout ton attirail de toilette et tu te barres. Je ne peux décemment pas vivre avec un homme qui couche avec mon fils.
Jules, penaud, ne répondit rien.
Puis, comme pour elle-même, Audrey déclara :
— Je ne me suis jamais occupée de lui, il est temps pour moi de prendre mes responsabilités.

*

Trois jours plus tard, Audrey, seule dans l’appartement avec son fils, décida d’aller lui parler. Elle s’approcha de la porte de sa chambre et l’entrebâilla. Elle sursauta : Vincent, casque sur les oreilles, se masturbait devant une vidéo pornographique. Forte de ce que lui avait confié Jules, elle porta le regard sur sa verge. Elle en fut éberluée. Elle avait, bien sûr, connu des hommes avant Jules et tous arboraient un sexe relativement identique, mais là, c’était extraordinaire. Audrey, malgré elle, dévora des yeux le membre viril de son fils pendant quelques minutes. Machinalement, elle glissa un doigt dans sa culotte et caressa sa vulve qui s’humidifiait malgré elle.
— Je ne dois pas, je ne dois pas, je ne devrais pas, je ne… se réprimanda-t-elle en mordillant son poing.

Puis, en dépit du poids énorme de sa culpabilité, les yeux rivés sur le formidable pénis de Vincent, elle entra, se coula furtivement derrière son fils et lui posa doucement les mains sur les épaules.

— Mais… commença-t-il.


***-***

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Audrey se tape son amant. L’amant se tape le fils et la mère.

La chipie

À ma lectrice. C'est volontairement que je n'ai fait que suggérer, en fin d'histoire, une relation incestueuse entre Audrey et son fils. J'ai laissé les lecteurs imaginer la suite comme ils l'entendaient. Je pourrais naturellement trouver une suite dans un récit croustillant digne de H.D.S., mais les histoires d'inceste se terminent souvent mal. Qu'en pensent les autres lecteurs ?

Histoire Libertine
Et la suite ???

Histoire Erotique
😊

Je voulais dire-ci-dessous...

Merci pour vos appréciations. Pour le lecteur ci-dessus, c'est encore mieux que ce que vous pouvez imaginer, croyez-en mon expérience.;-)

Histoire Erotique
jouis 2 fois. C’est bien écrit.

Histoire Erotique
J’adore votre description du plaisir que prend Jules lorsqu’il suce Vincent... En temps qu’hetero, j’en rêve 😋.... Cela doit être magique de sentir une verge jouir dans sa bouche .....sentir son orgasme venir 🤤



Texte coquin : L'inceste
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Philus

Le routier - Récit érotique publié le 03-12-2024
Marine et Marie - Récit érotique publié le 27-10-2024
La fulguration de Léanore (3/3) - Récit érotique publié le 01-10-2024
La fulguration de Léanore (2/3) - Récit érotique publié le 18-09-2024
La fulguration de Léanore (1/3) - Récit érotique publié le 07-09-2024
La prostituée (2/2) - Récit érotique publié le 22-07-2024
La prostituée (1/2) - Récit érotique publié le 17-07-2024
Le Cygne - Récit érotique publié le 20-06-2024
Inès - Récit érotique publié le 17-05-2024
Une révélation - Récit érotique publié le 15-04-2024