Il faut tout essayer

- Par l'auteur HDS Philus -
Récit érotique écrit par Philus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Il faut tout essayer Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Il faut tout essayer
À Angers, à l’extrémité de la rue du Vallon, quelques maisons au toit d’ardoises accolées entre elles se rassemblent tout près de la rue Jean Rostand. L’une d’elles est la résidence familiale de Pascal Pavet et son épouse Sylvie depuis près de vingt-cinq ans. Pascal est un homme de cinquante-neuf ans, assez grand et encore sportif malgré une discrète proéminence abdominale. Le front dégarni met en valeur sa couronne de cheveux gris. Sylvie, un an plus jeune, est presque aussi grande que lui lorsqu’elle porte des chaussures à talons. Ses seins sont devenus lourds, mais elle a su rester mince. À l’image de son mari, ses cheveux gris sont coupés très courts et son visage clair, illuminé par ses yeux bleus, est souvent encadré par des boucles d’oreille créoles fantaisie. Les chambres des deux enfants, partis du foyer parental il y a quelques années déjà, ont été transformées au fur et à mesure en chambre d’amis et en bureau. Pascal et Sylvie ont toujours gardé la leur, car même si cette pièce s’avère plus petite que les deux autres, elle a le mérite d’offrir une vue imprenable sur le lac de Maine. Aujourd’hui, les époux Pavet attendent sagement la retraite. Tous deux, fonctionnaires, font partie des derniers bénéficiaires de la controversée retraite à soixante ans.

Ce soir, c’est vendredi et comme tous les chanceux qui partent en congé, les Pavet ont convié leurs collègues de bureau à un pot amical. Au début, en présence des gradés, tout le monde boit du soft, le cul un peu serré. Les bouteilles d’apéritifs prennent le relais lorsque les chefs ont terminé leur acte de présence et que l’ambiance se déride. Finalement, c’est un brin pompettes que les deux époux rentrent chez eux.
Cette nuit étoilée de juillet et la chaleur moite à peine masquée par la climatisation de la voiture incite à tous les excès. Pascal, les yeux rivés sur la route éclairée par les puissants phares de la BMW, sursaute brusquement. Sylvie vient de lui insérer une main entre les cuisses et lui malaxe le sexe. La robe retroussée, elle a également passé son autre main dans la ceinture de sa culotte et se caresse du bout des doigts les lèvres de sa vulve suintante.
— Oh ! Chérie ! souffle Pascal interloqué.
Sylvie ne répond pas et s’excite après la fermeture à glissière de la braguette de son mari. Quand elle parvient enfin à se faufiler dans l’échancrure, elle se saisit du pénis raidi à travers le tissu même du slip. Elle le compresse et le décompresse fort en rythme. Pascal réajuste avec peine sa position de conduite en remuant les fesses sur le fauteuil.
— Vite ! À la maison, implore Sylvie d’une voix mourante.

La bite toujours dans l’étau de la main de sa femme, Pascal lance le V6 de la voiture, déclenchant au passage le flash d’un radar dissimulé derrière un pilier de pont, dans une grande ligne droite ne présentant aucun danger. Comme si l’on cherchait à faire les poches des automobilistes plutôt que les protéger… Les époux Pavet parviennent en face du portail de leur maison. Ce dernier s’ouvre sous l’impulsion d’une télécommande et le véhicule s’arrête devant la porte du garage. Avant même que le portail ne soit totalement refermé, Sylvie se rue sur l’entrejambe de son mari, défait en hâte la ceinture et la boucle du pantalon et baisse le slip, libérant un pénis de taille moyenne qui ne demandait que ça. Pascal incline le dossier en arrière et se retrouve presque en position couchette. D’un geste sec, elle descend le prépuce et gobe le gland gonflé. La main gauche autour du sexe chaud et vibrant de son mari, la droite dans sa culotte, Sylvie suce et resuce le gland dilaté pendant de longues minutes. Tout à coup, Pascal pose les deux mains sur l’arrière du crâne de son épouse et appuie fortement, taquinant la luette de Sylvie du bout de la bite. Il éjacule soudain comme il n’avait pas giclé depuis longtemps.
— Aaahhh ! Chérie… Oui… je viens… grogne-t-il.
Naturellement, chérie ne répond pas. Elle ne fait qu’émettre des bruits gutturaux de déglutition. L’orgasme enfin passé, Sylvie se saisit de la main gauche de son mari et l’introduit dans sa culotte trempée.
— Finis-moi ! je t’en supplie.

Malgré la période réfractaire plus intense que lorsqu’il était jeune, Pascal s’empresse de satisfaire sa femme. Sous sa paume, les poils pubiens sont mouillés, la vulve ouverte et le clitoris gonflé. Ses deux doigts pénètrent le vagin comme dans du beurre. Après quelques minutes de soupirs, Sylvie se tourne vers son époux et loge sa tête dans son épaule.
— Oui… Oui… Oui… Encore… gémit-elle. Plus loin, plus loin !…
Pascal ne peut pas aller plus loin. Il aplatit alors le bouton rose de son pouce et le manipule rapidement. Sylvie lui plante ses ongles dans l’avant-bras, lui écrase la main de ses cuisses serrées et hurle son orgasme.
— OUI !!!... OUI !... Ouiiiiiii…
La voiture est bien insonorisée et c’est heureux, car les fenêtres des voisins étant largement ouvertes en cette nuit d’été, la jouissance de Sylvie ferait le tour du lotissement.
Pascal se penche vers sa femme restée bouche bée. Il l’embrasse en lui suçant la langue, Sylvie y répond avec ardeur. Puis les deux époux reprennent leur respiration.
— Tu aimes le goût du sperme ? questionne-t-elle à brûle-pourpoint.
Pascal sourit.
— Et toi, tu aimes la cyprine ?
— Réponds-moi, insiste Sylvie.
— Je ne sais pas. Pourquoi cette question ?
Sylvie remonte sa culotte et réajuste sa robe. Elle affiche un air polisson.
— Comme ça… J’avale le tien depuis tant d’années et tu ne m’as jamais demandé. Tu ne voudrais pas savoir ?
Pascal semble embarrassé.
— Je ne me suis jamais posé la question. Il faudrait que la prochaine fois tu n’avales pas et que tu m’embrasses ?
Sylvie éclate de rire.
— C’est une solution, mais pas la seule…
Laissant Pascal réfléchir à ces quelques mots, Sylvie sort de la voiture aussitôt imitée par son mari.
— On va se coucher ? fit-elle avec malice en lui tendant la main.

*-*

Cette année-là, sur les quatre semaines de congé, seulement les deux dernières sont consacrées à un séjour au bord de l’océan. Pendant les deux premières, Sylvie et Pascal vont laisser libre cours à leurs envies, y compris celle de ne rien avoir envie de faire.

Le samedi soir, Sylvie monte se coucher de bonne heure, un livre à la main. Elle ne dispose pas tant que ça, au cours de l’année, de l’occasion de lire tranquillement dans son lit. Pascal s’empare de son ordinateur portable dès qu’elle disparait dans l’escalier et va consulter un site porno gay. Il va souvent sur ce site, car depuis quelques années, il aime bien regarder des sexes masculins plus gros que le sien en action. Ses quatorze centimètres le complexent beaucoup quand il les compare aux pieux colossaux qu’il a régulièrement sous les yeux.

Pascal se régale de voir des hommes se faire sodomiser ou pratiquer des fellations, surtout s’ils sont jeunes. La partie qu’il préfère ce sont les vidéos dites « amateurs » même s’il doute que ce soit bel et bien le cas. Une solide érection l’accompagne généralement pendant cette séance et, au bout d’une heure, il n’y tient plus et se masturbe sauvagement. L’éjaculation vient alors très vite soulager ses gonades.

Au milieu d’un clip où un très jeune homme à quatre pattes se fait sodomiser par un autre plus âgé, lui-même en train de sucer la bite d’un troisième individu, apparait soudain un popup publicitaire. D’habitude, Pascal referme ces interruptions inopportunes rapidement sans les lire, mais celle-ci attire plus spécifiquement son attention. Un titre : « Frissons-gay.com, petites annonces gay », suivi de quelques lignes explicatives.
Au lieu de clore la fenêtre cette fois-ci, Pascal clique sur le lien présenté et est surpris par le nombre d’annonces qu’il a sous les yeux. Il les passe en revue, sélectionne celles de la région d’Angers et reste pantois devant la première de la liste.

« Angers. H. 60 ans, marié, bi, 1,80 m, 82 kg, 19x5, bien dans sa peau, aime qu’on vienne le branler chez lui. Réciproque possible. Libre les après-midi de semaine. »

Après avoir mûrement réfléchi, il décide alors de tenter sa chance. Tout d’abord, il crée un compte pour pouvoir interagir avec les autres et adresse un message court, mais explicite à l’annonceur. Celui-ci est en ligne et la réponse vient rapidement. Un rendez-vous est fixé après quelques échanges. Pascal bande comme un âne à force de fantasmer et avant d’aller se coucher, il fonce aux toilettes et se branle en éjaculant dans la cuvette. Les testicules vidés, il rejoint Sylvie pour s’endormir aussitôt.

*-*

Le surlendemain.
— Chérie ! Je vais chez BM pour le contrôle technique de la voiture. Je ne vais pas rentrer tout de suite, crie Pascal depuis le garage à l’attention de sa femme restée dans la maison.
— Oui, mon chéri. Vas-y, je ne bouge pas d’ici.
Il est 13 h 50. Pascal enclenche la première et part dans la rue du Vallon. Il amène l’automobile au concessionnaire BMW le plus proche, celui qui se situe à Beaucouzé, commune voisine d’Angers. Comme il y est bon client, le chef d’atelier lui prête un véhicule de courtoisie. Il retourne alors à Angers, mais se gare au pied d’un immeuble loin de chez lui. Il descend de voiture, lit les noms indiqués sur les sonnettes des différents appartements et appuie sur le bouton de l’avant-dernière. Trois secondes plus tard, la serrure électrique de la porte se déclenche accompagnée d’un grésillement caractéristique. Pas un mot n’est échangé à l’interphone.

Pascal pénètre dans l’ascenseur et grimpe jusqu’au troisième étage. Un homme attend sur le seuil de sa porte ouverte. Pascal s’y dirige et l’huis se referme derrière eux. Michaël ne paraît pas ses soixante ans. Il a même l’air plus jeune que Pascal. La description qu’il a faite de lui sur le site lui correspond bien. D’un bras tendu, il désigne le salon.
— Moi, je ne travaille plus, mais ma femme en a encore pour quelques mois. Elle bosse à mi-temps l’après-midi, explique-t-il de sa voix grave.
— Moi je travaille encore, mais je suis en congé, réplique Pascal.
— Tu viens dans la chambre ? intime Michaël en tournant le dos à Pascal comme une invite à le suivre.
— Là ? Comme ça ? Tout de suite ? fit-il.
Michaël se retourne, un grand sourire lui barre le visage.
— C’est ta première fois ?
Pascal baisse la tête en murmurant.
— Oui…
— Si tu n’es pas sûr, on en reste là…
Pascal se dit qu’un fantasme reste un fantasme tant qu’il n’a pas été réalisé. Il rêve de tenir une autre bite que la sienne dans le creux de la main depuis des années et l’occasion se trouve là, maintenant. Ce serait trop bête…
— Non, non. On y va, conclut-il d’un ton décidé.
— Alors, viens.

Les deux hommes pénètrent dans une chambre où trône un lit à deux places. Michaël se débarrasse de son pantalon et de son slip sur un fauteuil et s’allonge sur le lit, les pieds reposant à terre. Son t-shirt remonte au-dessus de son nombril poilu et Pascal a le regard immédiatement attiré par le sexe tout aussi velu de l’homme. Sa queue reste timide pour l’instant, mais ses testicules arborent une belle grosseur. Michaël tapote la couverture.
— Viens-là, invite-t-il.
Pascal s’assied à côté de lui et avance la main vers sa bite. Il ferme les yeux en l’enserrant, puis la malaxe gentiment. Le pénis, jusque là assez insignifiant, s’allonge, gonfle et se durcit. En peu de temps, le membre atteint une taille que ne laissait pas supposer son sexe au repos. Pascal rouvre les paupières, admiratif.
— Il n’a pas menti sur sa bite, pense-t-il. Quel bel engin !
Sur ces pensées, Pascal referme les yeux et entame une lente masturbation. Michaël reste imperturbable, savourant la caresse. De longues minutes s’écoulent.
— Plus vite… Moins vite… Serre-moi les couilles… Plus fort… Michaël donne ses instructions au fur et à mesure.
Pascal exulte. Il s’émerveille de voir cette grosse bite dont il découvre et recouvre le gland alternativement. Le prépuce fait un bruit mouillé, un peu de liquide spermatique s’échappe du méat.
— Dix-neuf sur cinq, comme j’aurais aimé avoir cette bite-là…
— Plus vite Pascal, je jouis !...

Pascal, perdu dans ses pensées, revient à sa branlette et accélère la cadence. Un jet de sperme jaillit soudain et tombe dans le col du t-shirt de Michaël. Le deuxième à la racine de ses cheveux et les suivants viennent remplir son nombril d’un liquide séminal blanc comme neige. Pascal ne s’arrête pas, il attend les instructions. Au bout de sept éjaculations, Michaël se saisit de la main de Pascal et l’écarte doucement de son membre. Il respire vite. Quelques secondes de silence s’interposent.
— C’est peut-être la première fois, mais tu branles foutrement bien. Merci.
Michaël se rhabille et les deux hommes se lèvent. Michaël met la main à la braguette de Pascal dont l’érection déforme le tissu. Il apprécie la bosse en connaisseur.
— Une prochaine fois, si tu veux, c’est moi qui te branlerais.
Pascal se laisse caresser.
— Ma bite est plus petite que la tienne, tu sais…
— On s’en fout. Petite ou grosse, ça reste une bite, malgré tout.
Pascal sourit. Rassuré, il détache son pantalon et le fait glisser à mi-cuisse ainsi que son boxer. Michaël observe la queue de Pascal qui commence à se branler. Il jouit debout en grognant quand sa semence tombe sur le carrelage. Michaël sourit à son tour et caresse la bite humide de son invité.
— T’étais bien excité à ce que je vois. Merci de ta visite et à une prochaine fois peut-être…
Pascal se rhabille alors également et les deux hommes se séparent à la porte d’entrée en se serrant la main.

*-*

En retournant chez le garagiste, Pascal réfléchit à ce qui vient de se passer. Il ne se sent pas différent, la masturbation qu’il a prodiguée à Michaël se rappelle à lui comme dans un rêve. Rêve et fantasme ne sont finalement pas si éloignés.
— N’empêche, dix-neuf centimètres, j’aurais bien aimé avoir la même, regrette-t-il à voix haute.
En se remémorant le gland éjaculer son élixir et la cavité ombilicale de Michaël se remplir, les mots sibyllins de sa femme « C’est une solution, mais pas la seule » lui reviennent également en tête. Quelle saveur possède le sperme ? Il n’en sait toujours rien. Même s’il goûtait le sien, cela satisferait-il sa curiosité ? La solution lui apparait évidente, il doit agir comme Sylvie le fait pour lui : sucer une bite. À cette seule pensée, une érection se déclenche dans son caleçon. Il sourit. Pascal est tellement distrait par ses réflexions personnelles qu’il manque l’entrée du concessionnaire l’obligeant à faire demi-tour au rond-point le plus proche. Il reprend alors possession de son véhicule avant de rentrer chez lui.

Pénétrant dans le salon, il se saisit de son ordinateur qui ne se trouvait pas à l’endroit où il croyait l’avoir laissé et contacte Michaël. Il rédige un simple message lui disant qu’il avait été ravi de l’expérience et qu’il restait à sa disposition pour plus tard. Sylvie et lui font l’amour le mardi une bonne partie de l’après-midi. Sexuellement comblé, il ne va pas visiter le site gay qui ne provoque en lui aucune envie. La journée suivante s’avère infructueuse ; il ne trouve pas précisément ce qu’il cherche et personne ne l’a contacté au sujet de sa propre annonce. Le lendemain pourtant, un courrier clignote dans sa messagerie :

« Bonjour, je suis un homme de 51 ans et j’aime me faire sucer. Je vis seul et peux recevoir n’importe quand. »

Pascal s’empresse de correspondre et accepte un rendez-vous le jour même en fin de matinée chez celui qui lui a répondu. Sylvie s’absente jusqu’au soir, son amie Paule est venue la chercher en voiture pour une sortie « shopping ». L’homme habite Écouflant à quelques kilomètres d’Angers. Pascal démarre la BMW vers onze heures et se gare devant une demeure isolée entourée d’un jardin engazonné. Il ouvre le portillon en faisant tinter la clochette fixée dessus. Il s’approche de l’entrée de la maison et, contre toute attente, l’individu sort de chez lui en refermant derrière lui.
— Moi, c’est Christophe. Viens, lui intime-t-il.
— Pascal, se présente-t-il.
Pascal suit son hôte qui descend au niveau inférieur par une volée de marches sur le côté de la bâtisse. Il entre à la suite de Christophe dans un sous-sol joliment aménagé. Le propriétaire condamne la porte au verrou et désigne une patère en se déshabillant.
— Moi, je fais ça à poil. Tu peux accrocher tes vêtements ici.

Les deux hommes se retrouvent nus dans la minute puis, face à face, chacun tâte la bite de l’autre. Aucune différence de taille entre elles, Pascal se détend.
— Tu me suces alors ? demande Christophe en s’allongeant sur un grand canapé grenat.
Pascal hoche la tête, s’agenouille et prend le membre de Christophe à pleine main. Ce dernier ne bande pas encore totalement, mais sa verge n’est plus tout à fait flaccide. En revanche, dès que Pascal branle un peu le pénis, lui-même ne peut contenir une belle érection. La bite de Christophe, maintenant rigide, laisse échapper du prépuce un gland rose et bien plus épais que la hampe. Pascal ferme les yeux, approche ses lèvres et engloutit le membre. Ses pulsations cardiaques accélèrent et en lui-même il songe : « Que fais-tu Pascal ? Que fais-tu ? »

Pascal n’a jamais taillé de pipes, mais il ne lui est pas difficile d’imiter Sylvie quand elle le pratique sur lui-même. Sa langue tournicote autour du gland et ses lèvres effectuent quelques va-et-vient. À certains moments, il plonge le sexe de Christophe au fond de sa gorge jusqu’à se déclencher des nausées. De son autre main, il malaxe les couilles dures comme des noix. Christophe soupire et caresse la nuque de Pascal. De longues minutes s’écoulent.
— Je vais jouir ! prévient-il soudain en repoussant la tête de Pascal, présumant que ce dernier ne voudrait pas du sperme dans sa bouche. Pascal a un geste de dénégation et maintient sa caresse. Alors Christophe se laisse aller.
— Aaahhh !...
Un premier jet de semence gicle contre son palais et Pascal observe un bref instant d’arrêt. Puis les autres suivent, largement espacés et enfin, plus rien.
— C’est fini, murmure Christophe.

À regret, Pascal cesse de sucer la bite, fait tourner le liquide séminal dans sa bouche et avale en claquant la langue. Un léger goût âpre, mais pas désagréable, envahit ses papilles. Alors ça n’est que ça ? Christophe tend un bras vers lui.
— Viens là…
Pascal s’approche, Christophe le prend par le cou et colle ses lèvres aux siennes. Une langue frétillante vient remplacer la verge qu’il pompait encore il y a une minute. D’abord surpris, Pascal présente tout d’abord un mouvement de recul, puis se laisse faire en savourant ce baiser inattendu.
— Branle-toi sur ma bite, ordonne-t-il soudain.
Pascal, doté d’une érection solide, ne se fait pas prier. Il se lève, s’installe au-dessus du sexe de l’homme et se branle énergiquement. Son excitation est telle qu’à peine trente secondes plus tard, il oriente son pénis vers le bas et éjacule une demi-douzaine de fois sur les couilles et la bite de Christophe.

Après s’être nettoyés l’un l’autre à l’aide de mouchoirs en papier, les deux hommes se rhabillent et ressortent dans le jardin. Ils se séparent au pied du perron de la maison, Christophe rentrant chez lui et Pascal se dirigeant vers le portillon de la rue.

*-*

Au volant de sa BMW, tout en conduisant bien en dessous la vitesse autorisée, Pascal réfléchit, parfois à voix haute. Le sperme dans sa bouche, le baiser profond, sa branlette sur le sexe de Michaël, tout cela le laisse perplexe.
— Bon, le sperme n’a pas de goût, ou si peu, je pourrais dire ça à Sylvie maintenant. Mais comment le lui dire sans lui avouer que j’ai sucé un mec ? Va-t-elle s’estimer trompée ? Ne va-t-elle pas me considérer comme un homosexuel et se désintéresser de moi ? Pire, elle pourrait rechercher un autre homme…
Quelques instants s’écoulent. Les arbres défilent de chaque côté du véhicule. Soudain, Pascal frappe le volant du plat de la main et s’écrie.
— Mais pourquoi m’a-t-elle posé cette putain de question ? Qu’est-ce que ça peut lui foutre que je connaisse le goût du sperme ou non ! Elle me suce, je la suce : ça devrait nous suffire. Je l’aime moi.

À l’approche de la maison, un véhicule surgit de la rue du Vallon et vient à la rencontre de Pascal.
— Tiens ! Mais c’est Paule !
Se reconnaissant mutuellement au dernier moment, les deux conducteurs se font un signe de la main. Puis, Pascal stoppe la voiture comme d’habitude devant la porte du garage.
— C’est moi ! clame-t-il en entrant dans le couloir.
Il avance vers un fauteuil du salon et pose un léger baiser sur les lèvres de sa femme en lui tenant le menton de deux doigts.
— Alors ce shopping ?
Sylvie affiche un demi-sourire.
— Oui, bien, mais fatigant.
— C’est vrai, tu as de vilains cernes sous les yeux.
Sylvie dégage son visage pour le dissimuler un peu.
— Oh, une nuit de sommeil et il n’y paraîtra plus.
Puis, plus réjouie, elle enchaîne.
— J’ai invité Paule et son mari Gérard demain soir. Il faut profiter des vacances, au cours de l’année on ne se voit presque pas.
Pascal se caresse la peau du crâne.
— J’ai croisé Paule à l’instant. Tu as bien fait, je n’ai pas vu Gérard depuis au moins six mois.
Puis il poursuit.
— Tiens ! Ce soir, j’irais bien au resto, ça te dit ?
Sylvie prend une mine déconfite.
— J’ai déjà préparé le diner et tu sais, je suis vraiment crevée.
— Bon alors, un apéro, conclut-il en se dirigeant vers le bar.

*-*

Le vendredi soir, comme convenu, les deux amis viennent pour diner, un bouquet à la main. À l’inverse de Sylvie, Paule Defort, plus jeune de quelques années, n’est pas très grande et n’arbore qu’une poitrine menue. Les cheveux teints, des yeux noisette pétillants de malice, Paule est une femme agréable à regarder. Sa conversation fluide et ses avis éclairés sur beaucoup de thèmes en font une invitée de choix. Morphologiquement, Gérard Defort, également plus jeune que Pascal, pourrait sans effort être confondu avec son ami. De taille comparable et un peu bedonnant, seule sa chevelure abondante poivre et sel le distingue de lui. Amateurs de sport en tout genre, les deux hommes trouvent toujours un sujet de discussion, leur épouse respective n’étant pas aussi passionnée qu’eux. La soirée s’écoule, légère et agréable, puis vient le moment pour les Defort de prendre congé.
Pascal et Sylvie rangent la cuisine et la salle à manger ; trois quarts d’heure plus tard, Sylvie monte dans sa chambre.
— Ne te couche pas trop tard, conseille-t-elle avant de s’engager dans l’escalier.
— Je regarde mon ordi juste cinq minutes, répond-il.

Pascal ouvre son portable et va immédiatement sur un site de vidéos gay. Il s’arrête sur une scène où deux jeunes hommes, bien entendu équipés comme des ânes, sont allongés tête-bêche sur un lit blanc et se sucent mutuellement la queue. Celle de Pascal ne fait qu’un tour dans son caleçon et se raidit en une poignée de secondes. Au bout de deux minutes, la caméra s’oriente en gros plan sur la figure de l’un des acteurs. Celui-ci sort la bite qu’il a dans la bouche et la masturbe devant ses lèvres, langue tendue, jusqu’à ce qu’elle éjacule à moitié sur sa langue, à moitié sur son visage. En fond sonore, on entend geindre l’autre homme. L’image change de comédien et la même scène se reproduit. Pascal n’y tient plus et ouvre la braguette de son pantalon pour se branler. Il gicle dans un mouchoir en papier en étouffant ses gémissements.
Pascal reprend son souffle et remplace le site des vidéos par celui des rencontres gay. Il fait défiler un certain nombre d’annonces situées à Angers, quand une retient son attention.

« H. 53 ans 1,81 m, 16x4, voudrait tenter l’expérience du 69 entre hommes. Je ne peux pas recevoir. Annonce sérieuse, plaisantins s’abstenir. »

Pascal aperçoit en face du pseudo de l’annonceur un petit point vert, ce qui signifie qu’il est en ligne. Il rédige un message qu’il expédie immédiatement. La réponse ne tarde pas et une conversation s’engage. Comme aucun des hommes ne peut recevoir chez lui pour ce genre de chose, un rendez-vous est programmé à l’hôtel « Budget Inn » près de la clinique Saint-Joseph le samedi dans l’après-midi. Pascal regarde sa montre et constate qu’il est une heure du matin.
— Nous sommes déjà samedi… murmure-t-il en refermant son ordinateur. Je vais me coucher.

*-*

La BMW se gare aisément sur le parking du Budget Inn, celui-là n’étant qu’à moitié complet. Pascal regarde sa montre, il est 16 h 55, le rendez-vous a été fixé à 17 h, chambre 302. Il passe rapidement sans se faire remarquer devant l’accueil déserté de l’hôtel et fonce vers l’ascenseur. Il en sort au troisième étage, repère la bonne porte et frappe. Celle-ci s’ouvre en grand et les deux hommes poussent en même temps un « Oh ! » de surprise en effectuant un pas en arrière.
— Gérard !
— Pascal !
Quelques secondes d’un silence de mort s’interposent. Puis, se reprenant, Gérard fait signe à Pascal d’entrer.
— Ne reste pas là.
Pascal avance prudemment dans la chambre exigüe. Un lit à deux places occupe la majeure partie de sa surface. Au-dessus, en travers, une couchette supplémentaire et, dans un angle, la douche et les toilettes. Gérard se saisit de la seule chaise disponible, rangée sous une tablette en faux bois accrochée au mur et s’y installe.
— Assieds-toi là, indique-t-il en désignant le lit.
Pascal s’y laisse tomber, muet, ne sachant quoi dire. Son ami s’avère plus bavard.
— On ne va pas se mentir, commence-t-il, si nous sommes là tous les deux c’est que nous avons les mêmes envies. Tu sais maintenant pour moi et je sais pour toi. Moi, il y a trois ans que j’ai eu ma première relation sexuelle avec un homme. Nous nous sommes branlés mutuellement, c’était en vacances quand Paule et moi sommes partis à Biarritz. Et toi ?
Pascal baisse la tête et se passe une main derrière la nuque. Sans regarder son ami, il dit :
— Ça fait longtemps que je me branle sur des vidéos pornos gay, mais ma première rencontre c’était lundi dernier, j’ai branlé un mec chez lui.
— C’est tout ?
— Non, jeudi, j’ai sucé un gars à Écouflant.
— Il ne s’appelle pas Christophe des fois ? interrompt Gérard.
Pascal ouvre des yeux comme des soucoupes.
— Si. Tu l’as sucé aussi ?
Pour la première fois depuis leur rencontre, les deux hommes rient.
Gérard hoche la tête et redevient sérieux.
— Comment t’expliques ça ?
— Ça quoi ?
— Nos pulsions… T’es marié, je suis marié, je baise ma femme, toi aussi je suppose, je suis hétéro depuis la première fille avec qui j’ai couché, alors je me demande pourquoi à mon âge je me suis soudain mis à aimer la bite.
Pascal ne souhaite pas exposer son complexe de taille de pénis.
— Pareil pour moi, mais moi non plus, je n’ai pas d’explications. Cela dit, un ami m’a dit un jour : « Dans la vie, il faut tout essayer ». Alors c’est ce que j’ai fait et puisque je ne couche pas avec une femme, j’estime ne pas tromper Sylvie.
Gérard se lève de sa chaise.
— Je crois que tu as raison et puisqu’il faut tout essayer, si on essayait le 69 ? Après tout, nous sommes tous les deux là pour ça, non ? fait Gérard en commençant à se déshabiller.

Pascal sourit et l’imite avant de s’allonger sur la couverture. Gérard le rejoint puis les deux hommes se saisissent mutuellement de leur sexe en le caressant jusqu’à une érection complète. Ensuite, Gérard se penche vers celui de son ami en ouvrant la bouche. Il gobe le gland de Pascal et le pompe avec bonheur. En même temps, il se déplace sur le lit de manière à présenter son bas-ventre au niveau des lèvres de son partenaire. Tout naturellement, Pascal accepte la bite proposée et les deux hommes se sucent avec douceur et lenteur calculée. Chacun à leur tour, juste avant le point de non-retour, ils se retirent au dernier moment avant de replonger quelques secondes plus tard. Arrive le moment où les deux amis sont prêts à jouir tous les deux. Les langues tournent autour des glands, les mains secouent les prépuces, les sexes s’enfoncent dans les cavités buccales et éjaculent en même temps un sperme longtemps retenu. Ils poussent des cris étouffés sous l’orgasme, les corps se raidissent puis se détendent. Ils se séparent enfin, les visages se placent face à face et, tout en se regardant droit dans les yeux, les deux hommes avalent le produit du plaisir de l’autre.

Allongés, nus côte à côte, comblés, la verge flaccide, les deux amis fixent le plafond.
— Sylvie est au courant ? demande Gérard.
— Oh ! Non, je n’oserai jamais lui avouer. Ne me dis pas que tu l’as dit à Paule ?
— Si. Paule est au courant et tu sais le plus beau ? C’est qu’elle-même a des relations sexuelles avec des femmes.
— Paule ? Si je me doutais…
— Oui, nous sommes plus libres comme ça. Pas besoin de se cacher et ça pimente un peu nos propres rapports.
— Je n’en suis pas là, admet Pascal. Bon… Il se fait tard, je dois rentrer maintenant, poursuit-il en se levant.
Gérard reste couché. Il croise les doigts et place ses mains sous sa tête.
— Tu as mon numéro, pas besoin de se contacter par le site, conclut-il en clignant de l’œil.

*-*

Tout en conduisant sa puissante voiture, Pascal réfléchit. La situation devient baroque, pour ne pas dire franchement bizarre. Il couche avec un de ses amis qui lui avoue avoir des relations homosexuelles depuis plusieurs années, alors qu’il est marié avec une femme. Cerise sur le gâteau, cette dernière le sait et elle-même s’adonne à l’homosexualité, ce qui ne les empêche pas de continuer à baiser ensemble. Lui est maintenant au courant de tout, seule Sylvie ignore tout cela. Ça ne peut pas durer, décrète-t-il.

Il range la voiture devant le garage comme d’habitude. Sylvie est partie en courses et Pascal décide de l’attendre dans le salon. Arrive 19 h, il se sert un verre pour se donner le courage de tout avouer à sa femme. Celle-ci rentre quelques minutes plus tard.
— Eh ! Bien, on se pochetronne pendant que je ne suis pas là ? déclare-t-elle en riant, les mains sur les hanches.
Pascal, lui, ne rit pas.
— Tu veux un verre ?
Sylvie remarque l’air sérieux de son mari. Elle s’assied sur un fauteuil face à lui.
— Non, pas tout de suite. Il y a quelque chose qui ne va pas ?
— Oui, il faut que je te parle.

Pascal raconte alors, sans rentrer dans des détails scabreux, la branlette de Christophe, la fellation de Michaël et le comble, le soixante-neuf avec Gérard cet après-midi.
— Autant te dire que je connais le goût du sperme maintenant…
Sylvie se sert un Martini également et laisse passer quelques secondes de silence. Pascal se sent mal à l’aise.
— Je sais que tu vas sur des sites pornos gay depuis longtemps. Tu devrais effacer ton historique de connexion, déclare-t-elle en faisant tinter le glaçon dans son verre.
La foudre tomberait aux pieds de Pascal qu’il n’en serait pas plus surpris. Il regarde sa femme, bouche ouverte, les yeux écarquillés.
— J’en ai discuté avec Paule. Son mari fait pareil, mais ça, tu le sais depuis aujourd’hui. Je suppose que c’est l’âge qui veut ça. Mais j’ai aussi une révélation à te faire : je couche avec elle depuis plusieurs mois. Je t’ai laissé te débrouiller avec tes fantasmes en espérant que tu les réalises, comme j’ai réalisé les miens. Ce que tu m’avoues apaise mon sentiment de culpabilité envers toi.
Pascal pose son verre.
— Comme je suis heureux d’apprendre ça ! Tu ne peux pas savoir combien je me sentais mal avant de tout t’avouer.
Sylvie sourit à son mari.
— Dis… Pour le goût du sperme…
— Oui ?
— Je ne me souviens plus très bien, observe-t-elle l’air espiègle.
Pascal sourit à son tour, se lève et défait pantalon et caleçon. Il se rassied, jambes écartées. Son pénis se raidit.
— Qu’à cela ne tienne, chérie, je vais te rafraichir la mémoire.

Sylvie tombe à genoux devant son époux, lui suce le scrotum et la hampe avant de titiller le frein du bout de la langue. Pascal ferme les yeux de plaisir. Après avoir bien léché le raphé du prépuce au périnée pendant plusieurs minutes, elle ouvre la bouche et engouffre le gland rouge sang. Il gémit. La langue habile tourne autour de la chair tendre et les lèvres vont et viennent en douceur. Peu à peu, Pascal se rapproche de l’orgasme et lorsqu’arrive le point de non-retour, il se tend comme un arc et plonge sa bite jusqu’à la luette. Sylvie a un haut-le-cœur, se retire un peu et accepte béatement les six giclées de sperme jaillissant de la verge de son mari. Quand il finit d’éjaculer, Pascal caresse la tête de Sylvie. Elle se redresse et avance ses lèvres pour un baiser. Les deux époux ouvrent la bouche et la semence se disperse. Ils déglutissent en même temps en se regardant amoureusement.
— Tu connais aussi le goût du tien maintenant… déclare Sylvie.
Pascal claque de la langue et prend sa femme dans les bras sans répondre.
— J’ai pensé à une chose, poursuit-elle à l’oreille de son mari.
— Quoi donc ?
— Tu couches avec Gérard et je couche avec Paule. Gérard et Paule couchent ensemble, tout comme nous deux. Il reste deux autres possibilités à exploiter… non ?
— Oui, tu as raison, admet-il.
— À ton avis, que crois-tu qu’ils en penseraient ?
— Que du bien, chérie, certainement que du bien…

*-*

Les avis des lecteurs

Merci Christ pour votre appréciation. Je reconnais volontiers que la lecture sur écran n'est pas très aisée, surtout s'il s'agit d'un smartphone.

histoire bien écrite, un peu longue à lre à l'écran
Mais l'hétérosexualité, l'homosexualité et la bisexualité se réunissent bien pour suggérer une petite partouze à 4
belle suite à votre vie sexuelle

Merci lecteur de votre appréciation. Comme je l'ai dit plus bas, je ne pense pas à une suite, mais quelquefois l'inspiration décide pour nous !

Histoire Erotique
Encore un récit bien écrit, très agréable à lire. Avec des personnages qui nous ressemblent.
Des situations que l'on pourrait vivre.
Une suite ?

Bravo Philus

Merci Robic53, il n'y a pas de suite de prévue dans l'immédiat, mais qui sait...

Bonjour très jolie histoire j'espère qu'elle va amener une suite

Merci Philippe pour votre appréciation. C'est toujours un plaisir de satisfaire un lecteur.

Histoire Erotique
Hétérosexualité puis homosexualité puis bisexualité, une très belle histoire excitante et parfaitement écrite !
Chacun n'a qu'une vie, assumons nos pulsions sexuelles, bien évidemment dans le respect de l'autre...

Bravo et merci, Philus !

Philippe

Histoire Erotique
hétérosexualité puis homosexualité puis bisexualité, une très belle histoire parfaitement écrite et décrite sans tabous !
Nous n'avons qu'une vie, profitons de notre sexualité, quelle qu'elle soit !!!

Bravo à Philus !

Philippe



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