Les bonheurs de Sophie (1/3)

- Par l'auteur HDS Philus -
Récit érotique écrit par Philus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Les bonheurs de Sophie (1/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les bonheurs de Sophie (1/3)
(Ce texte fait suite à l'histoire "Sophie, son mari, son amant, sa maîtresse" publiée sur HDS le 01-02-2025)


Chapitre 1

Il était environ 14 h au centre hospitalier de Bordeaux. Le soleil, au zénith, éclairait les bâtiments blancs à les rendre aveuglants. Sophie Bujold, jolie blonde aux yeux noisette, la cinquantaine, infirmière de son état, s’apprêtait à quitter son service. Elle brossait ses cheveux mi-longs avec douceur dans les vestiaires, quand elle vit passer le docteur Julien Gaudreuil, qui allait se changer pour une opération chirurgicale. Elle sortit dans le couloir encombré de tables roulantes en inox, rangea sa brosse dans son sac et emprunta la même direction que le médecin. Ce dernier pénétra à son tour dans une pièce et, aidé par une de ses assistantes, se déshabilla à la hâte. Il n’était pas très grand, mais bien bâti. Il dégageait une impression de force tranquille. Sophie aperçut sa poitrine nue, légèrement poilue sur les pectoraux, pendant une fraction de seconde, juste avant qu’une main inconnue ne refermât la porte. Elle frissonna, malgré la chaleur régnant dans le bâtiment. Le torse de Julien restait incrusté dans sa rétine lorsqu’elle fermait les yeux, comme si elle avait longuement fixé une lumière très brillante. Rêveuse, elle se dirigea vers la sortie et la douceur de ce début juin lui caressa les joues. Elle se remémora la venue de Julien à Bordeaux un an auparavant.

Il avait remplacé le chirurgien viscéral Michel Blandin, présent depuis de nombreuses années et décidé à profiter de sa retraite. Une amicale réception avait été organisée pour le départ de l’un et l’arrivée de l’autre. Sophie n’avait pas ressenti ce doux sentiment depuis longtemps, seulement lorsqu’elle avait rencontré Damien, son mari, mais Julien, le petit nouveau, l’attirait. Elle s’en défendait pourtant, refusant même l’idée d’adultère, mais il était beau. Il avait quarante-deux ans, elle avait osé regarder dans le confidentiel fichier des ressources humaines, assez grand pour elle et dotés d’intenses yeux bleu clair. Le corps entretenu par de régulières séances de sport, c’était sûrement un homme à femmes, bien qu’il fût marié lui-même à une infirmière de la maternité. Elle avait en outre surpris, des regards peu équivoques de la part de certains collègues masculins dont elle connaissait les penchants homosexuels. Sophie parvint sur le parking réservé au personnel, grimpa dans sa petite Yaris, d’étranges sensations dans le bas-ventre.

Tout en conduisant, elle se souvint que, quelques mois auparavant, il s’était déroulé des évènements qui lui faisaient monter le rouge aux joues. Elle y repensait comme si la Sophie de l’époque n’était pas vraiment elle, tellement elle en avait honte. Rendez-vous compte ! Elle avait couché avec Julien sous les yeux de son mari, puis avec les deux hommes en même temps. Elle avait recommencé avec Julien seul, mais se sachant observée via une caméra par Damien, qui éprouve un certain plaisir à voir sa femme le tromper avec un ou une autre partenaire. Il appelle ça du « candaulisme » et parfois du « cuckolding »… Puis elle avait accepté les avances d’Aurélie, dont Damien avait profité aussi, pour qu’elle ne divulgue pas ses parties de jambe en l’air à Estelle, l’épouse du médecin. Oui, c’était bien Estelle, Sophie avait confondu à l’époque avec l’une de leurs filles, Maria. Tout était terminé maintenant. Le docteur Gaudreuil s’était éloigné du couple Bujold, mais il trompait toujours Estelle avec une jeune aide-soignante. Aurélie, quant à elle, avait séduit la gynécologue de l’hôpital. Les Bujold étaient redevenus sages. Damien ne parlait plus de candaulisme, mais Sophie, même en aimant son époux, pensait souvent à Julien et à l’amour qu’ils avaient fait ensemble. C’était tellement mieux qu’avec son mari, qui se contentait de lui procurer un orgasme en lui léchant le clitoris, de la pénétrer brièvement en missionnaire, puis en levrette et de finir par se masturber en éjaculant dans la raie de ses fesses. Le même scénario depuis maintenant plus de vingt ans…

Le temps passe vite lorsqu’on pense à autre chose que la conduite et, sans qu’elle s’en rendît compte, Sophie se retrouva devant chez elle. Elle rangea la voiture au garage et entra dans la maison. Damien, chef de chantier, ne reviendrait pas avant plusieurs heures. Elle jeta un œil à l’escalier qui monte à l’étage et, malgré elle, son bas-ventre se manifesta à nouveau. Il réclamait son dû.

*-*

Sophie et son mari se partageaient un grand placard occupant tout un pan de mur de la chambre et où chacun rangeait ses affaires. Elle s’agenouilla et fit glisser le dernier tiroir. Il semblait rempli à ras bord d’écharpes chamarrées, mais celles-ci dissimulaient bien autre chose. Sous les foulards, alignés les uns à côté des autres, pas moins de dix godemichés de taille et de couleur diverses attendaient le bon vouloir de leur propriétaire. Elle se saisit de chacun d’eux, un à un, en testant leur grosseur de sa main fermée. Quand elle fut satisfaite, Sophie jeta son dévolu sur un gode veiné noir particulièrement réaliste de vingt centimètres de longueur sur six de diamètre. Cerise sur le gâteau, il était équipé d’un fil électrique au milieu duquel un potentiomètre ajustait la fréquence des vibrations émises. Elle se releva, porta le gland de silicone à ses lèvres, ouvrit la bouche en fermant les yeux et l’enfonça sur sa langue. Son bas-ventre se crispa et un flot de cyprine détrempa soudain sa culotte. Elle lança le gode vers l’oreiller, se déshabilla à la hâte et se jeta sur le lit. Sur le dos, elle remonta ses jambes en grenouille, sa vulve épilée et luisante entrouverte sur une cavité mystérieuse rougie par le sang qui affluait.

Elle se saisit du vibromasseur et le brancha près de la lampe de chevet. Il émit aussitôt un léger ronronnement. Sophie régla le rythme de la vibration à sa guise et apposa le sexe de silicone au milieu de ses lèvres vaginales. Elle poussa un cri, le clitoris soudain électrifié. Elle fit aller et venir verticalement le membre noir au milieu de ses nymphes. Un bruit mouillé accompagnait son murmure.
— Lèche-moi Julien, lèche-moi le clito, oui, comme ça, oui encore…
Elle apprécia la caresse pendant de longues minutes, puis orienta le gland contre son anus, sans pénétrer. Le sphincter réagit agréablement aux vibrations.
— Suce-moi mon petit trou, Julien, suce…
Quelques instants plus tard, elle revint à son sexe en feu et, au milieu de la cyprine débordante, le clitoris explosa de bonheur.
— Oui ! Julien ! Tu me fais jouir ! Je jouis ! Julien ! T’arrête pas !
Elle agita l’imposant membre en le frottant énergiquement sur ses nymphes. Ses jambes se refermèrent alors comme les lames d’une paire de ciseaux, emprisonnant le gode ronronnant.
— Aaaahhhh ! Julien ! hurla-t-elle.
Sophie n’y tint plus. Écartant à nouveau les cuisses, elle plongea l’énorme godemiché dans son vagin brûlant, jusqu’à ce que les faux testicules butent contre son périnée. Un deuxième et profond orgasme s’ajouta au premier, tellement intense que Sophie en pleura presque. Elle arracha le fil de la prise murale et resta couchée en position fœtale, le gode toujours fiché à fond dans son intimité.

Après de longues minutes, Sophie s’agenouilla, les jambes écartées, extirpa le dildo et l’aboucha contre son anus. Elle s’assit dessus en se retenant pour ne pas clamer sa douleur.
— Julien, tu me fais mal ! Ta bite est trop grosse Julien, j’ai mal. Aïe… Aïe…
Après quelques instants pendant lesquels le sphincter se dilatait, elle se laissa retomber brutalement sur le sexe noir qui disparut dans l’antre secret de Sophie. Elle cria tout en serrant les dents.
Sa main se glissa alors entre ses petites lèvres et vint astiquer le clitoris avec vigueur tandis qu’elle montait et descendait son bassin le long du godemiché. Un orgasme de plus la saisit. Douceur par devant, douleur par derrière, Sophie ne se retint plus et hurla de toutes ses forces.
— Aaaahhh ! Oui, Julien ! Oui !
Puis elle s’écroula sur le matelas, vidée et haletante.
Ce fut le moment où elle entendit un bruit dans l’entrée. Damien rentrait plus tôt qu’elle ne l’avait prévu.

*-*

À la hâte, elle retira le gode de son rectum et le dissimula sous l’oreiller. Elle ramassa ses habits, les jeta en vrac sur le lit qu’elle retapa grossièrement et fonça à la salle de bains qui, par bonheur, jouxtait la chambre conjugale. Quelques secondes plus tard, Damien pénétra dans la pièce. Le parfum caractéristique de la cyprine d’une femme en rut le saisit aux narines. Le cœur battant, il banda aussitôt et libéra sa queue de ses vêtements soudain devenus étroits.
— Chérie ! Tu es là ? demanda-t-il.
— Déjà rentré ? répondit Sophie d’un ton faussement assuré. Je me fais couler un bain.
L’érection de Damien atteignit un maximum. Il ouvrit la porte de la salle de bains, braguette béante sur son sexe turgescent. Le robinet déversait une eau bouillante, la vapeur envahissait la pièce ainsi qu’un brouillard. À la vue de ses cernes bleutés, il eut confirmation que son épouse s’était masturbée et cela l’excitait énormément. Elle avait joui comme une truie, il l’aurait parié.
— Tu prendras un bain après. Regarde comme j’ai envie de toi, observa-t-il en montrant sa verge.

Après sa séance de masturbation, Sophie était sexuellement comblée pour un moment, mais elle n’aurait pas pu justifier le fait de se refuser à son mari. Elle fit mine d’être très intéressée et agrippa avec nervosité la bite si bien exhibée. Ils s’embrassèrent sur la bouche et leurs langues se mêlèrent langoureusement. Elle l’attira vers le lit en le tirant par la queue et s’allongea les jambes écartées. Damien n’avait d’yeux que pour les lèvres rougies de sa nymphe. Il se déshabilla à la hâte et monta sur le matelas à genoux. Langue en avant, il pénétra l’entrée de la vulve en fermant les yeux. Sophie lui enserra la tête de ses deux mains. Ses organes, au préalable longuement sollicités par le godemiché, la firent gémir. Très vite, Damien se rendit compte que le sexe de son épouse était déjà détrempé, ce qui confirmait à nouveau son soupçon de masturbation. Après l’orgasme, il se redressa et enfila son pénis dans le vagin de sa femme qui couina en lui griffant le dos. Il poussa et tira ses hanches pendant de longues minutes, mais Sophie ne disait plus rien et se contentait d’attendre, impassible. Comme d’habitude, il la tourna sur le côté, puis à plat ventre. Elle sut qu’elle devait relever les fesses, son mari procédait systématiquement de cette manière.

Il la pénétra avec douceur. Pas dans le rectum, Sophie avait toujours refusé, alors qu’elle avait imploré Julien de la sodomiser quelques mois auparavant. Elle ne savait pas bien pourquoi d’ailleurs, de plus, elle s’enfilait souvent des godes dans l’anus, mais c’était comme ça et Damien en avait pris son parti. Quand elle sentit la bite de son époux s’échapper de son vagin, elle comprit que c’était fini.
— Il va encore me juter dans la raie des fesses et puis ce sera tout…, songea-t-elle.
Sophie avait vu juste. Damien se saisit aussitôt de sa queue à pleine main et, en quelques allers-retours, éjacula son sperme en le dirigeant entre les fesses de sa femme et sur son dos. Il poussa un soupir de satisfaction et s’allongea sur le lit. Sophie resta silencieuse quelques secondes à quatre pattes, puis se leva.
— Bon, je vais dans mon bain, sinon l’eau va être froide, déclara-t-elle.

Damien acquiesça mollement. Les yeux fermés, il se laissait gagner par un sommeil post-coïtal. Sophie s’engagea dans l’eau chaude avec précaution. Dès qu’elle fut installée dans la baignoire, elle entendit son mari ronfler. Elle ferma les yeux et revit, un bref instant, le torse nu de Julien. Sa main glissa vers son entrejambe et coiffa délicatement sa vulve aux lèvres encore sensibles et gonflées.
— Ça ne peut pas durer comme ça, décréta-t-elle à voix haute.
Puis, plus bas.
— Julien, je vais revenir. Tu verras, ce sera bien.

*-*

Sophie aimait son mari, c’était une évidence. Elle aimait la vie qu’elle avait avec Damien, elle aimait les enfants qu’il lui avait faits, elle aimait sa maison… Mais, elle supportait de moins en moins l’amour avec lui. Son sexe lui affirmait qu’il existait mieux et sa brève incartade antérieure le lui confirmait chaque minute. Damien adorait la voir se masturber et avait beaucoup aimé la regarder se faire baiser par Julien, puis par Aurélie, même s’il avait fini par participer aux ébats. Non, cette fois-ci, Sophie voulait une aventure secrète, une aventure qui la fît mouiller, une aventure qui la fît jouir, une aventure qui la fît vivre en somme ! Julien était un bel homme et elle avait aimé l’amour dans ses bras, même si elle ne s’était pas tout à fait libérée du fait de la présence de son époux. Là, elle était prête à tout, prête à se plier aux désirs les plus fous et les plus inavouables de son futur amant.
Car c’était décidé, Julien serait son amant à l’insu de son mari et elle n’aurait aucun interdit pour lui.

*-*

La chance sourit aux audacieux, dit-on. On serait tenté de le croire, car un matin, dans le bureau des infirmières…
— Mais qu’est-il arrivé au docteur Gaudreuil ? On dirait qu’il a un œil au beurre noir ! s’exclama Aurélie à l’attention de Sophie.
Cette dernière réagit tout de suite en se précipitant à la porte du couloir, mais Julien était déjà loin. Sophie se retourna vers Aurélie.
— Je ne sais pas, mais j’ai aperçu Amélie ce matin au parking, elle n’avait pas l’air dans son assiette.
— Amélie ? Quelle Amélie ? demanda Aurélie.
— Tu sais bien, la jeune aide-soignante que Julien se tape en ce moment…
— Ah oui ! Je vois, elle est mariée ?
— Oui, ça fait à peine un an !
— Ça cache quelque chose. Je vais me renseigner, elle travaille dans le service de Magdalena, ma petite copine gynéco…
— Dis donc, une gynéco, elle doit en connaître un rayon au lit ?
Aurélie sourit.
— T’as même pas idée !

Chacun vaqua à ses occupations pendant la matinée puis, au restaurant d’entreprise, Aurélie, moitié sérieuse, moitié hilare, confia à Sophie ce qu’elle avait découvert.
— J’ai l’explication pour le docteur Gaudreuil. Oui, c’est bien un œil au beurre noir, il s’est pris un pain par le mari d’Amélie.
Sophie porta la main à sa bouche avec un petit cri.
— Mais non… Il a appris pour sa femme ?
— Mieux que ça ! Il les a surpris à poil chez lui, dans le lit conjugal.
— Je comprends mieux la tête que faisait Amélie, maintenant. Mais Julien a eu de la chance de s’en tirer avec seulement un œil au beurre noir, ça aurait pu être pire !
— À force de tremper sa queue partout, ça devait finir par lui arriver. Pourtant, la blonde Estelle, sa femme, est mignonne comme tout. Un peu rondouillette, mais je me la ferais bien aussi d’ailleurs, déclara Aurélie.
— T’es pire qu’un homme, conclut Sophie.
Aurélie éclata de rire.
— Ne me dis pas que tu ne remettrais pas le couvert avec ton Julien, je ne te croirais pas.
Sophie sourit légèrement.
— C’est vrai que j’ai le champ libre maintenant, mais demain est un autre jour.

*-*

Sophie ne parvenait pas à se concentrer sur son travail. Toute la journée, elle s’était contentée de donner des indications à ses collègues, car elle se sentait trop distraite pour risquer l’accident avec un patient. Un plan mûrissait dans son esprit.

Le soir même, avant de se coucher, elle passa une bonne heure dans la salle de bains. Douche, épilation, vernis sur les ongles, y compris ceux des orteils, lotions et crèmes en tout genre, on aurait pu supposer qu’elle allait à une soirée, mais non, elle allait tout simplement au lit. Quand Sophie revint toute pomponnée dans sa nuisette bleue à peine transparente, Damien eut une érection. Il pensait dur comme fer que sa femme s’était préparée ainsi rien que pour lui et qu’il allait, d’une manière ou d’une autre, en profiter. Mais Damien fut très déçu, car Sophie se coucha à ses côtés juste après le petit bisou rituel des soirs sans galipettes. Il se retourna et l’enlaça en mettant le nez dans sa nuque.
— Tu sens bon chérie, j’ai envie de toi.
— Pas ce soir, je suis fatiguée, j’ai eu une journée exténuante. Éteins la lumière s’il te plait.
Il approcha sa verge tendue contre les fesses de son épouse et se resserra contre elle.
— Chérie… Elle ne te fait pas envie là ?
Nerveusement, Sophie se rapprocha du bord du lit, interrompant de fait le contact. Damien se fit alors suppliant.
— Mon amour…

Sophie se redressa brusquement, écarta la couette et s’assit sur le matelas.
— Bon. Baisse ton pyjama ! ordonna-t-elle vertement.
Un peu surpris, mais tellement excité, Damien s’exécuta. Il se mit sur le dos, sa bite de belle taille raide comme un bambou. Sophie s’empara de la hampe à pleine main et abaissa le prépuce.
— Ne compte pas que je te suce, j’ai de la crème partout, prévint-elle en entamant une masturbation rapide qu’elle espérait de courte durée.
Damien ne put que laisser faire son épouse et ne put se contrôler plus de deux minutes. Il éjacula plusieurs fois un sperme épais qui atterrit sur son torse. Quand plus aucune goutte ne sortit du méat, Sophie stoppa sa caresse et s’essuya grossièrement la main.
— Tu me laisses dormir maintenant s’il te plait, déclara-t-elle en se tournant sur le côté.

Damien était étonné, jamais elle n’avait mis aussi peu d’entrain à une activité sexuelle avec lui. Et puis, pourquoi autant de temps dans la salle de bains en pleine semaine ? Mystère de femme sans doute. Il se roula également sur le côté, dos à son épouse. Il bandait encore, ses gonades n’étaient pas tout à fait vidées. Il songea :
— Je vais me branler, ça va sûrement l’exciter et elle reviendra.
Mais Damien en fut pour ses frais. Sophie dormait profondément quand il éjacula dans les draps en poussant un profond soupir.

*-* (à suivre...)

Les avis des lecteurs

Merci la Chipie, suite au prochain chapitre.

Histoire Libertine
Damien est égoïste et Sophie ne communique pas assez de ses désirs avec son mari.
Quand à Julien qu'elle fasse attention à ne pas tomber amoureuse.
Ou alors ça va se finir en trouple !!!! 🤩

La chipie



Texte coquin : Les bonheurs de Sophie (1/3)
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