L’inconnu de la bâtisse abandonnée près du lac - histoire érotique

Au cours d’une de ses promenades, autour de leur maison près du lac, Samir était tombé sur les ruines d’une bâtisse abandonnée, plutôt grande, totalement éventrée, taguée, avec même des fresques, perdue au milieu de la forêt, qui servait entre autres de lieu de rencard pour homos. Même s’il n’y avait personne la première fois qu’il l’avait vue, Samir l’avait vite compris, ne serait-ce qu’en raison des nombreux déchets jonchant le sol, des mouchoirs et des préservatifs usagés notamment. Plutôt glauque comme endroit, mais avec un côté excitant que Samir avait tout de suite perçu.

Ce soir-là, c’était deux jours après son aventure avec le jeune blond dans le chemin, Samir s’était à nouveau connecté sur des sites de rencontres pour mecs, mais n’avait trouvé personne. Il avait un peu de temps en cette fin d’après-midi, l’artisan qui devait passer avait eu un souci, s’était décommandé et avait reporté au lendemain. Ça lui laissait un créneau de libre, il faisait beau, il avait envie de marcher, et il eut l’idée d’aller jusque vers cette bâtisse abandonnée, ça lui faisait un but de promenade, et, sait-on jamais, peut-être y ferait-il une rencontre, voire un plan.

Deux jours après, l’envie lui était revenue. Il prit une bonne douche, se toucha un peu, il était vite en érection, ce qui lui confirma ses bonnes dispositions du jour pour une bonne baise, si l’occasion se présentait.
Il se sentait bien chaud quand il quitta la maison, il était même prêt à baiser le premier mec qu’il croiserait et qui lui offrirait son cul.
Par contre, l’air extérieur s’était un peu rafraîchi, et il s’habilla davantage : cette fois, il mit un caleçon, un jeans, et un blouson, avec un tee-shirt blanc dessous.

Il lui fallait marcher plus d’une heure, jusqu’à cette bâtisse abandonnée.
Au fur et à mesure qu’il s’approchait, il croisait des mecs, qui lui semblaient rechercher la même chose que lui, mais qui ne l’attiraient pas spécialement : trop louches surtout. Arrivé à la bâtisse, il le vit, en train de déambuler à l’intérieur, comme s’il avait perdu quelque chose : pas loin de la quarantaine, pas très beau, mais plutôt sexy et attirant, un jeans délavé, un blouson de survet bleu marine, avec un tee-shirt bleu ciel dessous, et une casquette portée à l’envers.
Visiblement il n’y avait personne d’autre aux alentours, ni dans la bâtisse elle-même, et, apparemment, ce gars ne l’avait pas vu.

Samir alla s’adosser à un mur du bâtiment, un endroit stratégique, qui lui permettait de voir sans (trop) être vu.
L’inconnu continuait à déambuler lentement, Samir ne bougea pas, et se dit qu’il finirait bien par tomber sur lui. Ces quelques instants lui permirent d’observer cet homme, qui lui parut clean, et qui, finalement, lui plaisait et l’attirait.
Au bout de quelques instants, ce qui devait arriver arriva : l’homme arriva à sa hauteur, et ne manifesta pas tant de surprise que ça.

Les choses se firent naturellement. L’inconnu vint jusqu’à lui et se mit à genoux. Samir déboutonna son jeans, sortit sa queue, encore molle, il la mit en bouche et commença à sucer. Samir sentit tout de suite que ce gars était expérimenté, il avait une façon très particulière, mais très agréable de sucer, il avait une bouche très humide et très chaude, et Samir sentit rapidement sa bite durcir, et l’envie de baiser monter.
Il commença par baiser la bouche de cette suceuse, qui l’avait transformée en véritable chatte, et qui enserrait sa bite avec chaleur et fougue.

Samir prenait vraiment beaucoup de plaisir à se faire sucer de cette façon, cela confortait bien cette idée que chaque mec avait sa façon de baiser, de sucer, et celui-là, qu’il ne connaissait pas, avait une façon à la fois originale, et agréable, de sucer.
Samir savourait l’instant, il bandait vraiment bien à fond, ressentait un plaisir intense et puissant, qui se diffusait sur tout le corps, il avait empoigné de sa main gauche la tête de ce gars, qui ne lâchait pas sa bite, et donnait l’impression de s’appliquer et de se régaler, comme d’un festin.

Pour se sentir plus à l’aise, il avait fait descendre son caleçon et son jeans, et aimait la sensation de l’air frais de l’extérieur qui caressait ses fesses et son entrejambes.
Il avait laissé aller sa tête en avant, et regardait le crâne dégarni de cet inconnu, qui avait enlevé sa casquette, et qui lui donnait beaucoup de plaisir.
L’homme resta de longues minutes à le sucer avec application, avant que Samir ne finisse par retirer sa bite de sa bouche, de peur de jouir trop vite.
Il le bifla alors avec, toujours en tenant, avec sa main gauche, la tête du mec, qui l’avait penchée, et avait laissé sa bouche ouverte, prête à engloutir le manche turgescent, qui semblait lui manquer.

Samir l’enfourna donc à nouveau, et reprit ses mouvements de va-et-vient. Le gars était toujours à genoux, les jambes écartées, et il avait sorti sa bite, une belle bite, longue et épaisse, Samir se dit en la voyant que c’était pas possible que ce mec ne soit que passif, il devait aussi être actif, auto-reverse.
L’inconnu continua à sucer, mais de façon plus désordonnée, car en même temps il se branlait, et bandait bien à fond.
Du coup, Samir sortait de temps à autre sa queue et biflait le mec sur la joue, tout en lui maintenant la tête avec sa main gauche.
Il arrivait aussi au gars de sortir le membre, de l’empoigner et de lui mollarder dessus avant de l’enfourner à nouveau.

Ça, ça plaisait moins à Samir, qui le laissa faire mais n’appréciait pas trop, il avait mis ses mains derrière le dos, en haut de ses fesses, et sentait même qu’il débandait légèrement.
Heureusement il reprit la direction des évènements et imposa un mouvement de va-et-vient plus régulier, ce qui força le mec à s’adapter à la cadence ; il avait d’ailleurs cessé de se branler, même s’il avait gardé la queue en main.
Ce mec était vraiment un expert en suce, il semblait aimer la bite au plus haut point. Jusque là, Samir se disait qu’il n’avait jamais rencontré quelqu’un qui aimait autant la bite qu’Eric, son compagnon, mais là il avait l’impression d’avoir trouvé quelqu’un qui l’aimait encore plus, et cette pensée le fit sourire. Il faudrait qu’il le lui raconte... Il savait que ça le titillerait, et que du coup il s’appliquerait encore plus la prochaine fois qu’il le sucerait...

Samir sentit alors que l’homme positionnait sa bouche différemment, qu’il enserrait moins sa bite avec, qu’au contraire il l’ouvrait davantage, et du coup il se mit à le sucer, cette fois en fond de gorge. Samir adorait ça, d’autant que là Eric avait un peu de mal, et c’était pas si souvent qu’il trouvait quelqu’un qui encaisse ce genre de pratique.
Quel pied en tout cas... Samir empoigna la tête du gars cette fois des deux mains, il vit qu’il avait fermé les yeux, et il put enfoncer sa bite bien au fond, jusqu’au bout même. L’homme semblait s’être totalement relâché et, du coup, Samir resta ainsi, sans bouger, la bite au fond de sa bouche, pendant quelques instants, avant que le mec, qui ne devait plus en pouvoir, ne réouvre sa bouche et ne dégage l’étreinte.

Tout en gardant celle de Samir en bouche, mais de façon plus relâchée, le gars reprit sa bite en main, et recommença à se branler. Samir était impressionné par la taille, la longueur et l’épaisseur de ce membre. Il se dit même, en souriant, qu’Eric serait là il se régalerait, ça aussi il faudrait qu’il lui raconte... Lui, c’était pas son truc de sucer, il le faisait quasiment jamais, et, depuis des lustres, le seul mec qu’il ait sucé, c’était Eric, et encore essentiellement pour lui faire plaisir, car, autant il aimait se faire sucer, autant il n’aimait pas la sensation d’une bite dans sa bouche.

Il était visiblement temps de passer à une autre phase de cette baise, déjà bien chaude. Le mec manifesta qu’il en avait envie, il était toujours à genoux, mais il mit son tronc en arrière, et défit son blouson, il avait toujours la queue bien raide et dressée, Samir se rendit compte qu’il n’avait pas de sous-vêtement sous le jeans.
Il continua à se branler et à sucer par intermittence la queue de Samir, qui lui tapota la joue, en signe de domination, ce que le mec semblait accepter tout à fait.
Samir reprit des mouvements de va-et-vient rapides et même brutaux, il faisait comme explorer la bouche de ce gars, en faisant aller sa queue, à gauche, à droite, au milieu, au fond.
Il sentait monter la sauce, et se mit à gémir, et même à gueuler, avant de s’arrêter et de se calmer, car il ne voulait pas jouir encore.

Il eut quand même du mal à faire retomber la pression, tellement il était excité, et tellement le plaisir était fort et intense.
Il dut même reprendre son souffle, par de longs et bruyants soupirs, car il était essoufflé comme s’il avait couru un sprint.
Il faut dire que cet inconnu avait la bouche comme skotchée à la bite de Samir, et suçait d’une telle façon que Samir de son côté n’arrivait pas à enlever la bite de sa bouche, tellement il se sentait bien.
Y a pas à dire, c’est bandant un petit jeune, mais un mec plus âgé, bien expérimenté, et qui sait faire, ça a quand même du bon.

C’est le gars qui, au bout du compte, finit par dégager sa bouche, et se releva, mais en fait, c’est plus parce qu’il avait mal aux genoux et aux jambes, que parce qu’il était lassé de la bite de Samir.
Toujours sans un mot (ils n’en avaient pas échangé un depuis le début), l’inconnu montra clairement ce dont il avait envie, puisqu’il baissa son jeans et alla s’appuyer, l’avant du corps, contre un des murs de la bâtisse. Il n’avait plus que son tee-shirt, bleu ciel, sans manches, puisqu’il avait enlevé son blouson, et Samir avait vue directe sur son cul à l’air.

Le message était clair.

De son côté Samir avait aussi le froc et le caleçon baissé, jusqu’aux chaussures, mais il avait gardé son blouson.
Tout en se branlant doucement il s’approcha.
- t’as des capotes ?
Le mec ne répondit pas, mais en prit une dans la poche arrière de son jeans, et la tendit à Samir qui, pour être plus à l’aise, enleva brièvement ses baskets pour enlever son jeans et son caleçon, avant de les remettre. Vu le côté glauque de l’endroit, hors de question en effet de rester pieds nus, même en chaussettes.

Le mec avait aussi amené du gel et s’en badigeonna l’intérieur des fesses, avant de le tendre à Samir, qui le prit, mais ne s’en servit pas : il n’en avait pas besoin, et surtout n’aimait pas ça.
Du fait de cet intermède, il avait bien débandé. Ça allait revenir, mais pour l’instant, ce n’était pas trop ça, c’était aussi les limites des baises avec des inconnus, il y avait une sorte de “stop and go”, entre des moments de forte excitation et des moments beaucoup plus plats, voire des moments où on avait envie de partir. C’était un peu ce genre de moment qu’était en train de vivre Samir, qui se disait que, décidément, ce gars avait tout gâché avec son gel.

Il ne partit pas toutefois, il avait envie de se vider, et, lorsque son regard se porta à nouveau sur le cul de ce mec, le désir revint, et il sentit sa queue qui recommençait à se dresser.
Il enfila le préservatif, son sexe était à nouveau bien en érection, et il vint le positionner entre les fesses du gars.
Le moment préféré de Samir allait arriver, le moment où il sentirait sa bite franchir la rondelle d’un mec. C’était son Graal, son moment préféré, le point d’orgue de la baise, le moment où il allait posséder un mec et se procurer le plaisir maximum.

Le cul de celui-là était bien ouvert, et sa queue rentra facilement ; il se dit que vu son âge il avait dû s’en prendre des bites, et il sentit tout de suite qu’il aimait ça. Décidément, que ce soit par la bouche ou par l’anus, ce mec visiblement prenait son pied par chaque orifice, et pas qu’un peu, et, en plus, vu sa bite, il devait prendre autant de plaisir en étant actif. Une vraie bête de sexe, quoi, et Samir était content d’être tombé sur lui, ce moment de baise lui faisait beaucoup de bien.

Une fois en lui, il entreprit des mouvements de va-et-vient, que l’inconnu encaissa sans problème.
Il avait vraiment un bon cul, pas serré bien sûr, mais pas lâche non plus comme une chatte, et Samir se régalait.
Il aimait tellement enculer, surtout une bonne passive comme ça, il prenait son pied, et, par derrière, c’était vraiment sa position favorite.
Pendant plusieurs minutes, Samir allait bien le pilonner, l’autre se laissait totalement faire, et gémissait devant les coups de butoir qu’il lui infligeait.
Pour augmenter encore le plaisir, Samir retirait puis réintroduisait sa bite périodiquement. Comme il avait chaud il retira son blouson, et releva son tee-shirt, qu’il fit passer derrière la tête, ce qui dégagea bien son torse, sans avoir à l’enlever totalement.
Il ponctuait ses mouvements de va-et-vient de tapes sur les fesses du gars qui s’était penché en avant et avait posé ses mains par terre pour se maintenir en équilibre et éviter de basculer.

Samir appréciait le fait qu’il prenait du plaisir sans trop sentir la sauce monter, il avait l’impression de bien maîtriser les choses, et il se disait que, quand il allait jouir, ça allait être puissant et abondant.
Il savait par expérience que plus il arrivait à être endurant (et en cette fin d’après-midi, c’était le cas) plus le moment de l’éjaculation était intense et agréable.
Le mec se releva un peu, et enleva ses vêtements pour se foutre totalement à poil. Il avait un beau torse, mi-musclé, mi-charnu, poilu mais visiblement il se rasait. Samir ne le vit pas car il avait laissé sa bite dans son cul, et recommença à le baiser dès que le gars se remit bien calé, cette fois debout, les mains appuyées contre le mur.
Sous la pression de Samir, il se pencha à nouveau, et se mit à l’horizontale. Il releva sa jambe droite, que Samir empoigna, pour poursuivre sa pénétration vigoureuse.
Il ne lui laissait aucun répit, voulait vraiment le défoncer bien à fond. Il prenait un pied d’enfer, ne sentait toujours pas la jouissance approcher, était même étonné d’une telle endurance. Il avait l’impression qu’il pourrait ainsi continuer à niquer des heures et des heures...

Le gars encaissait toujours, mais, comme les mouvements de la bite de Samir ne faiblissaient pas, il avait l’air de bien la sentir passer. Heureusement qu’il s’était déshabillé car il était en sueur, il fermait les yeux, et poussait un genre de mélange entre soupir et cri, à chaque fois que son cul se prenait un coup de bite.
Samir faisait durer le plaisir en alternant les mouvements brutaux et les mouvements plus doux, mais il ne faiblissait toujours pas et ne laissait pas sa proie tranquille.
Pour donner plus de force encore à son coït, il avait agrippé ses mains aux épaules du gars et du coup arrivait à le niquer jusqu’au bout, puisqu’il ne pouvait plus aller plus loin, la base de sa bite étant arrêtée par les fesses du mec, qui continuait à encaisser, il ne demandait pas à arrêter en tout cas.

Quel pied... cette baise était brutale, sauvage, bestiale même... son intensité était sans doute renforcée par le fait qu’il s’agissait de deux mecs qui ne se connaissaient pas, qu’il n’y avait aucun sentiment, que du sexe, que du cul, et c’était certainement ce dont tous les deux avaient besoin à ce moment-là.
Ils se complétaient bien en tout cas : Samir actif, enculant par derrière, et cet inconnu, peut-être autoreverse mais qui, en tout cas, aimait manifestement se comporter comme une vraie salope.

Samir se demandait même s’il allait finir par jouir, tellement le plaisir qu’il prenait était constant : il n’allait pas crescendo jusqu’à la jouissance, comme cela se passait d’habitude quand il enculait.
Le mec aussi donnait l’impression de pouvoir se faire prendre pendant des heures.

Ils finirent par séparer leurs corps, qui n’avaient fait qu’un pendant de très longues minutes. Ils se firent face, se regardèrent quelques instants, avant que le mec ne se mette à nouveau à genoux et recommence à sucer Samir, qui avait enlevé le préservatif.
C’est à ce moment-là qu’enfin Samir sentit la sauce monter. Il retira sa queue, l’empoigna, et commença à se masturber, le gland près de la bouche du mec, dont il avait, à nouveau, saisi la tête avec sa main gauche.
Le gars aussi se masturbait, l’extase commune n’était pas loin, les deux hommes gémissaient tout en se branlant.

Ce fut Samir qui cracha en premier, d’abord un petit filet qui vint se poser sur la langue, que le gars avait mise en avant pour recevoir la semence, ensuite Samir poussa un cri très fort et sentit un jet puissant sortir de son sexe, il l’enfourna alors dans la bouche du mec qui avala jusqu’à la dernière goutte, tout en fermant les yeux pour savourer le moment. Décidément, salope jusqu’au bout, se dit Samir.
Lorsqu’il sortit son sexe, plus rien ne dépassait.
Il regarda le mec qui se branlait avec énergie avant lui aussi de cracher la purée sous des gémissements rauques de bête blessée, mais Samir avait déjà commencé à se rhabiller : maintenant qu’il avait joui, il n’avait aucune envie de s’attarder dans cet endroit glauque avec ce mec, à qui il avait tourné ostensiblement le dos.

Il n’avait qu’une envie, c’était partir. C’est ce qu’il fit. Sans un mot.