La belle et pulpeuse Alice.4. - histoire érotique

Nos deux premières semaines ont été magiques, je découvre Alice, très dévergondée, mais aussi très passionnelle avec moi.
Ca tombe bien, je suis en manque de passion avec Corinne.

Elle adore partager le sexe anal avec moi, et me réclame souvent de la laisser me donner du plaisir ainsi.
Ce qui nous entraine vers des jeux pervers, très agréables.

Quelques jours auparavant, j'ai eu mon dernier rapport homosexuel avec Mario, proche de notre entreprise, dans la maison désaffectée.

Nous auront une dispute, quand je lui annoncerai, que je veux stopper notre relation, encore une fois.

"Pourquoi ? A cause de ta salope ? C'est ça !".
"Non ! Parce que tu m'étouffes ! Et tu ne parles pas d'Alice comme ça ! Je ne t'aime pas, Mario !".
"Mais moi, oui ! J'ai besoin de toi !".
"Je suis désolé, c'est comme ça ! Et ne me relances plus, s'il te plait !".

Il me dépose devant l'arrêt de bus, signe qu'il m'en veut, puisque d'habitude, il me ramène jusque chez moi !

Je suis entre deux sentiments, la colère envers lui, et l'excitation d'avoir son éjaculation dans l'anus.

Mais je suis sorti de mes pensées par le klaxon de ma belle amante.
Je monte dans son véhicule en disant:

"Alice ? Qu'est-ce que tu fais là ?".
"J'ai envie de toi ! Ca te fait pas plaisir ?".

Moins de cinq minutes plus tard, je suis chez elle.
Je la serre dans mes bras.

"Je sais pas si tu comptes me quitter un jour, mais ne le fais pas maintenant, mon amour, j'ai trop besoin de toi, en ce moment !".
"Je t'aime trop, Pascal ! Plus je te connais et plus je t'aime ! Même, après ce que j'ai vu !".
"Qu... qu'est-ce que tu as vu ?".
"J'ai tout vu ! Mon amour ! Je vous ai vu ! Je t'ai trouvé beau, pendant qu'il te baisait ! J'ai adoré te voir jouir avec lui !".

Je reste bouche bée, par sa révélation, mais je bafouille quand même:

"Je ... je suis désolé, tu dois avoir honte de moi !".
"Pas du tout, je me suis même donné du plaisir en vous regardant ! Mais pourquoi, vous vous êtes engueulés ?".

"Je lui ai dis que je voulais plus qu'on se voit, il est trop envahissant !".
"Ah ! Il t'aime lui aussi !".
"Oui, mais pas moi !".

"Dommage, j'aurais aimé vous revoir ! Tant pis ! Tu vas pouvoir me faire l'amour ?".
"Oh, oui ! Toujours !".

Elle se déshabille devant moi, qui l'imite, elle m'entraine vers sa douche et nous nous caressons mutuellement, en nous embrassant.
Puis, elle glisse vers mon anus, avec ses doigts.
A force de titillements, elle stimule mon œillet qui laisse échapper le sperme de Mario.
Elle en profite pour l'utiliser comme lubrifiant et m'insérer tous ses doigts.

"Oh, tu m'excites ! Pascal ! Il avait une queue énorme ! C'était excitant ! C'était bon ! Pas vrai ?".
"Arhhhhh ! Oui, mon amour ! Il m'encule bien ! J'adore les gros sexes !".
"Oh ! J'adorerai être un homme, pour te faire l'amour, moi aussi ! J'ai envie de te rendre ce que tu me donnes ! Oh ! Encules moi ! J'ai envie de jouir du cul, comme toi !".

Je la place contre la paroi de douche, et lui colle ma queue sur l'anus.
Elle s'écarte les fesses et s'empale d'elle même.
Elle me rend complètement fou, je l'encule avec fougue, pendant qu'elle me révèle ses impressions, de m'avoir vu avec Mario.

"Arhhhhhhhhhhh ! Oui, défonces moi le cul, mon amour ! Je suis une salope, moi aussi ! Arhhhhhhhhhh !".

Elle atteint l'orgasme assez rapidement. je l'entraine sur son canapé et l'encule encore, mais en position de face, avec ses jambes écartées.
Je la burine analement, en tenant ses jambes, au dessus d'elle, qui me tient fermement les fesses.

Je fais durer ma sodomie très longtemps en la regardant orgasmer plusieurs fois, puis j'obtiens ma récompense, en la voyant gicler sa cyprine, au rythme de mes assauts en elle.
Elle se pollue, elle même avec son jus de plaisir.

Elle lâche mes fesses, pour se caresser les seins, couverts de liquide doré.
Elle ajoute à son orgasme, un plaisir cérébral et mammaire.

Je suis trop excité par ce moment, je sors de son cul et me place au dessus d'elle, sans lâcher ses jambes écartées.

Elle agite ses doigts sur ma queue, pour accompagner mon éjaculation sur ses seins et son visage, en jouissant avec moi.

Je suis secoué de spasmes dans le sexe, je me répends sur elle, le moment est intense et magique.

Elle étale mon foutre sur sa poitrine, puis le porte à ses lèvres.
Elle fait de même avec son visage, je relâche ses cuisses et m'approche de sa bouche.

"Je suis fou de toi ! Alice !".
"Moi aussi ! Pascal !".

Elle guide ma bouche vers ses seins, que je lèche amoureusement, puis elle m'entraine vers le sperme qui couvre son visage.
Je la nettoie et partage un énorme baiser spermé avec elle.

Je devine qu'elle est prise d'un énorme plaisir cérébral.
J'adore partager cette complicité perverse avec elle.
Cela se fait avec tant d'amour, que cela devient très sensuel et magnifique.

On se caresse longuement par la suite.
Elle me questionne sur mes aventures homosexuelles.

"Pourquoi, t'as pas osé me l'avouer, quand je te l'ai demandé ?".
"Ben, c'est pas simple d'avouer ce genre de chose, je le vis pas toujours bien !".

Elle apprend tout de moi, mes premiers plaisirs solitaires d'enfance, ma toute première relation sexuelle, avec un militaire, et mon année entière, de sexe, avec uniquement des hommes. Puis ma première relation avec une fille en sortant de l'armée.

"Dons, à cette époque, t'étais plus homo, qu'hétéro ! Pourquoi t'es pas devenu pédé ?".

Je suis surpris par cette phrase, mais lui réponds:

"Parce que j'ai jamais été attiré par les hommes ! J'aime trop les filles ! Votre corps me passionne ! Par contre, j'avoue que voir une belle queue me donne envie ! Mais, peu importe à qui elle appartient ! Il m'est arrivé d'avoir des amants très laids, mais qui avaient ce que j'aime entre les jambes, et surtout qui s'en servaient comme des dieux !".

"Je te comprends, j'ai eu un amant comme ça, aussi ! C'était l'oncle d'une copine, elle l'a jamais su ! Il me défonçait comme personne ! Mais, c'était que du sexe ! Il m'a beaucoup appris sur ce plan là !".

"Finalement, t'es une vrai dévergondée, je vois !".
"Oui, mais tu en profites bien ! Parles-moi encore des hommes !".

Je lui révèle que je fais mes rencontres en lieux chauds, comme les Sex-Shops, les cinémas pornos et les bois du bord de mer.

"Ah, justement, je voulais te demander l'adresse d'un Sex-Shop, pour moi !".

Je m'étonne encore et lui demande:

"Pourquoi ? Tu veux te faire baiser la bas ?".

Elle rit et me répond:

"Mais non ! Je veux... euh... un gode qui s'attache, pour te prendre comme un mec !".
"Alice, tu vas trop loin ! Je sais pas ! En plus, ça coute une fortune ! Et comment tu vas le cacher de ton mari ?".
"T'inquiètes, j'ai une excellente cachette ! Et j'ai les moyens aussi ! Tu m'accompagneras ?".

Je réfléchis longuement, puis accepte.
Elle me serre dans ses bras, en me déclarant encore son amour.

"Je t'aime ! Je t'aime ! Je t'aime ! J'adore tout ce qu'on fait tous les deux !".

Cette fille me rend dingue, elle fait de moi tout ce qu'elle veut.

"Tu sais quoi ! J'aimerai connaitre un homo pour lui demander de te baiser devant moi !".
"Toi aussi !".
"Pourquoi moi aussi ? Corinne le sait ?".
"Oui, c'est grâce à ça qu'on peut être ensemble, elle croit que je vois un homme !".
"Ah, je suis déçue ! J'aurai aimé être la seule à savoir ! Mais finalement ! C'est pas faux, tu te fais prendre aussi !".
"On partage pas que ça ! Non ?".
"Oui, mais j'aime ce coté là, aussi ! Mon amour !".

Elle me demande avec insistance, de la laisser me sodomiser avec son gode, pendant que je me masturbe entre ses seins magnifiques.
Encore une fois, je prends un orgasme énorme avec elle, qui m'accompagne avec ses doigts sur sa vulve.
Nous attendrons le nouveau départ de son mari, pour acheter le gode ceinture, qu'elle désire.