La belle, perverse et pulpeuse Alice.5.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La belle, perverse et pulpeuse Alice.5.
Je vis ma dernière semaine dans l'entreprise, la presque totalité d'entre nous, va être victime de licenciement économique.
Je n'ai plus vu Alice depuis plus d'un mois, elle me manque énormément.
Ma vie sexuelle avec Corinne est devenue routinière, on se fâche souvent, face à ses scrupules, vis à vis du candaulisme.
Elle est comme ça, parfois, elle veut revenir à une vie plus simple.
Mais le mal est fait ! On s'est trompé et on a vécu de nombreuses choses sexuellement, je ne peux plus revenir en arrière !
Le seul avantage, c'est qu'elle accepte toujours mon homosexualité, je suis libre de ce coté là !
Toutefois, le candaulisme me manque ! Il entretient mon désir pour elle !
Au lieu de cela, elle pense que la simple vue de son corps, va m'exciter pour la baiser comme une salope.
Je me sens forcé de la baiser ! Donc nos rapports s'espacent, jusqu'à mon besoin de lui faire l'amour passionnément.
Mais pendant cela, elle me réclame du sexe ! Et ça gâche tout !
C'est un cercle vicieux, puisque j'ai alors encore moins envie d'elle, pour la prochaine fois !
Pourtant, une chose est sure, je l'aime toujours autant, c'est la femme de ma vie !
Je sors de l'entreprise, la tête baissée, mais content que ce soit une des dernières fois, le trajet quotidien est pesant.
Puis, je suis surpris par une paires de jambes féminines, surmontées d'une jupe courte.
Je redresse les yeux et découvre mon amour secret, devant moi.
"Alice !".
Je l'embrasse aussitôt, longuement et passionnément.
"Hmmm ! Je t'aime Pascal, tu m'as trop manqué ! C'était trop dur sans toi !".
"Pareil, pour moi mon amour ! Stéphane est parti ?".
"Oui, enfin ! Je le supportais plus à la fin !".
"Ben, quittes le !".
"Mais, non ! Pas à ce point, Mais c'est toujours comme ça ! Dans un couple de femme de marin, on aime se retrouver seule ! Alors comme en plus, j'en aime un autre que lui ! C'est pas simple !".
"D'accord, j'ai du mal à le comprendre, pour moi, on doit pas supporter de se séparer, si on s'aime !".
"Avec toi, ce serait comme ça ! Mais lui, non ! Et avec Corinne ? Ca va ?".
"C'est compliqué ! Pas trop en ce moment !".
"Bon, tu as de l'amour pour moi ! Alors ?".
"Enormément ! Tu es mon bol d'air !".
On se retrouve chez elle, et nous nous aimons passionnément jusqu'à 19 h.
J'ai décidé de me venger de Corinne en rentrant plus tard, lui prétextant un nouvel amant endurant.
Tous les soirs de semaine sont remplis de cette même passion avec Alice.
Elle commence à me réclamer nos jeux bisexuels.
Elle me dit souvent:
"T'as un cul magnifique, j'aimerai être un mec pour t'enculer !".
"T'es pas la première fille à me dire ça ! Moi je préfère le tien !".
Je lui réserve donc le vendredi soir pour l'emmener au Sex-shop, afin de choisir le gode ceinture qu'elle désire.
C'est aussi, mon dernier jour dans l'entreprise, on est heureux de pouvoir nous voir plus longtemps.
A l'intérieur, elle me demande, devant la vitrine des godemichets:
"Tu prends plus de plaisir avec lesquels ?".
Je la dirige vers ceux qui ont une circonférence de 5,5 cm, qui représente en gros, la taille de la queue de Mario, que je ne vois plus.
"Hummm, c'est gros ! Comme Mario, on dirait ! Et la plus grosse que tu ais connue, c'est comment ?".
Je repense à Fred et lui montre un énorme gode de 6,5 cm de large.
"Ouahh ! Tant que ça ? Bon attends moi dehors, je vais faire mes achats !".
On en a discuté avant, j'ai pas envie qu'elle se procure ça, avec moi, à coté.
Le caissier va comprendre que c'est moi, qui vais le prendre dans l'anus !
Elle me rejoint, et me passe le sac, pendant qu'elle roule, je vérifie et vois qu'elle a acheté un harnais avec un mini gode intérieur, muni d'une boucle circulaire attachée sur le devant.
Cela permet d'y insérer le gode qu'on veux, grâce à la ventouse.
Je découvre qu'elle a pris le gode le plus cher, qui fait 6,5 cm de large.
Un gros flacon de gel est aussi dans le sac.
On a peu de temps pour faire l'amour, elle m'emmène dans un chemin retiré pour que je l'encule avec vice, avant de me ramener chez moi.
Elle me quitte en disant:
"A lundi, mon amour ! Prépares ton cul ! J'en ai trop envie !".
Elle sait qu'on va devoir changer nos habitudes, je vais me retrouver au chômage, ce qui nous arrange, un peu.
Le lundi, je sors pour me rendre au lieu de rendez-vous, vers 9h30 du matin.
Elle arrive, radieuse et visiblement heureuse de me retrouver.
On passe la première heure à faire l'amour comme deux fous.
J'ai aimé son corps, de mes mains et ma bouche interminablement, je suis en manque de ses contorsions et gémissements de plaisir.
Je l'ai possédée dans plusieurs positions, cognant dans son vagin, comme une bête affamée pendant qu'elle me réclame:
"Plus fort ! Encore !".
Puis, c'est son anus que j'ai aimé aussi passionnément, jusqu'à lui provoquer des giclées de liquide doré.
J'étais au bord de l'éjaculation !
Après un repos salutaire pour elle, elle me dit:
"Maintenant, c'est à mon tour de te prendre ! T'es prêt ? Mon amour ?".
Je suis surpris, mais je me dois de la laisser faire !
"Oui ! Tu sais que je t'aime vraiment pour te laisser me faire ça !".
Tout est déjà déballé, le gode, le gel et le harnais.
Elle me demande de l'aide pour s'affubler du gode ceinture, la taille du gode n'est pas simple à insérer !
Je le trouve plus lourd que l'autre jour, dans le sac !
Puis elle m'enduit de gel abondamment, et fait de même avec le gode.
Elle gémit en ressentant les courts mouvements du mini gode en elle, ce qui va lui apporter du plaisir aussi.
Elle écarte mes cuisses, et pousse déjà contre mon anus.
"Ouhhhh ! Alice ! Pourquoi, tu as choisi celui là ! C'étais plus simple avec un autre !".
"Je veux que tu jouisses très fort, mon amour ! Avec celui-ci, tu vas aimer faire l'amour comme ça, avec moi !".
Je retrouve la sensation d'écartèlement connue avec l'énorme sexe de Fred, pendant plus d'un an.
"Doucement Alice ! Pas trop vite ! Oui ! Comme ça !".
Mon anus s'ouvre lentement, son gland écartèle mon œillet patiemment.
"Arrhhhhhhhhhhh ! Attends ! Ne bouge plus !".
Je me place idéalement sous son gros pieu de silicone.
Puis, je lui dis:
"Maintenant ! Vas-y ! Prends-moi !".
Le sexe énorme s'insère en moi en me déchirant les parois anales.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Alice ! Tu me fais faire des folies ! Je t'aime !".
"Tu es à moi Pascal ! Je t'aime ! Tu m'appartiens ! Tiens ! Mon amour ! Tiens !".
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Elle se penche sur moi pour m'embrasser en m'enculant.
Je lui offre le plaisir de me voir orgasmer analement plusieurs fois d'affilée.
Elle jouit avec moi par deux fois, grâce à son mini gode, dans sa chatte.
Puis, elle me masturbe le sexe, qu'elle voit gonfler sous ses assauts !
Je crie encore mon orgasme, puis je grogne en répandant mon sperme entre ses doigts.
Je me relâche complètement, elle m'a vidé de tout mon plaisir.
Elle me couvre de mots d'amour, me dit:
"Je pourrais plus me passer de ça ! C'est trop beau ! J'ai trop aimé te faire jouir ! Tu étais tellement beau, si tu savais ! Je t'aime tellement Pascal !".
"Merci, mon amour, tu m'as bien fait jouir ! J'ai adoré, même si, c'est bizarre pour moi !".
Elle se colle à moi, on arrive plus à se décoller.
Puis, je suis gêné analement.
"Alice, tu peux te retirer, s'il te plait ?".
Elle se redresse et regarde longuement, son sexe de silicone, sortir de mon anus béant.
Elle découvre mon écartèlement extrême, puis les écoulements de jus que cela implique.
"Putain ! C'est énorme, ce qu'un anus peut encaisser ! J'adore !".
Elle devient accroc et me pénètre plusieurs fois malgré mes suppliques d'arrêter.
Elle me soulève les fesses et m'encule comme une vulgaire salope jusqu'à ce qu'elle jouisse encore, elle aussi.
Je joui encore, bien sur, pendant qu'elle me défonce en me parlant crûment.
"C'est comme ça, qu'il t'enculait Mario, c'est ça ?".
"Oui, Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Je ne pensais pas que l'exploration de ce plaisir avec elle, lui plairait autant !
Elle comprends que je suis au bord d'un énième orgasme anal, elle reprend ses assauts et attends mes râles de plaisir, pour sortir de mon cul, peu après.
Je reçois un liquide blanchâtre sur moi, je la vois presser les testicules, plusieurs fois pour faire gicler ce sperme de fortune.
Elle devient perverse en m'arrosant de ce jus clair, et m'insulte, excitée comme jamais.
Puis, elle revient en moi, presse encore le gode et s'écroule épuisée de plaisir cérébral.
Je me place au dessus d'elle et prend les choses en main, pour quitter son sexe de fortune.
Je me rends dans sa douche, pour rincer mon corps et mon anus qui dégouline de ce je pense être du lait chaud.
Je la rejoins, elle est debout, avec son énorme appendice entre les jambes, elle se tient le sexe avec une main.
"Hummm ! Ca m'excite ! Tu peux pas t'imaginer, à quel point !".
"Je vois ! Ca me fait drôle de partager ce plaisir avec toi ! Tu es la seule fille qui me fait ça !".
"Et Corinne ?".
"Elle veut aussi, mais je ne veux pas !".
"J'ai de la chance alors !".
"Bon, j'ai plus d'énergie ! On se repose un peu ?".
"Oui, aide-moi à l'enlever ! Je vais le laver et le ranger pour la prochaine fois !".
"T'es une grosse vicieuse, je savais pas que t'allais m'arroser comme ça !".
"Quand j'ai vu le mot "Ejaculateur", même avec le prix exorbitant, j'ai eu envie de savoir, ce que ça faisait ! J'adore !".
"Ca promet pour les prochaines fois ! Mais j'aime aussi te faire l'amour normalement ! Je ne veux pas faire que ça !".
"Bien sur, mon amour ! Mais je t'aime encore plus qu'avant, ça te rend plus humain, je te voyais comme l'homme idéal, mais ce coté là, te rend plus excitant encore ! Tu as un amant en ce moment ?".
"Non, je me contente des sorties au cinéma porno et le reste ! Et toi ?".
"Non, tu me suffis amplement !".
"Tu pense que ton mari se doute de quelque chose ?".
"Je sais pas, je pense pas ! Mais je crois qu'il a quelqu'un de son coté, il est ailleurs parfois ! Mais je sais qu'il m'aime toujours, c'est le principal ! Je suis mariée et je tiens à mon mariage, mon mari, c'est autre chose !".
"Bon, on se revoit quand ?".
"Demain vers 14 h ! Ce serait bien !".
"Humm, j'ai hâte ! Déjà !".
On pratiquera ce genre de sexualité environ une fois par semaine, sur sa demande.
On a utilisé de la Maïzena dans du lait chaud pour imiter le sperme, c'est tout ce qu'on a trouvé !
Le plus difficile était ensuite le nettoyage du gode !
Elle a découvert un autre vice, celui de me remplir l'anus de ce mélange, afin de le voir couler ensuite.
Dans les mois qui suivirent, au gré des absences de son mari, elle me parlait de leur désir d'enfant.
Je commençais à avoir peur de jouir en elle, malgré son insistance pour que je le fasse.
Un jour, en jouissant dans sa chatte, j'ai été pris de doute, je lui ai demandé, tout de suite, après:
"Tu prends toujours la pilule ? Rassures-moi !".
"Euh, oui ! Pourquoi ?".
"Ben, devines !".
"Ce serait pas grave, j'adorerai avoir un enfant de toi ! En plus, tu le sais, on en parle avec Stéphane ! J'en veux deux !".
"T'es folle de dire ça ! Je pourrais pas vivre en sachant que j'ai un enfant caché !".
"Allez ! Rassures toi ! C'est pas le cas !".
Notre relation s'est étalée sur 3 ans, au rythme des absences de Stéphane.
Ce ne fut pas simple à gérer, vis à vis de ma femme, mais j'étais accroc à nos ébats passionnés et pervers.
On a usé aussi, d'un signal téléphonique (fixe, pas de portable !) pour faire savoir qu'on voulait se joindre.
Son mari a été muté en Bretagne, comme beaucoup de marins.
Ils ont déménagé, et acheté une autre maison.
Elle m'appelait les premiers mois pour me dire qu'elle m'aimait toujours, que l'amour avec moi et nos jeux pervers lui manquaient.
Elle était enceinte les derniers mois de notre liaison, j'avais des scrupules à lui faire l'amour dans cet état, de plus, je me suis toujours posé des questions !
Elle m'a assuré qu'il n'était pas de moi ! Alors que je n'ai jamais su qu'elle avait arrêté la pilule !
"J'ai besoin d'être sûr ! Alice !".
"Tu ne le sauras jamais ! Mon amour ! Je vais partir et tu vas me manquer ! Je sais pas comment, je vais me passer de tout ce qu'on fait tous les deux !".
Je n'ai plus de nouvelles depuis 30 ans !
Sauf récemment, grâce à Facebook et après m'être rappelé du nom de famille de Stéphane.
J'ai pu consulter son profil et vu des photos d'une jeune fille qui pourrai être la mienne, tant elle lui ressemble et d'un plus jeune homme qui est assez différent.
Je ne l'espère pas, mais s'il le faut, je me tiens prêt à assumer mes conneries !
Je n'ai plus vu Alice depuis plus d'un mois, elle me manque énormément.
Ma vie sexuelle avec Corinne est devenue routinière, on se fâche souvent, face à ses scrupules, vis à vis du candaulisme.
Elle est comme ça, parfois, elle veut revenir à une vie plus simple.
Mais le mal est fait ! On s'est trompé et on a vécu de nombreuses choses sexuellement, je ne peux plus revenir en arrière !
Le seul avantage, c'est qu'elle accepte toujours mon homosexualité, je suis libre de ce coté là !
Toutefois, le candaulisme me manque ! Il entretient mon désir pour elle !
Au lieu de cela, elle pense que la simple vue de son corps, va m'exciter pour la baiser comme une salope.
Je me sens forcé de la baiser ! Donc nos rapports s'espacent, jusqu'à mon besoin de lui faire l'amour passionnément.
Mais pendant cela, elle me réclame du sexe ! Et ça gâche tout !
C'est un cercle vicieux, puisque j'ai alors encore moins envie d'elle, pour la prochaine fois !
Pourtant, une chose est sure, je l'aime toujours autant, c'est la femme de ma vie !
Je sors de l'entreprise, la tête baissée, mais content que ce soit une des dernières fois, le trajet quotidien est pesant.
Puis, je suis surpris par une paires de jambes féminines, surmontées d'une jupe courte.
Je redresse les yeux et découvre mon amour secret, devant moi.
"Alice !".
Je l'embrasse aussitôt, longuement et passionnément.
"Hmmm ! Je t'aime Pascal, tu m'as trop manqué ! C'était trop dur sans toi !".
"Pareil, pour moi mon amour ! Stéphane est parti ?".
"Oui, enfin ! Je le supportais plus à la fin !".
"Ben, quittes le !".
"Mais, non ! Pas à ce point, Mais c'est toujours comme ça ! Dans un couple de femme de marin, on aime se retrouver seule ! Alors comme en plus, j'en aime un autre que lui ! C'est pas simple !".
"D'accord, j'ai du mal à le comprendre, pour moi, on doit pas supporter de se séparer, si on s'aime !".
"Avec toi, ce serait comme ça ! Mais lui, non ! Et avec Corinne ? Ca va ?".
"C'est compliqué ! Pas trop en ce moment !".
"Bon, tu as de l'amour pour moi ! Alors ?".
"Enormément ! Tu es mon bol d'air !".
On se retrouve chez elle, et nous nous aimons passionnément jusqu'à 19 h.
J'ai décidé de me venger de Corinne en rentrant plus tard, lui prétextant un nouvel amant endurant.
Tous les soirs de semaine sont remplis de cette même passion avec Alice.
Elle commence à me réclamer nos jeux bisexuels.
Elle me dit souvent:
"T'as un cul magnifique, j'aimerai être un mec pour t'enculer !".
"T'es pas la première fille à me dire ça ! Moi je préfère le tien !".
Je lui réserve donc le vendredi soir pour l'emmener au Sex-shop, afin de choisir le gode ceinture qu'elle désire.
C'est aussi, mon dernier jour dans l'entreprise, on est heureux de pouvoir nous voir plus longtemps.
A l'intérieur, elle me demande, devant la vitrine des godemichets:
"Tu prends plus de plaisir avec lesquels ?".
Je la dirige vers ceux qui ont une circonférence de 5,5 cm, qui représente en gros, la taille de la queue de Mario, que je ne vois plus.
"Hummm, c'est gros ! Comme Mario, on dirait ! Et la plus grosse que tu ais connue, c'est comment ?".
Je repense à Fred et lui montre un énorme gode de 6,5 cm de large.
"Ouahh ! Tant que ça ? Bon attends moi dehors, je vais faire mes achats !".
On en a discuté avant, j'ai pas envie qu'elle se procure ça, avec moi, à coté.
Le caissier va comprendre que c'est moi, qui vais le prendre dans l'anus !
Elle me rejoint, et me passe le sac, pendant qu'elle roule, je vérifie et vois qu'elle a acheté un harnais avec un mini gode intérieur, muni d'une boucle circulaire attachée sur le devant.
Cela permet d'y insérer le gode qu'on veux, grâce à la ventouse.
Je découvre qu'elle a pris le gode le plus cher, qui fait 6,5 cm de large.
Un gros flacon de gel est aussi dans le sac.
On a peu de temps pour faire l'amour, elle m'emmène dans un chemin retiré pour que je l'encule avec vice, avant de me ramener chez moi.
Elle me quitte en disant:
"A lundi, mon amour ! Prépares ton cul ! J'en ai trop envie !".
Elle sait qu'on va devoir changer nos habitudes, je vais me retrouver au chômage, ce qui nous arrange, un peu.
Le lundi, je sors pour me rendre au lieu de rendez-vous, vers 9h30 du matin.
Elle arrive, radieuse et visiblement heureuse de me retrouver.
On passe la première heure à faire l'amour comme deux fous.
J'ai aimé son corps, de mes mains et ma bouche interminablement, je suis en manque de ses contorsions et gémissements de plaisir.
Je l'ai possédée dans plusieurs positions, cognant dans son vagin, comme une bête affamée pendant qu'elle me réclame:
"Plus fort ! Encore !".
Puis, c'est son anus que j'ai aimé aussi passionnément, jusqu'à lui provoquer des giclées de liquide doré.
J'étais au bord de l'éjaculation !
Après un repos salutaire pour elle, elle me dit:
"Maintenant, c'est à mon tour de te prendre ! T'es prêt ? Mon amour ?".
Je suis surpris, mais je me dois de la laisser faire !
"Oui ! Tu sais que je t'aime vraiment pour te laisser me faire ça !".
Tout est déjà déballé, le gode, le gel et le harnais.
Elle me demande de l'aide pour s'affubler du gode ceinture, la taille du gode n'est pas simple à insérer !
Je le trouve plus lourd que l'autre jour, dans le sac !
Puis elle m'enduit de gel abondamment, et fait de même avec le gode.
Elle gémit en ressentant les courts mouvements du mini gode en elle, ce qui va lui apporter du plaisir aussi.
Elle écarte mes cuisses, et pousse déjà contre mon anus.
"Ouhhhh ! Alice ! Pourquoi, tu as choisi celui là ! C'étais plus simple avec un autre !".
"Je veux que tu jouisses très fort, mon amour ! Avec celui-ci, tu vas aimer faire l'amour comme ça, avec moi !".
Je retrouve la sensation d'écartèlement connue avec l'énorme sexe de Fred, pendant plus d'un an.
"Doucement Alice ! Pas trop vite ! Oui ! Comme ça !".
Mon anus s'ouvre lentement, son gland écartèle mon œillet patiemment.
"Arrhhhhhhhhhhh ! Attends ! Ne bouge plus !".
Je me place idéalement sous son gros pieu de silicone.
Puis, je lui dis:
"Maintenant ! Vas-y ! Prends-moi !".
Le sexe énorme s'insère en moi en me déchirant les parois anales.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Alice ! Tu me fais faire des folies ! Je t'aime !".
"Tu es à moi Pascal ! Je t'aime ! Tu m'appartiens ! Tiens ! Mon amour ! Tiens !".
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Elle se penche sur moi pour m'embrasser en m'enculant.
Je lui offre le plaisir de me voir orgasmer analement plusieurs fois d'affilée.
Elle jouit avec moi par deux fois, grâce à son mini gode, dans sa chatte.
Puis, elle me masturbe le sexe, qu'elle voit gonfler sous ses assauts !
Je crie encore mon orgasme, puis je grogne en répandant mon sperme entre ses doigts.
Je me relâche complètement, elle m'a vidé de tout mon plaisir.
Elle me couvre de mots d'amour, me dit:
"Je pourrais plus me passer de ça ! C'est trop beau ! J'ai trop aimé te faire jouir ! Tu étais tellement beau, si tu savais ! Je t'aime tellement Pascal !".
"Merci, mon amour, tu m'as bien fait jouir ! J'ai adoré, même si, c'est bizarre pour moi !".
Elle se colle à moi, on arrive plus à se décoller.
Puis, je suis gêné analement.
"Alice, tu peux te retirer, s'il te plait ?".
Elle se redresse et regarde longuement, son sexe de silicone, sortir de mon anus béant.
Elle découvre mon écartèlement extrême, puis les écoulements de jus que cela implique.
"Putain ! C'est énorme, ce qu'un anus peut encaisser ! J'adore !".
Elle devient accroc et me pénètre plusieurs fois malgré mes suppliques d'arrêter.
Elle me soulève les fesses et m'encule comme une vulgaire salope jusqu'à ce qu'elle jouisse encore, elle aussi.
Je joui encore, bien sur, pendant qu'elle me défonce en me parlant crûment.
"C'est comme ça, qu'il t'enculait Mario, c'est ça ?".
"Oui, Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Je ne pensais pas que l'exploration de ce plaisir avec elle, lui plairait autant !
Elle comprends que je suis au bord d'un énième orgasme anal, elle reprend ses assauts et attends mes râles de plaisir, pour sortir de mon cul, peu après.
Je reçois un liquide blanchâtre sur moi, je la vois presser les testicules, plusieurs fois pour faire gicler ce sperme de fortune.
Elle devient perverse en m'arrosant de ce jus clair, et m'insulte, excitée comme jamais.
Puis, elle revient en moi, presse encore le gode et s'écroule épuisée de plaisir cérébral.
Je me place au dessus d'elle et prend les choses en main, pour quitter son sexe de fortune.
Je me rends dans sa douche, pour rincer mon corps et mon anus qui dégouline de ce je pense être du lait chaud.
Je la rejoins, elle est debout, avec son énorme appendice entre les jambes, elle se tient le sexe avec une main.
"Hummm ! Ca m'excite ! Tu peux pas t'imaginer, à quel point !".
"Je vois ! Ca me fait drôle de partager ce plaisir avec toi ! Tu es la seule fille qui me fait ça !".
"Et Corinne ?".
"Elle veut aussi, mais je ne veux pas !".
"J'ai de la chance alors !".
"Bon, j'ai plus d'énergie ! On se repose un peu ?".
"Oui, aide-moi à l'enlever ! Je vais le laver et le ranger pour la prochaine fois !".
"T'es une grosse vicieuse, je savais pas que t'allais m'arroser comme ça !".
"Quand j'ai vu le mot "Ejaculateur", même avec le prix exorbitant, j'ai eu envie de savoir, ce que ça faisait ! J'adore !".
"Ca promet pour les prochaines fois ! Mais j'aime aussi te faire l'amour normalement ! Je ne veux pas faire que ça !".
"Bien sur, mon amour ! Mais je t'aime encore plus qu'avant, ça te rend plus humain, je te voyais comme l'homme idéal, mais ce coté là, te rend plus excitant encore ! Tu as un amant en ce moment ?".
"Non, je me contente des sorties au cinéma porno et le reste ! Et toi ?".
"Non, tu me suffis amplement !".
"Tu pense que ton mari se doute de quelque chose ?".
"Je sais pas, je pense pas ! Mais je crois qu'il a quelqu'un de son coté, il est ailleurs parfois ! Mais je sais qu'il m'aime toujours, c'est le principal ! Je suis mariée et je tiens à mon mariage, mon mari, c'est autre chose !".
"Bon, on se revoit quand ?".
"Demain vers 14 h ! Ce serait bien !".
"Humm, j'ai hâte ! Déjà !".
On pratiquera ce genre de sexualité environ une fois par semaine, sur sa demande.
On a utilisé de la Maïzena dans du lait chaud pour imiter le sperme, c'est tout ce qu'on a trouvé !
Le plus difficile était ensuite le nettoyage du gode !
Elle a découvert un autre vice, celui de me remplir l'anus de ce mélange, afin de le voir couler ensuite.
Dans les mois qui suivirent, au gré des absences de son mari, elle me parlait de leur désir d'enfant.
Je commençais à avoir peur de jouir en elle, malgré son insistance pour que je le fasse.
Un jour, en jouissant dans sa chatte, j'ai été pris de doute, je lui ai demandé, tout de suite, après:
"Tu prends toujours la pilule ? Rassures-moi !".
"Euh, oui ! Pourquoi ?".
"Ben, devines !".
"Ce serait pas grave, j'adorerai avoir un enfant de toi ! En plus, tu le sais, on en parle avec Stéphane ! J'en veux deux !".
"T'es folle de dire ça ! Je pourrais pas vivre en sachant que j'ai un enfant caché !".
"Allez ! Rassures toi ! C'est pas le cas !".
Notre relation s'est étalée sur 3 ans, au rythme des absences de Stéphane.
Ce ne fut pas simple à gérer, vis à vis de ma femme, mais j'étais accroc à nos ébats passionnés et pervers.
On a usé aussi, d'un signal téléphonique (fixe, pas de portable !) pour faire savoir qu'on voulait se joindre.
Son mari a été muté en Bretagne, comme beaucoup de marins.
Ils ont déménagé, et acheté une autre maison.
Elle m'appelait les premiers mois pour me dire qu'elle m'aimait toujours, que l'amour avec moi et nos jeux pervers lui manquaient.
Elle était enceinte les derniers mois de notre liaison, j'avais des scrupules à lui faire l'amour dans cet état, de plus, je me suis toujours posé des questions !
Elle m'a assuré qu'il n'était pas de moi ! Alors que je n'ai jamais su qu'elle avait arrêté la pilule !
"J'ai besoin d'être sûr ! Alice !".
"Tu ne le sauras jamais ! Mon amour ! Je vais partir et tu vas me manquer ! Je sais pas comment, je vais me passer de tout ce qu'on fait tous les deux !".
Je n'ai plus de nouvelles depuis 30 ans !
Sauf récemment, grâce à Facebook et après m'être rappelé du nom de famille de Stéphane.
J'ai pu consulter son profil et vu des photos d'une jeune fille qui pourrai être la mienne, tant elle lui ressemble et d'un plus jeune homme qui est assez différent.
Je ne l'espère pas, mais s'il le faut, je me tiens prêt à assumer mes conneries !
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je ne l'ai pas pris comme tel, merci de vos commentaires !
C’était juste 1 question et non 1 critique.
Je suis d'accord ! J'assumerai si c'est ma fille et qu'elle veut me connaitre. Je ne veux pas le savoir pour le moment, le doute subsiste, ce n'est peut être pas mon enfant !
Avez vous repris contact avec Alice ? Pourquoi assumer et chambouler 1 famille ?
Alors au final c’est votre fille ?