La grosse 2
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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La grosse 2
La grosse 2
Rappel des faits . Ce récit fait suite au précédent qui raconte mon adolescence.
Depuis ma plus tendre enfance, j'étais une fille enrobée, j'avais bon appétit et j'étais nourrie aux produits de la ferme. Du lait entier, de la crème, du beurre, du fromage, des œufs … sans parler des confitures maisons.
Une lourde hérédité sans doute, des parents costauds, une lignée qui avait survécu à la famine et aux épidémies des temps passés.
Bref, des l'école primaire, on m'a appelé la grosse. Encore pire au collège où j'occupais systématiquement la table du fond. J'avais bon caractère, plutôt rigolarde, j'étais une bonne camarade et je m'acceptais avec fatalisme.
A l'époque, j'avais déjà de la poitrine d'une femme mais économie oblige, je ne portais pas de soutien gorge. Je n'en réclamais pas car j'aimais me sentir libre et j’aimais le frottement de mes tétons sur le tissus de mes robes et corsages. Je sentais les pointes s'ériger et l'envie de me caresser.
Mes doigts partaient à la recherche de mon petit bouton, j’ai mouillé très tôt, abondamment, dès dix ans et cela me démangeait. Je me frottais sur des coins de table, j'utilisais ma brosse à dents avec du dentifrice mentholé, je faisais du vélo sans culotte...
Ensuite des légumes ont remplacé mes doigts et je me suis dépucelé très jeune.
Très tôt, mon physique a excité la curiosité de mes camarades. Dans les vestiaires collectifs de la piscine ou du stade, je n'hésitais pas à me déshabiller et à m'exhiber devant des filles plates et pudiques.
A certaines de mes amis, j'offrais facilement mes seins à caresser, devant les autres qui se pressaient en gloussant.
J'étais précoce, une toison brune et épaisse recouvrait mon pubis et j'avais de grandes lèvres. A douze ou treize ans, je mesurais déjà un mètre soixante pour 75kilos.
Arrivée au lycée agricole, je me retrouve interne dans une chambrée de quatre.
L'éloignement de nos familles et le besoin de tendresse, nous avons très vite dormi en couple. J'ai hérité de la plus menue mais aussi la plus délurée.
C'était une petite coquine montée sur ressort, une véritable pipelette avec une langue pendue et très agile au demeurant.
Je pense que ma stature et mon flegme devait la rassurer.
Nous mettions les matelas au sol entre les lits superposés, une sorte de tatamis ou nous devisions le soir, nous relaxant, jouant, lisant avant de s'endormir.
Nous avions une salle d'eau attenante et toilettes. Aucune pudeur entre nous, nous déambulations souvent nues avec une serviette ou sans, prenions les douches ensembles, se coiffant et s'épilant mutuellement.
La sexualité occupait une grande partie de nos discussions, nous comparions la façon de se masturber d'abord oralement puis en joignant le geste à la parole.
Nous aimions aussi s'embrasser d'abord sur les joues puis sur les lèvres à la soviétique puis la nuit dans l'obscurité de vrais baisers passionnés.
Nous avons pratiqué toutes sortes de massages. D'abord suite à une entorse puis pour de rire et enfin pour finir en orgie lesbienne.
Ces jeux s'accompagnaient de crise de fous rires. Quand on allait un peu plus loin , le silence s'imposait, rompus par des raclements de gorge, des bruits de déglutition involontaires.
Je pense que la surveillante, étudiante guère plus âgée n'était pas dupe, soit plongée dans ses études ou son sommeil soit complice pour la sérénité de tous en respectant notre intimité.
Quand aux autres chambrées, nous ignorions tout de leurs activités. Comme on dit « Pour vivre heureux, vivons cachés »
Nos résultats scolaires étaient des meilleurs et nous étions souvent citées en exemple.
Nous étions sérieuses, calmes et appliquées.
Comme je l'ai dit, je voulais quitter la ferme et être infirmière et pourquoi pas vétérinaire tout en continuant à vivre à la campagne.
Mes camarades rentraient chez elles le week-end ce qui n'était pas mon cas. Je restais à l'internat avec l'autorisation de sortir et je pouvais même découcher chez mon tuteur.
Ce dernier n'était qu'une vague connaissance d'affaires de mon père et je ne l'avais rencontrer qu'une fois lorsqu'il s'était porté garant auprès de l'établissement. Ne posant aucun problème de discipline, il n'avait jamais été recontacté depuis et je faisais croire que je me rendais régulièrement chez lui.
Là encore, on me donnait le bon dieu sans confession grâce à mon physique disgracieux.
En réalité, je me changeais des l’arrivée en ville dans le premier bar puis je trainais près de la gare non loin de la caserne et je me faisais aborder par des bidasses en permission qui attendaient leur train.
Il y avait aussi de jeunes engagés au béret vert. J'aimais leur prestance, leur uniforme et leurs traits virils.
A cette époque, il y avait beaucoup de toilettes publiques plus ou moins bien entretenues, dans les gares, les parcs, boulodromes et autres lieux publiques.
Nous commencions par nous embrasser ce qui montrait bien que je n'étais pas une prostituée car elles n'embrassent pas. Je caressais la bosse à travers l’uniforme obligatoire même en civil. Le gars plongeait les mains dans mon soutien gorge et malaxait mes seins volumineux ( 100 E) pendant que je déboutonnais son falzar. Ma main le libérait et je m'emparais de sa hampe. Certains avaient des condoms qu'ils enfilaient maladroitement à la hâte, d'autres prenaient leur temps. Ils pressaient mes seins, excitant les bouts, les prenant parfois entre les dents, les embrassant… J'étais aux anges et les encourageais en silence pour ne pas se faire repérer.
Je m'agenouillais alors, les décalottant, caressais le gland puis je l'embrassais et le prenais en bouche, le faisant glisser au fond de ma gorge. J'opérais des vas et vient rapides, soufflant et aspirant en guettant les réactions de mon partenaire. Il prenait ma tête dans ses mains, rythmant la cadence, me prévenant de l'éminence de son plaisir.
Avec mon expérience, je ne me retirais pas, recevant les longues rasades de ces mâles vigoureux trop longtemps enfermés comme une récompense de mes efforts. J'ouvrais ma bouche pleine et laissais le jus couler à leurs pieds.
Ceux qui avaient enfilé un préservatif ne s'embarrassaient pas de préliminaires. Ils se caressaient et plongeaient la main dans ma culotte, glissant sur ma vulve, parfois, ils crachaient dans leur main puis ils me tournaient. J'avais les mains contre le mur , tendant ma croupe. Ils s'asseyaient littéralement sous moi pour m'enfiler. Quelques vas et vient et il remplissaient leur capote. Une tape sur les fesses et je restais avec ma frustration . Je tachais de vite évacuer ce mauvais moment pour une nouvelle proie.
J'ai eu aussi des amateurs fidèles et de bons amants. Nous allions dans le parc quand le temps était doux mais aussi au cinéma et quelquefois à l'hôtel.
Je me rappelle les moments où j’ai enjambé mon amant assis sur un banc de pierre, ses doigts pinçant mon clitoris, sa bouche dévorant mes seins, mordillant mes tétons hypersensibles.
J'ai eu un orgasme fabuleux, j'ai joui sur ses cuisses et son bas ventre. Le pauvre en était traumatisé.
Je me rappelle aussi être assise sur une escarpolette, les cordes s’enfonçant sur mes flancs, presque couchée, mon ami me fouillant de sa langue en écartant mes jambes au maximum puis il est parvenu à me pénétrer en effectuant des petits coups rapides en variant l'angle du bassin. Délicieux.
J'ai eu des expériences plus glauques et beaucoup de refus méprisants. J'ai aussi beaucoup traîné dans les bars et parfois dormi dans la rue, sur un banc dans une cabane de jardin. Je n'ai jamais eu affaire avec la police ni d'ennuis avec des ivrognes ou des clochards.
Le dimanche soir, je rentrais bien sagement à l'internat avec ma tenue d'étudiante modèle.
Je vous raconterai la suite bientôt…
Rappel des faits . Ce récit fait suite au précédent qui raconte mon adolescence.
Depuis ma plus tendre enfance, j'étais une fille enrobée, j'avais bon appétit et j'étais nourrie aux produits de la ferme. Du lait entier, de la crème, du beurre, du fromage, des œufs … sans parler des confitures maisons.
Une lourde hérédité sans doute, des parents costauds, une lignée qui avait survécu à la famine et aux épidémies des temps passés.
Bref, des l'école primaire, on m'a appelé la grosse. Encore pire au collège où j'occupais systématiquement la table du fond. J'avais bon caractère, plutôt rigolarde, j'étais une bonne camarade et je m'acceptais avec fatalisme.
A l'époque, j'avais déjà de la poitrine d'une femme mais économie oblige, je ne portais pas de soutien gorge. Je n'en réclamais pas car j'aimais me sentir libre et j’aimais le frottement de mes tétons sur le tissus de mes robes et corsages. Je sentais les pointes s'ériger et l'envie de me caresser.
Mes doigts partaient à la recherche de mon petit bouton, j’ai mouillé très tôt, abondamment, dès dix ans et cela me démangeait. Je me frottais sur des coins de table, j'utilisais ma brosse à dents avec du dentifrice mentholé, je faisais du vélo sans culotte...
Ensuite des légumes ont remplacé mes doigts et je me suis dépucelé très jeune.
Très tôt, mon physique a excité la curiosité de mes camarades. Dans les vestiaires collectifs de la piscine ou du stade, je n'hésitais pas à me déshabiller et à m'exhiber devant des filles plates et pudiques.
A certaines de mes amis, j'offrais facilement mes seins à caresser, devant les autres qui se pressaient en gloussant.
J'étais précoce, une toison brune et épaisse recouvrait mon pubis et j'avais de grandes lèvres. A douze ou treize ans, je mesurais déjà un mètre soixante pour 75kilos.
Arrivée au lycée agricole, je me retrouve interne dans une chambrée de quatre.
L'éloignement de nos familles et le besoin de tendresse, nous avons très vite dormi en couple. J'ai hérité de la plus menue mais aussi la plus délurée.
C'était une petite coquine montée sur ressort, une véritable pipelette avec une langue pendue et très agile au demeurant.
Je pense que ma stature et mon flegme devait la rassurer.
Nous mettions les matelas au sol entre les lits superposés, une sorte de tatamis ou nous devisions le soir, nous relaxant, jouant, lisant avant de s'endormir.
Nous avions une salle d'eau attenante et toilettes. Aucune pudeur entre nous, nous déambulations souvent nues avec une serviette ou sans, prenions les douches ensembles, se coiffant et s'épilant mutuellement.
La sexualité occupait une grande partie de nos discussions, nous comparions la façon de se masturber d'abord oralement puis en joignant le geste à la parole.
Nous aimions aussi s'embrasser d'abord sur les joues puis sur les lèvres à la soviétique puis la nuit dans l'obscurité de vrais baisers passionnés.
Nous avons pratiqué toutes sortes de massages. D'abord suite à une entorse puis pour de rire et enfin pour finir en orgie lesbienne.
Ces jeux s'accompagnaient de crise de fous rires. Quand on allait un peu plus loin , le silence s'imposait, rompus par des raclements de gorge, des bruits de déglutition involontaires.
Je pense que la surveillante, étudiante guère plus âgée n'était pas dupe, soit plongée dans ses études ou son sommeil soit complice pour la sérénité de tous en respectant notre intimité.
Quand aux autres chambrées, nous ignorions tout de leurs activités. Comme on dit « Pour vivre heureux, vivons cachés »
Nos résultats scolaires étaient des meilleurs et nous étions souvent citées en exemple.
Nous étions sérieuses, calmes et appliquées.
Comme je l'ai dit, je voulais quitter la ferme et être infirmière et pourquoi pas vétérinaire tout en continuant à vivre à la campagne.
Mes camarades rentraient chez elles le week-end ce qui n'était pas mon cas. Je restais à l'internat avec l'autorisation de sortir et je pouvais même découcher chez mon tuteur.
Ce dernier n'était qu'une vague connaissance d'affaires de mon père et je ne l'avais rencontrer qu'une fois lorsqu'il s'était porté garant auprès de l'établissement. Ne posant aucun problème de discipline, il n'avait jamais été recontacté depuis et je faisais croire que je me rendais régulièrement chez lui.
Là encore, on me donnait le bon dieu sans confession grâce à mon physique disgracieux.
En réalité, je me changeais des l’arrivée en ville dans le premier bar puis je trainais près de la gare non loin de la caserne et je me faisais aborder par des bidasses en permission qui attendaient leur train.
Il y avait aussi de jeunes engagés au béret vert. J'aimais leur prestance, leur uniforme et leurs traits virils.
A cette époque, il y avait beaucoup de toilettes publiques plus ou moins bien entretenues, dans les gares, les parcs, boulodromes et autres lieux publiques.
Nous commencions par nous embrasser ce qui montrait bien que je n'étais pas une prostituée car elles n'embrassent pas. Je caressais la bosse à travers l’uniforme obligatoire même en civil. Le gars plongeait les mains dans mon soutien gorge et malaxait mes seins volumineux ( 100 E) pendant que je déboutonnais son falzar. Ma main le libérait et je m'emparais de sa hampe. Certains avaient des condoms qu'ils enfilaient maladroitement à la hâte, d'autres prenaient leur temps. Ils pressaient mes seins, excitant les bouts, les prenant parfois entre les dents, les embrassant… J'étais aux anges et les encourageais en silence pour ne pas se faire repérer.
Je m'agenouillais alors, les décalottant, caressais le gland puis je l'embrassais et le prenais en bouche, le faisant glisser au fond de ma gorge. J'opérais des vas et vient rapides, soufflant et aspirant en guettant les réactions de mon partenaire. Il prenait ma tête dans ses mains, rythmant la cadence, me prévenant de l'éminence de son plaisir.
Avec mon expérience, je ne me retirais pas, recevant les longues rasades de ces mâles vigoureux trop longtemps enfermés comme une récompense de mes efforts. J'ouvrais ma bouche pleine et laissais le jus couler à leurs pieds.
Ceux qui avaient enfilé un préservatif ne s'embarrassaient pas de préliminaires. Ils se caressaient et plongeaient la main dans ma culotte, glissant sur ma vulve, parfois, ils crachaient dans leur main puis ils me tournaient. J'avais les mains contre le mur , tendant ma croupe. Ils s'asseyaient littéralement sous moi pour m'enfiler. Quelques vas et vient et il remplissaient leur capote. Une tape sur les fesses et je restais avec ma frustration . Je tachais de vite évacuer ce mauvais moment pour une nouvelle proie.
J'ai eu aussi des amateurs fidèles et de bons amants. Nous allions dans le parc quand le temps était doux mais aussi au cinéma et quelquefois à l'hôtel.
Je me rappelle les moments où j’ai enjambé mon amant assis sur un banc de pierre, ses doigts pinçant mon clitoris, sa bouche dévorant mes seins, mordillant mes tétons hypersensibles.
J'ai eu un orgasme fabuleux, j'ai joui sur ses cuisses et son bas ventre. Le pauvre en était traumatisé.
Je me rappelle aussi être assise sur une escarpolette, les cordes s’enfonçant sur mes flancs, presque couchée, mon ami me fouillant de sa langue en écartant mes jambes au maximum puis il est parvenu à me pénétrer en effectuant des petits coups rapides en variant l'angle du bassin. Délicieux.
J'ai eu des expériences plus glauques et beaucoup de refus méprisants. J'ai aussi beaucoup traîné dans les bars et parfois dormi dans la rue, sur un banc dans une cabane de jardin. Je n'ai jamais eu affaire avec la police ni d'ennuis avec des ivrognes ou des clochards.
Le dimanche soir, je rentrais bien sagement à l'internat avec ma tenue d'étudiante modèle.
Je vous raconterai la suite bientôt…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Adolescence vraisemblable de jeune fille mal dans sa peau. Cela existe en vrai aujourd'hui...
Beaucoup de rencontres sexuelles mais pas d amour, de sentiments.
Même si c'est sobrement et légèrement raconté, n y avait il pas une détresse enfouie au fond de la #grosse# ?
Beaucoup de rencontres sexuelles mais pas d amour, de sentiments.
Même si c'est sobrement et légèrement raconté, n y avait il pas une détresse enfouie au fond de la #grosse# ?
Quelle délicieuse histoire qui pourrait être réel tellement c'est si bien écrit...
L'est-il??
Cyrille
L'est-il??
Cyrille