La Grosse 5
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Grosse 5
La Grosse 5
J'avais été invitée à une soirée SM. J'avais accepté que l'on m'y emmène. Mon anonymat était préservé et j'y allais comme spectatrice.
J'ai dit plus haut que j'aimais la soumission et la dégradation, être un objet sexuel mais je n'étais pas du tout attirée par la douleur et le fétichisme.
Je voulais vérifier ce dernier point.
Le couple bourgeois était au rendez-vous et la grosse berline nous a conduit dans le beaujolais.
Présentation rapide, nous descendons dans une cave voûtée, une trentaine de personnes face à une scène.
Je suis assise à l'extrémité du premier rang.
Un homme corpulent est allongé nu, dos sur une table, les mains et pieds liés aux quatre pieds de la table. Il a la tête dans une cagoule en cuir percée aux yeux et à la bouche. Autour sont disposés des bougies rouges et blanche.
Une dominatrice avec la panoplie habituelle, le caresse avec une longue plume, prend son sexe mou en main, pince ses tétons, promène ses doigts sur ses lèvres, s'introduit dans sa bouche. Puis elle prend une première bougie qu'elle verse lentement sur son ventre, une seconde sur son sternum et ainsi de suite sans oublier sa verge.
Elle défait ses liens et il est debout, les bras en l'air, les mains attachées à un anneau coulissant. Elle prend un fouet et le cingle jusqu'à toute la cire soit au sol. Elle prend ensuite un gant qu'elle trempe dans un récipient plein de glaçons et le frotte vigoureusement. Elle le tourne, le postérieur vers nous et le fouette avec une poignée d'ortie. Elle prend ce qui ressemble à une raquette de jokari et lui assène une vingtaine de coups.
Son dos est couvert de cloques, ses fesses sont rouges.
Notre homme est détaché et doit s'agenouiller au sol, les mains sur la tête.
L'assistance, silencieuse jusque là, applaudit. Elle s'éclipse, tandis qu'un autre prend prend sa place, la salle applaudit.
Grand, musclé et moustachu, il est accompagné d'une belle femme à la longue chevelure blonde. Elle semble minuscule face à ce géant. Elle se dirige directement vers la croix de saint André et se positionne de face en attrapant les sangles. Elle crie « cinquante »
Lui, a une cravache à la main et la frappe lentement en espaçant les coups. Elle compte à haute voix, de temps à autre, il la caresse au lieu de la frapper puis il alterne coups puissants et coups rapides.
A partir de trente, sa voix se casse, elle compte en gémissant, son dos est zèbré de profondes marques. L'homme s'approche de son oreille et lui demande si elle veut continuer, il souffre pour elle.
Devant ses dénégations, il la tourne face à moi, je vois son visage transfiguré, un regard extatique et je comprends ses tourments : dépassement de soi, bouffée d'endomorphines…
Son calvaire reprend, elle compte derechef avec plus de détermination, il frappe ses seins, son ventre, ses cuisses.
Au cinquantième coups, elle se précipite dans ses bras, il l'emporte en coulisses, ils disparaissent.
L'assemblée est émue, s'agite, je fais part de mon désir de quitter ce lieu. Nous saluons le maître de maison, son épouse et rentrons à Lyon.
Ils n'osent pas me demander mon ressenti.
Ma première impression est la bonne. Ce n'est pas pour moi. Je préfère le sexe pour le sexe dans ce qu'il a de brut, de bestial à deux ou plusieurs. j'ai aussi pratiqué le nudisme et fréquenté les plages coquines et même j'y ai trouvé des compagnons. Je vous raconterai cette épisode de ma vie.
A suivre.
J'avais été invitée à une soirée SM. J'avais accepté que l'on m'y emmène. Mon anonymat était préservé et j'y allais comme spectatrice.
J'ai dit plus haut que j'aimais la soumission et la dégradation, être un objet sexuel mais je n'étais pas du tout attirée par la douleur et le fétichisme.
Je voulais vérifier ce dernier point.
Le couple bourgeois était au rendez-vous et la grosse berline nous a conduit dans le beaujolais.
Présentation rapide, nous descendons dans une cave voûtée, une trentaine de personnes face à une scène.
Je suis assise à l'extrémité du premier rang.
Un homme corpulent est allongé nu, dos sur une table, les mains et pieds liés aux quatre pieds de la table. Il a la tête dans une cagoule en cuir percée aux yeux et à la bouche. Autour sont disposés des bougies rouges et blanche.
Une dominatrice avec la panoplie habituelle, le caresse avec une longue plume, prend son sexe mou en main, pince ses tétons, promène ses doigts sur ses lèvres, s'introduit dans sa bouche. Puis elle prend une première bougie qu'elle verse lentement sur son ventre, une seconde sur son sternum et ainsi de suite sans oublier sa verge.
Elle défait ses liens et il est debout, les bras en l'air, les mains attachées à un anneau coulissant. Elle prend un fouet et le cingle jusqu'à toute la cire soit au sol. Elle prend ensuite un gant qu'elle trempe dans un récipient plein de glaçons et le frotte vigoureusement. Elle le tourne, le postérieur vers nous et le fouette avec une poignée d'ortie. Elle prend ce qui ressemble à une raquette de jokari et lui assène une vingtaine de coups.
Son dos est couvert de cloques, ses fesses sont rouges.
Notre homme est détaché et doit s'agenouiller au sol, les mains sur la tête.
L'assistance, silencieuse jusque là, applaudit. Elle s'éclipse, tandis qu'un autre prend prend sa place, la salle applaudit.
Grand, musclé et moustachu, il est accompagné d'une belle femme à la longue chevelure blonde. Elle semble minuscule face à ce géant. Elle se dirige directement vers la croix de saint André et se positionne de face en attrapant les sangles. Elle crie « cinquante »
Lui, a une cravache à la main et la frappe lentement en espaçant les coups. Elle compte à haute voix, de temps à autre, il la caresse au lieu de la frapper puis il alterne coups puissants et coups rapides.
A partir de trente, sa voix se casse, elle compte en gémissant, son dos est zèbré de profondes marques. L'homme s'approche de son oreille et lui demande si elle veut continuer, il souffre pour elle.
Devant ses dénégations, il la tourne face à moi, je vois son visage transfiguré, un regard extatique et je comprends ses tourments : dépassement de soi, bouffée d'endomorphines…
Son calvaire reprend, elle compte derechef avec plus de détermination, il frappe ses seins, son ventre, ses cuisses.
Au cinquantième coups, elle se précipite dans ses bras, il l'emporte en coulisses, ils disparaissent.
L'assemblée est émue, s'agite, je fais part de mon désir de quitter ce lieu. Nous saluons le maître de maison, son épouse et rentrons à Lyon.
Ils n'osent pas me demander mon ressenti.
Ma première impression est la bonne. Ce n'est pas pour moi. Je préfère le sexe pour le sexe dans ce qu'il a de brut, de bestial à deux ou plusieurs. j'ai aussi pratiqué le nudisme et fréquenté les plages coquines et même j'y ai trouvé des compagnons. Je vous raconterai cette épisode de ma vie.
A suivre.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
salut ca va ? j'ai adoré tes histoires tu me fait bander a mort et bien jouir j'adore continu
Merci Sucette pour ce témoignage, regarder ne veut pas forcément dire essayer...
Cyrille
Cyrille