La longue permission.1

- Par l'auteur HDS Passud -
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : La longue permission.1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La longue permission.1
A 20 ans, j'étais encore, en plein apprentissage du sexe.

J'ai mes premières expériences anales avec mon lieutenant, et trois ou quatre de ses amis militaires.
En contrepartie de mes "services", j'aurai beaucoup de longues permissions, surtout au début.

Dans l'après midi, j'ai été "convoqué" par le lieutenant.

Il commence par se faire sucer, en attendant que son ami, le commandant nous rejoigne.
Ils m'offrent plusieurs intenses moments de plaisir et deux belles décharges de foutre, juste assez tôt, pour me permettre de rentrer au centre de tir.

Dans cette confusion de plaisirs, qui m'occupe l'esprit, je suis pris par ma tâche, et j'oublie que je dois partir en longue permission.
Cette fois, j'ai une 96 heures et cela ne m'arrange pas, j'ai raté l'horaire de la navette qui me permet de me rendre au train.
C'est ou le stop, ou j'attends le prochain !

Je marche un peu, dégouté de devoir attendre en arrivant à la gare, à pied.
Je pense au probable étonnement de mes parents, en me voyant arriver, ils ne sont jamais au courant de mes jours de perm.

Je suis chanceux, un véhicule s'arrête, c'est l'ami du lieutenant, le sergent, qui commence à profiter de mes talents, depuis peu.

"Ou, tu vas Gueule d'ange ?".
"Je suis en perm ! Mais j'ai raté le train, c'est sûr !".
"Viens ! Je t'emmène à l'entrée de l'autoroute ! T'auras plus de chance en stop !".

Il a raison, je monte avec lui.
Mais comme je m'y attendais, il se gare sur un chemin de terre et me sollicite pour le sucer.
Je n'attendais que ça !
On en est encore à nos premiers jeux, je redécouvre à chaque fois, le plaisir d'avoir sa queue épaisse dans ma bouche.

J'aime ses commentaires vicieux, il se lâche de plus en plus, avec moi.
C'est avec des hommes comme lui, que j'ai pris gout aux dialogues pervers, quand je baise.

Sans cela, je m'ennuie, ces paroles brisent agréablement le silence, parfois pesant, quand un homme se fait sucer ou m'encule. Ca décuple l'intensité de la courte complicité, que l'on est entrain de partager.

Je ne me préoccupe plus, du temps qui passe, je me délecte de son gros gland, et ses couilles.
Je me défonce la gorge, inlassablement, jusqu'à son annonce bruyante.

"Arhhhhhhhh ! Gueule d'ange ! Prépares-toi, je vais gicler ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".

Je ne m'y attendais pas, un jet s'échappe de sa bite, au moment ou je suis entrain de lui lécher le dessous du gland.
Je le recouvre aussitôt !
Son jus épais m'inonde la gorge.
Ma langue est embuée de foutre gluant, j'adore cette sensation chaude.

"Arhhhhhhh ! Putain ! C'est bon ! Tu suces vraiment bien ! Arhhhhhhhhh ! Oui, avales tout !".

Je lui transmets mon plaisir buccal, en gémissant, entre chaque avalement de jus.
Ma parole, il n'a pas joui depuis un moment, ses effluves sont vraiment abondantes.
Je bande comme un âne en avalant son sperme, j'aime tellement ça !

Tout me rend dingue, ses râles, ses commentaires pervers, son foutre qui me remplit la gorge de son gout âpre, et légèrement salé.

On fait durer ce moment, tous les deux.
Lui, en me caressant longuement les joues et le bord des lèvres, et moi, en le léchant plus tendrement, sans m'arrêter.

Il m'éloigne de sa bite, et cherche mon regard.

"Merci, t'as sauvé ma journée de merde ! J'ai bien joui ! Promis, la prochaine fois, je te baise ! Allez ! On va reprendre la route !".
"J'aime bien vous sucer aussi, sergent ! Ca me suffit ! Mais, vous avez beaucoup éjaculé ! Ce soir !".
"C'est surement parce que j'ai pas baisé, depuis un moment, et puis, j'ai pas arrêté de me toucher la queue aujourd'hui, mais j'ai jamais pu me branler jusqu'au bout !".
"Hummm ! Tant mieux pour moi, alors !".
"C'est ça, et moi aussi ! Parce que c'était vraiment bon ! Ca valait le coup d'attendre !".

Il me dépose au péage d'entrée, je lève mon pouce un long moment, un peu apeuré par le jour qui commence à tomber.
Beaucoup de camions et de voitures passent, en évitant mon regard.
Une voiture s'arrête, mais sa route ne correspond pas à ma destination.

Puis, un poids lourd me klaxonne en s'arrêtant.

"Tu vas ou, jeune ?".
"Toulon !".
"Monte, je te dépose !".

Il prend son ticket de péage, puis entame une discussion sur mon âge.
Il me dit que je fais plus jeune, son regard qui me détaille de bas en haut, me trouble.
Il doit remarquer ma gêne.
Ca le fait sourire, il me domine déjà, c'est indéniable !
C'est à partir de cette époque, que je prendrais conscience de cet étrange phénomène qui nous relie les hommes.
Certains "chasseurs actifs" reconnaissent les "proies passives", qui ne demandent qu'a tomber dans leur piège !

"Bon ! Pascal ? C'est ça ?".
"On a pas de temps à perdre ! Tu suces ?".
"Co... comment ?".

"T'as bien compris ! La route n'est pas longue, avant Toulon ! On fait que se croiser, Tu me suces, et si tu es d'accord, je te baise après ! Ca te va ?".
"Euh, c'est un peu direct ! Je m'attendais pas à ça !".

"Mais ? Attends ! Approches toi un peu ! Ya un truc qui m'intrigue !".

Je m'approche, il passe ses doigts dans mes cheveux, puis les portent à son nez, en les faisant glisser l'un sur l'autre.

"C'est bien ce que je pensais ! C'est du sperme ! T'as sucé une bite !".

Je passe ma main sur mon crâne, il a raison, j'ai encore du foutre du sergent dans les cheveux.
Je ne pensais pas qu'il avait éjaculé si fortement !

"Alors ! C'est qui, c'est ton mec ?".
"Euh ! Non, c'est un sergent militaire du camp !".

"Eh ben, on s'ennuie pas dans l'armée ! Ca te dit de me faire la même chose ? T'as l'air d'adorer la queue, toi !".

Après tout, il a raison, on ne fait que se croiser, pourquoi faire semblant, j'assume donc, mon gout pour les hommes.

"Euh,... je ...Oui !".
"Oui, tu me suces ? Ou, oui, tu aimes la bite ? !".
"Les deux !".

Ca me libère d'un poids énorme, ça me fait du bien de parler de sexe entre hommes, avec un inconnu.

"Et tu aimes te faire enculer ?".
"Oui, j'adore !".
"Hummm ! Tu le fais depuis longtemps ? Parce que t'as un beau p'tit cul ! Tu sais !".
"Non, depuis un peu plus d'un mois seulement ! Avec quelques militaires !".

Je le vois sourire et décrocher un micro de Cibi.
Je ne me souviens plus des termes, mais en gros, il demandait à l'un de ses collègues, si il était encore devant lui.
Il m'annonçait comme un "superbe cadeau de bord de route" !
Je comprends que l'autre va nous attendre sur la prochaine aire.

"On va bien s'occuper de ton p'tit cul de pédé !".

Je dois me rendre à l'évidence, malgré mon attirance pour le sexe féminin, je n'ai pas encore eu d'expérience hétéro, donc, pour le moment, je suis une petite pédale, c'est vrai !
Et mon comportement de soumis, avec lui, révèle que je n'attends qu'une chose, qu'ils me baisent.

"En attendant, tu peux me sucer un peu ! Si tu veux !".

Je le libère délicatement en essayant de ne pas le gêner, pendant qu'il conduit, puis ma bouche recouvre son long membre épais.

"Orhhhh ! Ouais ! Ca, c'est bon ! Montres moi, ce que tu lui as fait, au militaire ! Pompes moi bien la queue !".

Je viens de me régaler de la bite du sergent, mais je prend autant de plaisir avec cette nouvelle queue.

"Oh, putain ! T'es doué toi ! Ouhhhhhh ! Ouais, encore, ça c'était bon !".

Je viens d'écraser, avec force, son gros gland contre ma glotte, puis je suis remonté très lentement, pour exercer une succion de son gland avec mes lèvres.
Je conclus ensuite avec ma langue, de la base de sa hampe, jusqu'à son extrémité.

"Hummm ! Arhhhhhh ! T'es pressé de rentrer ?".
"Gllllllrp ! Mmmmmmmmmm ! Non ! Pourquoi ?".
"J'aimerai bien te garder avec moi dans le camion, je veux profiter de toi, jusqu'à demain !".
"Gllllllrp ! Tu me ramènes après ? Mmmmmmmmmm ! "Gllllllrp ! Mmmmmmmmmm !".
"Bien sur ! Fais moi confiance !".

On sort sur une aire, sans restaurant, ni pompe à essence.
Il se colle à un autre camion.

Je vois le visage d'un homme au travers de la vitre de mon coté, la porte s'ouvre.
L'inconnu monte à mes cotes en disant:

"Hummm ! T'es mignon tout plein, toi !".

Il voit la queue de son ami, reluisante de salive, et raide comme un manche entre ses doigts.

"Il t'a pompé la bite ?".
"Oui, et il adore ça ! Pas vrai ? Pascal !".
"Oui !".

"Ou est-ce qu'on va ? On le baise ici, dans les chiottes, ou dans le petit bois ?".
"On va dans les chiottes, et si on est dérangé, on bougera ! Qu'est-ce que t'en penses, Chéri ?".
"J'ai vraiment mon mot à dire ? Tout ce que j'ai envie, c'est que vous me baisiez ! Mais j'avoue que dans des toilettes, je l'ai encore jamais fait !".
"Eh ben, on va t'enculer, la bas ! Viens, mon p'tit chéri !".

Tout mon être est pris de frissons, la situation m'excite, j'aime me sentir à la merci de leurs désirs pervers.
Je devine le regard de celui qui nous attendu, sur mon cul, sa grosse main vient me palper fermement et m'attire contre lui en marchant.

"Putain, je bande déjà ! T'as un cul magnifique !".
"C'est vrai ! Quand je l'ai vu qui faisait du stop, j'ai tout de suite pensé que j'avais gagné le gros lot ! En plus, il vient de sucer un autre mec ! Il a encore du foutre dans les cheveux !".
"C'est vrai ?".

Je réponds:
"Oui !".

"Hummm ! Une belle petite salope, alors !".

On entre dans les toilettes, l'odeur est un peu dérangeante au début.
On s'approche d'un cabinet sans y entrer, il nous permettra de nous cacher si quelqu'un arrive.

Robert, le camionneur qui m'a pris en stop, se dégage entièrement la bite, ses vêtements sont à ses pieds.

"Si tu reprenais ou tu en était ?".

Je me baisse au niveau de sa longue queue épaisse.
Son ami libère sa verge, de sa prison de tissu.

"Oh, putain, elle me fait mal, tellement, je bande !".

Il me fait pivoter le visage pour s'engouffrer dans ma gorge.
Son énorme gland m'écartèle les lèvres !

"Elle te plait ma grosse bite ?".

Je hoche la tête de bas en haut, pour acquiescer.

"Mmmmm ! Mmmmm !".

J'imagine déjà son énorme gland qui me détruit le cul, j'en ai une énorme envie.

Mais pour le moment, je me régale avec eux de cette double fellation, leurs gémissements confirment qu'ils adorent ma langue et ma bouche sur leur bite.

Robert décide de passer derrière moi, en premier.
Il me lubrifie l'anus avec de la salive, puis je ressens déjà son gland dur et ferme qui pousse pour entrer en moi.

Dès les premières tentatives, il me fait rejeter un afflux de jus anal.

"Putain, mais t'as le cul déjà prêt ! Tu t'es fait enculer ! Avoues !".
"Oui ! Par mon amant et le commandant !".
"Les salauds ! Ils t'ont joui dans le cul, je vois !".
"Ouiiiiii ! Arhhhhhhhhhhh !".
"Mais t'es une vraie p'tite pute ! Dis-moi !".
"Ouiiiiiiii ! Arhhhhhhhhhhhh !".

Il me secoue sur sa bite, sans tenir compte de mon plaisir, il me défonce, en prenant soin de me transpercer bien profondément.
Je crie mon premier orgasme, ça les excite encore davantage.

"Il aime vraiment la bite ! C'est bon d'entendre un jeune gueuler comme ça, quand on l'encule !".
"Ouais, allez, on change ! Fais le gueuler toi aussi !".

Aprsè un court instant de répit, je me fais écarteler l'anus par l'ami de Robert.

"Arhhhhhhhhhhhh ! Putain ! Il est énorme ton gland ! Tu m'éclates le cul ! Arghhhhhhhhhh !".
"Ca te fait du bien ?".
"Arghhhhhhhhh ! Ouiiiiiii !".

Je pousse un long râle étouffé sur la bite de Robert, à chaque fois qu'il vient s'écraser au fond de mon anus.
Son large gland me procure un orgasme puissant, en coulissant contre mes parois anales.

Il s'excite de constater qu'il me pollue le slip, en faisant couler mon anus.
Je le constaterai plus tard, aussi !

Les deux hommes m'utilisent comme un jouet sexuel, ils échangent leurs places, toutes les 3 à 4 minutes.
Plus, ils me baisent, et plus mes orgasmes sont rapprochés.

Je me dévergonde avec eux, je leur dis que j'adore leurs "grosses bites dans mon cul", que je suis "une salope" ! Que je suis là pour "qu'ils se vident les couilles" !
J'en prend plein le cul et la bouche pendant presque une demi heure, puis Robert se lâche enfin !

Il me pousse fortement contre la grosse bite de son copain, qui me bloque afin d'aider Robert à se déverser pleinement.

"Oh, ce que c'est bon ! De te remplir le cul ! Salope !".

Je gémis encore mon plaisir anal, les secousses, dans sa longue verge, m'apportent un bonheur cérébral supplémentaire.

Son complice m'éloigne de sa queue, pour se masturber frénétiquement.

"Prépares-toi, mon petit ! Tu vas boire mon jus ! ça montes ! Là !".

Je fixe son gros gland, qui se fait astiquer énergiquement, devant moi.
Puis, il s'avance, j'ouvre ma bouche, son extrémité vient au milieu de ma langue.
Je clos mes lèvres, autour de son gland qui se déverse, ma gorge est emplie de cette chaleur salée que j'adore depuis deux mois, à présent.

Il ajoute ses râles, aux derniers gémissements de Robert, qui fait coulisser plus lentement, sa bite dans mon cul.
Un frisson d'excitation me prend tout le corps, pendant que j'avale longuement tout son jus.

Robert se recule, et s'appuie contre le mur, pendant que je termine d'avaler le foutre de son copain.

"Finalement, on a pas été emmerdés ! Putain, je me suis régalé ! Quel cul !".
"Orhhhhh ! T'as raison! Sa bouche est pas mal, non plus ! Merci pour le partage ! Robert !".
"Ben, je te devais bien ça !".
"Oh, putain, il me bouffe trop bien la queue ! Apparemment, ça t'as plu, à toi aussi !".

Je cesse de le lécher, et le rassure:

"J'ai adoré, vous m'avez bien enculé, et c'était excitant de baiser ici !".
"Super ! Bon, Robert ! Tu fais quoi ? Moi, je fais tirer, je suis presque arrivé ! Et toi ?".

"Moi, je vais m'arrêter pour manger ! Et je vais dormir sur l'aire de repos, je le garde avec moi ! Comme ça, je lui remets un p'tit coup, avant de dormir ! Je le ramènerai demain matin !".
"OK, à plus, merci jeune !".

Je découvre les dégâts sur mon slip, Robert me fournit des kleenex pour me faire un brin de propreté.

Il me paie un repas à la cafétéria de l'aire suivante.
Le Week end ne fait que commencer !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très bonne histoire bandante



Texte coquin : La longue permission.1
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