La maison bourgeoise (suite du remplacement !) - histoire érotique

Dès lors, ma vie n'est plus la même après ma soirée de "pute" à la maison bourgeoise.
Je connaissais bien cette maison, puisque je passe très souvent devant.

A présent, chaque passage me remet dans les plaisirs pervers que j'ai vécu.
De plus, le propriétaire est souvent en train de jardiner, ou en terrasse avec des amis.

Il me reconnait chaque jour, je sais qu'il sait, et son sourire me le confirme.
Vu son âge, je pense qu'il est à la retraite.
Franchement, j'espère avoir son énergie à son âge !
Vu comme il m'a baisé, ce type pourrait en remontrer, à de bien plus jeunes !

Cela nous arrive de nous dire bonjour, jusqu'au jour, ou il m'a vu arriver.
Je pense qu'il me guettait !
Il a ouvert son portail, et se tient à l'entrée.

"Bonjour ! C'est comment ton prénom, déjà ? Pascal, je crois !".
"Oui, c'est ça ! Bonjour ! Jean-Pierre, si je ne me trompe pas !".
"Oh, tu te souviens ! C'est bien !".

"Y a pas que ça, dont je me souviens !".
"On va s'éloigner du passage ! Ce sera plus discret ! Tu sais que tu nous as déçu, on aurait aimé que tu reviennes à nos soirées !".
"Euh, j'imagines ! Mais je suis pas fait, pour ça !".

"Pourtant, t'avais l'air de prendre beaucoup de plaisir ! T'as pas eu assez d'argent, c'est ça ?".
"Non ! Au contraire, c'est une accumulation de limites dépassées, et le fait d'être payé, je le vis mal !".
"Ah, je comprends ! Mais dis-moi, je peux t'offrir à boire ?".

Tout se bouscule dans mon esprit, si je vais chez lui, je sais qu'il va me baiser.
De ma réponse, dépend la suite de notre rencontre.

"Pourquoi pas !".

Je choisis un sirop de menthe.
Il ne tarde pas à s'approcher de moi, avec la ferme intention de me séduire avec ses caresses.

Il attire ma bouche vers la sienne.
Nos langues s'entremêlent, pendant qu'il ouvre sa braguette.

Je devine qu'il se branle en m'embrassant, sa seconde main est déjà entre l'intérieur de mon jean et mon cul.

"Hummm ! Tu me plais beaucoup, Pascal !".
"Même en sachant ce que j'ai fais ?".
"C'est pas un problème, j'adore les salopes ! T'as envie que je te baise ?".
"Oui !".

"Super ! Dis-moi ce qui t'as pas plu, je veux te faire plaisir !".
"C'est gentil ! Je veux pas de fouet ! Ni me faire pisser dans l'anus ou sur moi ! Et comme tu es seul, j'aurai pas l'autre souci !".

"Lequel ?".
"J'ai horreur des petites bites ! Je me force avec elle !".
"Ah ! Ah ! Je comprend ! Tu préfères la mienne !".

"Hummm, je l'adore ! Tu m'as trop bien enculé l'autre jour !".
"Alors, tu vas encore prendre ton pied ! Ma p'tite salope !".

Il me dirige vers son gros sexe en érection.
Mes lèvres s'ouvrent pour l'engloutir jusqu'à la glotte.

J'ai un soupir de plaisir, dieu que j'aime avoir sa bite dans la gorge !
Ma bouche coulisse amplement sur sa grosse et longue verge.

Très rapidement, je la recouvre de salive, je l'admire un instant, elle est si excitante ainsi lubrifiée.
Il m'imprime une pulsion derrière la tête, je dois continuer !

Ses gémissements de plaisir se mêlent à mes bruits d'ablution.
J'aime sentir sa main qui accompagnent mes enfoncements sur sa bite.
Ses commentaires vicieux m'excitent énormément.

Ohhh ! Pascal ! C'est bon ! J'espère que tu te gênera pas pour t'arrêter ! Maintenant !".
"Mmmm ! Glllllllrp ! Mmmmmmm ! Ca te ferait plaisir ? Mmmmm !".
"Hummmmm ! Oh, oui ! J'aimerai que tu sois mon p'tit copain !".
"Mmmm ! Glllllllrp ! Mmmmmmm ! J'ai une copine déjà ! Mmmmm !".
"Je le sais, Eric me l'a dit ! Mais je m'en fous de ça ! Tant que tu viens me voir !".
"Mmmm ! Glllllllrp ! D'accord, je verrais !".

"Oh, putain ! Arrêtes ! Tu vas me faire gicler !".

Je remonte vers sa bouche.

"Je suis trop excité ! J'en peux plus de te voir passer devant la maison ! Tu me plais trop !".
"Alors baise-moi !".
"Pas tout de suite, je suis trop excité ! J'ai envie que tu prennes du plaisir aussi ! dans l'état ou je suis, je vais éjaculer trop tôt !".

Il me déshabille et me couche sur son canapé, en ouvrant mes cuisses pour me faire un interminable anulingus.
J'en deviens que plus excité, j'ai envie de sa queue !

Il est parvenu à ses fins, il a retrouvé le contrôle.
Il se place contre mon œillet lubrifié, en conduisant son gros gland de sa main.

"T'es prêt pascal ?".
"Ohhh ! Oui, je te veux ! Viens !".

Il pousse plus fortement, mon anus détendu par sa langue, s'ouvre déjà.
Son gros gland trouve une résistance, puis s'insère d'un coup, en me faisant râler longuement.

Il continue sa poussée et vient se caler au fond de mon cul.

"Arghhhhhhhh ! Jean-Pierre ! C'est trop bon ! J'adore ta queue ! Orghhhhhhhhhhhh !".

Il attrape ma nuque et entame sa possession en m'enculant profondément.

Je prend rapidement un premier orgasme en gémissant dans sa bouche.

J'adore ces moments de partage sexuel, je le trouve diffèrent de la soirée, il est plus puissant, plus passionné.
Je me laisse aller au plaisir que me procure sa grosse queue.

Par moment, je fixe mes cuisses ouvertes, en voyant son bas ventre, faire des aller retour dans mon corps.
J'aime lui appartenir c'est évident !

Du haut de mes 27 ans, je me fais enculer par cet homme de + de 60 ans et j'adore ça !

Puis, à force d'assauts puissants, il passe le virage au fond de mon anus.
Je sursaute en me cambrant, il vient de s'enfoncer entièrement.

"Oh, Putain, ça recommence ! J'adore ça ! T'es génial, Pascal !".

Je mords ma main pour supporter le plaisir intense que cet effet m'apporte.
Je le regarde s'affairer en moi avec plus d'amplitude, je joui comme jamais.

La folie qu'il laisse entrevoir, en m'enculant si profondément, me rend dingue.
Il prend autant de plaisir que moi, c'est indéniable !

"Pascal ! J'en peux plus, je vais éjaculer !".

Il me baise depuis 20 minutes ! Il est temps qu'il jouisse, il m'a épuisé !

"Tu peux ! Viens ! Joui ! J'en ai envie !".

Il sort sa longue bite et agite ses doigts sur son gland, avec frénésie.
Il m'arrose de longs jets de sperme sur le ventre et le torse.
Un jet vient s'écraser sur mon visage.

Il remet sa grosse queue dans mon anus en retrouvant sa place au fond de moi, puis s'écrase sur mon corps pour m'embrasser pendant qu'il termine son éjaculation.

Il racle son sperme sur mon visage pour me le faire lécher, puis plonge sa langue entre mes lèvres.
Je sens son sperme qui colle entre nos deux corps, je suis excité et fier de lui donner ce plaisir.

Nous mettons un long moment à nous décoller.

La vue de sa grosse verge couverte de jus anal et de foutre m'excite trop, je me dirige vers elle et la dévore encore en me branlant.
En moins de 3 minutes, je me répand sur son parquet, en étouffant mon plaisir, avec sa bite dans ma gorge.

"Humm ! C'est bon ! Pas vrai, Pascal ?".
"Mmmm... mmmmouiiiiiiiii !".
"Prends ton temps ! C'est bon pour moi aussi !".
"Mmmmmmmmmmm ! Arhhhhhhhhhh ! ... Mmmmmmm !".

Il me permet de me doucher, et prend du plaisir à me laver.
Après quelques attouchements, on se rhabille, puis je le quitte.

J'ai un trouble en sortant de sa maison, j'ai peur que les gens savent ce qui s'y passe !
Bien sûr, ce n'est pas le cas, mais on ne contrôle pas ce genre de gêne.