La maison bourgeoise 5
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La maison bourgeoise 5
Ma relation avec Jean-Pierre prend une belle tournure.
On s'entend bien, c'est un peu normal, vu le peu de temps qu'on passe ensemble.
Il m'a encore baisé la veille, je devrais le retrouver seulement, après demain.
En effet, je le vois tous les lundi et jeudi.
Mais, nous sommes mardi, et j'ai besoin de le retrouver.
Je pousse sa porte, sans faire de bruit, il m'entend:
"Chéri ? Qu'est-ce que tu fais là ?".
"J'avais envie de te voir ! Mais si tu veux, je m'en vais !".
"Ah ! Non ! T'es là ! J'en profite !".
Il m'enlace, je me sens si fragile, dans ses bras puissants.
Je dois attendre la fin de notre baiser, pour lui préciser mon envie du jour:
"Ca t'ennuie, si on baise pas ? J'ai envie de ta compagnie ! C'est tout !".
Contre toute attente, il est ému de ma démarche.
On se détend sur son canapé, en sirotant des boissons.
Puis, je me couche sur sa cuisse et lui réclame de me caresser longuement.
En complet égoïste, je me laisse aller et plonge dans un léger sommeil.
J'émerge, peu de temps après.
"Oh ! Pardon ! Jean-Pierre !".
"Non, au contraire ! J'ai adoré te regarder dormir ! Mais t'es sur que tu vas bien toi ?".
"Oui, je suis un peu fatigué, à cause de mon boulot ! J'en ai un peu marre ! Et puis, en temps qu'hétéro, je dois toujours être fort et solide ! Et Corinne ne me soutient pas trop sur ce plan là !".
"Tu me rassures ! Tu sais que t'es toujours aussi beau ?".
"Arrêtes avec ça ! Jean-Pierre !".
Je me laisse caresser longuement, cela me ressource !
J'ai toujours ma tête sur sa cuisse, mais à la longue, je constate qu'il bande comme un âne !
"Putain, tu bandes !".
"Oui, désolé ! T'inquiètes pas, je vais bien finir par débander !".
Je pose ma main sur son sexe, puis défait ses boutons, afin de le libérer de sa prison.
"Chéri, qu'est-ce que tu fais ?".
"Chht ! Laisses toi faire ! A mon tour de te donner du plaisir !".
"Mais... tu as dis que ... ohhh ! Ahhhh ! Hummmmmmm !".
"Mmmmmmm ! Laisses toi faire ! Je te dis ! Je peux pas résister à ta bite, quand elle bande ! Mmmmm !".
"Oh, putain ! Elle est tellement bonne, ta bouche !".
Comme son pantalon me gêne, je le baisse jusqu'aux pieds, puis relonge sur son gros membre pour m'en délecter.
Cette fois, c'est moi qui dirige ! Je m'amuse à le faire gémir et râler de plaisir, avec ma langue et mes enfoncées buccales.
Je lui lèche longuement les couilles, puis remonte sur son gland gonflé et me défonce la gorge avec avidité.
"Ohhrrrrrrr ! Pascal ! Tu me rend fou ! Arghhhhhhhh !".
Au bout de plus de 15 minutes de dévoration de bite, il me prévient qu'il commence à sentir monter son plaisir.
"Désolé ! Mais tu ne pourras pas ! Tu vas devoir m'enculer, ça m'a donné envie ! Défonces-moi vite !".
Je me dénude les fesses en m'offrant à lui, il vient derrière moi, et patiemment, s'enfonce dans mon anus.
Je m'empale sur lui, en même temps qu'il m'encule.
Le plaisir anal me gagne, je lui dis.
"Putain ! Jean-Pierre ! J'aime trop quand tu m'encules ! Arghhhhhhhh ! J'en avais pas envie, mais c'est trop bon ! Arhhhhhhh !".
Nos mouvements sont en phase, sa grosse bite qui me défonce, mon cul qui s'empale !
Je prend un deuxième, puis un troisième orgasme, bien plus puissant que les précédents.
"Arghhhhhhhhhhh ! Jean-Pierre ! C'est bon ! Arhhhhhhhhhh !".
"Arhhhhhhh ! Bébé, je peux plus me retenir, tu m'as trop bien sucé ! Arghhhhhhhhhhhh !".
J'amplifie mes enfoncements sur lui, je veux qu'il éjacule tout son foutre en moi.
On s'écroule l'un sur l'autre, il me caresse et me donne de nombreux baiser tendres.
"Humm ! Je suis trop bien ! Avec ma bite, dans ton petit trou !".
"Ouhhh ! Pour te recevoir, il est pas si petit !".
"Tu sais que c'est une façon de parler ! Mais je l'adore quand même, ta petite chatte !".
"Vous m'amusez en appelant ça, une chatte ! Je risque pas de tomber enceinte ! C'est un anus !".
"C'est bien dommage, parce qu'avec moi, t'aurais eu plein de gosses ! Avec je que je te mets !".
"Ca c'est sûr ! Finalement, c'est bien que je sois un garçon ! Ouhhhhffff ! Et moi, qui voulait pas baiser !".
"Ben, t'en as plein le cul ! Moi, je me suis régalé ! Je ne demande pas mieux ! Tu reviens demain ?".
Je ris, et lui réponds qu'il risque de m'attendre longtemps.
Il se lève et m'essuie l'anus, puis je me rhabille, et nous parlons d'Eric qui se plaint de ne plus me voir au Sex-shop.
"Ben, j'en ai plus besoin avec toi ! Ca me suffit ! S'il veut me baiser, il peut venir chez toi !".
"Je lui dirai ! Mais que si j'en ai envie ! J'aime bien être seul avec toi !".
Il me touche encore, je lui donne un long baiser.
"Ah ! Au fait ! J'ai reçu quelque chose d'intéressant, ce matin !".
"C'est quoi ?".
"Suis-moi ! Je vais te montrer !".
Il se rend dans son "Donjon".
A l'intérieur, il me désigne une grosse "Fucking machine", muni d'un de ses godes.
"J'aimerai bien l'essayer, qu'est ce que t'en penses ?".
"Euh, je te rappelle que je voulais pas me faire baiser à la base !".
Il s'approche et s'impose avec ses grandes mains puissantes.
"Allez ! Juste un peu, pour voir, si elle fonctionne bien !".
Mes fesses sont palpées fermement, ses doigts s'insèrent dans mon anus.
"Mmmmm ! Jean-Pierre ! T'en as jamais assez ! Arhhhhhhh ! D'accord ! Tas gagné !".
Il me couvre de baisers en me déshabillant fébrilement.
Il me demande de me placer comme un animal à quatre pattes, pendant qu'il recouvre le gode de lubrifiant.
"C'est bon, tu peux te coller au gode ! Voilà, enfonces-toi un peu !".
"Arhhhhhhh ! Putain, t'as pas choisi le plus mince !".
Il appuie sur un bouton, je me cambre aussitôt, en me faisant transpercer l'anus par l'énorme gode.
Je m'avance pour moins subir la longue pénétration du phallus de silicone, en hurlant de plaisir.
"Hummm ! C'est bon ! Mon p'tit Pascal ! Pas vrai ?".
"Ouiiiiiiiiiii !".
Il s'excite de voir la corolle de mousse blanchâtre que forme le lubrifiant autour du gode.
Il se place devant ma bouche et me présente sa queue à demi molle.
Il tient fermement mon corps, et m'empale de plus en plus profondément, sur le gros phallus de la machine.
Il augmente le rythme de pénétration de la Fucking-machine.
Il me soulève ensuite pour poser sa main sur ma queue, il me masturbe.
Il aime m'embrasser pendant que je hurle mes orgasmes anaux.
Cette fois, je vais très loin, tout mon corps est saisit de spasmes.
Mon sperme macule ses doigts, je crie sans retenue, puis plus rien, je viens de jouir comme jamais.
Le gode se déchaine toujours dans mon cul, sans rencontrer de résistance.
Mes jambes deviennent tremblantes, mon corps entier n'est plus qu'un nouvel énorme spasme incontrôlable.
J'ai l'anus béant et dégoulinant de jus, Jean-Pierre est fasciné par mon visage crispé de plaisir.
"Tu veux que je l'arrête ?".
"Oui, S'il te plait ! J'ai plus de force ! Arhhhhhhhhhhhhhhh !".
Le gode stoppe d'un coup ses enfoncements destructeurs.
Je m'allonge au sol, sans me soucier des conséquences.
Jean-Pierre s'essuie les doigts, puis vient me caresser les fesses, en admirant mon trou béant.
"Hummm ! C'était excitant ! On recommencera ?".
"Euh, pas trop souvent ! Jean-Pierre ! Je préfère un vrai sexe ! Même si c'est très fort comme plaisir !".
"C'est pas grave, on l'utilisera avec le jeune des soirées !".
"Bon, je dois y aller ! Comment je vais faire pour trouver l'énergie de marcher ? Sans parler du fait que je dois avoir l'anus dans un drôle d'état !".
"En effet, il est vraiment bien ouvert !".
"Putain, dire que j'avais pas envie de me faire enculer !".
On s'entend bien, c'est un peu normal, vu le peu de temps qu'on passe ensemble.
Il m'a encore baisé la veille, je devrais le retrouver seulement, après demain.
En effet, je le vois tous les lundi et jeudi.
Mais, nous sommes mardi, et j'ai besoin de le retrouver.
Je pousse sa porte, sans faire de bruit, il m'entend:
"Chéri ? Qu'est-ce que tu fais là ?".
"J'avais envie de te voir ! Mais si tu veux, je m'en vais !".
"Ah ! Non ! T'es là ! J'en profite !".
Il m'enlace, je me sens si fragile, dans ses bras puissants.
Je dois attendre la fin de notre baiser, pour lui préciser mon envie du jour:
"Ca t'ennuie, si on baise pas ? J'ai envie de ta compagnie ! C'est tout !".
Contre toute attente, il est ému de ma démarche.
On se détend sur son canapé, en sirotant des boissons.
Puis, je me couche sur sa cuisse et lui réclame de me caresser longuement.
En complet égoïste, je me laisse aller et plonge dans un léger sommeil.
J'émerge, peu de temps après.
"Oh ! Pardon ! Jean-Pierre !".
"Non, au contraire ! J'ai adoré te regarder dormir ! Mais t'es sur que tu vas bien toi ?".
"Oui, je suis un peu fatigué, à cause de mon boulot ! J'en ai un peu marre ! Et puis, en temps qu'hétéro, je dois toujours être fort et solide ! Et Corinne ne me soutient pas trop sur ce plan là !".
"Tu me rassures ! Tu sais que t'es toujours aussi beau ?".
"Arrêtes avec ça ! Jean-Pierre !".
Je me laisse caresser longuement, cela me ressource !
J'ai toujours ma tête sur sa cuisse, mais à la longue, je constate qu'il bande comme un âne !
"Putain, tu bandes !".
"Oui, désolé ! T'inquiètes pas, je vais bien finir par débander !".
Je pose ma main sur son sexe, puis défait ses boutons, afin de le libérer de sa prison.
"Chéri, qu'est-ce que tu fais ?".
"Chht ! Laisses toi faire ! A mon tour de te donner du plaisir !".
"Mais... tu as dis que ... ohhh ! Ahhhh ! Hummmmmmm !".
"Mmmmmmm ! Laisses toi faire ! Je te dis ! Je peux pas résister à ta bite, quand elle bande ! Mmmmm !".
"Oh, putain ! Elle est tellement bonne, ta bouche !".
Comme son pantalon me gêne, je le baisse jusqu'aux pieds, puis relonge sur son gros membre pour m'en délecter.
Cette fois, c'est moi qui dirige ! Je m'amuse à le faire gémir et râler de plaisir, avec ma langue et mes enfoncées buccales.
Je lui lèche longuement les couilles, puis remonte sur son gland gonflé et me défonce la gorge avec avidité.
"Ohhrrrrrrr ! Pascal ! Tu me rend fou ! Arghhhhhhhh !".
Au bout de plus de 15 minutes de dévoration de bite, il me prévient qu'il commence à sentir monter son plaisir.
"Désolé ! Mais tu ne pourras pas ! Tu vas devoir m'enculer, ça m'a donné envie ! Défonces-moi vite !".
Je me dénude les fesses en m'offrant à lui, il vient derrière moi, et patiemment, s'enfonce dans mon anus.
Je m'empale sur lui, en même temps qu'il m'encule.
Le plaisir anal me gagne, je lui dis.
"Putain ! Jean-Pierre ! J'aime trop quand tu m'encules ! Arghhhhhhhh ! J'en avais pas envie, mais c'est trop bon ! Arhhhhhhh !".
Nos mouvements sont en phase, sa grosse bite qui me défonce, mon cul qui s'empale !
Je prend un deuxième, puis un troisième orgasme, bien plus puissant que les précédents.
"Arghhhhhhhhhhh ! Jean-Pierre ! C'est bon ! Arhhhhhhhhhh !".
"Arhhhhhhh ! Bébé, je peux plus me retenir, tu m'as trop bien sucé ! Arghhhhhhhhhhhh !".
J'amplifie mes enfoncements sur lui, je veux qu'il éjacule tout son foutre en moi.
On s'écroule l'un sur l'autre, il me caresse et me donne de nombreux baiser tendres.
"Humm ! Je suis trop bien ! Avec ma bite, dans ton petit trou !".
"Ouhhh ! Pour te recevoir, il est pas si petit !".
"Tu sais que c'est une façon de parler ! Mais je l'adore quand même, ta petite chatte !".
"Vous m'amusez en appelant ça, une chatte ! Je risque pas de tomber enceinte ! C'est un anus !".
"C'est bien dommage, parce qu'avec moi, t'aurais eu plein de gosses ! Avec je que je te mets !".
"Ca c'est sûr ! Finalement, c'est bien que je sois un garçon ! Ouhhhhffff ! Et moi, qui voulait pas baiser !".
"Ben, t'en as plein le cul ! Moi, je me suis régalé ! Je ne demande pas mieux ! Tu reviens demain ?".
Je ris, et lui réponds qu'il risque de m'attendre longtemps.
Il se lève et m'essuie l'anus, puis je me rhabille, et nous parlons d'Eric qui se plaint de ne plus me voir au Sex-shop.
"Ben, j'en ai plus besoin avec toi ! Ca me suffit ! S'il veut me baiser, il peut venir chez toi !".
"Je lui dirai ! Mais que si j'en ai envie ! J'aime bien être seul avec toi !".
Il me touche encore, je lui donne un long baiser.
"Ah ! Au fait ! J'ai reçu quelque chose d'intéressant, ce matin !".
"C'est quoi ?".
"Suis-moi ! Je vais te montrer !".
Il se rend dans son "Donjon".
A l'intérieur, il me désigne une grosse "Fucking machine", muni d'un de ses godes.
"J'aimerai bien l'essayer, qu'est ce que t'en penses ?".
"Euh, je te rappelle que je voulais pas me faire baiser à la base !".
Il s'approche et s'impose avec ses grandes mains puissantes.
"Allez ! Juste un peu, pour voir, si elle fonctionne bien !".
Mes fesses sont palpées fermement, ses doigts s'insèrent dans mon anus.
"Mmmmm ! Jean-Pierre ! T'en as jamais assez ! Arhhhhhhh ! D'accord ! Tas gagné !".
Il me couvre de baisers en me déshabillant fébrilement.
Il me demande de me placer comme un animal à quatre pattes, pendant qu'il recouvre le gode de lubrifiant.
"C'est bon, tu peux te coller au gode ! Voilà, enfonces-toi un peu !".
"Arhhhhhhh ! Putain, t'as pas choisi le plus mince !".
Il appuie sur un bouton, je me cambre aussitôt, en me faisant transpercer l'anus par l'énorme gode.
Je m'avance pour moins subir la longue pénétration du phallus de silicone, en hurlant de plaisir.
"Hummm ! C'est bon ! Mon p'tit Pascal ! Pas vrai ?".
"Ouiiiiiiiiiii !".
Il s'excite de voir la corolle de mousse blanchâtre que forme le lubrifiant autour du gode.
Il se place devant ma bouche et me présente sa queue à demi molle.
Il tient fermement mon corps, et m'empale de plus en plus profondément, sur le gros phallus de la machine.
Il augmente le rythme de pénétration de la Fucking-machine.
Il me soulève ensuite pour poser sa main sur ma queue, il me masturbe.
Il aime m'embrasser pendant que je hurle mes orgasmes anaux.
Cette fois, je vais très loin, tout mon corps est saisit de spasmes.
Mon sperme macule ses doigts, je crie sans retenue, puis plus rien, je viens de jouir comme jamais.
Le gode se déchaine toujours dans mon cul, sans rencontrer de résistance.
Mes jambes deviennent tremblantes, mon corps entier n'est plus qu'un nouvel énorme spasme incontrôlable.
J'ai l'anus béant et dégoulinant de jus, Jean-Pierre est fasciné par mon visage crispé de plaisir.
"Tu veux que je l'arrête ?".
"Oui, S'il te plait ! J'ai plus de force ! Arhhhhhhhhhhhhhhh !".
Le gode stoppe d'un coup ses enfoncements destructeurs.
Je m'allonge au sol, sans me soucier des conséquences.
Jean-Pierre s'essuie les doigts, puis vient me caresser les fesses, en admirant mon trou béant.
"Hummm ! C'était excitant ! On recommencera ?".
"Euh, pas trop souvent ! Jean-Pierre ! Je préfère un vrai sexe ! Même si c'est très fort comme plaisir !".
"C'est pas grave, on l'utilisera avec le jeune des soirées !".
"Bon, je dois y aller ! Comment je vais faire pour trouver l'énergie de marcher ? Sans parler du fait que je dois avoir l'anus dans un drôle d'état !".
"En effet, il est vraiment bien ouvert !".
"Putain, dire que j'avais pas envie de me faire enculer !".
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Merci Passud pour ces belles histoires