La tournante 5

- Par l'auteur HDS Sucette -
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Récit libertin : La tournante 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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La tournante 5
La tournante 5

En chemin du retour, malgré ma fatigue et encore sous le coup de mes émotions, j'ai dû tout raconter. Il n'a pas hésité à m’interrompre pour avoir plus des détails.
Je lui ai d'abord raconté les difficultés à marcher avec le collier épais autour du cou avec les mains attachées au collier par des anneaux. Je ne pouvais pas voir mes pieds, il fallait que je me penche, très rapidement j'ai fatigué des bras mais surtout je ne pouvais pas m'essuyer, me gratter, repousser une mèche rebelle… C'est devenu vite une torture.
Ensuite, la nudité. Si j'aime me promener nue chez moi, me baigner nue à la mer, bronzer nue à la plage, là c'était très différent. Je me sentais vulnérable, rabaissée diminuée au rang d'un animal.
J'ai eu très peur quand je me suis retrouvée face au chien et son maître. J'ai peur des chiens que je ne connais pas. Celui là était gros et menaçant.
Ensuite, quand j'ai vu le contenu du sac et qu'il m'a attachée, je me suis douté qu'il n'était pas là par hasard. Cela s'est confirmé par la suite.
Oui, j'ai aimé le fouet mais pas la cravache. C'était une cravache en cuir tressé, épaisse, plus proche du nerf de bœuf que d'une badine. Le fouet procure une douleur intense à l'endroit où la lanière claque. On ne sait pas où la suivante va arriver. Le rythme aussi a son importance, on s'y prépare et si le coup n'arrive pas, on est momentanément déstabilisée.
J'ai trouvé la cravache bestiale. C'est un instrument pour punir en blessant.
J'ai aimé le martinet c'est plus doux que le fouet, c'est une bonne entrée en matière. Particulièrement sur les tétons puis le vagin.

Évidemment, je me dérobe par réflex mais ma tête le réclame. Je jouis d'avoir mal. C'est cérébral et physique.
Après la douleur, je veux être pénétrer brutalement et souillée. Puis câliner et protéger.
Le cadre est important, le scénario aussi, le fait qu'il m'est imposé une relation dégradante au début m'a conditionné pour la suite. Il m'a une fois de plus surprise et m'a amené à dépasser mes limites.


Après m'avoir raccompagné, nous nous sommes rencontrés dans un café.
Il m’a dit que nous allons passer un contrat de soumission. Il m'a donné une robe ras le cou pour aller au travail.
Nous nous étions rencontrés en regardant ‘’ Histoire d'O'' et maintenant nous allons l'imiter.

Il m'a questionné sur ce que je voulais et ne voulais pas.
Il m'a dit qu'il était invité à une soirée D/s bientôt et que je ferai mes débuts. Il allait me confier à une vraie maîtresse.

J'ai accepté l'invitation et le contrat. Il y avait un safetword ‘’ rouge ‘’ et les engagements étaient softs.
Rien de vraiment blessant, ni brûlure, ni aiguilles, ni électricité, aucun coup au visage, il y aura des esclaves mâles, il ne m'a pas dit combien et je serai la seule fille.
Il y aura aussi des spectateurs. Si je le souhaite j'aurai un loup pour préserver mon anonymat.

Le jour dit, pour l'occasion, il est venu chez moi m'apporter une tenue appropriée : talons aiguilles, bas, porte jarretelles, corsage diaphane avec des manches se fermant au poignets et un grand manteau.
Nous avons pris sa limousine que je ne connaissais pas et il m'a bandé les yeux.

Deux heures plus tard, nous sommes arrivés dans un château. Lorsque je suis descendu de la voiture, il m'a ôté le bandeau pour monter quelques marches puis le manteau dans le vestibule.
Vous avez compris que je n'avais pas de culotte, ni soutien gorge sous mon corsage.

Un couple est venu à ma rencontre et m'a entraîné dans une pièce, l'homme a enlevé la cape de sa maîtresse et elle était entièrement vêtue de cuir qui lui faisait une seconde peau et comme moi, son sexe était à découvert. Ses bottes montaient à mi-mollets, elle portait des gants et elle avait un fouet à la ceinture.

Elle m'a dit que nous étions en avance et que mon amant m'avait confiée pour la soirée. Elle a ajouté que je n'avais rien à dire dorénavant sauf à répondre aux questions.
Si j'utilisais le safeword, tout s'arrêterait immédiatement et mon amant me ramènerait.

L'homme est revenu, nu, il a placé ses mains dans le dos et elle me l'a présenté.
« C'est mon esclave, comme tu peux le voir, il est entièrement épilé, de la tête aux pieds. »
Elle approche sa tête et je constate qu'il n'a même plus de sourcil, ce qui lui donne une allure étrange.
« Tu constates qu'il porte une cage de chasteté. » et elle soulève sa verge emprisonnée dans une cage métallique.
« Approche. Mets toi à genoux » elle me prends la main pour qu'à mon tour, je soulève sa verge.
« Comme tu peux le voir, un anneau entoure sa verge et ses testicules. A sa base , il est articulé avec la cage, que l'on peut défaire. A son sommet un système de verrouillage dont voici la clé.
Elle prend les bourses dans sa main qu'elle serre fortement. On voit la souffrance sur le visage de l'homme.
« Il sait que tout à l'heure, il aura le droit de jouir. Tourne toi et penche toi…. Comme tu peux le voir, il a un plug dans l'anus. »
Sur ce il se met à quatre pattes et elle accroche une queue à l'anneau du plug.

Puis je suis conduite à la cave, j'ai de la chance, il y a la chaufferie et du matériel divers entreposé. Elle me bâillonne, me bande les yeux et m'attache les bras à un tuyau et me laisse là pendant un temps que je trouve très long.
J'entends des véhicules se garer, des portières claquées, des bruits de talon, des rires, des paroles indistinctes.

Évidemment, je ne peux m'assoir, mes bras sont douloureux et j'ai envie d'uriner. La porte s'ouvre et l'on vient me chercher.
C'est une femme dans la même tenue que la maîtresse de maison. Elle délivre mes bras, m'ordonne de complètement me déshabiller. « Ce soir, nous t'appellerons Biblis. Elle me donne un loup et je lui fais part de mon envie pressante.
"Ne pose pas de questions, tu seras punie encore plus sévèrement et suis moi."
Elle m'amène dans une grande pièce carrelée, sorte de douche collective.
Plusieurs personnes sont présentes, au centre l'esclave sur le dos. Je dois m'accroupir sur son visage et me lâcher. Lejet atterrit d'abord sur sa poitrine, il se déplacer en reptation pour me boire et au moment où j'ai terminé, je dois m'abaisser pour qu'il me lèche et me nettoyer.
Nous entendons l'eau couler quand nous quittons la pièce.

Nous montons les escaliers et arrivons dans une grande pièce mansardée. A différentes poutres pendent des cordes, au milieu, plusieurs bancs et un pilori très bas. Deux hommes nus sont attachés à des croix de St André. Les deux sont cagoulés. Ils ont des pinces aux seins avec des poids. Des poids sont également accrochés à leur testicules eux-mêmes ligaturés avec de gros élastiques. Deux dominas fouettent leur sexe avec un martinet.

Comme au bout de cinq minutes, aucun n'a demandé grâce, elle continue en donnant des coups de pied dans les testicules alternativement. On entend les gémissements à chaque fois. L'épreuve suivante consiste à frapper leur sexe avec une canne. Les dominas les masturbent et elles leur parlent à l'oreille.

Ils bandent, elles enlèvent les pinces aux seins et les masturbent vigoureusement . Elles tiennent un verre pour récolter leur semence. Ils éjaculent pratiquement en même temps et remplissent leur verre.

Elle leur soulève leur cagoule et ils doivent boire le contenu blanchâtre . Les spectateurs ont vu que les verres ont permutė mais pas eux.

Les spectateurs sont une vingtaine des deux sexes dans la pénombre. Les deux supplicies restent sur leur croix, ils ont été débarrassés des éléments de contrainte.


On m'avance au milieu de la pièce sous les projecteurs. Mes bras et jambes sont liés aux poteaux.
« Voici Biblis qui va recevoir le fouet ! »
Elles sont deux à me fouetter. Aucune partie de mon corps sera épargnée. Le rythme est rapide. D'abord une série de dix. Elle me caresse les seins, me tapent les fesses, frottent mon ventre avant de glisser leurs doigts sur mon sexe.

Je suis humide, la scène précédente m'a émoustillée d'autant que mon maître s'est occupé de moi sous sa cape…
Ensuite, elles ont entamé une série de vingt au martinet puis elles m'ont caressé sur ma peau en feu.

Un des deux hommes a été détaché et s'est allongé sur un banc. On m'a fait enjamber sa tête, plier les genoux et ma vulve reposait sur sa bouche. Il a reçu l'ordre de me lécher et de me faire jouir.
Il avait les mains sur ma poitrine meurtrie et très sensible. J'ai dû prendre en main ses chevilles pour dégager ses fesses. Il a reçu des coups de raquette et ses fesses sont devenues écarlates.
Mon excitation était telle que je me frottais et je l'ėcrasais pour jouir. Je crois qu'il m’a bu….

Mon orgasme a duré et j'étais devenu une poupée de chiffon inerte.

J'étais face aux spectateurs qui s'agitaient. On m'a alors clouée au pilori tandis que les deux hommes étaient couchés sur les bancs. Deux dominas armées de gode ceinture se sont approchées. Ils ont dû d'abord sucer les verges plastiques puis elles les ont sodomisé sous mes yeux.

Plusieurs personnes de l'assistance m'ont entourées, caressées, hommes et femmes puis j'ai été pénétrée des deux côtés, éjaculant indifféremment dans ma bouche, sur mon visage, sur mes reins ou dans mon vagin.

Les deux hommes m'ont nettoyé avec leur langue sous les injonctions des dominas.
L'assistance disparue, nous avons été conduit dans une grande salle de douche où nous avons été lavé au jet.

Puis j'ai été séchée et soignée dans une pièce attenante.
Mon maître m'a ramenée à mon domicile. J'ai dû répondre à ses questions mais je vous en parlerai plus tard.
Il m'a couché.

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