La truie1 - histoire érotique

La truie 1
Ceci est une confession faite à une amie. L'histoire commence dans les années soixante. Maryse vit dans une ferme. Elle a arrêté l'école à quatorze ans malgré ses bons résultats et les recommandations de son instituteur auprès de ses parents mais il fallait s'occuper de la ferme, des bêtes et de ses petits frères et sœurs .
Il avait avancé qu'avec un salaire fixe supplémentaire, ils pourraient acheter un tracteur, moderniser l'exploitation mais le père s’était montré inflexible.
Fruste, il considérait les enfants et sa femme comme du bétail, il redoutait aussi que la petite parte à la ville et réussisse mieux que lui…
La ville, elle en rêvait comme dit la chanson…. Résignée, elle attendait le prince charmant et sa majorité.

Après sa dure journée de labeur, elle écoutait les chansons qui parlaient d'amour et les fredonnait dans l'étable, aux champs, dans le potager.
Elle se faisait des films ,le soir dans son lit en se faisant du bien.
Seulement, elle n'était pas gâté par la nature, une grosse tignasse les seins lourds, un gros fessier, les jambes courtes, son père l'a surnommait la truie, ce qui ne l'empêchait pas de lui envoyer sa main aux fesses.
Quand à sa mère, elle l'avait bien mise en garde contre une grossesse précoce. Mais elle aimerait bien sans le dire, être un peu soulagée du devoir conjugal.
A la ferme, on recevait peu, quelques cousins l'été qui nourris, blanchis et logés participaient aux récoltes repartait bien bronzés avec des provisions et quelques kilos en plus.
Maryse profitait de l'été pour aller à la rivière. Régulièrement, elle était leur souffre douleur, victime de leurs sarcasmes qui moquaient son physique. Elle n'avait que ses sous vêtements informes qui faisait ressortir ses bourrelets. Ils la jetaient à l'eau, espérant qu'elle perde culotte ou soutien gorge, ils volaient sa robe et sandales contre rançons humiliantes.
Elle se laissait tripoter, pincer par les plus jeunes sous les quolibets des plus vieux qui la traitaient de grosse cochonne qui aime se faire tripoter.
Elle aurait aimé les accompagner au bal. Elle aurait bien voulu que quelqu'un s'intéresse à elle mais pour ceux du village aussi, elle était la truie.
Au bal, elle faisait tapisserie, plus souvent à la buvette, noyant son chagrin avec quelques poivrots.
En rentrant, elle n'hésitait pas à soulever sa robe pour pisser dans le caniveau au vu de tous.
Il lui était arrivé de soulager un cousin discrètement derrière une haie. Personne ne se vanterait dans la famille d'un tel exploit". Elle avait employé la même technique que pour traire ses vaches tandis que lui avait enfoncé trois doigts dans son vagin.
Quelques vieux aussi l’avaient sollicité dans les toilettes du bistrot pour une branlette ou une fellation pour quelques broutilles : un parfum, une collier de pacotille, des bas, un rouge à lèvres…. La nouvelle s'était sue et on l'appellait ‘’Maryse, la pute", on l'invitait à boire plus que de raison et l'affaire était faite ….
Sa réputation était arrivée aux oreilles de son père. Il l'avait déshabillé dans l'étable, retiré sa ceinture et fouetté jusqu’au sang, ses cris étant couverts par le meuglement des bêtes.
Sa colère retombée, il l'avait saisi par les cheveux, retournée et mise devant son caleçon, son pantalon aux chevilles. Elle avait dû lui administrer une fellation complète pendant qu'il lui tordait un sein.
Au repas du soir, la mère a fait semblant de ne rien voir.
Quelques jours plus tard, pendant que les enfants étaient à l'école et sa mère au chevet d'un parent pour quelques jours. Alors qu'il pleuvait, il l'a amené dans la chambre conjugale. Il l'a déshabillé complètement devant la glace de l'armoire, il a examiné les traces de ses coups de ceinturon. Puis il a caressé ses seins en pinçant les bouts, elle s'est agenouillée, a ouvert son pantalon et elle a pris son sexe en bouche. Il rythmait la fellation avec les mains sur sa tête avant d'éjaculer dans sa bouche.
Il lui a demandé d'ouvrir la bouche puis d'avaler.
Ensuite, il l'a amené aux toilettes. Il lui a demandé de se vider puis il a sorti un tuyau avec une canule et une poire pour les bêtes qu'il avait rempli d'eau tiède.
Il lui a fait un lavement.
« C'est comme ça que je procède avec ta mère pour ne plus avoir de grossesse. »
« Demain , tu l'as remplaceras à la même heure, ici. Tu te serviras de la poire toute seule dans le fumier de l'étable. Et je te montrerai comment ne pas se faire engrosser ma pute. »
Le lendemain, j'ai procédé comme il me l'avait dit, à l'heure dite, j'étais dans la chambre conjugale, nue, face à la glace de l'armoire.
Je l'ai entendu monter l'escalier, fermer la porte de la chambre. Dans sa main, un pot de vaseline pour enduire le pis des vaches.
Malgré mes dix huit ans, je n'avais qu'une vague idée de ce qui allait m'arriver.
Comme la veille, il m'a caressé la poitrine puis sa main est descendue sur mon pubis, lui collé contre mon dos, moi face à la glace de l'armoire.
Je sentais son sexe contre mes reins, une main me caressait un sein , l'autre mon clitoris.
J'avais le rouge qui me montait aux joues. J'étais très excitée, je voulais qu'il me caresse mieux, ma main appuyait sur la sienne, mes doigts sur les siens pour les amener exactement là où il fallait.
Une tape appuyée m'en a empêché, au contraire, il a recommencé à me frapper plus fort, j'ai gémis de douleur.
Et toujours, il se frottait contre moi. Ses caresses ont recommencé. Puis il m'a amené par les cheveux, le buste sur le lit, les jambes tendues au sol, les fesses à l'air.
Il pris la crème dans le pot et m'a enduit l'anus. Il a baissé pantalon et caleçon, a saisi son sexe, l'a enduit et frotté dans ma raie en cherchant l'anus puis il a appuyé sans succès. Il a remplacé sa verge par un doigt qu'il a rentré difficilement. J'ai hurlé parce qu'il me brûlait.
Il l'a retiré et remis de la crème puis il a remis deux doigts en crochet, couché sur mon dos, m'écrasant de tout son poids. « Pousse, détends toi ! , je vais te la mettre, petite pute »
Ses deux doigts me perforaient, son autre main sur ma vulve, m'excitaient à nouveau.
Ses doigts ont trouvé mon bouton, sa verge a remplacé ses doigts. Il m'a pénétré doucement, je poussais et j'ai compris pourquoi le lavement. Son pubis s'est collé contre mes fesses et il s'est retiré pour revenir à nouveau. La pénétration a duré longtemps. La douleur a fait place au plaisir, il me chuchotait des paroles salaces comme pour apprivoiser une bête. Elles étaient excitantes aussi :
T'es chaude comme la braise, t'es faites pour qu'on t'encule, j'ai toujours su que tu étais une pute….
Tu es ma petite pute qui va se branler avec se doigts, t'es serrée, j'adore….
J'ai l'impression d'avoir dix ans de moins quand j' ai enculé ta mère pour la première fois , je sais que tu aimes ça et moi je t'aime… »
Plusieurs années ont passé, mon père a eu une attaque, mes frères ont repris la ferme. Ma mère qui tenait la comptabilité et le secrétariat a permis une association avec des voisins.
Curieusement, je suis devenu plus coquette mais surtout plus sexy. Ma mère m'y encourageait pour le plaisir du père et son repos. Je vous raconterai la suite……
Mes frères m'ont défendu à coup de poing face aux médisances.
68 est arrivé, la mini jupe, la pilule et la libération sexuelle. Je vis en ville, secrétaire médicale, je suis toujours célibataire.