La vie de chantier

- Par l'auteur HDS Passud -
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
  • • 208 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Passud ont reçu un total de 859 243 visites.
Récit libertin : La vie de chantier Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 7 908 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
La vie de chantier
Je suis dans ma 24e année, j'ai un job dans mon métier.
Ce jour-là, on m'envoie sur un chantier en dehors de la ville.
Un immeuble ancien à restaurer entièrement, ma mission va durer une bonne semaine.
Le premier jour, je reste à l'écart des autres ouvriers, les maçons, électriciens et le plombier.
Le lendemain, comme on a fait connaissance, je mange le repas de ma gamelle avec les autres.
Je découvre que les ouvriers maçons et plaquistes sont tous étrangers, roumains en l'occurrence, seul l'un d'entre eux, parle un peu le français.
Un autre lance un regard appuyé sur moi, il s'appelle Dimitri.
Je ne connais que trop ce regard vicieux, c'est celui d'un homme qui aime baiser des jeunes garçons comme moi.
J'essaie de lui cacher que j'aime les hommes virils comme lui. Mais Dimitri insiste continuellement.
Il sait que j'aime le sexe entre hommes, c'est indéniable ! Même si ce don n'est pas inné chez tous les gays ou bisexuels, puisque certains se sont trompés en voyant chez moi un homo actif, alors qu'il n'y a pas plus passif que moi.
Je commence à me demander comment, je vais gérer Dimitri au cours des jours de la semaine.
Je sais qu'il va me proposer de me baiser, ou me forcer à le sucer.
Le troisième jour, je constate l'absence des électriciens et du plombier, je suis seul avec les Roumains.
Cela ne me gêne pas, je les trouve très sympathiques, sauf Dimitri qui m'inquiète.
À la pause, je me place à côté de celui qui me comprend et qui parle un peu français.
L'un d'eux sort un livre porno, ils se le passent à tour de rôle en se frottant la queue à travers le tissu de leur short, puis me le montrent à moi aussi.
Une jolie rousse se fait démonter par tous les orifices par un groupe d'hommes bien membrés.
J'avoue être excité moi aussi par les images.
Ils parlent des photos, et ont l'air de vouloir se soulager en se masturbant.
Le livre continue de tourner et l'un d'eux sort son sexe pour le faire.
Je demande à celui qui me comprend, pourquoi il fait ça.
"Nous, pas sexe depuis longtemps, grosse envie !".
Je vois que la moitié d'entre eux, se frotte la queue à travers le pantalon, le premier a ôté les dernières gênes que ma présence aurait pu créer.
Dimitri me désigne du doigt en voyant une photo de la femme qui suce plusieurs queues et le sperme qu'elle commence à recevoir.
Je questionne mon voisin.
"Qu'est-ce qu'il dit ?"
"Il dit que toi, tu fais ça aussi ! Tu aimes les queues des hommes !".
"Quoi ? Mais non !".
"Lui, baiser garçons et femmes, il dit sûr toi baiser avec des hommes !".
"Mais ce n'est pas possible, ce truc ! Et vous n'aimez pas tous les hommes, non ?".
"Trop envie, depuis longtemps ! Pas grave ! S'il te plait !".
"Non, je ne veux pas !".
Celui qui se branle dont je mate la queue avec envie, s'approche et m'impose de le masturber.
"S'il vous plait ! Non !".
"Allez, toi gentil ! Faire plaisir à nous ! Nous seuls avec toi ! Nous pas parler !".
D'autres déballent leurs bites, dont un qui utilise mon autre main.
"Ce n'est pas vrai, pourquoi moi, encore ?".
Pour toute réponse, on me force à m'agenouiller et on me pénètre la bouche.
Peu à peu, je me mets à gémir d'excitation, c'est lorsque je prends l'initiative de quitter la queue que je suce pour en prendre une autre dans ma gorge qu'ils savent qu'ils ont trouvé ce qu'ils voulaient; une salope docile !
Quand c'est le tour de Dimitri, il me baise la bouche, puis me défonce la gorge avec force, il donne un ordre aux autres, et on me défait tous mes vêtements.
Il quitte ma bouche, me soulève les fesses, et ensuite m'entraine sur un amas de sacs de béton.
Je regarde mon interprète, d'un air plaintif :
"Non ! S'il te plait ! Je ne suis pas une fille !".
Il me sourit, et pour toute réponse, il ajoute :
"Toi très joli garçon !".
Le sexe utilise la salive dont Dimitri s'est couvert la bite et mon anus, pour écarteler lentement mon œillet.

À force d'à-coups répétés, il me rentre entièrement dans le cul en me faisant râler de plaisir.
Il m'encule sans retenue en disant de nombreux mots inconnus pour moi. Mais tout ce que je retiens, c'est qu'il me fait jouir du cul malgré moi.

C'est trop tard, à présent ! Je me fais défoncer la gorge et le cul, je ne peux plus revenir en arrière, mon plaisir trahi mon envie des hommes.
Dimitri sort de mon cul après cinq minutes de défonce et laisse son tour à un autre Roumain.
Je subis les assauts de tous les autres, les orgasmes s'enchainent pendant plus d'une heure, cinq éjaculent dans mon cul, dont mon interprète, et deux dans ma bouche.
Dimitri termine alors de m'enculer interminablement en me claquant les fesses et ajoutant son sperme dans mon anus à la fin.
Lorsque tout fut terminé, je me suis senti sale, victime de ma perversité, et surtout de ce truc bizarre qui fait qu'un amateur de jeunes hommes sait, en me regardant, que je suis possiblement une salope.

Le comportement des Roumains, par la suite, a effacé ce sentiment.
Ils étaient adorables toute l'après-midi.
Inévitablement, j'ai eu droit à d'autres sollicitations, les jours suivants, ce qui m'a perturbé dans l'avancement de mon travail, j'ai dû revenir un jour de plus, et contenter encore mes amants roumains.

Le premier m'a attiré dans des toilettes éloignées des autres et j'ai dû le sucer, puis avaler son sperme.
Il a informé les autres de notre jeu, et j'ai été attiré dans l'endroit par tous les autres, tout au long de la journée.
Certains se contentaient de fellations, d'autres m'enculaient ensuite, pour se vider plus rapidement.

J'ai failli me faire surprendre plusieurs fois par les électriciens et le plombier, mais ils sont restés moins longtemps que moi.

Au retour dans mon atelier, un collègue me demande, si mon chantier est fini, je me suis entendu dire :
"Oui, tant mieux, j'en avais plein le cul !.
Puis, je me suis figé, en réalisant le double sens de mes mots.

À la fin de la semaine suivante, j'ai dû y retourner pour corriger une erreur, j'ai encore mis plus de temps que prévu !
Mais, le paradoxe, c'est qu'ensuite, je rentrais plus tard du boulot, désormais, prétextant des heures supplémentaires.
Puisque, je m'arrêtais sur le chantier tous les deux, à quatre jours après le travail, pour satisfaire les besoins des Roumains, ils m'attendaient avec impatience, surtout après le week-end !

J'ai vicieusement endossé le rôle de salope de chantier pour agrémenter leur séjour en France.
Mais Dimitri voyait que j'espaçais mes venues, cela ne lui suffisait plus, il m'a fait comprendre avec un calendrier accroché que je devais venir tous les jours.
J'ai réussi à lui faire comprendre que les autres ne devaient savoir, parce que je ne pourrai jamais assurer tous les jours pour 8 hommes !
Il m'attendait, seul, dans un coin du bas de l'immeuble, et m'enculait comme une bête tous les soirs ! À l'insu de ses copains.
Leur travail a duré plus de deux mois.

Ma femme s'est étonnée de ma fatigue inhabituelle, ces jours-là !
J'ai trouvé adorable quand ils m'ont invité à leur hôtel pour la fin de chantier. Ma femme étant occupée à son travail, ce samedi, j'ai accepté.
Après quelques verres, c'est moi qui ai provoqué Dimitri en lui dévorant la queue.
Deux d'entre eux préféraient se préserver pour leurs femmes en Roumanie.
Donc, les cinq autres ont rejoint Dimitri pour s'amuser avec moi.
Au bout d'une heure à nous regarder baiser, ils n'ont pas pu résister au moment où Dimitri a décelé qu'il pouvait ajouter sa bite à celle d'un autre dans mon cul.
Ils ont perdu toute raison et m'ont baisé, eux aussi, excités de pratiquer une double anale, même sur un jeune homme.
Je suis rentré souillé de toute part, fier de moi, pour le plaisir que je leur ai offert et je me suis lavé grâce à une longue douche.

Comme je travaillais pour une entreprise qui avait des contrats avec la ville.
Je me rendais souvent dans des chantiers comme celui-ci, sur les cinq ans que je suis resté dans la boite.
Et inévitablement, j'ai croisé à trois reprises Dimitri et la plupart de ses collègues, inscrits dans une boite intérim utilisant des étrangers.
Je suis redevenu la salope de chantier avec plaisir à chaque fois, initiant de nouveaux venus dans notre jeu sexuel.

Deux chantiers étaient proches de chez moi, c'était pratique pour contenter tout le monde !
J'ai quitté l'entreprise, mais le hasard s'acharne parfois sur vous.
Je me promenais avec ma femme dans un quartier en rénovation, quand on m'appelle avec un accent étranger.
C'est Dimitri en tenue de chantier, je suis obligé de lui présenter ma femme, ainsi qu'à ses copains.
Je l'ignorais à l'époque, mais ma femme est choquée par le regard de Dimitri sur moi.
Elle se pose des questions, elle vit une aventure extraconjugale avec un autre homme sur son lieu de travail et c'est le même regard que son amant lui lançait pour lui faire sentir qu'il la désirait.

Comme je l'avais trompée au début de notre relation, elle s'est octroyé le droit de faire pareil, uniquement pour le sexe.
Dimitri me dit avant que nous les quittions :
"Femme, très jolie !".
Puis me murmure à l'oreille :
"Femme coquine ! Comme Pascal !". Aujourd'hui, je sais ce qu'il voulait dire par là !
Elle me demande :
"Il ne serait pas homo ? Il te mangeait des yeux !".
"Euh, je ne sais pas !".
Excité de l'avoir revu, dès que j'en avais l'occasion, je rendais visite à Dimitri et sa bande de copains, mais plus souvent Dimitri seul.

Quand ma femme a su que j'aimais le sexe entre hommes, elle m'a dit qu'elle s'en doutait, puis m'a reparlé de Dimitri, qui lui a mis la puce à l'oreille.
J'ai donc avoué notre relation, peu fier de ma condition d'homme infidèle, elle en profitera en utilisant un stratagème pour m'annoncer qu'elle a des amants, elle aussi.
Par contre, moi, je ne me doutais de rien, mais je ne pouvais m'attendre à rien d'autre, c'est une femme hyper sexuelle, et je l'ai délaissée.
Depuis, nous sommes un couple libre.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : La vie de chantier
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Passud

Etonnante rencontre ! 3 - Récit érotique publié le 19-05-2024
Etonnante rencontre ! 2 - Récit érotique publié le 18-05-2024
Etonnante rencontre ! - Récit érotique publié le 16-05-2024
Après la plage 2 - Récit érotique publié le 15-05-2024
Les Choix de Léo - Récit érotique publié le 14-05-2024
Après la plage - Récit érotique publié le 13-05-2024
La randonnée - Récit érotique publié le 11-05-2024
Session de rattrapage militaire - Récit érotique publié le 10-05-2024
Monsieur, et Madame ! 2 - Récit érotique publié le 08-05-2024
Monsieur, et Madame ! - Récit érotique publié le 06-05-2024