Le caprice de ma femme. - histoire érotique

Nous avions choisi, pour ce 14 Juillet de changer du feu d'artifice sur le port de la ville.
On a su qu'un village organisait une fête de ce soir-là avec un bal.

On a pensé que ce serait plus sympa et moins fréquenté, il y a toujours des milliers de gens sur le port.

C'est un peu loin, mais après tout, personne ne nous attend.

Après un long moment, pour s'habituer au lieu, nous entamons une conversation avec des jeunes de notre âge.

Le temps passe, Corinne disparait quelques dizaines de minutes, puis me rejoint enfin.
Elle m'attire un peu à l'écart et m'annonce:

"Mon amour, j'ai été coquine, ce soir !".
"Ah bon ? Qu'est que tu as fait ?".

Elle m'embrasse goulûment, j'écarquille les yeux en reconnaissant le gout du sperme dans sa bouche.

"Tu m'en veux ? Quand j'ai vu ce mec qui me draguait, j'ai eu envie de sa queue !".
"Salope !".
"Hummm, oui ! Merci mon amour !".
"Par contre, tu vas devoir te remaquiller ! Tu n'as plus de rouge à lèvres et tu as des traces sur le visage".
"Oh, m... ! T'as raison, je vais à la voiture, j'ai laissé mon sac à l'intérieur !".

Elle s'y rend, puis réalise qu'elle a emprunté le chemin le plus long, elle décide de couper de l'autre côté.
En s'approchant du coin de la salle, elle entend des hommes parler de sexe.

Discrètement, elle voit un couple d'homosexuels qui discute avec un homme grand, très viril et apparemment hétéro.

"Il est pas du village ! Je l'ai jamais vu, mais si j'étais actif, je me le ferai bien ce jeune !". Dit le plus efféminé du couple.

"C'est vrai qu'il est craquant, avec son sourire et ses tatouages et puis ce que je préfère, c'est son cul ! Il donne envie de le baiser !". Dit l'autre, plus masculin.

"Dit ! Calme-toi ! je suis là !". Ajoute le premier.

Le grand annonce alors:

"J'avoue qu'il est craquant ! Ca m'arrive de baiser des jeunes comme lui, et il me plait beaucoup ! Mais il est avec sa copine ! En passant a côté d'eux, j'ai entendu qu'elle l'appelait Pascal ! C'est difficile d'éviter de draguer un jeune mec que j'ai envie de baiser".

Corinne hallucine en comprenant qu'ils parlent de moi.
Après un temps d'hésitation, elle se décide à me rejoindre en passant devant eux.
Les trois hommes lui sourient en disant bonsoir.

Elle leur rend la politesse, puis entend à voix basse, en s'éloignant:

"C'est elle, c'est sa copine !".

Ca confirme ses doutes.
Elle se rend aux toilettes de la salle pour se remaquiller, puis des idées perverses lui viennent en tête.
A son retour, elle me murmure:

"J'ai entendu 3 mecs qui parlaient de toi !".

Je la regarde étonné.

"A quel sujet, je connais personne ici !".
"Euh, tu leur plait beaucoup, il y a 2 homos et un autre, qui est bi, je pense ! Il a dit aux autres qu'il voulait te baiser !".
"Pourquoi tu me dis ça ? Je ne vois pas ou tu veux en venir !".

Elle regarde au dessus de mon épaule et ajoute:

"C'est le grand la-bas ! Regardes discrètement".

Je fais ce qu'elle me demande et reconnais un homme qui me lançait de nombreux appels des yeux.

"Ah, c'est lui, je m'en doutais !".
"T'as pas envie ? Je suis sûre qu'il a un gros sexe !".
"Quoi, là, maintenant ? Mais je suis pas venu pour ça !".
"S'il te plait, j'ai envie de te voir ! Comme ça, on se sera amusé tous les deux !".
"Je... je sais pas ! Laisses moi y réfléchir ! En plus, je ne sais pas où on peut faire ça !".
"Il y a une maison vide proche du petit bois, derrière, c'est là que j'ai vu l'autre mec ! Je vais me cacher derrière un arbre pour vous regarder".
"Ok, je vais essayer, je ne te promets rien, je vais profiter que c'est bientôt l'heure du feu d'artifice ! Y a moins de risque qu'on me surprenne !".

Elle se rend à l'endroit prévu en s'attendant à ce que la rencontre ne se passe que plus tard.
Elle se caresse déjà en repensant à la queue qu'elle a sucée.

De mon côté, je commence à répondre aux regards de l'homme, qui profite de l'absence de ma femme pour me draguer plus ouvertement.
A mes sourires et mes yeux qui deviennent pervers, il devine que cela devient possible.

Il s'approche et m'aborde.
Il voit mon regard qui scrute son entre jambe.
Je lui demande de me suivre discrètement. En sortant du bal, je reconnais l'endroit indiqué par ma femme.

En approchant, on croise quelques jeunes qui se dirigent dans la direction opposée, ils vont regarder le feu, dont les premiers lancés viennent de commencer.
Arrivés derrière la maison, l'homme me serre contre lui.

"Tu me plais beaucoup ! Tu t'appelles Pascal, c'est ça ?".
"Oui ! C'est ça !".

Je sais qu'on est pressés, et je pose directement ma main sur sa queue.
Il bande déjà, Corinne avait raison, il avait une grosse envie de moi, et il a une grosse queue.

"Oh, putain, je réalise pas que je vais te baiser ! Tu m'excites trop ! Pascal !".

Il m'aide a dégager sa queue, que j'englobe de ma gorge humide.
Le feu d'artifice éclaire nos ébats, offrant une vue parfaite à ma femme.
Elle se masturbe en voyant l'homme tenir mon visage entre ses mains pendant qu'il glisse entre mes lèvres chaudes.
Elle s'excite en entendant ses gémissements de plaisir.

Cette position la ramène à sa fellation au même endroit avec un autre homme.
Elle atteint un premier orgasme clitoridien qu'elle étouffe entre ses lèvres.
J'ai la bouche qui déborde de salive à force de me faire baiser la gorge.

Je reprends plusieurs fois mon souffle, j'aime regarder sa grosse bite foncée, elle est pleine de sang.
J'adore ce genre de sexe, ou l'on voit des tas de veines pourpres, qui prouvent que l'érection est à son maximum.
Son énorme gland est violacé, on dirait qu'il va éclater à cause de l'afflux de sang.

J' essuie sa queue avec ma main, pour récupérer de la salive, il me redresse et me tourne contre le mur.
Il fait tomber mon pantalon et mon slip.
Il a compris que c'était le moment de m'enculer, lui aussi.
Je profite de la salive encore sur ma main pour me couvrir l'anus.
Sa bite est encore couverte de l'humidité de ma longue fellation.

Il trouve facilement le point d'entrée de mon cul, il est habitué, ça se voit.
Mon anus l'est lui aussi, et il s'écartèle lentement.

J'ai déjà connu des hommes au gros sexe comme lui, mais c'est toujours plus long pour encaisser leur pénétration.
Néanmoins, il n'est pas dupe et me dit:

"Humm, t'as déjà pris des bites dans le cul, toi !".
"Arhhhh ! Oui ! T'es déçu ?".
"Non, au contraire, ça va être encore meilleur ! Elle se doute pas que t'aimes les grosses queues, ta femme, pas vrai ?".

Je sais que ça excite les hommes, cette situation, et lui ment en répondant:

"Non, elle sait pas ! Arrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhh !".

Il vient de s'enfoncer d'une traite dans mon anus écartelé.
Il me plie en équerre et me pilonne sans retenue, à fond, en me faisant crier de plaisir.
Les explosions couvrent mes cris, ma femme se met a jouir aussi de son côté, elle enfonce tous ses doigts dans son vagin qui la couvre de son jus.

Elle reconnait mes orgasmes, elle sait que je joui analement sous les assauts de l'inconnu.
Elle s'excite encore en voyant l'homme remettre sa queue dans ma bouche pour se faire lécher longuement.

Puis il s'étale au sol, et m'invite à m'empaler sur lui, Corinne a une vue parfaite de mon cul rempli par la grosse bite de cet amant.
Elle adore voir ma queue au repos et mes couilles ballottées par les assauts de l'homme au gros sexe.

Mais ce qui la rend folle d'excitation, c'est mon visage déformé par le plaisir anal que ce sexe me procure.

Elle remarque mon rythme effréné sur l'homme, sa queue disparait entièrement dans mon anus poisseux de lubrification.

Elle se met a gicler en orgasmant, tachant sa culotte entre ses jambes.

L'homme est au bord de l'explosion et me prévient en me remerciant du plaisir qu'il prend avec mon cul.

"Aahhhhhhh! Pascal, tu me fait jouir, oui! Arrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhh !".

Je bouge encore de nombreuses fois sur sa grosse bite pour tout recevoir dans mon anus.
Puis, je pense qu'il est temps de quitter sa queue, et se rhabiller avant la fin du feu.

Il me propose de nous revoir, mais je lui annonce que je ne suis pas du coin, il est triste et déçu, il aurait aimé avoir une relation suivie avec moi.

Je lui demande de me laisser pour m'arranger avant de retourner à la salle.

"Sinon, ma femme va me demander des explications!".
"Ok, je te laisse !".

Une fois parti, je cherche Corinne, elle se baisse pour enlever sa culotte.
Intrigué, je lui demande pourquoi.

"J'étais trop excitée, j'ai giclé ! C'est gênant ! Mais c'était énormément bon !".
"Ah, c'est vrai que tu es une femme fontaine, maintenant !".
"J'ai adoré ! Et toi, t'as bien joui, j'ai vu !".
"Oui, il baise bien ! Dommage qu'il habite trop loin ! Il voulait qu'on se revoit ! Je ne peux pas !".

La soirée s'écoule, puis nous quittons l'endroit, on croise l'homme qui parle avec le couple homo.

Le plus efféminé me dit:
"Au revoir, beau jeune homme ! Je pense que la soirée a été très agréable !".

C'est Corinne qui lui répond:
"Oui, très ! Merci ! Au revoir !".

J'échange un dernier sourire avec l'inconnu avant de partir.
Corinne s'arrête brusquement, puis me demande de l'attendre.
Elle revient enfin et nous quittons le bal.

Deux semaines plus tard, j'ai la surprise d'un appel en matinée alors que Corinne fait des courses au marché.

"Allo ?".
"Bonjour, c'est Pascal?".
"Oui ! Qui est-ce ?".
"C'est ta femme qui a laissé ton numéro, elle voulait qu'on la prévienne, si il y avait d'autres soirées comme au feu d'artifice ! Bon! Je t'avoue que c'est pas le cas, mais j'ai sauté sur l'occasion d'avoir ton numéro ! J'ai encore envie de baiser avec toi, pas toi ?".

Je comprends qu'elle a réussi son coup avec cette excuse, elle voulait lui donner l'occasion de me revoir.

"Euh, je ne m'y attendais pas ! Tu es trop loin, non ?".
"Je suis dans le coin ! On peut s'arranger, dis-moi ou tu habites, je passe te prendre !".

Après une courte hésitation, je lui donne mon adresse, et je pars avec lui, afin qu'il me baise dans une maison désaffectée proche de chez moi.

En rentrant, Corinne s'étonne de mon absence.

"Tu étais ou ?".
"Ou j'étais ? Sur la bite de Sylvain ! Voilà ou j'étais ! C'est comme ça que s'appelle le mec du bal du 14 Juillet ! C'est ce que tu voulais Non !".
"Ohhh, désolée, mon amour, mais t'a adoré ça, non ? Il t'a bien enculé encore, J'en suis sûre !".
"Euh, oui, tu sais que j'aime ça ! On va recommencer, je pense !".
"C'est super ! Tu peux baiser ici, si tu veux, il suffit que tu me préviennes !".
"Ok, on verra ! Mais ça me fait toujours drôle de me faire baiser quand je ne suis pas en manque de ça !".
"Moi aussi, je dois baiser avec mes amants quand j'en ai pas besoin, mais je tiens à garder le lien, il faut entretenir la relation. Et puis le plaisir vient en baisant, non ?".
"C'est sûr !".