LE CHANTIER (27) - histoire érotique

C’est dans ma maison des plaisirs que je reçois Soso et Criss les amis bordelais de mes filles libertines comme elles.
Eliane vient de m’expliquer comment Pierre, notre maire parti pour d’autres cieux à falsifier notre acte de mariage quoique notre amie ignore qu’il a fait cette démarche sans me demander mon assentiment.

• Oui, Valérie que nous veux-tu ?
• Je vous présente Eliane, une amie de Nadia et quatrième louve de la bande.
• Je vais leur donner leur collier lorsque je sortirai de l’eau, ils sont restés dans ta voiture.
• Eliane vient nager un peu avec moi, Soso voudrait que Valérie lui fasse visiter l’ensemble de la maison.

Eliane plonge dans l’eau et pour éviter que mon amie retourne aux marches pour sortir je lui tant la main et la tire à moi.
Soso ne fait aucun effort pour que nos corps évitent de venir en contact lorsque sur l’élan que je lui ai donné, elle se trouve collée à moi.
Nos regards se jaugent et nos corps frissonnent, certes, par le contact de l’eau sur le corps de ma belle mais aussi par le courant électrique qui passe entre nous d’un coup.
Soso tourne un dernier regard vers Criss qui nous observe en nageant sur le dos suivi par Eliane qui ne peut rien ignorer de la verge de notre ami qu’elle a à quelques centimètres de ses mains lorsqu’elle brasse.
Le petit signe qui lui fait, montre que mon amie a l’assentiment de son mari pour aller batifoler avec moi.
Je comprends mieux pourquoi ce couple libertin depuis plus de vingt ans fonctionne.
Ni l’un ni l’autre n’engagent une action sans que l’autre ait donné son accord tacite évitant ainsi les risques à un moment où un autre que l’une ou l’autre trompe l’autre.

• Viens, je vais te faire voir ma cave des plaisirs.

Au moment où je tourne la tête perdant la vision de Criss et Eliane, je les vois rejoindre Nadia qui les attend assise sur les marches de la piscine.
La porte de la cave est ouverte et éclairée et lorsque nous arrivons au bas des marches, Petrov est déjà là avec Maryse attachée à l’une des croix.
Actuellement, il profite de ce que son amie ne puisse se défendre pour lui lécher la chatte sa position les jambes écartées lui interdisant de se défendre.
Nous faisons le tour de la salle Soso admirant les appareils voulant les essayer systématiquement.
Elle va même jusqu’à entrer dans une cage en tirant la porte pour voir l’effet que l’enfermement doit donner.

• Restées des heures dans ces positions doivent être très jouissives à la longue.
• En tirant la porte à toi, tu l’as fermé et regardes, tu es coincé moi seul peu t’ouvrir, j’adore le joli cougar qui vient de se prendre à son propre piège.

Je quitte notre nouvelle amie malgré ses petites demandes que je feins d’ignorer.

• Valérie, nous sommes là pour quelques heures, j’aimerais que t’attacher près de ton amie.

On a le temps pour exécuter sa requête, je m’approche du couple et je viens caresser les seins de Maryse que je tourne comme pour lui arracher.

• Aie, si c’est pour me faire mal que tu t’approches de nous va plutôt t’occuper de ta salope qui semble être dans la catégorie hors normes du côté du cul.
D’ailleurs, il forme un joli couple ensemble, l’un et l’autre ont des regards d’envie chaque fois qu’ils nous regardent.
Soso, je t’adore.
• Moi aussi ma biche demande à Valérie de venir me délivrer.
• Si tu crois que je peux imposer à Valérie quoi que ce soit, tu te mets le.
• Oui, j’ai compris jusqu’au coude.
Petrov, toi qui es un bel homme, vient !
• Petrov actuellement boit à la source de Maryse et en aucun cas il quittera sa jolie chatte.
• Dans quelle maison nous sommes tombés où les invités sont ainsi maltraités,

Je prends pitié de Soso surtout lorsque je vois Maryse fermer les yeux une fulgurance devant traverser son corps à la suite du traitement que lui inflige Petrov.

• Chérie, tu as bien joui, je vais t’enfiler.

Petrov se redresse et la verge tendue à fond lui introduit directement dans le vagin.

• Oui, mets-moi bien profond, tu vois comme je t’aime et tu vois comme j’aime être entièrement à ta merci.

Avant de retourner m’occuper de Soso, je remonte prestement les marches et arrivée à la porte, je lui décris la scène que je contemple.

• Soso Criss à ce que je vois prend Nadia en levrette alors que la petite lèche Eliane, il donne de grands coups de reins à notre amie qui de la manière dont elle tortille son joli petit cul a l’air de bien apprécier la verge de ton mari.
Attends cela évolue. À oui, il est sorti sans avoir lâché son sperme, sa capote est vide.
Tu sais ce qu’il fait.
• Je m’en fiche viens me libérer.
• Attends, Nadia prend la place d’Eliane et Eliane se met, en levrette.
Criss y a été direct, mais la belle semble apprécier par les cris de plaisir qu’elle émet.
Veux-tu que j’aille voir si elle la baise ou si elle la sodomise ?
• Je te hais, je vais t’arracher les yeux lorsque je sortirai.

Je retourne vers la cage sans me presser regardant Soso droit dans les yeux et je passe une main entre les barreaux pour lui caresser tendrement un sein.

• Tu profites de mon impossibilité de bouger pour me torturer, relâche-moi et je te promets que nous allons passer un moment de grande intensité, j’ai envie de te mordre la chatte et de te faire jouir autant que je le pourrais.
• Je croyais que tu voulais m’arracher les yeux !
• On parle de chose sous le coup de la colère que l’on regrette d’avoir dit quelques minutes après, ouvre-moi.

Je finis par céder et l’aide à ce déplié ce qui est assez difficile malgré le peu de temps qu’elle a passé dedans comparé à moi qui y ai été vraisemblablement une nuit entière.

• Viens retournons vers les chambres, il est temps de nous aimer.

En remontant les marches quatre à quatre j’ai le temps de voir Maryse avoir des soubresauts certainement dus à l’orgasme que Petrov a su lui apporter, nul doute que ces deux-là ont bien su se trouver et formeront un couple aussi uni que nos invités dès que Petrov obtiendra le droit d’être Français.
Arrivé à la piscine, celui que j’ai perdu de vue depuis un moment, pourtant l’homme le plus important pour moi Christian a rejoint nos trois amis et les deux hommes négligemment allongés au bord de l’eau se font sucer la queue par nos deux naïades que je vois que de dos mais qui semble apprécier les beaux morceaux qu’elles avalent goulûment.
L’escalier de la cave est monté rapidement, c’est encore plus vite que nous rejoignons l’étage.
La première chambre à nous recevoir fait parfaitement l’affaire, car l’envie de nos corps et surtout de nos intimités a atteint des sommets qu’il nous faut assouvir dans les meilleurs délais.
En tombant sur le lit Soso m’exposent tous ses trésors les plus intimes.
Sa chatte nue de pilosité fait ressortir la forme de mangue que forment ses grandes lèvres où se trouve son clitoris pour le moment bien protégé dans son fourreau.
J’adore la forme de son intimité, car j’aime beaucoup moins les grandes lèvres ressemblant aux oreilles du prince anglais vivant dans la petite culotte de sa maîtresse.
Depuis que je me gouine avec des femmes même si je suis moins doué que ma petite Nadia, j’ai acquis une pratique qui semble plaire à Soso qui me laisse sans aucun problème lui lécher l’intérieur de son intimité.

• Viens Valérie, donne-moi ta chatte.
• Oui, mais viens sur moi, je veux sentir le poids de ton corps.

Je dois dire que je mets beaucoup de mauvaise foi, lécher la chatte de mon amie de haut en bas est plus rapidement jouissif pour moi que de la lécher de bas en haut.
Je sens qu’elle écarte mes grandes lèvres très près de celle aux grandes oreilles que de la mangue de Soso.
De mon côté, ma langue en fouillant bien profondément tous ses recoins trouve le bouton de ma copine que je prends même avec les dents le croquant juste ce qu’il faut pour faire avoir un mouvement du corps à celle qui dès maintenant j’appelle ma maîtresse.
Les sentiments que j’ai pu éprouver en entendant simplement le son de sa voix au téléphone les jours derniers font place à un sentiment de complicité qui fait de nous l’égale l’une de l’autre, finit la lutte du pouvoir sur l’une ou l’autre, cette soirée aura le mérite de faire voir que nous sommes une tribu à partir de ce jour.
Pendant que je philosophe, nos corps réagissent sainement à nos profonds baisers ainsi qu’à nos doigts qui sont venues retrouver nos langues dans nos chattes ruisselantes de cyprines.
Nous roulons sur le lit de droite à gauche agrippé l’une à l’autre jusqu’au moment où j’ai le plaisir de ressentir en même temps que ma nouvelle grande amie un orgasme aussi bon que d’autres mais que j’ai toujours le plaisir de ressentir.
Une salve d’applaudissements ponctue, nos cris de jouissance.
Tous nos amis sont remontés même ceux de la cave et tout entier concentré à ce que nous nous faisions ni moi ni Soso n’a soupçonné leur présence à nous mater.
Vous nous excuserez, mais il nous faut du temps pour revenir auprès de la bande.
Lorsque nous revenons complètement sur terre, je les entraîne pour visiter la seule partie de la maison hormis la chaufferie qu’ils n’ont jamais-vu.
Redescendu à hauteur de la piscine, j’appuie sur le bout du doigt pour ouvrir la porte.
La salle de contrôle puis l’appartement les interpellent comme la discussion que nous avons sur le Jacuzzi qu’aucun de nous n’a pratiqué, mais qui les impressionne surtout par sa taille.
Je vois Criss jauger les murs et les surfaces des pièces.
Il semble avoir une idée mais la garde pour lui.

• Je vous propose de fermer mon lupanar et d’aller jusque chez moi, Nadia à eux la bonne idée de faire des courses pendant mon absence chez le notaire de Toulouse, ce matin.
Tous habillés je ferme la porte et le gros de la troupe fait les quelques mètres à pied pendant que je ressors ma voiture et l’amène devant chez moi.
Deux belles quiches Lorraine et une pizza congelée rassasient tous ces grands baiseurs qui se sont dépensés sans compter depuis le début de soirée.
Il nous manque le pain, mais un paquet de biscottes nous permet de prendre du fromage avant des fruits de saison constituée de pommes de poires mais aussi de deux belles mangues clin d’œil à la chatte de Soso broutée avec envie tout à l’heure.

• Valérie, que te fait penser cet héritage bien étrange.
• À part nous éclater de temps en temps j’attends vos idées si vous en avez.

Je vois une fois de plus Criss sur le point de prendre la parole.

• Vas-y Criss, je sens que, depuis quelque temps tu penses à quelle chose, même si l’ensemble retoque ta proposition, cela peut être une base pour une idée.
• Ok, j’accepte le deal.
• On t’écoute.
• Si cette villa après quelques travaux, que je vous expliquerais, tu la transformes en club échangiste, ta commune serait valorisée vue le nombre de libertins qui augmente dans notre pays et surtout sur nos régions grâce au soleil...