Le garçon du gîte 2
Récit érotique écrit par Caramel35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le garçon du gîte 2
Nos hôtes nous informent qu'ils seront absents ce soir.
" Si vous avez besoin de quelque chose, Kévin sera là."
Kévin ne laisse rien paraître devant ses parents. Il a compris, lui aussi, l'opportunité pour ce soir. La fellation gourmande qu'il nous a faite amplifie son envie d'aller encore plus loin.
Il n'a d'yeux que pour David, maintenant qu'il sait qu'il est superbement monté. Il n'a plus peur de son gabarit imposant, de son air de manouche, de sa pilosité abondante.
Ah, les jeunes; tous les mêmes… ils ne voient que par la taille du sexe.
Comme prévu, nous partons vers le village. La terrasse d'un bistrot sympa s'offre à nous… Vu l'heure, il est trop tard pour faire une randonnée alors autant lézarder au soleil.
David me caresse des yeux et se retient de gestes tendres envers moi, pour ne pas gêner nos voisins de terrasse. C'est notre harmonie à nous…
A part les touristes en ce début de saison, chacun vaque à ses occupations. Quelle n'est pas notre surprise de nous faire klaxonner par une voiture qui passe là. Ce sont les parents de Kévin qui partent chez leurs amis pour passer la soirée.
Comme un signal qui nous indique que la voie est libre, David et moi, nous nous regardons et comprenons qu'il faut profiter de cette "fenêtre de tirs", expression très appropriée.
Les batteries sont rechargées… n'avons-nous pas une mission à remplir, ramoner un jeune qui ne demande que ça. David bande déjà, chaud bouillant, et remet sa queue en place.
Bien évidemment, à notre retour, Kévin est seul, détendu, ouvert, souriant, dispo.
Mon homme y va franco, le serre dans ses bras et lui roule une pelle des plus viriles. Il sait y faire, à imposer sa langue épaisse dans la bouche, à s'en servir comme d'un anesthésiant.
Notre jeune passif vacille sous son emprise, incapable de résister à mon beau mâle que j'aime tant. Soumis, totalement sous la coupe de mon homme, ses bras s'accrochent à son corps, à sa carrure imposante, au poids sans doute pas loin du double du sien.
" Viens"
Il l'entraîne dans notre chambre, là ou nous serons tous plus à l'aise. Les vêtements s'éparpillent ça et là et les corps s'exposent, sans aucune pudeur.
Les sexes sont dressés, fiers, tels des étendards avant d'engager la partie…
" Viens, Bébé.
David m'enlace et étale toute sa tendresse sur moi, devant Kévin qui nous rejoint. Mon homme connaît son devoir et veut me montrer toute l'importance qu'il attache à ma participation, à mon acceptation pour ce genre de réunion extra conjugale.
Nos trois langues mélangent nos salives, les corps se frottent, les sens se perdent dans ce bonheur confus. Je surprend Kévin à caresser le ventre ferme de mon homme et à farfouiller dans ses poils drus en même temps qu'il me frotte les reins…Il se lâche, le bougre!
Sur le lit, les corps s'étalent. Kévin nous suce avec délice, avec gourmandise. Je lui rend la politesse mais il me fait comprendre qu'il a peur de ne pas se maîtriser alors je n'insiste pas. L'effet d'avoir deux hommes pour lui doit lui tourner un peu la tête.
Installé entre les jambes de David, il honore son bel attribut, qui l'a tant ébloui cet après midi. Puis, complètement disjoncté, enragé, il s'en va sur les tétons de mon homme, lèche ses poils, lèche ses aisselles, pris d'une frénésie à tout va…tel un passif en manque.
Ma langue parvient à son petit trou lisse. Moi qui aime tant celui si touffu de mon homme, celui là, rose poudré, d'une fraîcheur d'adonis, semble débarqué d'une autre planète. Dès mon premier passage sur l'œillet à peine éclos, il minaude, se tortille de bonheur. Son corps se prête à l'action pendant que ma salive s'étale sur sa fleur qui ne demande qu'à éclore.
Mon homme l'enserre dans ses bras puissants. Il sait parfaitement ou je vais aller. Il se régale déjà de voir le visage de Kévin grimacer et s'épanouir lorsque je vais l'embrocher.
Collé à David et le cul offert à mes envies, il se laisse préparer. Le braquemart de mon homme perle et bavouille tant le déroulé de l'action lui plaît. Ah, c'est pas l'envie qui lui manque de prendre ma place!
Chaussé d'une capote, mon gland se positionne dans l'ouverture. D'une petite poussée, j'imprime ma présence… Kévin émet un petit cri de puceau… David l'étreint, lui roule une pelle baveuse, la plus dégoulinante possible…pour l'empêcher de cogiter, de se contracter.
La rondelle se distend progressivement… mon chibre glisse un peu, s'introduit… Kévin se cabre sous l'intrusion… sa main tente de contrôler l'avancée des travaux bien engagés, déjà à la moitié… Il touche ma cuisse, essaie de ralentir la manœuvre….
" C'est bon quand ça rentre! hein? …lui demande David, ivre d'envie de le niquer.
" Elle est trop grosse!" …répond t'il, confus, pour David et moi.
" Ca va rentrer, t'inquiètes.
David, vicelard, rayonne, jubile. Il adore me voir imposer ma virilité à un passif. Ses yeux brillent de satisfaction, de savoir que je nique un passif.
Un peu de gel, quelques petits mouvements érotiques... La nature fait son œuvre, la rondelle abdique, la corolle s'ouvre… mon manche glisse… glisse jusqu'aux couilles et je m'affale sur lui, vainqueur pendant qu'un long cri lui échappe, un beau cri de bonheur… un cri de passif comblé, ébahi de sentir mon bambou lui remplir l'anus…. Mes couilles contre son cul lisse, il se sait enculé.
" T'en avais trop envie! lui dit David, chaud bouillant.
" Elle est rentrée? me demande t'il dans un souffle, pour que je confirme.
" Oui, je te l'ai mise. Ton p'tit cul est serré, dis donc!
" Elle est grosse, tu m'a défoncé!
" Tu rigoles, c'est rentré tout seul!" lui dit David, en extase. " Ton pote étudiant, il t'a bien baisé? il en avait une grosse? mais il ne répond pas… " Bébé, c'est toi le meilleur! vas y, fait lui un petit! …me dit-il, très fier de moi.
J'entame un va-et-vient, qui le fait couiner, au grand régal de mon homme qui adore ce genre de plaintes. Pris d'une folie furieuse, il lui dévore la bouche, lui pince les tétons pour le faire se tortiller encore davantage pendant que je le pistonne de ma trique en feu.
L'attitude de David me transcende; mon homme est heureux, exalté par cette baiserie qui se passe contre lui, sur lui. Les cris de passif soumis et dominé, les grognements, les souffles saccadés…tout se mêle. Ces odeurs de transpiration et de sexes qui se dégagent, ce mélange des corps, mes couilles qui viennent plaquer à chaque saccade des reins…la copulation est merveilleuse… Les corps enfiévrés s'ébattent sans aucune gêne…Je me surpasse pour étaler mes capacités d'actif et baiser avec fougue cet éphèbe en chaleur.
Kévin, pris entre nous deux, couine bruyamment son bonheur, sans retenue. Il finit par arriver sur la crête; ses sens se perdent. Perdu par le ramonage que je lui fais dans le conduit et mon homme qui lui a saisi la bite et le branle, il crie soudain plus fort. Il jouit sur mon David, lui englue les poils du ventre, lui badigeonne le poitrail.
" Tu prends ton pied, mon salaud! …lui gueule David, exalté, qui continue, euphorique, à vouloir diriger la partouze. " Bébé, jute lui dans le cul, il est chaud! "
Kévin lâche prise, lessivé, noyé dans son bonheur, surpris de prendre autant de plaisir. David est émerveillé du moment. Une fois parti, c'est un gros dégueulasse et le sperme partout, les bites raides et les culs en feu, il aime sans retenue. Aussi, lorsque je jouis dans la foulée, il est comme fou et n'a plus qu'une seule obsession, gicler sans tarder, avoir sa dose de jouissance.
" Bébé, vide moi les couilles! Donnes moi ton cul!
Kévin n'a pas le temps ni la force de réagir pendant la redistribution des rôles. Me voilà sur le ventre et David vient me couvrir. Rien de tel qu'une position classique pour parer à l'urgence et satisfaire mon homme. Sans manière, devant Kévin qui reste ébloui par ce porno qui se passe avec lui, David saisit son manche à pleine main et m'encule.
Mon homme se sait aimé, désiré. Son solide braquemart ouvre mon œillet et rentre dans son étui, sans violence et aussi sans faiblesse. L'introduction est harmonieuse, sans à-coups.
David m'honore de toute sa puissance pour soulager son besoin de mâle.
Il ne parle plus, il se cramponne de tout son poids sur moi, pour amener son sexe à l'explosion. Enchâssé en moi, il me lime, m'astique, beugle sa force, disjoncté d'envie et d'amour, se bloque, braille un merveilleux soulagement de mâle reproducteur…
" Oh, Putain, c'est trop bon"…et finit, essoufflé, par un " Bébé, je t'aime! …accompagné d'un tendre câlin plein de bave collante…
Je sais qu'il m'a rempli de son sperme, qu'il m'a fécondé de tout son amour. Puis il bascule sur le côté, soulagé, heureux. Il rigole de voir Kévin muet d'admiration.
" Ca fait du bien! Qu'est ce que t'en penses?
" Oui" répond t'il, en regardant le bambou encore rigide de mon homme.
Il voit qu'il m'a enculé sans capote avec son beau manche épais et qu'il m'a jouit dans le cul. Pour lui, c'est miraculeux.
Nous restons quelques minutes allongés sur le lit, le temps de reprendre notre souffle.
C'est David qui donne le top pour aller prendre une douche. Il en profite pour passer son majeur dans le cul de Kévin, qui se prête au jeu. Ce serait ridicule d'être pudique.
" Mon Laurent t'a bien dilaté la rondelle! T'as aimé?
" Oui, c'était trop bon.
" J'ai envie de t'la mettre, moi aussi.
" Elle est trop grosse, la tienne!
" Tu rigoles. T'a vu, Laurent, je lui l'ai mise sans problème.
" Oui, mais il a l'habitude. Tu vas m'défoncer.
" Je vais y'aller doucement. Tu m'dis quand tu veux.
David n'insiste pas… il sent l'envie, qui est là, mais pas encore assez. Il adore les mecs en rut total, qui feraient n'importe quoi pour se faire niquer.
On boit un coup car ces ébats donnent soif et on se prépare à aller manger dans un petit resto du coin. Mon homme ne fera pas une croix là-dessus: la bouffe, c'est sacré.
Sur les conseils de notre "enculé", nous allons quelques kilomètres plus loin. Vraiment, nous ne sommes pas déçus: Merci Kévin.
A notre retour, assez tard, repus et "en forme", il est temps d'aller au lit; demain, pour nous, c'est randonnée. Les parents de Kévin, revenus de chez leurs amis, enchantés que l'on ait invité leurs fils au resto, nous remercient chaleureusement puis chacun rejoint sa chambre.
Désireux de ne rien louper de ses envies, de profiter de l'opportunité de notre présence chez lui, Kévin, trop excité et sachant ses parents endormis, nous rejoint…c'était prévisible!
Il referme la porte, en évitant de faire du bruit, et viens entre nous deux dans notre lit.
Il s'empresse de nous sucer la bite et surtout celle de mon homme. A l'entendre grommeler son bonheur, je sais que David apprécie. Je lèche le cul de Kévin puis décide de le préparer en lui mettant du gel, en le fourrant de mes doigts.
En demande, il s'ouvre, s'offre sans retenue. Sa rondelle est plus souple, sans tension.
Pour me remercier il vient me bécoter. David en profite pour chausser une capote, se coller dans son dos, le serrer dans ses bras. Je sais exactement ce qui va se passer…
Avec sa force herculéenne, mon homme le plaque sur le ventre et vient le couvrir. Kévin comprend, accepte et tente de parler mais David lui a mis sa grosse poigne sur la bouche. Le superbe braquemart a pris sa place entre les jeunes fesses et va forer ce cul en chaleur.
Kévin sait qu'il va se faire enculer. Il en était conscient en rentrant dans la chambre, il est venu pour ça. L'envie était trop forte.
J'assiste au meilleur moment du week-end, au moment que mon homme a tant espéré. Notre jeunot se retient de gémir, pour que ses parents, leur chambre au rez de chaussée, n'entendent pas et, de toute façon, il est empêché de le faire.
David étale son bonheur et lui sort dans l'oreille, à voix basse, des propos dignes de faire bander un régiment, qui me renseignent sur l'état d'avancement de l'enculage.
Grâce au gel, le gros mandrin a trouvé et ouvert la porte. Mon David, tel un gros étalon, lui a déjà emboîté son braquemart dans le conduit. Je suis très fier de lui et me branle pour augmenter encore ma perception de son plaisir. Il savoure les couinements étouffés du jeune enculé. Par petites pressions, il s'enfonce irrémédiablement en lui, ne lui laissant pas le choix.
Il lui demande, dans l'oreille: "Tu aimes, tu la sens bien? Consentant, enculé, dominé, il opine de la tête par bravoure, se laisse lécher la gueule, complètement soumis. La bite épaisse de mon Doudou, ça se mérite. Ses yeux ébahis, son visage rouge montrent le tiraillement de son corps qui se soumet à cette saillie virile.
David continue par des va-et-vient enrobés de mots crus, en lui léchant les oreilles, en bavant sur lui, toujours sa main sur la bouche de Kévin pour ne pas ameuter la maisonnée. Tel qu'il le fait avec moi, il honore ce jeune corps en demande et le soumet à sa volonté.
Les coups de reins deviennent francs, puissants, mon homme jubile de sa réussite, lui demande, comme une provocation:
" Tu veux que j'arrête?
En réponse, Kévin caresse le bras poilu de mon homme, comme un signe d'acceptation et de don de son corps. Dans un ultime effort, ses fesses se soulèvent, pour mieux se faire enculer.
Il reçoit alors un déluge de coups de reins bien profonds, se fait niquer comme il n'a dû jamais l'être depuis sa première fois.
Le plaisir est partagé, le plaisir est ultime… Vainqueur, David lui laboure les reins et tourne sa tête vers moi. Nos lèvres se collent d'amour pendant que son corps active et active encore.
Quinze minutes, vingt minutes d'astiquage profond, je ne saurais dire: on sent qu'il a eu sa dose, qu'il demande grâce, que son cul est en compote…et qu'il a jouit.
David se retire, enlève sa capote, l'oblige à venir le téter. Le sperme gicle et va gaver la bouche asséchée; Il accepte tout. Après tout, cet après midi, il avait déjà tout avalé.
Heureux, satisfait, mon homme se penche vers moi et enfourne mon sexe dans sa bouche. Je suis trop excité, je l'aime trop, je ne le décevrai pas…il avale mon jus sans rien perdre, sans bâcler le travail et vient ensuite me donner un tendre bisou, comme une preuve d'amour.
Puis il s'allonge sur le lit, dans toute sa splendeur. Il a tout donné, la mission est accomplie, il va dormir maintenant. Il est balèze mais ce n'est pas un surhomme non plus, faut pas abuser.
Kévin comprend que la sauterie est finie. Il ne sait plus ou il a jeté son pyjama. Il a mal au cul, il se tâte. Il s'excuse pour les dégâts qu'il a fait. Mais, prévoyants, comme à chaque fois qu'on a un "invité" dans notre lit, on met une grande serviette pour protéger.
" Bonne nuit, Merci " dit-il tout bas, super satisfait du moment passé avec nous. (c'est toujours drôle de recevoir un Merci par un mec qu'on vient de baiser)" A demain" A demain
et il retourne dans sa chambre, en faisant le moins de bruit possible.
Je m'allonge contre mon chéri qui referme un bras sur moi. Je passe la main sur son visage, lui caresse sa barbe de trois jours. Il se tourne légèrement pour recevoir un baiser. Maintenant, nous allons dormir…
Caramel35Merci pour les nombreux messages que vous m'avez envoyés directement, pour la première partie de cette histoire.
Les meilleurs coups sont quelquefois là ou on les attend le moins. Il faut profiter.
" Si vous avez besoin de quelque chose, Kévin sera là."
Kévin ne laisse rien paraître devant ses parents. Il a compris, lui aussi, l'opportunité pour ce soir. La fellation gourmande qu'il nous a faite amplifie son envie d'aller encore plus loin.
Il n'a d'yeux que pour David, maintenant qu'il sait qu'il est superbement monté. Il n'a plus peur de son gabarit imposant, de son air de manouche, de sa pilosité abondante.
Ah, les jeunes; tous les mêmes… ils ne voient que par la taille du sexe.
Comme prévu, nous partons vers le village. La terrasse d'un bistrot sympa s'offre à nous… Vu l'heure, il est trop tard pour faire une randonnée alors autant lézarder au soleil.
David me caresse des yeux et se retient de gestes tendres envers moi, pour ne pas gêner nos voisins de terrasse. C'est notre harmonie à nous…
A part les touristes en ce début de saison, chacun vaque à ses occupations. Quelle n'est pas notre surprise de nous faire klaxonner par une voiture qui passe là. Ce sont les parents de Kévin qui partent chez leurs amis pour passer la soirée.
Comme un signal qui nous indique que la voie est libre, David et moi, nous nous regardons et comprenons qu'il faut profiter de cette "fenêtre de tirs", expression très appropriée.
Les batteries sont rechargées… n'avons-nous pas une mission à remplir, ramoner un jeune qui ne demande que ça. David bande déjà, chaud bouillant, et remet sa queue en place.
Bien évidemment, à notre retour, Kévin est seul, détendu, ouvert, souriant, dispo.
Mon homme y va franco, le serre dans ses bras et lui roule une pelle des plus viriles. Il sait y faire, à imposer sa langue épaisse dans la bouche, à s'en servir comme d'un anesthésiant.
Notre jeune passif vacille sous son emprise, incapable de résister à mon beau mâle que j'aime tant. Soumis, totalement sous la coupe de mon homme, ses bras s'accrochent à son corps, à sa carrure imposante, au poids sans doute pas loin du double du sien.
" Viens"
Il l'entraîne dans notre chambre, là ou nous serons tous plus à l'aise. Les vêtements s'éparpillent ça et là et les corps s'exposent, sans aucune pudeur.
Les sexes sont dressés, fiers, tels des étendards avant d'engager la partie…
" Viens, Bébé.
David m'enlace et étale toute sa tendresse sur moi, devant Kévin qui nous rejoint. Mon homme connaît son devoir et veut me montrer toute l'importance qu'il attache à ma participation, à mon acceptation pour ce genre de réunion extra conjugale.
Nos trois langues mélangent nos salives, les corps se frottent, les sens se perdent dans ce bonheur confus. Je surprend Kévin à caresser le ventre ferme de mon homme et à farfouiller dans ses poils drus en même temps qu'il me frotte les reins…Il se lâche, le bougre!
Sur le lit, les corps s'étalent. Kévin nous suce avec délice, avec gourmandise. Je lui rend la politesse mais il me fait comprendre qu'il a peur de ne pas se maîtriser alors je n'insiste pas. L'effet d'avoir deux hommes pour lui doit lui tourner un peu la tête.
Installé entre les jambes de David, il honore son bel attribut, qui l'a tant ébloui cet après midi. Puis, complètement disjoncté, enragé, il s'en va sur les tétons de mon homme, lèche ses poils, lèche ses aisselles, pris d'une frénésie à tout va…tel un passif en manque.
Ma langue parvient à son petit trou lisse. Moi qui aime tant celui si touffu de mon homme, celui là, rose poudré, d'une fraîcheur d'adonis, semble débarqué d'une autre planète. Dès mon premier passage sur l'œillet à peine éclos, il minaude, se tortille de bonheur. Son corps se prête à l'action pendant que ma salive s'étale sur sa fleur qui ne demande qu'à éclore.
Mon homme l'enserre dans ses bras puissants. Il sait parfaitement ou je vais aller. Il se régale déjà de voir le visage de Kévin grimacer et s'épanouir lorsque je vais l'embrocher.
Collé à David et le cul offert à mes envies, il se laisse préparer. Le braquemart de mon homme perle et bavouille tant le déroulé de l'action lui plaît. Ah, c'est pas l'envie qui lui manque de prendre ma place!
Chaussé d'une capote, mon gland se positionne dans l'ouverture. D'une petite poussée, j'imprime ma présence… Kévin émet un petit cri de puceau… David l'étreint, lui roule une pelle baveuse, la plus dégoulinante possible…pour l'empêcher de cogiter, de se contracter.
La rondelle se distend progressivement… mon chibre glisse un peu, s'introduit… Kévin se cabre sous l'intrusion… sa main tente de contrôler l'avancée des travaux bien engagés, déjà à la moitié… Il touche ma cuisse, essaie de ralentir la manœuvre….
" C'est bon quand ça rentre! hein? …lui demande David, ivre d'envie de le niquer.
" Elle est trop grosse!" …répond t'il, confus, pour David et moi.
" Ca va rentrer, t'inquiètes.
David, vicelard, rayonne, jubile. Il adore me voir imposer ma virilité à un passif. Ses yeux brillent de satisfaction, de savoir que je nique un passif.
Un peu de gel, quelques petits mouvements érotiques... La nature fait son œuvre, la rondelle abdique, la corolle s'ouvre… mon manche glisse… glisse jusqu'aux couilles et je m'affale sur lui, vainqueur pendant qu'un long cri lui échappe, un beau cri de bonheur… un cri de passif comblé, ébahi de sentir mon bambou lui remplir l'anus…. Mes couilles contre son cul lisse, il se sait enculé.
" T'en avais trop envie! lui dit David, chaud bouillant.
" Elle est rentrée? me demande t'il dans un souffle, pour que je confirme.
" Oui, je te l'ai mise. Ton p'tit cul est serré, dis donc!
" Elle est grosse, tu m'a défoncé!
" Tu rigoles, c'est rentré tout seul!" lui dit David, en extase. " Ton pote étudiant, il t'a bien baisé? il en avait une grosse? mais il ne répond pas… " Bébé, c'est toi le meilleur! vas y, fait lui un petit! …me dit-il, très fier de moi.
J'entame un va-et-vient, qui le fait couiner, au grand régal de mon homme qui adore ce genre de plaintes. Pris d'une folie furieuse, il lui dévore la bouche, lui pince les tétons pour le faire se tortiller encore davantage pendant que je le pistonne de ma trique en feu.
L'attitude de David me transcende; mon homme est heureux, exalté par cette baiserie qui se passe contre lui, sur lui. Les cris de passif soumis et dominé, les grognements, les souffles saccadés…tout se mêle. Ces odeurs de transpiration et de sexes qui se dégagent, ce mélange des corps, mes couilles qui viennent plaquer à chaque saccade des reins…la copulation est merveilleuse… Les corps enfiévrés s'ébattent sans aucune gêne…Je me surpasse pour étaler mes capacités d'actif et baiser avec fougue cet éphèbe en chaleur.
Kévin, pris entre nous deux, couine bruyamment son bonheur, sans retenue. Il finit par arriver sur la crête; ses sens se perdent. Perdu par le ramonage que je lui fais dans le conduit et mon homme qui lui a saisi la bite et le branle, il crie soudain plus fort. Il jouit sur mon David, lui englue les poils du ventre, lui badigeonne le poitrail.
" Tu prends ton pied, mon salaud! …lui gueule David, exalté, qui continue, euphorique, à vouloir diriger la partouze. " Bébé, jute lui dans le cul, il est chaud! "
Kévin lâche prise, lessivé, noyé dans son bonheur, surpris de prendre autant de plaisir. David est émerveillé du moment. Une fois parti, c'est un gros dégueulasse et le sperme partout, les bites raides et les culs en feu, il aime sans retenue. Aussi, lorsque je jouis dans la foulée, il est comme fou et n'a plus qu'une seule obsession, gicler sans tarder, avoir sa dose de jouissance.
" Bébé, vide moi les couilles! Donnes moi ton cul!
Kévin n'a pas le temps ni la force de réagir pendant la redistribution des rôles. Me voilà sur le ventre et David vient me couvrir. Rien de tel qu'une position classique pour parer à l'urgence et satisfaire mon homme. Sans manière, devant Kévin qui reste ébloui par ce porno qui se passe avec lui, David saisit son manche à pleine main et m'encule.
Mon homme se sait aimé, désiré. Son solide braquemart ouvre mon œillet et rentre dans son étui, sans violence et aussi sans faiblesse. L'introduction est harmonieuse, sans à-coups.
David m'honore de toute sa puissance pour soulager son besoin de mâle.
Il ne parle plus, il se cramponne de tout son poids sur moi, pour amener son sexe à l'explosion. Enchâssé en moi, il me lime, m'astique, beugle sa force, disjoncté d'envie et d'amour, se bloque, braille un merveilleux soulagement de mâle reproducteur…
" Oh, Putain, c'est trop bon"…et finit, essoufflé, par un " Bébé, je t'aime! …accompagné d'un tendre câlin plein de bave collante…
Je sais qu'il m'a rempli de son sperme, qu'il m'a fécondé de tout son amour. Puis il bascule sur le côté, soulagé, heureux. Il rigole de voir Kévin muet d'admiration.
" Ca fait du bien! Qu'est ce que t'en penses?
" Oui" répond t'il, en regardant le bambou encore rigide de mon homme.
Il voit qu'il m'a enculé sans capote avec son beau manche épais et qu'il m'a jouit dans le cul. Pour lui, c'est miraculeux.
Nous restons quelques minutes allongés sur le lit, le temps de reprendre notre souffle.
C'est David qui donne le top pour aller prendre une douche. Il en profite pour passer son majeur dans le cul de Kévin, qui se prête au jeu. Ce serait ridicule d'être pudique.
" Mon Laurent t'a bien dilaté la rondelle! T'as aimé?
" Oui, c'était trop bon.
" J'ai envie de t'la mettre, moi aussi.
" Elle est trop grosse, la tienne!
" Tu rigoles. T'a vu, Laurent, je lui l'ai mise sans problème.
" Oui, mais il a l'habitude. Tu vas m'défoncer.
" Je vais y'aller doucement. Tu m'dis quand tu veux.
David n'insiste pas… il sent l'envie, qui est là, mais pas encore assez. Il adore les mecs en rut total, qui feraient n'importe quoi pour se faire niquer.
On boit un coup car ces ébats donnent soif et on se prépare à aller manger dans un petit resto du coin. Mon homme ne fera pas une croix là-dessus: la bouffe, c'est sacré.
Sur les conseils de notre "enculé", nous allons quelques kilomètres plus loin. Vraiment, nous ne sommes pas déçus: Merci Kévin.
A notre retour, assez tard, repus et "en forme", il est temps d'aller au lit; demain, pour nous, c'est randonnée. Les parents de Kévin, revenus de chez leurs amis, enchantés que l'on ait invité leurs fils au resto, nous remercient chaleureusement puis chacun rejoint sa chambre.
Désireux de ne rien louper de ses envies, de profiter de l'opportunité de notre présence chez lui, Kévin, trop excité et sachant ses parents endormis, nous rejoint…c'était prévisible!
Il referme la porte, en évitant de faire du bruit, et viens entre nous deux dans notre lit.
Il s'empresse de nous sucer la bite et surtout celle de mon homme. A l'entendre grommeler son bonheur, je sais que David apprécie. Je lèche le cul de Kévin puis décide de le préparer en lui mettant du gel, en le fourrant de mes doigts.
En demande, il s'ouvre, s'offre sans retenue. Sa rondelle est plus souple, sans tension.
Pour me remercier il vient me bécoter. David en profite pour chausser une capote, se coller dans son dos, le serrer dans ses bras. Je sais exactement ce qui va se passer…
Avec sa force herculéenne, mon homme le plaque sur le ventre et vient le couvrir. Kévin comprend, accepte et tente de parler mais David lui a mis sa grosse poigne sur la bouche. Le superbe braquemart a pris sa place entre les jeunes fesses et va forer ce cul en chaleur.
Kévin sait qu'il va se faire enculer. Il en était conscient en rentrant dans la chambre, il est venu pour ça. L'envie était trop forte.
J'assiste au meilleur moment du week-end, au moment que mon homme a tant espéré. Notre jeunot se retient de gémir, pour que ses parents, leur chambre au rez de chaussée, n'entendent pas et, de toute façon, il est empêché de le faire.
David étale son bonheur et lui sort dans l'oreille, à voix basse, des propos dignes de faire bander un régiment, qui me renseignent sur l'état d'avancement de l'enculage.
Grâce au gel, le gros mandrin a trouvé et ouvert la porte. Mon David, tel un gros étalon, lui a déjà emboîté son braquemart dans le conduit. Je suis très fier de lui et me branle pour augmenter encore ma perception de son plaisir. Il savoure les couinements étouffés du jeune enculé. Par petites pressions, il s'enfonce irrémédiablement en lui, ne lui laissant pas le choix.
Il lui demande, dans l'oreille: "Tu aimes, tu la sens bien? Consentant, enculé, dominé, il opine de la tête par bravoure, se laisse lécher la gueule, complètement soumis. La bite épaisse de mon Doudou, ça se mérite. Ses yeux ébahis, son visage rouge montrent le tiraillement de son corps qui se soumet à cette saillie virile.
David continue par des va-et-vient enrobés de mots crus, en lui léchant les oreilles, en bavant sur lui, toujours sa main sur la bouche de Kévin pour ne pas ameuter la maisonnée. Tel qu'il le fait avec moi, il honore ce jeune corps en demande et le soumet à sa volonté.
Les coups de reins deviennent francs, puissants, mon homme jubile de sa réussite, lui demande, comme une provocation:
" Tu veux que j'arrête?
En réponse, Kévin caresse le bras poilu de mon homme, comme un signe d'acceptation et de don de son corps. Dans un ultime effort, ses fesses se soulèvent, pour mieux se faire enculer.
Il reçoit alors un déluge de coups de reins bien profonds, se fait niquer comme il n'a dû jamais l'être depuis sa première fois.
Le plaisir est partagé, le plaisir est ultime… Vainqueur, David lui laboure les reins et tourne sa tête vers moi. Nos lèvres se collent d'amour pendant que son corps active et active encore.
Quinze minutes, vingt minutes d'astiquage profond, je ne saurais dire: on sent qu'il a eu sa dose, qu'il demande grâce, que son cul est en compote…et qu'il a jouit.
David se retire, enlève sa capote, l'oblige à venir le téter. Le sperme gicle et va gaver la bouche asséchée; Il accepte tout. Après tout, cet après midi, il avait déjà tout avalé.
Heureux, satisfait, mon homme se penche vers moi et enfourne mon sexe dans sa bouche. Je suis trop excité, je l'aime trop, je ne le décevrai pas…il avale mon jus sans rien perdre, sans bâcler le travail et vient ensuite me donner un tendre bisou, comme une preuve d'amour.
Puis il s'allonge sur le lit, dans toute sa splendeur. Il a tout donné, la mission est accomplie, il va dormir maintenant. Il est balèze mais ce n'est pas un surhomme non plus, faut pas abuser.
Kévin comprend que la sauterie est finie. Il ne sait plus ou il a jeté son pyjama. Il a mal au cul, il se tâte. Il s'excuse pour les dégâts qu'il a fait. Mais, prévoyants, comme à chaque fois qu'on a un "invité" dans notre lit, on met une grande serviette pour protéger.
" Bonne nuit, Merci " dit-il tout bas, super satisfait du moment passé avec nous. (c'est toujours drôle de recevoir un Merci par un mec qu'on vient de baiser)" A demain" A demain
et il retourne dans sa chambre, en faisant le moins de bruit possible.
Je m'allonge contre mon chéri qui referme un bras sur moi. Je passe la main sur son visage, lui caresse sa barbe de trois jours. Il se tourne légèrement pour recevoir un baiser. Maintenant, nous allons dormir…
Caramel35Merci pour les nombreux messages que vous m'avez envoyés directement, pour la première partie de cette histoire.
Les meilleurs coups sont quelquefois là ou on les attend le moins. Il faut profiter.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle suite; j'ai mis un commentaire à l'autre; j'avais baisé le proprio du gîte.