Le garçon du gîte - histoire érotique

A notre arrivée, les propriétaires de la chambre d'hôtes semblent un peu interrogatifs. Deux hommes qui passent leur week-end ensemble, ça change des couples hétéros…David coupe court à toutes questions en orientant la conversation sur les bons restos de la région…Ah, mon homme, son ventre, il en prend soin.

Il faut dire que mon Doudou est d'un abord naturel facile, sans manière, et si je n'étais pas avec lui, personne ne saurait qu'il vit avec un homme. Une carrure de catcheur avec son bon quintal assumé, et tel un ours, une pilosité abondante qui déborde même du teeshirt; il impose tout de suite physiquement son autorité sur l'autre. Sa voix grave et son côté légionnaire renforcent encore son air viril.

Moi, Laurent, je ne suis pas du tout efféminé non plus. D'un gabarit plus normal, disons standard, je passe inaperçu facilement, ce qui, au final, m'arrange complètement.

Dans la foulée, dès la remise des clés, nos hôtes nous invitent à boire un verre. Pendant ce moment d'échanges, une voiture arrive.

" Ah, voici Kévin, notre fils, qui rentre pour le week-end…et bla bla bla…et bla bla bla
Le Kévin, étudiant, beau gosse, un physique entretenu par le sport, n'a pas cessé de nous mater. Certes, discrètement, mais assez pour que je m'en rende compte. Un couple homo, ça peut exciter, donner quelques pulsions à son imaginaire. Et je devine que le Kévin, il a déjà goûté aux plaisirs du sexe masculin…c'est presque sûr.

" J'ai envie de me l'faire" …
Voilà ce que me sort David en remontant les escaliers vers notre chambre. Ah, mon Doudou, il a remarqué lui aussi…
Depuis qu'il est avec moi, mon homme est libéré et croque le bonheur. Il s'est affirmé, heureux, fier de sa virilité, fier de me plaire, souvent à vouloir me prouver que, grâce à moi, il réussi à draguer. Bon, la méthode de mon mec de chantier est assez radicale. Il y va direct, paralysant sa proie par son autorité, sa voix grave, envoutante, et son très bel argument, sa queue large et épaisse, finit d'achever le mec.

Il a aussi remarqué que le jeune Kévin n'a pas osé trop le mater. Sans doute celui-ci n'a t-il pas voulu affronter le regard dur et macho de mon homme et sa cicatrice qui lui donne un air de manouche, c'est possible…ou bien il n'aime pas les hommes poilus…c'est possible aussi.
S'il imagine, sous prétexte que nous sommes des homos, que tout est possible, là, ça va être compliqué. David, qui m'aime tel un mâle alpha, veille et contrôle son exclusivité. De toute façon, mon homme sait que je ne ferais rien sans lui.
J'imagine…mais ce serait dommage de ne pas profiter de cette opportunité qui se présente, un beau mec comme Kévin, qui semble demandeur. Ce n'était pas prévu pendant notre week-end mais pourquoi ne pas tenter...Cela va nous changer d'aller tous les deux au sauna pour se "faire" un mec.

Tels des prédateurs que nous devenons, cette proie idéale semble disposée à assouvir, à réaliser peut être quelques fantasmes avec moi, avec nous deux je l'espère. Hors de question de laisser mon David sur le bord du chemin. Il le sait parfaitement et il sait aussi que je vais m'arranger pour lui "rabattre le gibier" si l'on peut parler ainsi.

Pendant que nous nos installons, nous croisons Kévin et je me doute qu'il en a fait exprès. Sa chambre, comme la nôtre, est à l'étage, et lui aussi doit bouillir d'impatience pour qu'il se passe quelque chose d'érotique entre nous. Sans attendre, je me lance:
" Dis moi, Kévin, tu as déjà eu des homos à venir chez toi ?
" Oui, mais ils ne me plaisaient pas. ( comme s'il avait imaginé faire quelque chose avec eux)" Et nous, on te plaît?

Il rougit, cherche sa réponse, sans se rendre compte que son attitude le trahit… Je touche son bras, amicalement, et le frotte, pour le décontracter…
" T'as envie, avec nous? sur un ton assez bas, plus discret.
" Les parents sont là" répond t'il, gêné de leur présence dans la maison.
" T'as déjà fait ça avec un homme?
" Oui, avec un copain.

C'est bien ce que j'avais pensé; il est open, le garçon. Puis il s'excuse, il doit descendre.
Quelques instants passent… des portières claquent, une voiture s'en va. Kévin remonte aussitôt, grimpe l'escalier quatre à quatre, comme un cabri, enchanté. Cette fois ci je le croise volontairement, il m'aborde:
" Mes parents sont partis faire des courses.
" Viens dans notre chambre.
" Ton copain est là!
" T'inquiètes, il est open.

Je bloque Kévin contre le mur du couloir et lui roule une pelle savoureuse. Sans doute content que je prenne l'initiative, il se laisse aller et ferme ses bras sur mon corps. Sa bouche s'ouvre, sa langue s'aventure dans mon palais, nos salives se mêlent. Il en a trop envie. J'avais vu juste.

Enivré par cet amuse bouche, je le sens en bonne disposition. Il vient même palper ma braguette et son ronronnement me fait plaisir. Oui, il devine ma belle queue mais quand il va voir celle de David, là, il va tourner de l'œil.
Je l'entraine dans notre chambre, referme la porte, l'enlace aussitôt de toute ma fougue.

David, qui a senti l'opportunité arriver, au même moment, sort de la salle de bains. Complètement à poil, avec uniquement une serviette autour des reins, il apparaît, chaud bouillant, derrière Kévin.
Avant que notre conquête n'ait le temps de dire quelque chose, il lui passe sa grosse paluche sur les fesses, le met en confiance. Face à la masse musculaire de mon homme, sa toison fournie, son regard de gitan, il reste serré contre moi, essaie de se rassurer.

Il est loin le temps ou mon homme complexait sur son physique, sur ses poils, sur son visage abimé par la vie. Maintenant il ose tout, sûr de l'amour que je lui porte. Il affiche son désir de sexe sans la moindre hésitation.

Kévin comprend, au frottement que David exerce sur son corps, qu'il ne va pas abuser de lui. Mon homme reste positionné derrière lui, se frotte sur lui, l'imprègne de son désir de mâle, entreprend de dessaper tranquillement notre jeunot, qui se laisse faire et aide même à enlever son teeshirt. Inconsciemment, il veut faire plaisir à mon homme.

Lorsqu'il le libère de son boxer, son sexe apparaît, fièrement dressé. Le Kévin est en super forme. Deux hommes à s'occuper de lui, ça doit l'exciter.
David palpe ses boules, caresse sa tige. Il veut l'amadouer pour l'enculer, le salaud.
Sous nos étreintes, des petits cris jouissifs sont de sortie. La situation s'électrise pour tous.

Il essaie maladroitement de défaire mon ceinturon, palpe mes pectoraux, tâte ma bite au travers du jeans. J'aime ce genre d'initiatives.
David l'enserre dans ses bras puissants, frotte son ventre ferme et velu contre son dos puis va palper ses fesses, embrasse sa nuque, respire fort sur lui. Notre Kévin se trémousse de bonheur…Soudain, il pousse un petit cri plus aigu; Doudou lui a enfoncé son majeur dans le cul ! Ah, mon homme!

David se recule, ce qui surprend Kévin, qui se détourne pour comprendre.
D'un geste sûr, David dénoue sa serviette; son solide membre épais et rigide surgit, continue de se tendre. Le prépuce est déployé et le gland s'affiche, insolent de beauté.

" Elle est trop grosse, ta queue ! s'exclame Kévin, complètement ébahi.

Peut être paniqué à l'idée de se la prendre entre les fesses, il reste le regard fixe sur le braquemard de David… hésite un peu puis le prend en main, comme St Thomas. Mon homme a l'habitude de ce genre de blocage et, avant qu'il ne cogite de trop, il lui appuie sur la nuque, lui fait comprendre qu'il doit lui sucer le bambou.

" Viens"
David le dirige, s'assoie sur le bord du lit pendant que Kévin, obéissant, silencieux, se met à genoux et vient naturellement se positionner entre les grosses jambes poilues de mon homme.

D'une main ferme, David invite Kévin à honorer son membre éblouissant. Sa langue vient lécher le liquide pré séminal qui s'échappe du gland gonflé. Il goûte à ce nectar puis, pris par son désir, sa bouche s'ouvre et suçote le bel abricot de mon homme. On sent le jeune éblouit par ce sexe imposant. Il n'ose pas prendre plus. Il sait de toute façon qu'il ne pourra pas prendre en bouche tout ce gros bâton veineux.
Il lève les yeux vers David pour voir sa réaction.

" Suce moi les boules, aussi.

Sa main s'aventure sur les couilles de mon homme. Il se régale de la proposition, tâte la marchandise, glisse soudain ses lèvres derrière le gland, s'aventure à aller plus loin, mis en confiance par l'attitude de David qui ne le brusque pas.
Cette grosse bite large lui plait et, comme demandé, il lèche les prunes, passe de l'une à l'autre, revient enfourner le solide gourdin, s'empale la bouche dessus, incrédule sans doute d'avoir un si beau morceau à sa disposition.
David veille à ne pas me laisser de côté:
" Suce Laurent, il a envie.

Kévin s'exécute aussitôt, y va franco. Cette liberté entre nous l'a libéré.
Moins large, plus standard, mon sexe visite les profondeurs de son palais. Il s'efforce de donner le meilleur de lui-même bien qu'il n'ait pas la dextérité des "suceurs de bites", comme j'en ai croisé quelques uns.
David l'encourage, le félicite…très excité par la situation. Il prend un malin plaisir à me voir me faire sucer par ce jeune débutant qui se fait plaisir.

Kévin retourne assez vite sur le gros calibre de mon homme et je le comprend.
David imprime la cadence. Mon homme écarte davantage les jambes et se met encore plus à l'aise; notre petit jeune y voit les prémices de sa réussite et se réjouit de son effet. Mon Doudou caresse les cheveux de son bienfaiteur qui lui lèche les boules et surtout salive son manche à volonté…enfin, ce qu'il peut du manche, devrais-je dire.

Petit à petit, les lèvres vont plus loin, le rythme s'accélère, le plaisir s'étale…On ne le juge pas. Nous aussi, on a eu son âge, on a eu les même délires. Il se sent bien avec nous. Il passe de l'un à l'autre, enthousiaste, avec un appétit sans limites…
" Vas y, fais jouir David.

Il est enchanté et veut reprendre mon sexe en bouche mais je lui conseille de se faire plaisir sur le bambou de mon homme. Ma main sur sa nuque, je l'encourage…
La chaleur monte… monte. J'adore ce genre de moment super agréable.
David sort des "Ah, putain" assez répétés, ce qui a le don d'encourager Kévin à presque se déboiter la mâchoire, à s'étouffer lui même. Il force ses limites, en totale confiance, en même temps qu'il masse les couilles de mon homme.

David, je l'ai deviné, a trop envie de gicler le premier dans cette petite bouche pas trop expérimentée, avide de découvertes. Il grommèle, se raidit, se positionne au mieux…
" Ah, putain…Ah…Oui…Oh oui…Ouais, c'est bon…Ah, putain…continue, c'est trop bon….

Un silence soudain, des soubresauts, une grosse contraction puis un râle sexuel libérateur…
Kévin, pourtant prévenu, reste stoïque, ne bouge plus. Le gros gland de David bien en place dans sa bouche, il serre les lèvres sur le beau manche pour ne rien perdre de cette livraison de foutre, cette explosion de semence. La main sur son sexe dur, il gicle avec force plusieurs jets qui éclaboussent le parquet de la chambre. C'est trop de plaisir pour lui…A t'il déjà réalisé ce genre de prestation, on ne sait pas. Moi aussi, la première fois que j'ai reçu et accepté le sperme en bouche, mon plaisir fut total.

La bouche pleine, gluante de sperme, un instant on devine qu'il ne sait quoi faire, avaler, recracher sur le parquet, ailleurs… Comme le jour de sa première huître, il avale, étonné lui-même de sa décision. Il regarde le gros nœud de David qui perle sa dernière goutte et les dégâts qu'il a fait lui-même sur le parquet.

" T'as aimé? lui lance David" Ta queue est trop belle.

Son excitation pas encore retombée, grisé par sa jouissance et sa réussite à faire jouir mon homme, je m'avance, lui impose presque ma queue à sucer.

Excité par le plaisir de mon David, je veux lui donner une autre ration. Je saisis sa tête, le bloque, lui baise la bouche. Il ne bouge pas, consentant, prêt à tout. Je suis prêt, lui aussi…Je jouis, j'envoie. Trois ou quatre giclées lui tapissent la langue. Il avale, heureux, magnifiquement ravi.

Je crois entendre une voiture arriver. Je le maintiens, l'oblige à finir le travail, lui impose le dernier jet. Ce serait dommage de se priver des finitions.

Il se redresse vite fait, récupère ses affaires. Lui aussi a entendu le son de la voiture. Il est pressé de sortir de notre chambre mais on le sent vraiment sur un petit nuage.

" Alors, c'était bon ? lui demande quand même David" Oui, trop bon."
La conversation ne continue pas. Kévin n'a pas du tout envie de se faire surprendre par ses parents. Il rejoint vite fait sa chambre, redescend moins de deux minutes plus tard.

Bon, maintenant, on n'a plus qu'à aérer notre chambre, ça sent le sexe là dedans. Et aussi nettoyer le parquet…il a bien craché le Kévin. A cet âge là, ça envoie.
David est mort de rire en me voyant nettoyer le parquet éclaboussé de foutre. Tout ça l'excite et sa queue reprend déjà de la vigueur. Ses yeux pétillent de bien-être et, de son bras puissant, il me serre contre lui, frotte son visage contre le mien. Il n'a pas besoin de parler, il me signifie son amour, sa satisfaction. Il sait parfaitement que je comprend son expression corporelle.
Nos bras se serrent, nos corps se frottent. Les yeux dans les yeux…mes baisers sur ses joues suivi d'un bouche à bouche très sensuel…mon homme est heureux et moi aussi.

" On va boire un verre au village, Doudou?
" Très bonne idée, Bébé.

En bas, nous croisons les parents de Kévin, toujours aussi agréables, qui nous informent qu'ils seront absents ce soir.

" Si vous avez besoin de quelque chose, Kévin sera là.

Je vous dis; Parfois, le destin est favorable… C'est Kévin qui va être content... David me regarde. Il n'a pas besoin de me parler, je sais ce qu'il a en tête…



Caramel35
Vous n'êtes pas obligé d'avaler, comme Kévin. Vous êtes de grands garçons, vous.
Merci pour les mails et commentaires que vous m'avez envoyés pour mes histoires précédentes.