Le marin en perdition 3

- Par l'auteur HDS SAM BOTTE -
Récit érotique écrit par SAM BOTTE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le marin en perdition 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2022 dans la catégorie Plus on est
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Le marin en perdition 3
Marie lui raconte tout
L'excitation passée, nous parlons longuement de ce qui nous arrive ou plutôt ce qui arrive à mon épouse et de ses sentiments vis-à-vis de moi, de Denis et aussi du plaisir qu'il est capable de lui donner surtout. Je comprends qu'elle y est devenue accroc cependant, il me faut bien reconnaître qu'ils sont exactement sur la même longueur d'ondes pour les choses du sexe. Je suis tout à fait conscient de ne pas pouvoir rivaliser.

Ma femme pourtant finit par me dire que si je lui demande de ne plus le revoir, elle le ferait car c'est moi qu'elle aime.
C'est tentant, pourtant ma décision est vite prise. Je ne peux me résoudre à la priver de quelque chose que je ne suis pas en mesure de lui offrir car je l'ai vraiment vu de mes propres yeux, s'éclater comme jamais avec lui. Je l'aime moi aussi et je ne pourrais lui faire l'amour qu'en imaginant qu'elle baise avec Denis, pour arriver à jouir.
Après une bonne douche, nous couchons avec un verre d'alcool en main. Marie a envie de se confier, ce qui m'évite de lui posé trop de question.
- Comme je te disais, Denis me fait du chantage avec les photo de l'auberge. Il me menace de les divulguées à notre famille et dans notre entourage. Donc je lui ai cédé, je suis devenue sa soumise.
Il venait me baiser pendant tes jours en mer, quand les enfants sont à l'école ou en vacances chez nos parents.

Un jour il n’emmène en ballade comme il dit. Nous sommes en voiture, mon bas ventre commence à me démanger, je commence à être exciter. Il a encore mit un aphrodisiaque dans le jus de fruit qu'il m'a offert avant de partir. Je vais encore avoir la moule en feu. Il se gare dans un endroit à l'abri des regards, dans un petit chemin de terre.
Il m' embrasse ses mains parcourent mon corps. Il prend ma main gauche et la pose sur son entrejambe qui a pris de l'ampleur. Je caresse sa queue à travers son pantalon, je la malaxe doucement. Je connais son intention.

Alors, il dégrafe son pantalon, baisse son boxer, sa queue jaillit. Il pose une main derrière ma nuque, il pousse ma tête vers son bas ventre. Alors je la prends en bouche. Je suçote le gland. Je lèche la hampe, je reprend en bouche sa queue. Je fais de longs va et vient. Il appuie sur ma tête pour que je la prenne plus loin. Ça me fait baver. Il y a un long filet de bave qui lie sa queue à ma bouche.

Je la reprend à nouveau en bouche. Ma langue appuie sur le gland. Je fais des mouvements circulaires. Je m'applique pour le faire jouir dans ma bouche.Cependant il n'a pas la même envie. Il veut me baiser, il me fait arrêter ma fellation. Il me dit son envie de me baiser.

Nous sortons de la voiture.
Aussitôt sortie de la voiture, je remonte ma robe et baisse ma culotte. Je me penche en avant pour lui donner accès à ma croupe. A peine a t il mis sa queue à l'entrée de ma chatte que je mets un coup de rein pour le faire entrer. Je soupire de satisfaction. Il me remplit complètement la moule. Je suis trempée d'excitation d'être sa chose, son vide couille. Il me claque le cul en me disant que je suis une bonne petite salope. Je lui répond que je suis son vide couille, sa salope et que j'adore qu'il me prenne ainsi.

Au bout de quelques minutes de va et vient vigoureux, il s'aperçoit que nous sommes observés. Une voiture s'est approchée, elle nous barre la route pour nous empêcher de repartir. Un homme nous regarde. Denis et moi nous nous rhabillons. Il va voir l'homme, il lui demande si le spectacle lui a plu et s'il aimerait se faire sucer par une bonne salope.

Le propriétaire des lieux n'a pas l'air contre. Je peux voir que son jeans commence à avoir une belle bosse. Denis se rapproche de moi, pour m'ordonner de le sucer. Que si je ne fait pas ce qu'il m'ordonne, il diffuse les photos tout de suite. Résigné, alors je me rapproche de lui, je commence à le caresser au travers le tissu. Il a l'air d'avoir une bite assez longue. J'essaie de sortir son membre de son jean. Il me stoppe et nous dit qu'on sera plus à l'aise plus loin dans sa propriété. Il a un grand domaine. Nous remontons en voiture et suivons le chemin de terre qui nous amène chez lui.

Je ne dis pas à Denis que la situation m'excite énormément. J'aimerais beaucoup servir de vide couille. Il voit que mes tétons pointent tellement que cela se voit à travers ma fine robe. Nous nous garons et sortons de nos voitures respectives.

Le propriétaire sort son sexe tout en me fixant dans les yeux. Denis me pousse vers lui. Je suis devant lui, je m'agenouille et le prend aussitôt en bouche. Sa queue est fine mais longue, comme je m'en doutais. Denis caresse ma tête, il explique à notre hôte que je suis sa bonne salope qui va être prise pour un vide couille. Il ouvre ma robe pour faire sortir mes seins gonflés d'excitation. Il me pince les tétons pour montrer à notre hôte ma réaction à ce traitement.

Je gémis d'excitation et enfonce encore plus loin dans ma bouche la queue du propriétaire des lieux. Notre hôte saisit à son tour mes seins. Il les soupèse, les malaxe. J'avale sa queue goulûment, il va de plus en plus loin au fond de ma gorge. J'ai des haut de cœur, des larmes coulent sur mes joues. Denis lui demande de gicler sur moi afin que je sois souillée de sperme. Notre hôte ne tarde pas à jouir et faire de grands jets qui atterrissent sur mon visage et dans mes cheveux. Il voit ma grimace d'avoir tout ce foutre couler sur moi. Il propose alors à Denis de faire venir quelques amis qui se feront une joie de me baiser.

Comme de bien entendu, Denis accepte sa proposition plus qu'alléchante. En attendant l'arrivée de ses amis, il nous offre un rafraîchissement.
Je vois arriver cinq voitures. Des hommes sortent de celles ci.
Denis me demande de me déshabiller devant ces inconnus. Devant mon refus, il lève la main en ronchonnant que si je n'obtempère pas ? La, la, la. J'ai compris.

Je me mets au centre, je me déshabille lentement. Je me trémousse, je prends mon temps. Je veux attiser leur désir car j'ai la moule qui me démange de plus en plus.
Denis précise à l'assemblée qu'ils peuvent me baiser la bouche, la chatte, me fesser, me doigter, s'occuper de mes seins autant qu'ils le désirent. Mais qu'ils ne peuvent pas m'enculer. Ils ne peuvent éjaculer que sur moi, de préférence sur mon visage et mes seins. Ils acquiescent tous.

A présent que je suis entièrement nue, Denis me fait me pencher en avant et écarter les cuisses. Il dit aux inconnus que je suis prête à être un bon vide couille, tout en me mettant une bonne claque sur les fesses.
Ils ont tous sorti leur queue. Il y a toutes les formes, toutes les longueurs. Elles ne sont pas encore toutes raides. C'est la première fois que j'en vois autant.

Le premier qui se rapprocher de moi, me colle sa queue directement sur la bouche. Il me dit de sucer sa queue. J'ouvre la bouche, il est déjà bien dur. Il s'enfonce sans ménagement jusqu'aux couilles. Il m'étouffe avec sa queue. Ses couilles sont collées à mon menton.

Je sens un homme derrière moi. Il me caresse le cul délicatement. Puis sans prévenir, me met une fessée. Je ne peux pas crier car la queue dans ma bouche m'empêche d'émettre des bruits. Mon cul devient vite chaud.

Un autre homme enfonce deux doigts dans ma grotte d'amour, il commence à me baiser avec. Il constate que les traitements que je subis ne font que m'exciter davantage. Il le dit à ses comparses.
- Cette salope est complètement trempée. Elle aime vraiment être utilisée de la sorte, cette chienne.

Deux hommes se mettent sur le coté, pour que je les branle. Ils m'ont pris chacun un sein dans une main. Un des deux hommes est plus doux que l'autre. Il me caresse le sein alors que le second, tire sur le téton, me claque le sein. Je grogne de plaisir.
Denis en retrait, il contemple le spectacle en me filmant avec son portable.

L'homme qui me baise la bouche m'attrape par les cheveux. Il retire sa queue et commence à gicler sur mon visage. Il fait de longs jets bien visqueux. Il étale son foutre sur mon visage et mes cheveux. Il me souille, je préfère ça que d'avaler son jus.

Celui qui me fessait prend sa place. Il présente une demi molle. J'ouvre en grand ma bouche. Je joue avec ma langue, j'alterne les coups de langue rapides et lents. Il durcit rapidement.
L'homme qui me doigte a mis un préservatif et me plante sa queue dans la chatte en feu. Il me la pilonne, comme me ça fait du bien. Il me traite de salope et de pute. Ça a pour effet de me faire mouiller encore plus.

Les deux gars que je branle se mettent à jouir en même temps. J'ai du sperme sur les seins, dans le dos. Un des deux me fait littéralement une douche de sperme.
En voyant ça, celui que je suce se met à son tour à jouir. Il m'arrose le visage. J'en ai dans les yeux. Mon maquillage coule.
Denis demande à celui qui me baise, d'aller dans ma bouche car il a envie de me sodomiser.
Il se retire de ma chatte, enlève la capote et se met face à moi. Ayant les mains libres à présent, je m'applique à le sucer et à le branler. Je caresse ses couilles tout en gobant sa queue.

Denis s'enfonce sans ménagement dans mon cul, jusqu'à la garde. Mon rectum a englouti sa queue. Me devenir une vrai vide couille l'excite. Sa queue est extrêmement dure, ses couilles sont gonflées. Il me dit que je suis un bon vide couille, que je suis sa salope et qu'il va me démonter le cul comme je le mérite. Il me claque le cul fort en même temps qu'il me le pilonne.

D'un coté on me baise la bouche, de l'autre le cul. L'homme dans ma bouche se retire et m'éjacule dessus.
Je suis comblée. Je me mets a jouir du cul, celui ci se contracte. Cela déclenche la jouissance de Denis. Il reste enfoncé en moi, jusqu'à ce que les jets s’arrêtent. Il se retire. J'écarte mes fesses, mon cul doit être béant, son jus coule le long de mes cuisses.

Notre hôte me propose de prendre une douche avant de repartir, ce que j'accepte bien volontiers. Pendant que je suis sous la douche, Denis ce rafraîchit le gosier avec notre hôte.
En sortant de la douche, je ne trouve pas ma robe, c'est donc nue que j'entre dans la salle à manger.

Il y a là avec Denis et le proprio, un groupe de cinq types, trois noirs et deux arabes, ils sont gigantesques, énormes mais beau. Ils m'observent.
Je demande à Denis ma robe et lui dis que je souhaite partir, mais j’ai peur de bouger. J’ai peur et en même temps pleins de fantasmes commencent à me traverser l'esprit.

Soudain un des blacks dit : - C'est elle la salope qu'on peut baiser ?
Affolé, je regarde Denis, il me fait un oui de la tête, il regarde le proprio et lui serre la main.
A ce moment le black qui a parlé vient à coté de moi, me passe son bras droit autour du cou et commence à me peloter la poitrine de sa main gauche.En même temps, celui d’en face se penche et m’écarte les cuisses de ses deux mains puissantes. Il m’insulte :- Oh la salope ! quelle pute, regarde un peu ce morceau, la pouffiasse, elle demande que ça, cette vicieuse, elle va pas être déçue.

Ces mots et la situation m'excitent et je commence a mouiller presque involontairement. L'aphrodisiaque de Denis est encore actif, j'ai encore envie de baiser.
Celui qui est en face de moi, se place à ma droite et me met directement la main sur la moule, il m’écarte les lèvres et plonge un doigt dans ma chatte, il me fouille le sexe tous les deux, il sent que je mouille.

Ils me placent au milieu de la pièce. J’imagine leur désir et l’excitation que je provoque avec le spectacle que je leur offre ainsi, les poils de ma vulve et mes grosses lèvres humides, la vulve bien visibles déjà entrebâillées et mes seins fièrement dressés aux pointes larges déjà durcis qui dansent à chaque mouvement.

Ils me scrutent, m’auscultent, ils me touchent, me palpent, me tripotent, me pelotent les seins, le ventre, les fesses, j’ai des mains partout, des doigts sortent, entrent, me fouillent, me pénètrent le vagin, l’anus, je perds pied, c'est trop bon.

Ils ont tous sortis leur membre, ils sont énormes, longs épais, noirs, bruns, aux glands luisants, dressés, érigés, durs, palpitants, menaçants, prêts.
Je ne peux m’empêcher de les regarder, ils sont tous, et de beaucoup, plus gros, plus longs que celui de Denis. Je suis résignée, soumise, ouverte, consentante, j’attends l’inéluctable, j’attends qu’ils me baisent, qu’ils m’emmanchent, qu’ils me bourrent, qu’ils me défoncent, j’attends qu’ils me possèdent.

Je m’imagine les subissant, je frissonne, d’impatience, je sais que j’ai envie qu’ils me pénètrent, qu’ils me baisent. J’ai envie de ces bites monstrueuses dans mon ventre, dans mon sexe, j’ai envie qu’ils jouissent en moi, qu’ils m’inondent de leur foutre. Je sens que je vais jouir de leurs attouchements. Je suis devenue une femelle en chaleur. Je regarde Denis qui sait, par la rougeur aux joues et la sueur qui perle sur mes seins, que je suis au bord de l’orgasme. Son regard est lubrique, je le sais excité au moins autant que moi.

Je murmure, prenez-moi, baisez-moi, baisez-moi.
Le premier me soulève, il en me basculant sur lui, il me force. Son membre est trop gros, mes lèvres grasses de ma liqueur s’ouvrent, s’écartent, il me pénètre au plus profond de moi, jusqu’au fond du vagin. Je crie de plaisir, mes muqueuses sont envahies, écartées, mon clitoris gonflé glisse, il s'excite sur cette grosse bite, mon vagin est rempli, plein de cette virilité dure, bousculé, malmené. Il me martyrise l’utérus, il me cogne délicieusement en s’enfonçant tout au fond, je regarde incrédule ce sexe noir démesuré qui rentre en moi, qui va et vient dans mon intimité, je suis baisée comme jamais je ne l’ai été, mon bassin va à sa rencontre comme s’il était possible qu’il aille encore plus loin.

Un premier orgasme me submerge, je jouis fort, puissamment, violemment, je jouis de cette hampe qui continue de me pilonner sans ménagement.
Toute cette jouissance me fait oublier les autres, Ils sont là, ils attendent impatiemment leur tour, je sens que quelqu’un m’écarte les fesses et me lèche l’anus. Je sens qu’il place son énorme gland à l’entrée de mon anus, je ne veux pas.

Je regarde Denis en secouant la tête de gauche à droite. Il filme avec son portable et aussi le proprio avec un caméscope.
Derrière moi, il me force, il me fait mal, il pousse, il me déchire, il entre le bout, je jouis tellement de celui qui me baise que je facilite involontairement l’introduction, il rentre petit à petit un peu plus. Je râle de douleur, car avec un grand coup de rein, il s’enfonce jusqu’à la garde, son ventre est collé à mon cul.

Il m’encule, j’ai toute la longueur de sa queue dans le rectum. Je n’ose imaginer jusqu’où il va, mon anus est totalement distendu, anormalement dilaté, cependant il est rentré, il est dans mon boyau. S'est insensé, je suis prise en sandwich, la douleur se calme doucement, remplacée par une excitation nouvelle, une chaleur. Il synchronise ses mouvements sur celui qui me ramone la chatte, mon esprit chavire, je me vois de l’extérieur, je me vois entre ses deux hommes qui me possèdent si profondément, je regarde Denis et son regard amplifie mon plaisir, il ne me quitte pas des yeux, il se caresse doucement à travers son pantalon.

Je n’y peux rien, cette double pénétration, ce premier sandwich me procure un orgasme démentiel, je crie, je gueule. Être encule et baisé en même temps, me procure des sensations inconnues, touche des zones inviolées, c’est incroyablement bon, mes orgasmes se succèdent. Le premier éjacule longuement, il se vide, il se déverse en moi en puissantes giclées, il se retire, ensuite un autre arrive immédiatement, il le remplace. Je suis prise à nouveau, ma chatte et mon cul sont tellement dilatés et graissés de foutre que ça devient facile à présent, il rentre tout seul, je souhaite que ça ne s’arrête jamais, je suis devenue une pute, j’aime ça, je jouis, ils vont finir par m’éventrer.

J’en entends un qui gueule qu’il ne peut plus attendre, qu’il faut qu’il me fourre, sinon ça partira tout seul, il monte sur une chaise, il me tire les cheveux pour m’amener la tête près de lui, il me présente sa queue devant le visage et m’ordonne de le sucer. Alors, je le prend dans ma bouche, hors il s’enfonce brusquement dans ma gorge comme s’il s’agissait d’un vagin. Il décharge immédiatement une quantité énorme de foutre, j’en ai partout, il me dit d’avaler, j’avale, j’engloutis tout son sperme et je jouis encore et encore, je ne m’arrête pas.

Celui qui m’encule explose à son tour il m’en met plein les intestins, puis il se retire, je sens son sperme coulé dans ma raie. Je suis bourrée de partout, une usine à foutre, il se retire tout de suite remplacé par un autre qui me sodomise à son tour, je n’ai pas de répit. Combien sont-ils ? Je crois que je vais m’évanouir de plaisir. Ils me prennent, devant, derrière, dans la bouche, ils entrent, ils sortent, ils me baisent, ils me défoncent le cul, ils jouissent, éjaculent, déchargent, giclent, à trois, à deux, seuls, ils abusent de moi comme ils veulent.

Je suis haletante, comblée, épanouie, rassasiée, épuisée. J’ai le cul en feu, le ventre douloureux, la bouche meurtrie, le corps poisseux parcouru d’incessantes ondes de plaisirs.
Plus tard, beaucoup plus tard, quand ils sont enfin partis, qu’ils m’ont enfin laissée, le proprio me félicite d'avoir donné autant de plaisir à ses ouvriers, que cela a duré plus de deux heures et demie sans interruptions, qu’il y en avait toujours eu au moins un qui me baisait.

Je suis maculés de sperme gluant, j’en ai partout, j’en suis pleine, il coule de mon sexe et de mon cul sur mes jambes, j’en ai dans la bouche, dans l’estomac, sur le visage, dans les cheveux, sur le corps. J’ai trop joui, j’ai trop honte cependant je ne regrette rien.
Denis me regarde, se lève, ouvre sa braguette, saisit sa verge tendue depuis trop longtemps et s'approche de ma bouche qu'il investit, quelques va et viens lui suffise pour m'arroser les amygdales de son jus. Le proprio en profite pour me sodomiser pour mélanger son sperme avec celui de ses ouvriers.

Nous reprenons nos esprits. Je sais que le plaisir de Denis, c'est que je garde les traces de foutre de ces inconnus, cela l'excite. Il aura de nouveau envie de baiser son vide couille dès que nous aurons passé le pas de la porte de chez lui.
Je me rhabille avec ces traces de jouissance et nous rentrons.
Il fait encore nuit dehors, heureusement.

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