Marcelle la Sophie débarque

Récit érotique écrit par SAM BOTTE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Marcelle la Sophie débarque
SOPHIE DEBARQUE
Comme André la exigé, j'ai pris un rendez vous pour me faire épiler l'entre cuisses.
Je prends le bus pour aller au salon de beauté.
J'entre dans le salon ? Une jeune femme me reçoit courtoisement.
C'est jeune femme blonde aux yeux bleus. Ses cheveux frôlent ses épaules.
La blouse qu’elle porte met avantageusement sa poitrine en avant. Je remarque qu’elle la porte à même la peau.
Elle a l'air d'avoir des formes assez plantureuses.
Elle est légèrement maquillée.
Des effluves de parfum de renom me taquinent les narines à chacun de ses gracieux mouvements.
Elle m'invite à me déshabiller dans une cabine.
Je fais glisser rapidement ma robe ainsi que mes sous-vêtements assorties et je m'allonge avec ravissement sur la serviette immaculée, douce et fraîche qui recouvre la table.
Elle rendre dans la cabine et se présente.
- Je suis Sophie ! Je remplace l'esthéticienne qui a dû s’absenter pour une raison personnelle.
- Que voulez vous faire exactement? - Je viens pour une épilation complète, de la tête aux pieds, et bien évidemment pour que mon sexe et ses alentours soient débarrassé de toute pilosité.
Elle me regarde un peu étonnée.
Si je lui ai demandé une épilation complète.
C'est pour montrer à André que c'est moi qui décide de se que je veux faire de mon corps. - Comme vous êtes ma dernière cliente, je ferme la porte, nous ne serons pas dérangé.
Avec une télécommande, elle bloque la porte d’entrée.
Ce que je ne savait pas.
C'est que lorsque Sophie a vue mon nom sur la liste des rendez-vous.
Elle tout organisé pour qu'elle soit seule avec moi, la femme d'André son amant ?
Me voilà confortablement installée, nue et à la disposition de Sophie.
Je suis un peu gênée par cette situation qui n'est une première pour moi. Alors je ferme les yeux. Je souris parce que je pense à André et à ce qu'il va penser lorsqu'il me vera Sans aucun poil, à part ceux de ma bouille.
Je suis envahi par la douceur du lieu enrobé d'une musique douce. Alors, je me détend au maximum.
Elle passe ses mains sur tout mon corps, là ou il y a du poil.
Elle finit par ma vulve et mon trou de balle.
Je me laisse aller à cette découverte, après tout je ne fais rien de répréhensible.
Me sortant de mes pensées, Sophie me clame
- J’enlève tout !
Sophie commence ses travaux de gommage, je sens la chaleur sur ma peau.
Mon intimité est toute humide. Un désir subtil et l'envie de sexe s'insinue en moi.
J'en veux à André. A cause de lui me voilà dans une situation inconfortable mais, tellement excitante et alléchante.
Elle vient prodigué ses talents sur mes sourcils et mes aisselles. Sophie me demande de me tourner sur le ventre afin de poser des bandes de cire sur mes jambes.
Ce changement de position, le frottement du tissu éponge sur mon pubis, déclenche des sensations divines qui me provoquent de délicieuses ondes de plaisir et une lubrification généreuse de mon bas ventre.
Elle en arrive aux parties les plus charnues de mon anatomie.
Je sens ses mains sur mes fesses.
Pour atteindre mon trou de balle, elle écarte avec douceur mes globes fessiers.
Elle dépose une noisette de cire chaude autour de ma pastille et le contact de ses doigts agiles me font tressaillir de plaisir.
Je gémis sur la serviette en espérant n'être pas trop bruyante .
Elle me demande si ça va, si elle ne me fait pas mal. J'articule un ridicule un non. C'est un délice d'être entre les mains de cette jeune femme, délicate dans ses gestes et sa façon d'être.
Mes lèvres intimes sont gonflées, mon bas ventre palpite de désir.
J'attends avec impatience, qu'elle me demande de me retourner pour défricher mon mont de vénus.
Imaginer ses mains sur cette partie de mon corps m'émoustille, m'enflamme, m'attise.
L'instant tant attendu arrive, Sophie enfile des gants en latex comme une seconde peau.
Après un temps d'arrêt. Elle prend plusieurs lingettes et se met à nettoyer les lèvres de la moule baveuse.
Je laisse mes yeux fermés de honte et je me laisse emporté à nouveau par la jouissance.
Sophie constate quelque chose, car elle caresse ma vulve en clame.
- Ça à l’air de te faire de l’effet de savoir, que tu vas te retrouver comme moi.
Elle rajoute en écartant un pan de sa blouse.
- Touche comme c’est lisse, tu seras bientôt comme moi.
Je ne me suis pas fait prier et je glisse une main sous sa blouse.
Je la complimente sur la douceur de son pubis, sur la douceur de sa fente, et au fur et à mesure que ses cuisses se desserrent, sur la douceur de ses lèvres.
En voyant mon air étonné, Sophie sourit et passe ses doigts dans ma moule pour constater, que je suis vraiment trempée. Alors elle me dit.
- C’est bon, hein ?
Le frisson qui me parcoure au contact de ses doigts, lui suffit comme réponse.
C’est vrai que c’est bon, puis elle rajoute.
- Je vais te faire belle avant qu’André s’occupe de toi.
Mais, comment-ça, elle connaît mon André ?
C’est donc installée, bras et jambes largement écartés, afin qu’elle puisse ôter tout poil superflu, partout, que je me laisse épilé intégralement.
Je me détends en me laissant aller en sentant les mains de Sophie s’occuper avec attention à ma moule.
Ses mains douces qui étendent de la crème sur mes lèvres. attentives pour que tout se passe bien, sans le moindre mal.
Son souffle sur mon mont de Vénus à chaque fois, qu’elle doit s’approcher pour un poil réticent.
Puis me sortant de cette torpeur qui m’a envahie, elle me proclame que ?
- C’est fini !
Elle me tend une miroir portable. Ce qui me permet d’admirer le travail.
De ma toison taillée court, il ne reste plus rien, la fente de mon sexe est entièrement nue entre les jambes, ma vulve ainsi débarrassée de ses poils est maintenant offerte aux regards, dans une indécence totale,
Je suis nu complètement jusque dans ma raie du cul.
C’est vrai que cette peau fraîchement épilée est d’une douceur.
Sophie veut être la première a y goûter. Alors elle se penche au-dessus d moi et elle se met à me lécher avidement.
Sa langue glisse sur mon clitoris gonflé à bloc. Une sensation de chaleur m’envahit puis elle allait chercher mon anus du bout de sa langue, me faisant frisonne.
Ensuite, sa langue chaude écarte ma fente et pénètre dans mon vagin, on ne peut plus offert, c'est vraiment terrible.
Sentir sa langue parcourir mon clitoris et ses doigts à l’entrée de mon vagin ont suffi à me faire éclater.
Mais, ce n’est pas fini, elle prend une de mes mains et l’a pose sur mon pubis et elle me proclame.
- Écarte !
Alors, je lui offre ma moule entièrement ouverte.
Sa langue s’active et sans attendre, je jouit, lorsqu’elle un doigt dans mon trou de balle.
Sophie monte sur la table et elle pose un genoux de chaque toi de mes épaules.
Elle retire sa blouse. Elle était bien nue en-dessous.
C'est à mon tour de profiter du spectacle, ses cuisses de part et d’autre de ma tête, avec au sommet sa moule imberbe aussi.
Tout doucement, elle plie ses genoux ce qui descend lentement, sa moule offerte qui s’approche de ma bouche.
Elle s’arrête juste affleure de mes lèvres, à la portée de ma langue.
Elle attrape ma chevelure et me tire vers sa moule.
Dans l’état où je suis et sans me poser de questions.
J'approche ma bouche de sa moule qu’elle m’offre.
Ma langue ne tarde pas à la léché, j’aspire son clitoris, la pénétré par moment.
Le goût est acidulé et rapidement, elle mouille.
Elle râle de plaisir, ses mains enfouies dans mes cheveux, pressent ma tête contre sa moule.
Mes doigts l’écartent, la pénètrent, et ma langue l’envahit tandis que mon nez s’imprègne de ses odeurs intimes.
Je l’entends râler, crier de plaisir. Ensuite, elle prend fermement ma tête entre ses mains. Elle la recule un peu et crie, les yeux en feu.
- OUIII ! Regarde, je jouis !
A quelques centimètres de mon visage, je vois sa moule se dilater et de longs jets en sortir. Sa jouissance m’inonde le visage.
Elle éclate en jets puissants et chauds.
J’avale, je n’ai pas connaissance qu’une femme peut mouiller de cette façon.
Elle caresse ses seins de taille généreuse, tire ses mamelons et les faits rouler entre ses doigts.
Sa respiration s’accélère, elle tire encore plus sur ses mamelons et en silence elle prend son plaisir.
Ensuite elle vient m’embrasser longuement pour partager le goût de sa jouissance.
Un de ses doigts vient chercher le chemin de mon clitoris, qu’il trouve facilement, puis il descend à l’entrée de mon sexe.
- Oh ! mais ma petite chérie tu mouilles déjà comme une grande.
Son doigt repart sur mon bouton, et là sans retenue, elle me masturbe vigoureusement, accentuant ma lubrification intime, qu’elle récolte pour mouiller le doigt qui me masturbe.
Constatant que je suis réactive à cette manipulation, elle me pénètre d’un doigt.
Étant très lubrifiée et dilatée, je ne sens pas grand-chose.
Un deuxième et un troisième doigt me prennent, ça commence à être plus pénétrant, je ressens les allers retours dans mon intimité, c'est très bon.
Elle ne cesse d’entrer et de sortir, insistant sur l’entrée de ma moule, cherchant à l'ouvrir encore plus.
A un moment, je sens que la main force sur mon entrejambe, je comprends, alors qu’elle tente de faire pénétrer complètement sa main.
Je m’apprête à lui dire d’arrêter, quand je sens que la dilatation est t'elle, que sa main vient juste de passer mes lèvres intimes.
- OUOUOUCH !
Je ne ressens pas de douleur forte, juste quelque chose qui m’écartèle mon entrejambe. A partir de là, elle s’active dans mon intimité.
Je sens nettement que je suis prise par sa main, son poing, qu’elle se fait plaisir à me pistonner de la sorte.
Elle me baise ainsi avant que je ne ressente une sensation étrange.
- Arrête ! je crois que j’ai envie de faire pipi !
- Oh ! que non, tu peux te libérer, aller lâche moi tout.
Qu’est ce quelle me fait celle-là encore, je n’ai pas envie d’uriner devant elle, c’est intime quand même.
De sa deuxième main, elle m’empêche de tenter de me relever, pendant que l’autre main me laboure littéralement mon paradis, à ce rythme je vais pas pouvoir me retenir.
Et c’est effectivement ce qui arrive, elle fait tout pour que je me libère et des jets d’urines commence à gicler.
La sensation est nouvelle mais, super bonne, j’ai l’impression de prendre mon plaisir tout en pissant.
J’ai comme un étourdissement et je jouis en même temps. Quand, je reprends pied, la main vient tout juste de quitter mon paradis.
- Alors, ma belle Marcelle je crois que tu as découvert un autre plaisir.
- OUI ! mais j’ai tout salie, je suis désolé.
- On s’en fou de ça ! rhabilles-toi maintenant, on doit partir !
Au moment de me laisser quitter sa boutique elle me proclame.
- Tu peux revenir quand tu veux, voilà mon 06.
- Euh ! oui merci !
On se quitte en se donnant un baisé sur la bouche.
A mon retour à la maison, je raconte ce moment à mon chéri.
Vu que maintenant il s’est libéré, j’estime que je lui dois la vérité.
- Si tu attires aussi les femmes, nous allons pas avoir beaucoup de temps à nous.
- Tu veux dire quoi ? Que je dois revoir Sophie ?
- Ouais ! mais avec moi, je voudrais bien voir ce que tu m’as dit, tu verras avec elle pour la revoir en ma présence, mais après notre semaine au Maroc.
- Oui mon chéri ! nous verrons ?
- C’est pas discutable de toute façon.
Comme André la exigé, j'ai pris un rendez vous pour me faire épiler l'entre cuisses.
Je prends le bus pour aller au salon de beauté.
J'entre dans le salon ? Une jeune femme me reçoit courtoisement.
C'est jeune femme blonde aux yeux bleus. Ses cheveux frôlent ses épaules.
La blouse qu’elle porte met avantageusement sa poitrine en avant. Je remarque qu’elle la porte à même la peau.
Elle a l'air d'avoir des formes assez plantureuses.
Elle est légèrement maquillée.
Des effluves de parfum de renom me taquinent les narines à chacun de ses gracieux mouvements.
Elle m'invite à me déshabiller dans une cabine.
Je fais glisser rapidement ma robe ainsi que mes sous-vêtements assorties et je m'allonge avec ravissement sur la serviette immaculée, douce et fraîche qui recouvre la table.
Elle rendre dans la cabine et se présente.
- Je suis Sophie ! Je remplace l'esthéticienne qui a dû s’absenter pour une raison personnelle.
- Que voulez vous faire exactement? - Je viens pour une épilation complète, de la tête aux pieds, et bien évidemment pour que mon sexe et ses alentours soient débarrassé de toute pilosité.
Elle me regarde un peu étonnée.
Si je lui ai demandé une épilation complète.
C'est pour montrer à André que c'est moi qui décide de se que je veux faire de mon corps. - Comme vous êtes ma dernière cliente, je ferme la porte, nous ne serons pas dérangé.
Avec une télécommande, elle bloque la porte d’entrée.
Ce que je ne savait pas.
C'est que lorsque Sophie a vue mon nom sur la liste des rendez-vous.
Elle tout organisé pour qu'elle soit seule avec moi, la femme d'André son amant ?
Me voilà confortablement installée, nue et à la disposition de Sophie.
Je suis un peu gênée par cette situation qui n'est une première pour moi. Alors je ferme les yeux. Je souris parce que je pense à André et à ce qu'il va penser lorsqu'il me vera Sans aucun poil, à part ceux de ma bouille.
Je suis envahi par la douceur du lieu enrobé d'une musique douce. Alors, je me détend au maximum.
Elle passe ses mains sur tout mon corps, là ou il y a du poil.
Elle finit par ma vulve et mon trou de balle.
Je me laisse aller à cette découverte, après tout je ne fais rien de répréhensible.
Me sortant de mes pensées, Sophie me clame
- J’enlève tout !
Sophie commence ses travaux de gommage, je sens la chaleur sur ma peau.
Mon intimité est toute humide. Un désir subtil et l'envie de sexe s'insinue en moi.
J'en veux à André. A cause de lui me voilà dans une situation inconfortable mais, tellement excitante et alléchante.
Elle vient prodigué ses talents sur mes sourcils et mes aisselles. Sophie me demande de me tourner sur le ventre afin de poser des bandes de cire sur mes jambes.
Ce changement de position, le frottement du tissu éponge sur mon pubis, déclenche des sensations divines qui me provoquent de délicieuses ondes de plaisir et une lubrification généreuse de mon bas ventre.
Elle en arrive aux parties les plus charnues de mon anatomie.
Je sens ses mains sur mes fesses.
Pour atteindre mon trou de balle, elle écarte avec douceur mes globes fessiers.
Elle dépose une noisette de cire chaude autour de ma pastille et le contact de ses doigts agiles me font tressaillir de plaisir.
Je gémis sur la serviette en espérant n'être pas trop bruyante .
Elle me demande si ça va, si elle ne me fait pas mal. J'articule un ridicule un non. C'est un délice d'être entre les mains de cette jeune femme, délicate dans ses gestes et sa façon d'être.
Mes lèvres intimes sont gonflées, mon bas ventre palpite de désir.
J'attends avec impatience, qu'elle me demande de me retourner pour défricher mon mont de vénus.
Imaginer ses mains sur cette partie de mon corps m'émoustille, m'enflamme, m'attise.
L'instant tant attendu arrive, Sophie enfile des gants en latex comme une seconde peau.
Après un temps d'arrêt. Elle prend plusieurs lingettes et se met à nettoyer les lèvres de la moule baveuse.
Je laisse mes yeux fermés de honte et je me laisse emporté à nouveau par la jouissance.
Sophie constate quelque chose, car elle caresse ma vulve en clame.
- Ça à l’air de te faire de l’effet de savoir, que tu vas te retrouver comme moi.
Elle rajoute en écartant un pan de sa blouse.
- Touche comme c’est lisse, tu seras bientôt comme moi.
Je ne me suis pas fait prier et je glisse une main sous sa blouse.
Je la complimente sur la douceur de son pubis, sur la douceur de sa fente, et au fur et à mesure que ses cuisses se desserrent, sur la douceur de ses lèvres.
En voyant mon air étonné, Sophie sourit et passe ses doigts dans ma moule pour constater, que je suis vraiment trempée. Alors elle me dit.
- C’est bon, hein ?
Le frisson qui me parcoure au contact de ses doigts, lui suffit comme réponse.
C’est vrai que c’est bon, puis elle rajoute.
- Je vais te faire belle avant qu’André s’occupe de toi.
Mais, comment-ça, elle connaît mon André ?
C’est donc installée, bras et jambes largement écartés, afin qu’elle puisse ôter tout poil superflu, partout, que je me laisse épilé intégralement.
Je me détends en me laissant aller en sentant les mains de Sophie s’occuper avec attention à ma moule.
Ses mains douces qui étendent de la crème sur mes lèvres. attentives pour que tout se passe bien, sans le moindre mal.
Son souffle sur mon mont de Vénus à chaque fois, qu’elle doit s’approcher pour un poil réticent.
Puis me sortant de cette torpeur qui m’a envahie, elle me proclame que ?
- C’est fini !
Elle me tend une miroir portable. Ce qui me permet d’admirer le travail.
De ma toison taillée court, il ne reste plus rien, la fente de mon sexe est entièrement nue entre les jambes, ma vulve ainsi débarrassée de ses poils est maintenant offerte aux regards, dans une indécence totale,
Je suis nu complètement jusque dans ma raie du cul.
C’est vrai que cette peau fraîchement épilée est d’une douceur.
Sophie veut être la première a y goûter. Alors elle se penche au-dessus d moi et elle se met à me lécher avidement.
Sa langue glisse sur mon clitoris gonflé à bloc. Une sensation de chaleur m’envahit puis elle allait chercher mon anus du bout de sa langue, me faisant frisonne.
Ensuite, sa langue chaude écarte ma fente et pénètre dans mon vagin, on ne peut plus offert, c'est vraiment terrible.
Sentir sa langue parcourir mon clitoris et ses doigts à l’entrée de mon vagin ont suffi à me faire éclater.
Mais, ce n’est pas fini, elle prend une de mes mains et l’a pose sur mon pubis et elle me proclame.
- Écarte !
Alors, je lui offre ma moule entièrement ouverte.
Sa langue s’active et sans attendre, je jouit, lorsqu’elle un doigt dans mon trou de balle.
Sophie monte sur la table et elle pose un genoux de chaque toi de mes épaules.
Elle retire sa blouse. Elle était bien nue en-dessous.
C'est à mon tour de profiter du spectacle, ses cuisses de part et d’autre de ma tête, avec au sommet sa moule imberbe aussi.
Tout doucement, elle plie ses genoux ce qui descend lentement, sa moule offerte qui s’approche de ma bouche.
Elle s’arrête juste affleure de mes lèvres, à la portée de ma langue.
Elle attrape ma chevelure et me tire vers sa moule.
Dans l’état où je suis et sans me poser de questions.
J'approche ma bouche de sa moule qu’elle m’offre.
Ma langue ne tarde pas à la léché, j’aspire son clitoris, la pénétré par moment.
Le goût est acidulé et rapidement, elle mouille.
Elle râle de plaisir, ses mains enfouies dans mes cheveux, pressent ma tête contre sa moule.
Mes doigts l’écartent, la pénètrent, et ma langue l’envahit tandis que mon nez s’imprègne de ses odeurs intimes.
Je l’entends râler, crier de plaisir. Ensuite, elle prend fermement ma tête entre ses mains. Elle la recule un peu et crie, les yeux en feu.
- OUIII ! Regarde, je jouis !
A quelques centimètres de mon visage, je vois sa moule se dilater et de longs jets en sortir. Sa jouissance m’inonde le visage.
Elle éclate en jets puissants et chauds.
J’avale, je n’ai pas connaissance qu’une femme peut mouiller de cette façon.
Elle caresse ses seins de taille généreuse, tire ses mamelons et les faits rouler entre ses doigts.
Sa respiration s’accélère, elle tire encore plus sur ses mamelons et en silence elle prend son plaisir.
Ensuite elle vient m’embrasser longuement pour partager le goût de sa jouissance.
Un de ses doigts vient chercher le chemin de mon clitoris, qu’il trouve facilement, puis il descend à l’entrée de mon sexe.
- Oh ! mais ma petite chérie tu mouilles déjà comme une grande.
Son doigt repart sur mon bouton, et là sans retenue, elle me masturbe vigoureusement, accentuant ma lubrification intime, qu’elle récolte pour mouiller le doigt qui me masturbe.
Constatant que je suis réactive à cette manipulation, elle me pénètre d’un doigt.
Étant très lubrifiée et dilatée, je ne sens pas grand-chose.
Un deuxième et un troisième doigt me prennent, ça commence à être plus pénétrant, je ressens les allers retours dans mon intimité, c'est très bon.
Elle ne cesse d’entrer et de sortir, insistant sur l’entrée de ma moule, cherchant à l'ouvrir encore plus.
A un moment, je sens que la main force sur mon entrejambe, je comprends, alors qu’elle tente de faire pénétrer complètement sa main.
Je m’apprête à lui dire d’arrêter, quand je sens que la dilatation est t'elle, que sa main vient juste de passer mes lèvres intimes.
- OUOUOUCH !
Je ne ressens pas de douleur forte, juste quelque chose qui m’écartèle mon entrejambe. A partir de là, elle s’active dans mon intimité.
Je sens nettement que je suis prise par sa main, son poing, qu’elle se fait plaisir à me pistonner de la sorte.
Elle me baise ainsi avant que je ne ressente une sensation étrange.
- Arrête ! je crois que j’ai envie de faire pipi !
- Oh ! que non, tu peux te libérer, aller lâche moi tout.
Qu’est ce quelle me fait celle-là encore, je n’ai pas envie d’uriner devant elle, c’est intime quand même.
De sa deuxième main, elle m’empêche de tenter de me relever, pendant que l’autre main me laboure littéralement mon paradis, à ce rythme je vais pas pouvoir me retenir.
Et c’est effectivement ce qui arrive, elle fait tout pour que je me libère et des jets d’urines commence à gicler.
La sensation est nouvelle mais, super bonne, j’ai l’impression de prendre mon plaisir tout en pissant.
J’ai comme un étourdissement et je jouis en même temps. Quand, je reprends pied, la main vient tout juste de quitter mon paradis.
- Alors, ma belle Marcelle je crois que tu as découvert un autre plaisir.
- OUI ! mais j’ai tout salie, je suis désolé.
- On s’en fou de ça ! rhabilles-toi maintenant, on doit partir !
Au moment de me laisser quitter sa boutique elle me proclame.
- Tu peux revenir quand tu veux, voilà mon 06.
- Euh ! oui merci !
On se quitte en se donnant un baisé sur la bouche.
A mon retour à la maison, je raconte ce moment à mon chéri.
Vu que maintenant il s’est libéré, j’estime que je lui dois la vérité.
- Si tu attires aussi les femmes, nous allons pas avoir beaucoup de temps à nous.
- Tu veux dire quoi ? Que je dois revoir Sophie ?
- Ouais ! mais avec moi, je voudrais bien voir ce que tu m’as dit, tu verras avec elle pour la revoir en ma présence, mais après notre semaine au Maroc.
- Oui mon chéri ! nous verrons ?
- C’est pas discutable de toute façon.
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