Marcelle le mélange - histoire érotique

LE MELANGE

Il n'y a aucun tabous entre nous, nous faisons l'amour tendrement et parfois des parties de baises très intenses. Je dois avouer que ça m'excite de penser que j'ai été prise et traitée comme une salope. Depuis le Maroc, dans notre chambre, nous avons des miroirs en face du lit, j'adore nous regarder baiser.

Quand je vois le sexe d'André me pénétrer et ressortir luisant de mouille. Et aussi, me regarder me faire sodomiser et qu'il met deux doigts dans ma grotte d'amour. Ma jouissance en est décuplée, et c'est régulièrement que je sens ma moule se contracter et faire jaillir une sorte de petits jets, la sensation est divine.

Je pense souvent à ma conversation avec Sophie, lorsque je lui propose de se faire baiser par André.
Lorsque j'ai revu Sophie, nous avons convenu de faire ça tous les quatre avec Jean son mari bien-sûr.
Je n'ai rien dit à mon mari, je souhaite lui faire la surprise.
Tel que je le connais, il ne sera pas contre une nouvelle expérience.
Nous avons convenu avec Sophie que je les inviterais à dîner à la maison. Et après, on verra bien comment y arriver.

André est ravi de mon invitation. Pour que je sois relaxé, nous avons pris le dîner chez un traiteur. Pour la soirée, je me suis habillée très sexy avec une petite robe sous laquelle je n'ai pas mis de culotte.

Nous commençons par prendre un apéritif et nous finissons à table avec le dîner fort bien préparé. La conversation est assez banale jusqu'au moment où chauffer par la boisson je commence à parler de sexe. Ce n'est pas très osé, mais tout de même. Sophie me suit sur ce terrain. Elle avoue que faire l'amour est pour elle essentiel.
Cet aveu fait bander André et Jean. Je m'en aperçois et regarde avec envie la bosse sur le pantalon de mon Dédé. Sophie suit mon regard et voit que nos propos ont bien chauffé aussi Jean son mari.
Je vois là l'occasion de mettre en pratique notre connivence. Sophie regarde uniquement André. Donc, je prends mon courage à deux mains et demande à Sophie de venir près de moi pour l'embrasser.
Toutes les deux, nous nous rapprochons et nous nous embrassons. Sophie accepte le baiser et en plus, elle me caresse les seins à travers ma robe. Sophie va plus loin encore, elle passe une main sous ma robe et monte directement vers ma moule.
Elle me caresse doucement le clito, qui devient de plus en plus gonflé et elle arrive à y introduire le bout d'un doigt et aussi d'un deuxième dans ma moule toute trempée.

André converse avec Jean et proclame. - Si nous allions dans la chambre, nous y serions plus alaise.
Arrivés dans notre chambre. Nous nous déshabillons entièrement tous.
Mon Dédé me pousse sur le lit et il se jette sur moi comme une bête, nous nous retrouvons tête bêche. Il met sa langue le plus profondément possible dans ma moule, et je le suce goulûment. Je fais attention qu'il ne vienne pas, car la soirée ne fait que commencer.

Mon mari tellement excité, que je n'arrive pas d'arrêter nos ébats. Surtout que Sophie est aussi complètement nue. Son mari Jean est nu aussi, ils se couchent à côté de nous.
Nous roulons sur le lit pour leur laisser de la place.

André se retrouve allongé sur le dos et moi à quatre pattes, offrant ma moule à sa bouche. Sophie et Jean placent dans la même position, mais à l'inverse. Je vois donc Jean enfourner sa langue dans la moule de Sophie, pendant que je suce la queue de Dédé, et ce spectacle m'excite.
Jean met deux doigts dans la moule trempée de sa Sophie et il les fait aller et venir très rapidement. Mêlés au bruit de succion de Sophie, j'entends ses gémissements.

Mon Dédé lui aussi est excité de voir la queue de Jean se faire sucer. Il me met un doigt dans mon trou de balle en le faisant coulisser.
Je peux voir ce que ça fait, lorsque Jean fait la même chose à Sophie.
N'y tenant plus, nos hommes ont le même geste, ils se positionnent derrière nous, toujours à quatre pattes. Ils prennent leur femme respective en levrette. En tournant à peine la tête, je peux voir la bite de Jean pilonner la moule de Sophie.

Il a une belle queue, du même calibre que mon Dédé, mais ce n'est pas le plus important. Je vois sa queue toute luisante taper fort, ses couilles se balancent en cadence. J'ai mon premier orgasme presque en même temps que Sophie.

Nous sommes tous les quatre très excités, les paroles commencent à fuser dans la chambre. Sophie réclame que Jean la baise comme une salope, et moi, je crie à mon Dédé de me défoncer.
Je vois que Jean et Sophie ne manquent rien de nos ébats, leurs regards sont fixés sur la queue qui me pilonne. La queue de Dédé est dure, lui aussi excité par ce qu'il voit

Pour avoir un peu plus de proximité et de point de vue pendant nos ébats, nous avons convenu que Sophie s'allonge sur le dos et que je vienne tête bêche sur elle. Sans aucun contact, je vois donc la moule de Sophie alors, qu'elle a une vue sur la mienne.

Mon mari se met derrière moi et m'a enfilé d'un coup, Jean a fait de même avec Valérie.
L'excitation est à son comble, en plus de la vue, il y a également les odeurs, c'est très excitant les odeurs dans le sexe.
Ils commencent à nous bourrer de plus belle. Je râle de plaisir, j'ai la bouche à quelques centimètres de l'autre queue, qui ressort de temps en temps, et pointe vers moi.
Je résiste de la prendre en bouche. Et que fait Sophie, car je ne vois pas ce qui se fait derrière moi. Est-ce que Sophie lui caresse la queue, où les couilles, est-ce qu'elle prend la bite de mon Dédé dans sa bouche de temps en temps.

Après quelques minutes de pilonnage en règle, nous changeons de position.
Un peu impressionnée et surprise, je vois Sophie prendre la bite d'André à pleine bouche. Il lui tient la tête pour qu'elle aille le plus loin possible. II est bien excité. Mon mari redouble d'excitation. Jean également, il joue avec le trou de balle de Sophie, en y enfonçant plusieurs doigts et tout en continuant à lui labourer la moule.

André en voyant cela, proclame que sa queue désire prendre la place de ses doigts. Et que Sophie adorerait se faire prendre en sandwich.
Je me suis dit, qu'il ne va quand même pas la sodomiser.

Ho ! là, là ! André passe derrière Sophie, appuie sa queue sur son petit trou. Sophie est tellement mouillée que la bite d'André glissé directement dans sa chatte où se trouve déjà son mari. Elle avait deux queues dans la moule. Nos deux hommes sont un peu surpris et ils apprécient la sensation, car ils la baisent de plus belle.

Je regarde ça et ça m'excite. Comment peut-elle recevoir, deux beaux calibres comme ça dans sa grotte d'amour. Elle crie de plaisir, je vois les deux queues qui entrer et sortir de sa grotte, avec leurs couilles qui s'entrechoquent. Les mouvements ne sont pas synchrones, mais je ne peux pas leur en vouloir.

A ce moment, André sort sa queue de la grotte de Sophie, et clame excité. Maintenant, je vais la sodomiser. Il entre d'une seule poussée dans le boyau de Sophie. Elle grogne de plus belle, à présent les deux queues s'activent dans ses deux orifices.
J'ai envie de toucher, mais je me retiens. Le spectacle devant moi est terrible, je suis partagée entre l'excitation et la frustration, car j'aimerais sentir ces deux queues en moi.

Incroyable ce que j'entends, lorsque André proclame à Jean. - Ta Sophie a pris nos deux queues dans sa grotte d'amour, je pense qu'elle peut en prendre aussi deux dans son fion. Malgré les protestations de Sophie, Jean se retire de la grotte de sa femme.

Et il enfonce sa queue dans son anus occupé. Malgré la présence de celle d'André.
Sophie a deux queues dans son trou de balle. Pourtant, elle râle de plaisir, elle a un tel orgasme qu'elle manque de s'évanouir.
Moi, je mets trois doigts dans la moule pendant que mon Dédé sodomise Sophie comme un fou.

Jean tourne sa tête vers moi, et me demande si je veux le même traitement. - Pourquoi pas ? Il faut que vos queues soient encore raides pour m'envoyer au ciel !
André et Jean n'en peuvent plus de sentir leur queue glisser l'une contre l'autre dans le boyau de Sophie.
D'un commun accord, ils sortent leur queue du trou de balle de Sophie. Elle est toujours à genoux, ils se mettent aussi à genoux sur le lit, afin que leur queue soit au niveau de sa bouche.
Ils éjaculent de longs jets de spermes, dans la bouche ouverte de Sophie. Je les vois jouir dans la bouche de Sophie. Une giclée arrivée sur son visage, lorsqu'elle ferme la bouche pleine pour déglutir.
Après ça, ils s'allongent sur le lit, leurs bites redescendent.
Sophie va leur sucer la queue en me jetant des coups d’œil, d'un air de dire que mon tour va venir.
Les membres de nos mâles reprennent de belles formes. J'ai chaud, je me sens très pute, et je désire que ces deux-là finissent avec moi, qu'ils me baisent pour de bon, car leurs caresses sont un supplice.

André s'approche de mon visage à genoux et mes yeux découvrent sa belle queue au gland gonflé. Ses mains caressent mes cheveux et inclinent mon visage de manière que ma bouche frôle lentement son gland tendu vers moi.

A peine ai-je posé mes lèvres sur ce bel engin que je sens entre mes cuisses tremblantes la langue de Jean qui se met à jouer avec mon petit bouton. Je ne maîtrise plus mon corps, mes cuisses s'ouvrent largement d'elles-mêmes donnant ainsi la liberté à Jean de lécher mes lèvres charnues et lisses.

La queue durcit encore dans ma bouche, et je prends beaucoup de plaisir à sucer, je me penche pour gober ses couilles, c'est tellement bon.
Ensuite, on change de position, je me retrouve prise en sandwich entre nos deux hommes, qui continuent pour l'un à se frotter contre mon fessier, pour l'autre de me pétrir les seins, éveillant en moi des bouffées de chaleur.

André s'allonge sur le lit et me fais signe de venir m'asseoir sur sa queue tendue que je ne tarde pas à recouvrir de ma chatte dilatée et trempée.
Il attrape vigoureusement mes hanches et m'impose un rythme soutenu de balancements de manière à ce que sa queue emplisse totalement mon vagin.

Jean vient se caler contre mon derrière et s'enfonce rapidement dans mon boyau ce qui a pour effet de me faire jouir sur le champ.
Bientôt dans la chambre s'élèvent nos râles de plaisir, des gouttes de sueur perlent sur tout mon corps tandis que les deux hommes achèvent de me baiser et jouissent ensemble.
Je reste quelques minutes hébétée, dans le brouillard avant de reprendre lentement mes esprits.

Ensuite, nos maris respectifs nous embrassent.
Nous nous sommes allongés sur le lit, le temps de reprendre un peu notre souffle.

Nous discutons tout en regardant le plafond, c'est la première fois que nous pratiquons l'échangisme.
Les uns comme les autres, nous avouons que de faire l'amour en matant qu'un autre couple le fait aussi. Que cela nous excite au maximum.
Et que nous ne sommes pas contre un mélange.

Valérie se lève la première suivie de Jean, ils se sont rapidement rhabillés, et après un baiser à la volée, nous ont souhaité une bonne nuit.

Il est trois heures du matin, j'ai la chatte et l'anus en feu, mais avec encore dans la tête toutes les images de la soirée.
Mon Dédé me remercie d'avoir organisé cette soirée, et me demande de recommencer avec eux.