Légarement de Marcelle

- Par l'auteur HDS SAM BOTTE -
Récit érotique écrit par SAM BOTTE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Légarement de Marcelle Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2025 dans la catégorie Plus on est
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Légarement de Marcelle
Deux semaines plus tard, nous sommes au Maroc, dans notre hôtel.
Le temps est génial, beau et chaud, ballade, farniente, piscine, c'est le paradis.
Nous avons fait connaissance d’Ali un membre de l’hôtel qui apprécie notre compagnie.
Il nous propose de nous faire découvrir la ville sous un autre angle que touristique.
Nous nous promenons dans des coins où il y a très peu de touriste.
Marcelle est parfois dévisagée, et regardée de travers ?
Parce qu'elle n’a pas pensé à s’habiller traditionnellement pour cette sortie.
Elle porte une robe très légère, assez courte et ses seins sont libres.

Plus tard, alors que nous revenons d'une balade sur la plage.
Marcelle, me clame que le fond de son de bikini est humide.
Elle a envie de faire l'amour. Ce que nous avons fait arriver à l'hôtel.
Je suis de nouveau amoureux, je prends des vacances avec mon épouse.

Le quatrième jour, nous sommes attablés dans la salle de réception de l’hôtel.
Il y a une soirée festive avec un orchestre et des danses orientales.
Ali vient à notre table et nous offre un punch local.
Il s'assoit à côté de Marcelle et semble flirter avec elle.

Entre deux verres, lorsque je regarde Marcelle, elle me sourit d'un air complice.
Je la laisse flirter avec Ali, car je sais que ça n'ira pas plus loin.
A la fin de la soirée, nous sortons de la salle. Elle me dit qu'elle va vite aux toilettes, car sa urge !

Je lui ai dit, que je l'attends au bar de l'hôtel.
Elle me répond qu'elle me rejoindra quart d'heure plus tard. Marcelle s'éloigne, suivit par d'Ali.
Je prends un verre, et encore un autre, car ça fait maintenant une demi-heure.
Je remonte dans la chambre voir ce qu'elle fait.

La chambre est vide, je redescends en bas de l'hôtel.
Je la cherche et elle ne se trouve, pas au bar, ni à la piscine. Je demande au personnel, s'ils l'ont vu, mais personne ne peut me répondre.

Après une heure de vaines recherches, je m'affole, je remonte dans notre chambre pour appeler la police. En prenant mon smartphone, je vois que j'ai un message ? Peut-être que c'est Marcelle, qui me cherche aussi
Claironne une voix d'homme avec un fort accent africain.
- Reste dans ta chambre. Elle est avec nous et on va lui en donner ce qu'elle est venue chercher ! Elle en voulait de la queue. Elle en aura autant qu'elle en veut !

Pendant deux jours, je erre sans but dans l’hôtel, inconsolable de son absence.
A l'aurore, j'entends frapper à la porte de la chambre. Calmement, je vais ouvrir et là, j'ouvre la porte en grand. Marcelle est là-devant moi. Elle est couverte d'une serviette de bain sale.
Son visage est fatigué, ses yeux sont cernés. Sa chevelure est ébouriffée et engluée de sperme sec et frais. Elle en a aussi des traces dans le cou et sous le menton.

Je lui tends la main, mais elle vocifère.
- Ah ! Non ! Pas avant que je prenne un bain et une longue douche. Pendant ce temps, tu vas faire nos valises qu'on quitte cet hôtel de merde au plus vite. Je veux rentrer à la maison.

Nous sommes rentrés par le premier avion.
Dans l'avion, elle regrette son comportement avec Ali.
Elle la suivit dans une chambre du personnel, pour un flirte plus poussé. Elle a succombé à son charme et me demande pardon de lui avoir cédé.
Ali lui a fait l'amour divinement. Ensuite, elle s'est assoupie et lorsqu'elle a refait surface.
Ali la baisait, elle a eu un orgasme. Il l'a retourné sur le ventre et a continué à la baisé.

Mais, sur le ventre et dans les lymphes de son plaisir, elle n'a pas vu trois copains d'Ali rentrer dans la chambre.
Ils l'ont baisés tous les quatre pendant deux jours.
Elle ma demande pardon et me supplie de la garder. Qu'elle fera tous ce que je veux pour qu'elle reste avec moi.

Je l'aime, alors je la garde. La vie reprend son cours.
J'ai essayé d'aborder le problème une semaine plus tard, mais Marcelle se refuse d'en parler.
Je lui propose de voir un psychiatre, elle n'a consentie qu'à faire des tests sanguins.
Apparemment, ils ne lui ont transmis aucune maladies sexuelles, et pas le SIDA.
Sans oublier que ses deux puits d'amour ont été élargis.

Elle s'est fais percés les tétons pour me prouver son amour.
Car une fois, nous en avions parlé et elle était contre ça, malgré mon désir de la voir ainsi.

Un soir en rentrant le premier, je découvre une enveloppe épaisse dans la boite aux lettres ?
J'y découvre plusieurs DVD avec un petit mot signé d'Ali, en guise de souvenir dit'il.

J'introduis le DVD dans mon ordinateur et lance la lecture.
On y voit ma Marcelle se faire baiser par ses amants noirs, un par un. La même scène est renouvelée. En regardant bien, je vois qu'elle n'offre aucune résistance.
Elle semble bien heureuse d'être la femelle de ce quatuor.

Ils ne cachent pas leurs visages, alors qu'ils baisent la femme infidèle. Je reconnais Ali le membre de l'hôtel qui nous avait pris en sympathie et flirter avec Marcelle.
On l'entend commenter la scène.
- Ta femme est devenue ma pute. Elle adore se faire baiser. Un sacré coup en réalité. Elle m'a dit aussi, qu'elle n'avait jamais été enculée. Mais, à présent elle aime la sodomie ! Vue ! comme elle a pris la grosse bite de Momo dans le cul.

Il clame très fort.
- Ta Marcelle s'est pavané en tenue indécente dans notre quartier arabe. Elle nous a excité. D'ailleurs, j'ai aimé les couinements de ta Marcelle lorsque je l'ai baisée. Tu lui demanderas combien de fois, nous l'avons fait jouir avec mes amis. C'est une vraie chienne en chaleur ta femme.

Je l'entends rire de ses propos accompagné par d'autre rire. - Ah ! au fait Dédé ! Je vais vendre des copies de CD ROM sur les performances de ta femme à quelques connaissances ! - Bon ! Je dois te laisser à présent. Ma pute blanche se réveille. Oh ! ta femme, devrai-je dire. Elle doit vouloir encore recevoir une bonne grosse bite noire.


Je regarde le DVD attentivement, je veux voir, si elle est droguée ou non ?
Mais, je n'arrive pas à y voir une différence dans son comportement.

Fébrilement, je mets le deuxième DVD dans le lecteur de mon ordinateur portable.
Je m'angoisse de savoir ce que je vais découvrir à nouveau ce qu'ils font subir à Marcelle. Étonner ? Je vois apparaître la bouille d'Ali à l'écran.

Il s'adresse à moi ?
- Salut Dédé ! comment ça va ? Tu es exactement le genre de bonhomme que je méprise. Comme tu veux le savoir ? Ce qui vous arrive à toi et à ta femme est la conséquence de votre désinvolture envers nos traditions.
- Tu vas aimer regarder ce DVD, je suis sûr que tu vas bander. Nous avons fait découvrir à ta Marcelle plein de choses vicieuses. Au fait ! je lui ai fait percer les tétons. On lui a attaché au cou un collier de chienne avec une chaîne comme ça on peut la promener en laisse. A ton avis là qui me taille une pipe ?

L'image se recule et je vois Marcelle agenouillée entre ses cuisses, qui lui fait une fellation. Ses petites mains paraissent encore plus blanches en enserrant sa grosse bite noire. Elle tient l'épaisse bite à deux mains, ses lèvres coulissent dans un va-et-vient sur sa grosse queue.
- Prends ton temps femme blanche ! Tu vas encore en sucer des dizaines avant la fin de la nuit. Allez continue !

L'image disparaît remplacée par une autre image de Marcelle nue. Elle est tenue en laisse, avec autour du cou le collier de chien. Elle se tient au milieu de la pièce.
Un homme que je ne reconnais pas la promène en laisse autour de la pièce.

Elle le suit docilement, je peux entendre des rires derrière le couple.
Ensuite, ils la font monter sur un lit, et là, ils la baisent de différentes façons.
Ils la prennent en sandwich, une bite dans sa moule avec une autre dans son derrière.
Ensuite, ils la baisent avec deux bites ensembles dans sa moule.
Elle crie sa jouissance durant toute cette baise.

Ils la baisent en alternant les pénétrations et les retraits. Lorsqu'une bite se retire d'un de ses puits d'amour, une autre s'y enfonce.
Il me semble évident que Marcelle est au-delà de toute jouissance, elle se livre à toutes leurs demandes volontairement.

Après un très long moment, ils attachent quelques ficelles a ses tétons, qu'ils utilisent comme des rênes tout en la baisant par derrière à quatre pattes.
Je vois que certains d'entre eux tirent vigoureusement sur les ficelles, uniquement pour la faire souffrir.
Pourtant, bien que ses seins soient tirés de chaque côté, elle ne semble pas trop souffrir.

Un autre passe une des ficelles entre ses cuisses. Ainsi lorsqu'il donne des coups de queue, la ficelle s'incruste profondément entre les lèvres de sa moule.
Marcelle râle de bonheur, ses tétons sont anormalement enflés, ils sont deux fois plus gros que d'habitude.

Elle se cambre pour faciliter les objets qu'ils lui enfoncent dans sa moule ravagée.
Un atomiseur de déodorant, une courgette, une aubergine, toutes sortes choses.
Un de ses amants lui enfonce une anguille vivante dans la moule.
Les contorsions de l’anguille à l'intérieur de sa grotte d'amour, provoquent un orgasme qui lui ravage le ventre à la Marcelle.

L'image disparaît dans les cris de jouissance de Marcelle, et elle revient dans la chambre. Une voix forte lui ordonne.
- Allez ! Fais-nous encore du spectacle pour ton André !
L'image suit les déplacements de Marcelle.

On y voit une petite bouteille de bière sur une patite table basse.
Sur ordre, Marcelle se met à quatre pattes sur la table.
Elle positionne sa moule au-dessus de la bouteille.
Elle s'accroupit lentement et le goulot de la bouteille disparaît dans son paradis.

Un homme vient poser ses deux mains sur les hanches de ma femme.
Il appuie sur ses reins et sa croupe descend jusqu'à ce que ses fesses reposent sur la table.
Elle est assise sur la bouteille ?

Ali apparaît à l'image avec une autre petite bouteille de bière à la main.
- Hé ! Dédé ! y a pu la bouteille sur la table ! Tient et regarde ?
Il passe une main entre ses fesses et lui fait relever son fessier.
Je vois que la main qui l'accompagne dans son relevage, a introduit un doigt dans sa moule.
Sans doute pour y enfoncer le cul de la bouteille.

L'image revient sur les fesses de ma femme et j'y vois plus la petite bouteille.
Ali pose celle qu'il avait en main sur la table, sous les fesses de Marcelle.
- OH ! Dédé ! Tu crois qu'elle arrivera à prendre celle-là dans son cul ?
- Elle est tellement élargie du cul et de la chatte, qu'elle ne sentira même plus ta petite queue de blanc-bec !

Il appuie fermement sur ses hanches pour faire descendre sa croupe.
Elle râle de crainte en sentant la bouteille lui rentrer dans son trou de balle.
- Tu veux celle là aussi dans ton derrière ?

Elle secoue la tête en signe d'acceptation, et grommelle sourdement.
- Ça m'est égal !  Fais ce que tu veux ?
- Montre à ton Dédé, jusqu'où tu peux te l'enfoncer dans ton cul !

Marcelle remue les fesses. Ali lui appuie fortement sur le bas de ses reins.
Elle pousse un grognement de surprise, lorsque ses fesses s'écrasent sur la table.
L'image suivante montre son visage étonné par la performance. Ensuite, on voit Ali venir présenter sa queue devant la bouche de ma femme.
Il la tient en position accroupie en forçant sur ses épaules avec ses deux mains.

Elle avale sa queue goulûment. J'entends qu'elle lui taille une pipe bien humide.
Après avoir joui dans sa bouche et qu'elle lui a tété longuement sa queue molle.
Il se retire de sa bouche et enlève ses mains de ses épaules.

Ensuite, on voit le fessier de Marcelle se désolidariser de la table.
Dans le mouvement de son relevage, on entend le bruit d'une bouteille qui est expulsée qui tombe sur la table.
Après un moment, on entend que Marcelle force et le bruit de l'autre bouteille qui est aussi expulsée qui tombe aussi sur la table.

En riant, il l'aide à se relever.
- Hé oui ! Dédé ! À présent tu as une femme, qui a deux très grands trous à grosse bite ! elle peut tout prendre dans n'importe quel trou.

Après un noir, la séance de baise reprend. Je remarque qu'il y a trois nouveaux africains.
Ils paraissent bien excités et très vicieux. Ils la prennent d'abord un à la fois.
Ensuite, en sandwich et tous les trois ensemble. Cela dure environ une heure.
Ensuite, quatre autres africains prennent le relais.

On entend Marcelle grogner de gros râles, et on ne distingue pas bien que c'est de plaisir.
Longtemps après, l'image s'attarde entre les cuisses écartées de ma Marcelle.
On y voit sa moule rougie avec les lèvres gonflées, d’où s'écoule du sperme.
- OLA ! Dédé, sa chatte et son cul ont servi de garage à bite à bien des queues noires cette nuit. Ils se sont tous vidés les couilles dans son ventre.
Après un petit brouhaha, Ali proclame. -Bon, d'accord les gars, vous pouvez encore la baiser si vous en avez encore envie, comme elle.

Le DVD est fini, il s’éjecte automatiquement.
Je le réengage, je sens une excitation monter, à regarder ma femme se faire baiser, ça me fait bander.
Une chose me trouble, car Marcelle apprécie vraiment ce qu'elle subit.

Je regarde en cachette les DVD d'Ali.
Bien qu'excité, je n'ose pas lui faire l'amour.
Je prends la décision d'attendre son bon vouloir.
D'attendre le moment où elle aura suffisamment récupéré.

Marcelle a repris son travail, mais sans beaucoup d'enthousiasme.
Il semble, qu'elle le fait uniquement parce qu'elle doit le faire.
En tout cas, elle se montre particulièrement gentille avec moi, pour se faire paordonner. Elle recommence à m'embrasser, mais il n'y a plus la même passion.

Je m'attends à ce que beaucoup de choses changent en elle.
Elle a limité ses contacts avec ses amies, même avec Sophie sa nouvelle amie.
Lors d'un cinq à sept avec Sophie, elle me demande ce qui ne va pas avec Marcelle.

Je me lâche, je lui raconte ce que Marcelle a subi lors de son égarement avec Ali.
Sophie est outrée, que je ne l'ai pas répudié et pas quitté.
Je lui demande de garder ça, comme un secret entre nous.
Je lui clame que j’espère qu'un jour tout redeviendra normal.

Une nuit, alors que Marcelle est couchée et commence à dormir.
Je visionne sur grand écran le dernier DVD.
Je me suis assis dans le noir pour le regarder.
Sur le grand écran, je vois très bien les bouteilles de bière disparaître dans ses deux puits d'amour.
Je n'ai pas mis de son, car je connais trop le son de ses râles.

En passant l'image au ralenti, je distingue clairement sa moule avaler la canette de bière.
Je me branle lentement en regardant aussi les grosses bites baiser ses orifices.
- Tu te comportes comme un pervers obsédé !
Proclame Marcelle dans mon dos.

Humilié, je range ma queue dans mon pyjama, elle contourne le canapé et s'assoit à mon côté.
- Je savais qu'Ali t'enverrait les CD-ROM qu'il avait enregistrés. Mais, je pensais, que tu les aurais détruit ces CD-ROM ?

Cette question m'embarrasse fort. Mais après réflexion, je me suis dit que ça pourrait me servir en cas de divorce.
En aucun cas, je veux ne jamais oublier ce que j'avais vu, et ce qu'elle a aimé subir.
J'ai essayé au moins de les détruire, mais je sais à présent que les avoir conservés change tout. - Tu les as tous là avec toi ?
Je hoche la tête, incapable d'émettre un son.
- Je ne les ai pas vraiment vus ! Peux-tu me les faire revoir ?

Je me relève et change le DVD par le premier reçu.
Je ne sais pas si c'est bon ou mauvais, pourtant, je ne vois pas d'échappatoire. Peut-être que ce sera une bonne thérapie, peut-être que cela l'aidera à récupérer.
Marcelle regarde les images défilées calmement, silencieusement, puis soudain, elle se met à nommer les acteurs.
- Celui-là, c'est Aziz ! qu'elle clame en identifiant un noir qui la prend en levrette.

Elle cite leurs noms, au fur et à mesure qu'ils la baisent dure. C'est, Rayan, Karim, Amir, Ibrahim, Brahim et bien sûr Ali.
Elle ne connaît pas le nom des derniers venus.

Apparemment, Rayan est un sinistre bâtard sadique, c'est lui qui lui a étiré si douloureusement les tétons.
- Rayan a été le premier à m'enculer.
Qu'elle clame sans hausser le ton, elle retrouve le langage posé qu'elle employait juste avant son débordement
- Au moins, il a consenti à me lubrifier le trou de balle avant de me le perforer !

Nous la regardons se faire prendre en sandwich par deux hommes.
Ensuite, on la voit se faire embrocher par ses trois puits, avec aussi toutes les vicieuses combinaisons, qu'ils ont inventées à son intention.

Je regarde fixement Marcelle. Je cherche à déterminer l'impact de ces images qui peuvent la perturber gravement.
Elle reste très calme, même sereine. Elle me regarde, elle incline la tête en signe complaisance.
- Je sais que l'on me voit bien jouir ! Mais, il faut savoir qu'Ali avait mis dans mon verre un aphrodisiaque. Donc, lorsque je me suis absenté pour aller aux toilettes, l'aphrodisiaque avait commencé à faire son efficacité. Ensuite, après m'avoir bien fait jouir, il m'a demandé si j'en voulais encore de la cantharide ? Dans les vapes de mon orgasme, je lui ai donné mon accord pour jouir encore. Plus il m'en donnait, plus j'avais les sens en ébullitions. Sacré Aphrodisiaque ?
- Mais, tu bandes ? S'interroge-t-elle soudain.

Je ne sais pas quoi répondre à sa question, je hoche la tête de bas en haut.
- Cela t'excite donc de me voir baisée par ces d'africains avec leurs grosses queues !
Honteux, je hoche à nouveau la tête.
Ma réponse muette ne semble pas la perturber outre mesure.
- Alors viens te coucher, et montre-moi à quel point t'es excité !

Nous nous enlaçons sur le lit, les préliminaires sont inutiles.
Nous avons envie de faire l'amour, tous les deux.
Je la pénètre à peine que déjà, elle jouit, elle est secouée d'orgasmes, avant que je jouisse dans son paradis.
Je n'ai jamais vu Marcelle aussi chaude. Je crois qu'il lui faudra toute la nuit pour apaiser sa lubricité.

Heureusement que je bande à nouveau, nous avons baisé comme des amoureux.
Ensuite, nous avons vraiment fait l'amour, doucement, amoureusement.
nous nous sommes endormis enlacés dans les bras de l'autre.

Je sais à présent que les choses vont se régulariser entre elle et moi.
Pourtant, j'ai toujours envie de tuer en le faisant souffrir ce salaud d'Ali.

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