Marcelle SE FAIT PIEGEE - histoire érotique

Roger me reçoit dans un petit appartement qu'il a acheté pour être pas loin de son travail.
Je sonne, il ouvre la porte.
- Bonjour Marcelle ! Tu es toujours aussi belle.
Je suis flattée et le remercie. Il m'attrape par la taille et me rapproche de lui et ferme la porte.
Il m'embrasse sur les lèvres.
Il enfonce d'autorité sa langue dans ma bouche et va chercher ma langue qui lui répond et se mélange avec la sienne.

Il passe une main sous ma jupe et l'autre sur mes seins.
Il malaxe longuement mes fesses avant de caresser ma moule et avant d'y introduire un doigt entre les lèvres, qu'il a doucement écartée afin de titiller mon clitoris.

Sentant le désir monter en moi, avec une main, je frotte sa braguette.
Il m'attire dans la chambre.
Nous nous déshabillons l'un à l'autre en nous bécotons la bouche.

A présent, le regard soutenu de Roger sur tous mes attributs, me procure un frisson.
Je considère cela comme un hommage et ça m’émoustille de voir qu’il type bande pour moi.
Je m’accroupis devant lui, j'aspire sa queue dans ma gorge en mettant mes deux mains sur ses fesses.

Je le suce avec délectation. Sa queue est exquise, bien meilleure que celle d'André.
Il finit par jouir longuement dans ma bouche, et j’avale tout son jus avec plaisir.
Je continue de sucer sa queue qui ramollit dans ma bouche.
Au bout d'un bon moment, je la sens endurcir.
Allez savoir pourquoi ? Je suis heureuse qu'elle reprenne vigueur dans ma bouche.

Roger fou de désir, me jette sur le lit. Je me retrouve sur le dos les jambes écartées.
Il me bouffe la moule, suce, aspire, mordille mon clitoris jusqu'à mon premier orgasme.
Il me fait hurler de plaisir. Ensuite, il s'allonge sur moi et enfourne une belle grosse queue dans mon paradis. Comme je suis trempée depuis le début, elle rentre comme dans du beurre.

Enfin, je me fais baiser comme j'en rêvais.
Il me prend depuis au moins vingt minutes, Roger est endurant contrairement à André.
Il me prend depuis tellement de temps que je sens quelque chose d’inhabituelle en moi, je sens que je mouille de plus en plus.
Un autre orgasme me terrasse, mon esprit part dans un délire verbal.
- AARRARA ! RROUIIII ! RRRAAAARR ! GOUGOUGOUIIII !

Pendant ce temps Roger persévère dans ses va-et-vient en moi, pendant encore quelques minutes. Je le sens se crisper, son pubis tape fort sur le mien en écrasant mon clitoris. Et je sens sa liqueur chaude se déverser dans mon paradis.
Je râle de frustration lorsque mon amant sort sa queue de ma moule qui en veut encore. Je n'ai pas le temps de faire part de ma désapprobation, qu'il plonge son nez entre mes deux cuisses, se délectant de ma moule brûlante et humide de notre jouissance.
Avec sa langue, il tartine mon trou de balle du jus de notre plaisir.

Je sens que je vais être encore sodomisé.
J’ai aimé la sodomie depuis qu’on l’a testée l'autre soir, je suis dans un autre monde, je veux bien réessayer.

Mais comparé au membre de mon mari, même dans les plus grandes occasions, je le juge immense, énorme. Alléchant certes, mais, on dit que l’appétit vient en mangeant.
Et comme je suis très sage, femme mariée et fidèle, je ne peux comparer.

Il n'écoute pas mes râles, il me retourne sur son lit, maintient ma tête dans l'oreiller pour sans doute étouffer mes râles.
Il force mon trou de balle avec son imposant gland.
Aidée par le jus de notre jouissance préalablement enduit, sa queue n'a aucun mal à s'engouffrer intégralement dans mon rectum.

J'aime avoir l'impression d'être remplie par cet homme comme jamais, je ne l'ai été par là. Sodomisé par une grosse bite qui va-et-vient intensément dans mon rectum ne manque pas de stimuler également une partie de ma moule.
L'orgasme est absolument total, et, si mon amant n'avait pas eu le réflexe d'enfoncer avec la main mon visage dans l'oreiller.
J'alerterai tout l'immeuble avec mes énormes râles de jouissance.

Enfin, après un quart d'heure à être sodomisée comme la dernière des salopes.
Je sens la chaleur de sa liqueur se répandre dans son boyau.
Mon amant se calme, en triturant mes seins et faisant rouler mes tétons entre ses doigts.
Lorsqu'il débande dans mon rectum, il en ressort sa queue molle.
Ensuite, il exige que je la lui nettoie avec ma bouche.

J'hésite un peu, l’excitation étant retombée.
Roger ne me laisse pas le temps d'hésiter plus longtemps.
Il saute du lit et vient agripper ma tignasse et pose sa queue sur mes lèvres avec ses couilles sur mon menton.

Il me pince le nez pour m'obliger à ouvrir la bouche.
Je n'ai plus le choix et le suce consciencieusement, aspirant chaque goutte de sperme.
Aimant cette magnifique queue, je me prends au jeu et commence une fellation de plus en plus ardente.

Il s'est mis à rebander dans ma bouche. Mais comment il fait ça ?
Mon André me baise que rarement deux fois de suite.
Roger m'agrippe par les oreilles et il me baise la gorge un très long moment pour y déverser une très petite quantité de liqueur.
C'est avec les mâchoires douloureuses que je lui demande de m'indiquer la salle de bain.

Après une bonne douche réparatrice, je reviens dans le salon.
Je retrouve Roger assis avec un verre d'alcool dans une main et son smartphone dans l'autre.
Je prends mon courage et lui proclame.
- Roger ! j’ai fait une bêtise, ça ne se reproduira plus, nous ne coucherons plus ensemble. Nous restons bons collègue.

Il me regarde avec un large sourire.
- Ah, Ah, Ah ! Que tu crois ! ce n’est que le début ma belle, regarde ça.
Il ouvre son smartphone et me fait voir des photos, mais aussi une vidéo de moi, le suçant, je suis clairement identifiable.

A ce moment-là, je comprends que j’ai mis le pied ou jamais, je n’aurais dû le poser.
- A voir ça ! ton André fera une drôle de tête ? Tu crois qu’il acceptera sans rien dire ?
Je savais que non, André ne me le pardonnera certainement pas, voir jamais.
- Donc, lorsque j’aurai envie que tu t’occupes de moi, tu répondras présente, tu dois être à moi.
Je suis complètement abasourdie et entendre ces paroles me fait peur.

Roger a changé d’attitude, il est à présent autoritaire. Il me domine comme une soumise.
- Tu as vu l'heure ? André va bientôt rentrer ! Il est temps que tu rentres aussi.
- Tu ne me raccompagnes pas ? - Tu as cas prendre un taxi !

Mise à la porte par mon amant, le corps fatigué, je descends dans la rue.
Par miracle, je trouve rapidement un taxi.
C'est un quinquagénaire avec l’œil un peu vicieux.
Nous arrivons devant chez moi. Ouf ! Je vois qu'André n'est pas encore rentré.

- Ça fera trente euros madame. Merde ! je n'ai pas d'argent sur moi. Je suis venu avec une voisine qui allait dans le quartier voir sa cousine et je croyais que Roger me raccompagnerait.
- Je n'ai pas d'argent sur moi, mais je vais allé vous en chercher !
- Écoutez ! On ne va pas tourner autour du pot ! S'enhardit le chauffeur. - Je connais ce genre de femmes qui reviennent de se faire sauter par leur amant. Alors si vous ne voulez pas d'esclandre public, passé sur le siège passager tout de suite ou je klaxonne sans fin jusqu'au retour du mari !

Je ne veux pas alerter mon voisinage de mon escapade.
Je suis sure, qu'il va me demander un truc sexuel.
Résigné, je ne me fais donc pas prier et je le rejoins à l'avant.
Lorsque je suis assis à côté de lui, il défait rapidement la boucle de ceinture, la braguette et descendit son caleçon.
Il enclenche une vitesse et la voiture avance lentement. Je le regarde étonner.
- Je préserve votre réputation ! On va plus loin pour payer la course !

Lorsque la voiture s'arrête dans un coin discret. Il m'attrape par la nuque et attire mon visage sur sa queue raide. L'odeur de sa queue a la même odeur que celle de Roger.
Cette odeur fait naître en moi une légère excitation.
D’instinct, j'ouvre la bouche et aspire l'engin dans ma gorge.

Après avoir copieusement sucé le gland, j’entreprends de descendre mes lèvres jusqu'à la garde. La gorge profonde, c'est plus facile que je ne l'ai cru.
Mon nez se retrouve entre les poils broussailleux, mes yeux ne voient plus que les bourrelets.
Ma langue s'est plaquée sur ses couilles, ma gorge est envahie de sa queue.

Ravi, l'homme ne se contrôle plus.
Tenant fermement ma tête dans ses mains, il commence un rapide va-et-vient, il me baise littéralement la gorge.
J'ai le réflexe de hurler, mais mes cris sont bien sûr étouffés par sa queue.
Je tente de me dégager, mais c'est peine perdue.

Il me plaque la tête contre son siège et en un instant, mon visage est écrasé entre le dossier et le bide du chauffeur.
Ainsi, il enfonce sa queue le plus loin possible dans ma bouche.

Totalement soumise à cette imposante virilité, malgré moi.
Je deviens plus chaude que la braise.
Je commence à me branler en m'imaginant que c'est Roger que je suce.
Alors que mes doigts effleure mon clitoris bandé, j'ai un violent orgasme, plus cérébrale que physique.

Mes spasmes de plaisir achèvent la jouissance du chauffeur qui n'est pas long à éjaculer dans ma bouche.
Sa liqueur se déverse dans ma gorge.
Comme il me tient bien la tête, mon estomac est rempli directement par son sperme. La voiture redémarre, alors qu'il maintient fermement ma tête sur sa virilité ramollissante.

La voiture s'arrête, il me libère la tête que je relève pour voir que je suis devant chez moi.
Je suis poussé sans ménagement hors de la voiture par le chauffeur, qui s'étant vidé les couilles, a repris ses esprits. Comme dans un état second, je rentre préparer le souper, ainsi qu'un apéro pour le retour d'André