Marcelle

- Par l'auteur HDS SAM BOTTE -
Récit érotique écrit par SAM BOTTE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Marcelle Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2025 dans la catégorie Pour la première fois
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Couleur du fond :
Marcelle
Je me prénomme Marcelle et je suis en couple avec André. Nous avons trente ans tous les deux.
Le seul point qui nous distingue vraiment, c'est qu'il aime tout ce qui touche au sexe. André a un sexe que je considère normal. Alors, que je suis un peu coincée sur le sujet et cela nous va très bien.
J'ai une belle poitrine, mes tétons sont presque toujours dressés. Ils sont ultra-sensibles, un simple frôlement m'enflamme, c'est immédiat.
J'ai les fesses galbées, avec des jambes assez musclées fines.
Mon minou est juste assez épilé pour l'offrir à sa vue.
Mon mari tient beaucoup à cette vue.

J'ai aussi une bouche sensuelle, charnelle.
C'est une bouche à tailler des pipes, comme disent les hommes.
Je suis une bonne épouse, bien comme il faut, comme le souligne parfois ironiquement mon mari.
Je fais du contrôle de gestion dans une grande boîte française. André est comptable dans une entreprise d’informatique.

Ce soir mon mari a invité, à la maison, un nouveau cadre de l'entreprise. Il m’a demandé de me faire belle.
Cette soirée compte énormément pour lui. Il y a en vue une belle promotion pour lui.
Je me suis donc habillée sexy. Je porte un soutien-gorge pigeonnant qui fait gonfler mes seins et cache difficilement leurs pointes, un string ridiculement petit, sous une robe noire courte qui met bien en valeur mes jambes, avec une paire de bas auto-fixant.

A l’heure prévue, l'invité arrive.
Charmant, la quarantaine environ, il a amené des fleurs, ce qui me fait plaisir.
Pour prendre l’apéritif, nous nous installons au salon.

Mon mari et cet homme se sont assis sur le divan. Je me retrouve dans un fauteuil en face d’eux.
En m’asseyant, ma courte robe est encore remontée, dévoilant nettement le haut de mes bas.
Notre invité ne rate rien du spectacle que je lui offre involontairement.
Je surprends son regard et me suis mise à rougir.
Je tire sur le bas de ma robe sans grand résultat. Je fais attention à garder les jambes serrées.

L’apéritif s’est déroulé normalement, mon mari fait le service.
La soirée s'annonce bien et je me sens d'humeur charmante. Je suis heureuse et prête à tout, pour que mon André le soit aussi.
Il semble ravi, la soirée commence bien, il raconte des dernières petites histoires salaces, et il nous resserre au fur et à mesure que nous vidons nos verres.
Nous n'avons pas l'habitude de boire autant et je commence à avoir la tête qui tourne. Je me sens sur un petit nuage, euphorique !

Ensuite, nous passons à table. Mon mari s’est placé en face de Roger, le cadre et je me retrouve à côté de lui.
Au début du repas, je m'occupe du service pendant qu'ils parlent entre eux de travail. Le repas est agréable et les conversations dévirent sur des sujets plus légers. Arrivés au dessert, André s’aperçoit qu’il n’y a plus de vin et se lève pour aller en chercher dans la cave.

Je me retrouve seule avec Roger. Il se met alors à me complimenter. Je le remercie lorsque je sens sa main se poser sur ma cuisse à la lisière de ma robe.
- Je vous en prie, arrêtez ! Mon mari va revenir ! Que je m’exclame surprise par ce geste.
- Allons, vous êtes tellement sexy. Laissez-vous faire ! J’ai envie de vous caresser.

Après les digestifs, comme André a beaucoup bu et il s’écroule, ivre mort.
Il se met alors à ronfler bruyamment.
J’ai honte, car ce n’est pas la première fois qu’il se conduit de la sorte.
Ce qu'elle ne sait pas, c'est que Roger a mis discrètement des gouttes de somnifère dans son verre.
Alors, je demande à Roger avant qu'il parte, de m’aider à le coucher.
Nous portons mon mari dans notre chambre pour le coucher.

Alors, que je suis penchée sur lui en train de rabattre une couverture, Roger se colle derrière moi, et m’embrasse dans le cou.
Tout d’abord très surprise, je me le laisse faire.
Constatant mon abandon, il devient très entreprenant. Il soulève ma robe et insinue sa main entre mes fesses, en insistant très longuement sur le sillon.

Il câline mon trou de balle habilement, d'une caresse que ne m’a jamais faite mon mari. Roger doit voir qu'il me fait mouiller, car il sort son sexe et me prend comme ça, en levrette en écartant mon string.

Cette situation est assez exceptionnelle pour l'épouse fidèle que je suis.
Un homme me pilonne le sexe à un mètre de mon mari profondément endormi ! C’est totalement pervers, mais d’autant plus excitant !

Sa queue, que je sens plus grosse que celle de mon André, m'enflamme la moule.
C'est l'extase qui me fait éclater un formidable orgasme.
Qui se prolonge en sentant sa liqueur tapisser mon paradis.

Ensuite, Roger se retire et me retourne sur le dos.
Je me retrouve allongé à côté de mon ronfleur de mari.
Roger s'agenouille devant moi et écarte mes cuisses. Sa langue s’approche de ma moule. j’étais trempée de mouille, terriblement chaude.
Il me lèche la moule, aspire ce qui en suinte et sa langue s’infiltre dans mon puits d'amour.

Il me baise en enfonçant sa langue dans mon paradis comme une petite bite.
Roger est merveilleusement doué, que j’ai un orgasme foudroyant.
Il en profite pour ensuite, pour titiller mon trou de balle, qu'il mouille bien de sa salive. Je tente de le repousser, mais il me fait comprendre que je dois accepter. Sa langue tout autant baveuse se délecte de lécher cet endroit.

Je crois que ce soir, je suis dans une situation inconcevable, invraisemblable.
L’action d’avoir mon trou de balle léché me fait sentir un plaisir inconnu, qui débloque la barrière du tabou. Il insiste sur cette intimité qui pour moi ne sert pas à apporter un plaisir. Je sens à un moment sa langue tenter d’ouvrir mon petit trou.
Après ça, je m'assois sur le bord du lit. Il se redresse la queue à l'air.
Je l'attrape avec mes mains sur ses fesses nues et je gobe sa queue et la suce avec délectation. Sa queue souillée de notre plaisir est exquise, bien meilleure que celle de mon époux.
Qui est complètement avachi à mes côtés pendant que je pompe Roger.

Sa queue se redresse dans ma bouche. Je suis heureuse de ma réalisation. J'aurais dû le faire à mon mari et c'est que je ferais la prochaine fois.

Roger me retourne, je suis sur le ventre et son membre reprend sa place en moi, j'adore.
Il écarte mes fesses et crache sur mon anus et aussitôt un doigt entre dans mon trou de balle. Il profite que mon plaisir soit monté pour ouvrir cet endroit.
Je tente sans grande conviction de refuser, mais il se refuse d’arrêter.

Il profite de la montée de mon plaisir, pour y introduire un deuxième doigt et faire des allers-retours. La montée de mon plaisir n’est pas vraiment plus fort.
Soudain, il se retire de mon paradis.
Ensuite, je sens que son gland tente d'entrer dans mon trou de balle. Il force et me proclame
- Ouvre-toi, pousse comme ci, tu allais à la celle, sinon tu vas avoir mal.

Refuser ne servira à rien et je n’ai pas envie de souffrir.
Je fais ce qu’il me demande.
Je me soumets pour pas réveiller mon André et qu'il me voit le cocufier.

Houas ! Son gland pénètre dans mon trou de balle, je sens une douleur m’envahir. Roger s’arrête, crache encore deux fois et pousse encore pour bien me sodomiser.
Il m'attrape par les hanches et me fait mettre à quatre pattes et lui à genoux derrière moi.

Comme ça, il s'enfonce encore plus mon boyau.
La douleur est toujours présente et il commence à bouger dans mon rectum.
Je ne dis pas que j'y prends du plaisir, mais malgré la douleur de la pénétration, cet acte n’est pas aussi désagréable.

Plus, il s’active dans mon rectum, plus je suis bien, je suis sur le point de découvrir le plaisir de la sodomie ?
Je sens mon trou de balle palpiter autour de la queue de Roger, la douleur laisse place à autre chose. Ses doigts viennent caresser ma moule, insistant sur mon clitoris.
La sensation est agréable, surtout qu’il insiste fortement sur mon petit bout d'amour.

Chaque coup de reins est une révélation, chaque centimètre qui s’enfonce en moi me fait sentir plus vivante. Il va au-delà de ce que je croyais possible, me poussant dans un abîme de sensations où la douleur se transforme en extase.

Il doit sentir que je me détends, car il se retire complètement de mon trou de balle pour s'y enfoncer de nouveau.
- Ça coulisse mieux à présent, j’ai comme l’impression que tu mouilles du cul.

Après plusieurs aller et retour, il retire sa queue de mon boyau.
Il me retourne sur le dos. Il pose mes mollets sur ses épaules. Jambes bien écartées je le regarde. Il utilise ma cyprine qui suinte pour lubrifier mon anus et il me sodomise de nouveau. Sa queue me remplit le boyau et ses doigts viennent branler ma moule, je sens le plaisir remonter.

Tout en me sodomisant, il couvre mes lèvres de petits bisous, qu'il accentue petit à petit. Avec la montée de ma jouissance, ça se termine par un roulage de pelle. Les secondes s’étirent, deviennent des minutes de pur délire. Je perds la notion du temps, du lieu, de tout sauf de lui en moi.
Puis, l’orgasme arrive, violent, inattendu, me secouant comme un séisme. Je le crie, en aspirant sa langue au fond de ma gorge.
En aspirant sa langue, il se contracte et expulse son sperme dans mon rectum.
La sensation de la chaleur qui se répand dans mon boyau, active en moi la dérive de l'orgasme. J'essaie de retenir la diffusion de l'orgasme anal qui me ravage inopinément.

Roger continue ses va-et-vient dans mon rectum.
Il me sodomise longtemps, me caresse partout, sa queue enfoncée dans mon boyau.
En râlant de plaisir, je remue mon derrière comme une furie. Je jouis à nouveau, à la limite de l’évanouissement.

André dort toujours à poings fermés. Roger a encore éjaculé un peu mon boyau surchauffer en me dévorant la bouche.
- J'ai bien vu que tu as bien pris ton pied. Tu vas sûrement avoir mal au cul quelques jours, ça fait souvent cet effet la première fois.
J’avoue que pour la première fois, c'est plutôt concluant et pourtant jamais, je n’ai envisagé ou voulu faire ça avec André. Tout ce que je sais, c’est que je suis transcendée.

Je prends bien cinq minutes avant de faire surface.
Roger se retire, se rhabille et quitte la maison.
Depuis, Roger m’a rappelée plusieurs fois pour que l'on refasse l'amour encore une fois.
A force d'insister, j'ai accepté de le revoir une seconde fois.

Je le rejoins à l'adresse indiquée, un samedi après midi, lorsque André est à sa séance d’entraînement.
André est un tireur sportif, il fait pas mal de compétitions dans tout le pays.

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Histoire Erotique
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Histoire Libertine
Banale et mal écrite.



Texte coquin : Marcelle
Histoire sexe : Une rose rouge
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