Marcelle la soumission

Récit érotique écrit par SAM BOTTE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 45 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de SAM BOTTE ont reçu un total de 166 292 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 1 572 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Marcelle la soumission
Très vite Roger à organiser des rencontres en fonction des déplacements, qu'il impose à André dans le cadre de leur entreprise.
On se voit une ou deux fois par semaine.
Je dois reconnaître, qu'il me fait jouir énormément, mais mon homme de cœur, c’est André.
Je ne me reconnais plus dans cette relation adultère.
La dernière fois que j'ai eu le courage de lui dire, que je ne viendrais plus me faire baiser par lui.
Pour me faire comprendre que je suis coincée, il a ouvert son smartphone et m'a fait voir une énième vidéo de moi en posture bien dérangeante, surtout la dernière.
Et, il a proclamé.
- OK ! Marcelle ! Alors, je dépose les photos et vidéo sur un site, je diffuserai les codes d’accès à certaines personnes dans l'entreprise et peut-être qu'André les découvrira aussi.
- Tu ne feras pas ça ?
- Tu veux parier. Tu n’as pas franchement le choix, mais tu peux prendre le risque, si tu veux.
- Non, tu ne le feras pas, j’en suis sûr.
Il enfonce le clou, le salaud.
- Regarde mon téléphone, tout est prêt à être envoyé, tu veux que je valide l’envoi ? J’appuie ?
- Non ! non arrête ! Arrête ! Ne fais pas ça !
- OK ! Alors, tu es à moi et tu fais ce que je te dis !
Je suis acculée, il me tient. Si je ne me soumets pas à ses désirs, il diffusera mes égarements sexuels. J’ai trop à perdre, s'il les diffuse dans l'entreprise d'André.
- Alors ! décide-toi Marcelle ?
- Tu es un salaud Roger ! Comme tu me fais incroyablement jouir. Alors, tu m'as piégé en me filmant.
- Bon ! Je prends que ce tu vient de dire pour un accord à te soumettre à moi.
Voilà ! Je viens de me soumettre à Roger parce qu'il m'a fait connaître des plaisirs insoupçonnés. Il faut que je me soumette en attendant de trouver un moyen de sortir de cette situation.
Une fois de plus, Roger a envoyé André en déplacement contrôler une agence de l'entreprise.
André est reparti en déplacement ce jeudi matin. Je devrais être habituée, mais ce qui m'angoisse maintenant, c'est que Roger va encore faire de moi, son objet de plaisir.
Depuis qu'il m'a piégée pour me soumettre, il fait tout ce qu'il veut de moi pendant qu'André est en déplacement ou en compétition sportive.
En ce vendredi en fin d'après-midi chez Roger, après m'avoir épuisé sexuellement.
En sortant de la douche, il me proclame.
- Puisque ton mari ne rentre que dimanche matin, ce soir, je t'en mène avec moi voir des amis. Je passe te prendre chez toi a vingt heures ! ne met pas de sous-vêtements parce que j'aime !
Le rendez-vous avec Roger est pris, pour ce vendredi soir.
Excitée, mais en même temps angoissée, je me demande, comment cela va se dérouler.
Sortir avec un autre homme que mon mari, ce que je n’ai jamais fait ça auparavant.
Roger vient me prendre devant le portail, je monte dans sa voiture.
Il fronce les sourcils.
- Je t'avais dit sans sous-vêtements, tu ne m'as pas écouté, tant pis pour toi !
Je baisse la tête comme une enfant prise en défaut, comme je ne sais pas où l'on va, je ne désire pas me balader cul nu.
Nous traversons le village pour nous diriger vers la ville. Il s'arrête dans une petite rue de la vielle ville.
- Viens et suis-moi.
Nous pénétrons dans un petit bar, pour nous asseoir au fond sur une banquette à l'abri des regards. Le patron vient nous servir les boissons commandées par Roger.
Pour moi, il a commandé un chocolat chaud et lui un demi de bière.
Au bout de cinq minutes, deux hommes rentrent et viennent vers nous
- Salut les gars ! voici Marcelle dont je vous ai parlé.
- Bonsoir Marcelle ! répondent les deux hommes ensemble.
Ensuite, ils se présentent en me serrant la main : Alain ! Paul !
Roger s'est levé à leur arrivée, Alain et Paul, se sont assis de chaque côté de moi.
Ils me serrent d’un peu près, leurs mains frôlent mes cuisses à chacun de leurs mouvements.
Mais, je n’en fais pas cas.
Roger commande deux bières et s'assoit en face de nous.
Pendant leurs conversations, Paul détourne mon attention, mais j'ai bien entraperçu Roger mettre quelque chose dans mon chocolat.
Ensuite, il me dit de le boire pendant qu'il est encore chaud, docile, je m'exécute.
Je me rends compte tout de suite que quelque chose a changé.
Mes tétons se dressent, ma moule s'échauffe et mon clitoris bande aussi.
Ils me serrent de beaucoup plus près. Je fais comme si je me rendais compte de rien.
Je dois me rendre à l’évidence que leurs intentions sont plus qu’amicales.
Quelque chose en moi, sans doute favorisé par ce qu'il a versé dans mon chocolat, fait que je laisse faire, curieuse de savoir jusqu’où, ils vont aller.
Leurs mains se font de plus en plus précises, n’hésitent pas à faire glisser la fermeture éclair de ma jupe et à glisser une main dans la fente ainsi créée.
Ils deviennent plus entreprenants, je tente de résister à leurs mains qui remontent le long de mes cuisses.
Mais, lorsque Alain, pose une main sur ma nuque et me bloque la tête.
Il colle sa bouche à la mienne, mes défenses tombent brutalement, ma bouche s’ouvre pour accueillir sa langue, mes mains ne luttent plus, mon corps se détend, mes cuisses s’écartent. Je réponds au baiser d’Alain, tandis que des mains remontent le long de mes cuisses et se glissent sous mon slip.
Paul défait un à un les boutons de mon chemisier, plonge son visage entre mes seins. Je ne peux retenir un gémissement, lorsqu’un doigt atteint mon clitoris.
Un reste de lucidité me fait penser à la folie de la situation.
Cependant, ma jouissance est bien vite étouffé par la bouche de Paul qui prend la suite d’Alain.
Alors que celui-ci me sort un sein de mon soutien-gorge, se met à le téter.
Les minutes suivantes voient mon soutien-gorge être dégrafé et enlevé.
Ainsi que mon slip est aussi descendu le long de mes cuisses et de mes jambes jusqu’à mes pieds.
Je me retrouve chemisier entièrement ouvert et jupe relevée jusqu’à la taille.
Il n’y a plus d’obstacle à leurs yeux, leurs mains et leurs bouches.
Ils me caressent, m’embrassent, me pénètrent de leurs doigts jusqu’à me faire jouir brutalement.
Mes gémissements sont étouffés par la bouche de Paul collée à la mienne.
Roger se lève avec le sourire aux lèvres.
- Je te laisse en bonne compagnie Marcelle.
- Vous la ramènerez chez elle !
Roger m'abandonne à ses amis.
C'est pour eux le signal, ils se lèvent et me prennent par la main, m’entraînent à l’extérieur, abandonnant sur place mon slip et mon soutien-gorge.
Je n'ai même pas osé regarder le patron en sortant du bar.
Nous montons dans la voiture d’Alain, Paul monte à l’arrière avec moi, tandis
qu’Alain prend le volant.
Paul ouvre son pantalon, baisse son slip, laisse apparaître son sexe bandé.
Ensuite, sans plus attendre, il m’attrape par les hanches, me soulève et m’empale dos contre lui. J’en ai le souffle coupé, je ne m’attendais pas à ça.
Son sexe m’emplit sans difficulté, puisque l’orgasme que j’ai eu quelques instants avant a préparé mon ventre.
Il me retire mon chemisier et fait aussi passer ma jupe par-dessus ma tête.
Ma situation me parait d’un érotisme phénoménal !
Je me retrouve nue, appuyée sur le dossier du siège avant, empalée sur le sexe de Paul.
C’est la première fois que je me retrouve livrée à des inconnus par mon manipulateur d'amant. Je n’ai pas le temps de culpabiliser, car le plaisir monte dans mon ventre.
Je me mets à me trémousser d’avant en arrière et de droite à gauche.
Paul malaxe mes seins, Alain, de sa main droite, tente de toucher mes seins et mes cuisses.
Il s’arrête bientôt sur un parking et vient nous rejoindre à l’arrière.
Je me livre totalement à leurs désirs.
Alain m’embrasse avec ardeur tandis que ses mains vagabondent sur mes seins et mon ventre.
Alors, que la queue de Paul au fond de mon paradis me fait haleter de plaisir.
Il jouit à longues giclées chaudes dans ma grotte en feu.
Alain prend la suite, il m’arrache du sexe de Paul, il m’allonge la tête sur les cuisses de Paul et se glisse aisément dans mon puits d'amour d’où suinte la liqueur de ce dernier.
Il me laboure violemment tandis que Paul, saisit ma tête à pleines mains.
Il entre sa queue luisante de nôtre jouissance dans ma bouche ouverte par mes râles de jouissance.
Pas une parcelle de ma peau n’échappe à leurs explorations.
Le résultat de ce traitement est dingue, je jouis sans interruption pendant plusieurs minutes jusqu’à ce qu’Alain jouisse à son tour.
Un violent orgasme me secoue et me laisse inconsciente.
J'émerge allongée sur la banquette arrière ; Alain a repris le volant et Paul a repris ses explorations, investissant sans vergogne mon trou de balle avec ses doigts.
Moi qui pense en avoir terminé, je dois me rendre à l’évidence, qu’ils ne sont pas du même avis. Les doigts de Paul glissent sans difficulté, tant qu'ils sont lubrifiés de nos plaisirs.
Un nouveau désir monte de mes reins, moi non plus, je ne suis pas encore rassasiée.
La voiture s'arrête, Paul abandonne mon anus et me fait sortir.
Les deux garçons m’entraînent nue vers l’entrée d’un petit immeuble résidentiel.
Paul me tient par les fesses, tandis qu'Alain me pelote sans vergogne dans l'ascenseur.
Nous accédons ainsi trois étages et Paul nous fait entrer dans ce qu’il me dit être son appartement. C’est fou. Je me comporte comme une pute.
Heureusement, qu’il est tard, car, n’importe qui pourrait me voir nue entre les deux garçons.
A peine entrés, Alain se déshabille et vient se coller contre moi, toujours fouillée par les doigts de Paul.
Il m’entraîne avec lui, ce qui fait sortir un doigt de Paul de mon trou de balle.
Nous nous écroulons sur le lit, moi sur Alain.
Il fait entrer sa queue dans mon ventre, il me tient fermement par les hanches et me fait aller et venir sur lui.
Mon ventre s’enflamme, je remue moi-même ma croupe.
C’est alors que je sens Paul dans mon dos appuyer sa queue à l'entrée de mon trou de balle.
Alain stoppe ses mouvements, il me bloque vigoureusement de ses mains.
Tandis que la queue de Paul force doucement l'entrée de mes reins.
Ces deux-là n’en sont certainement pas à leur premier coup d’essai !
Une fois le gland passé, Paul n’a plus aucun mal pour enfoncer son sexe dans mon rectum. Je n’ai pas le temps de protester, car mes deux amants se mettent à me pilonner en rythme.
C'est la première fois que je suis prise en sandwich.
Le plaisir explose dans mon ventre et dans mes reins.
Je ne peux me retenir d’exprimer bruyamment mon plaisir, tout l’immeuble doit être au courant de nos ébats.
Bien calées dans mon ventre, les deux queues vont et viennent, se frottant l’une contre l’autre, elles me produisent orgasme sur orgasme. C'est divin !
Lorsque Alain jouit dans mon ventre suivi par Paul dans le fond de mon boyau. Je suis satisfaite d’avoir fait jouir deux hommes en même temps dans mon corps et surtout quelle expérience extraordinaire pour une femme, je n’aurais jamais imaginé jouir autant.
Le plaisir est tel intense que j'en perds conscience.
Ils n'en ont pas fini avec moi.
Je suis sortie des vapes par le sexe d'Alain qui force ma bouche entrouverte.
Mes deux amants m’utilisent encore plus d’une heure.
Ils prennent plusieurs photos de leurs exploits.
Ils me font jouir comme jamais et me laissent enfin épuiser m'endormir à même le lit.
En m’éveillant, je mets plusieurs secondes à comprendre où je me trouve.
Je me lève pleine de courbatures, je laisse mes deux amants d'un soir dormir sur le lit.
Je trouve la salle de bain.
Je me glisse dans la douche et laisse l’eau couler sur mon corps.
Lorsque je sors de la salle de bain couverte d’une serviette, ils sont réveillés.
Je lis dans leurs yeux, que je n’en ai pas encore fini, ils ne me laissent pas le temps de dire non.
La serviette est arrachée, je me retrouve écrasée entre leurs deux corps.
Je sens leurs sexes durcir sur mon ventre et contre mes fesses.
Alain, qui me fait face, me soulève en me tenant par les cuisses.
Il me colle à son corps, pour me faire descendre lentement, sa queue me pénètre jusqu’au fond. Dans mon dos, Paul prépare la visite de mon trou de balle avec un puis deux, puis trois doigts avant, que je sente sa queue s’introduire dans mon rectum.
Ils me baisent debout pendant de longues minutes, je jouis encore sous leurs assauts.
Alain se lâche le premier, mais Paul me pilonne encore trois quatre minutes avant de m'inonder les entrailles.
Ils ne me laissent pas le temps de repasser par la salle de bain.
Paul me prend par la main, m’entraîne entièrement nue, du sperme coule à l’intérieur de mes cuisses.
Nous sortons de l’appartement, descendons les trois étages sans rencontrer quelqu’un.
Nous sortons dehors pour rejoindre la voiture sous le regard incrédule, mais ravi d’un brave papy promenant son chien.
Dans la voiture, je peux récupérer ma jupe et mon chemisier que j’enfile tant bien que mal.
Paul me dépose devant chez moi.
Je rejoins ma maison, en marchant à petits pas de peur que mon ventre ne laisse encore s’écouler plus de sperme.
Une fois rentrée, je me précipite dans la salle de bain pour prendre une bonne douche.
Roger a fait de moi une soumise obéissante, je suis un objet sexuel, qu'il utilise à sa guise pour son plaisir et celui de ses amis.
Je le soupçonne aussi de me vendre.
Où cela va-t-il me mener ? Cependant, j'ai des jouissances mémorables, que je ne peux vivre dans mon quotidien.
Avec Roger, nous avons conclu qu'il ne me soumettrait plus, lorsque je serai enceinte.
Et qu'il n'est hors de question qu'il me partage avec des amants d'une autre couleur que la nôtre.
Il m'a assuré que les amants qu'il m'offre ne sont pas porteurs de MST et d'autres maladies.
On se voit une ou deux fois par semaine.
Je dois reconnaître, qu'il me fait jouir énormément, mais mon homme de cœur, c’est André.
Je ne me reconnais plus dans cette relation adultère.
La dernière fois que j'ai eu le courage de lui dire, que je ne viendrais plus me faire baiser par lui.
Pour me faire comprendre que je suis coincée, il a ouvert son smartphone et m'a fait voir une énième vidéo de moi en posture bien dérangeante, surtout la dernière.
Et, il a proclamé.
- OK ! Marcelle ! Alors, je dépose les photos et vidéo sur un site, je diffuserai les codes d’accès à certaines personnes dans l'entreprise et peut-être qu'André les découvrira aussi.
- Tu ne feras pas ça ?
- Tu veux parier. Tu n’as pas franchement le choix, mais tu peux prendre le risque, si tu veux.
- Non, tu ne le feras pas, j’en suis sûr.
Il enfonce le clou, le salaud.
- Regarde mon téléphone, tout est prêt à être envoyé, tu veux que je valide l’envoi ? J’appuie ?
- Non ! non arrête ! Arrête ! Ne fais pas ça !
- OK ! Alors, tu es à moi et tu fais ce que je te dis !
Je suis acculée, il me tient. Si je ne me soumets pas à ses désirs, il diffusera mes égarements sexuels. J’ai trop à perdre, s'il les diffuse dans l'entreprise d'André.
- Alors ! décide-toi Marcelle ?
- Tu es un salaud Roger ! Comme tu me fais incroyablement jouir. Alors, tu m'as piégé en me filmant.
- Bon ! Je prends que ce tu vient de dire pour un accord à te soumettre à moi.
Voilà ! Je viens de me soumettre à Roger parce qu'il m'a fait connaître des plaisirs insoupçonnés. Il faut que je me soumette en attendant de trouver un moyen de sortir de cette situation.
Une fois de plus, Roger a envoyé André en déplacement contrôler une agence de l'entreprise.
André est reparti en déplacement ce jeudi matin. Je devrais être habituée, mais ce qui m'angoisse maintenant, c'est que Roger va encore faire de moi, son objet de plaisir.
Depuis qu'il m'a piégée pour me soumettre, il fait tout ce qu'il veut de moi pendant qu'André est en déplacement ou en compétition sportive.
En ce vendredi en fin d'après-midi chez Roger, après m'avoir épuisé sexuellement.
En sortant de la douche, il me proclame.
- Puisque ton mari ne rentre que dimanche matin, ce soir, je t'en mène avec moi voir des amis. Je passe te prendre chez toi a vingt heures ! ne met pas de sous-vêtements parce que j'aime !
Le rendez-vous avec Roger est pris, pour ce vendredi soir.
Excitée, mais en même temps angoissée, je me demande, comment cela va se dérouler.
Sortir avec un autre homme que mon mari, ce que je n’ai jamais fait ça auparavant.
Roger vient me prendre devant le portail, je monte dans sa voiture.
Il fronce les sourcils.
- Je t'avais dit sans sous-vêtements, tu ne m'as pas écouté, tant pis pour toi !
Je baisse la tête comme une enfant prise en défaut, comme je ne sais pas où l'on va, je ne désire pas me balader cul nu.
Nous traversons le village pour nous diriger vers la ville. Il s'arrête dans une petite rue de la vielle ville.
- Viens et suis-moi.
Nous pénétrons dans un petit bar, pour nous asseoir au fond sur une banquette à l'abri des regards. Le patron vient nous servir les boissons commandées par Roger.
Pour moi, il a commandé un chocolat chaud et lui un demi de bière.
Au bout de cinq minutes, deux hommes rentrent et viennent vers nous
- Salut les gars ! voici Marcelle dont je vous ai parlé.
- Bonsoir Marcelle ! répondent les deux hommes ensemble.
Ensuite, ils se présentent en me serrant la main : Alain ! Paul !
Roger s'est levé à leur arrivée, Alain et Paul, se sont assis de chaque côté de moi.
Ils me serrent d’un peu près, leurs mains frôlent mes cuisses à chacun de leurs mouvements.
Mais, je n’en fais pas cas.
Roger commande deux bières et s'assoit en face de nous.
Pendant leurs conversations, Paul détourne mon attention, mais j'ai bien entraperçu Roger mettre quelque chose dans mon chocolat.
Ensuite, il me dit de le boire pendant qu'il est encore chaud, docile, je m'exécute.
Je me rends compte tout de suite que quelque chose a changé.
Mes tétons se dressent, ma moule s'échauffe et mon clitoris bande aussi.
Ils me serrent de beaucoup plus près. Je fais comme si je me rendais compte de rien.
Je dois me rendre à l’évidence que leurs intentions sont plus qu’amicales.
Quelque chose en moi, sans doute favorisé par ce qu'il a versé dans mon chocolat, fait que je laisse faire, curieuse de savoir jusqu’où, ils vont aller.
Leurs mains se font de plus en plus précises, n’hésitent pas à faire glisser la fermeture éclair de ma jupe et à glisser une main dans la fente ainsi créée.
Ils deviennent plus entreprenants, je tente de résister à leurs mains qui remontent le long de mes cuisses.
Mais, lorsque Alain, pose une main sur ma nuque et me bloque la tête.
Il colle sa bouche à la mienne, mes défenses tombent brutalement, ma bouche s’ouvre pour accueillir sa langue, mes mains ne luttent plus, mon corps se détend, mes cuisses s’écartent. Je réponds au baiser d’Alain, tandis que des mains remontent le long de mes cuisses et se glissent sous mon slip.
Paul défait un à un les boutons de mon chemisier, plonge son visage entre mes seins. Je ne peux retenir un gémissement, lorsqu’un doigt atteint mon clitoris.
Un reste de lucidité me fait penser à la folie de la situation.
Cependant, ma jouissance est bien vite étouffé par la bouche de Paul qui prend la suite d’Alain.
Alors que celui-ci me sort un sein de mon soutien-gorge, se met à le téter.
Les minutes suivantes voient mon soutien-gorge être dégrafé et enlevé.
Ainsi que mon slip est aussi descendu le long de mes cuisses et de mes jambes jusqu’à mes pieds.
Je me retrouve chemisier entièrement ouvert et jupe relevée jusqu’à la taille.
Il n’y a plus d’obstacle à leurs yeux, leurs mains et leurs bouches.
Ils me caressent, m’embrassent, me pénètrent de leurs doigts jusqu’à me faire jouir brutalement.
Mes gémissements sont étouffés par la bouche de Paul collée à la mienne.
Roger se lève avec le sourire aux lèvres.
- Je te laisse en bonne compagnie Marcelle.
- Vous la ramènerez chez elle !
Roger m'abandonne à ses amis.
C'est pour eux le signal, ils se lèvent et me prennent par la main, m’entraînent à l’extérieur, abandonnant sur place mon slip et mon soutien-gorge.
Je n'ai même pas osé regarder le patron en sortant du bar.
Nous montons dans la voiture d’Alain, Paul monte à l’arrière avec moi, tandis
qu’Alain prend le volant.
Paul ouvre son pantalon, baisse son slip, laisse apparaître son sexe bandé.
Ensuite, sans plus attendre, il m’attrape par les hanches, me soulève et m’empale dos contre lui. J’en ai le souffle coupé, je ne m’attendais pas à ça.
Son sexe m’emplit sans difficulté, puisque l’orgasme que j’ai eu quelques instants avant a préparé mon ventre.
Il me retire mon chemisier et fait aussi passer ma jupe par-dessus ma tête.
Ma situation me parait d’un érotisme phénoménal !
Je me retrouve nue, appuyée sur le dossier du siège avant, empalée sur le sexe de Paul.
C’est la première fois que je me retrouve livrée à des inconnus par mon manipulateur d'amant. Je n’ai pas le temps de culpabiliser, car le plaisir monte dans mon ventre.
Je me mets à me trémousser d’avant en arrière et de droite à gauche.
Paul malaxe mes seins, Alain, de sa main droite, tente de toucher mes seins et mes cuisses.
Il s’arrête bientôt sur un parking et vient nous rejoindre à l’arrière.
Je me livre totalement à leurs désirs.
Alain m’embrasse avec ardeur tandis que ses mains vagabondent sur mes seins et mon ventre.
Alors, que la queue de Paul au fond de mon paradis me fait haleter de plaisir.
Il jouit à longues giclées chaudes dans ma grotte en feu.
Alain prend la suite, il m’arrache du sexe de Paul, il m’allonge la tête sur les cuisses de Paul et se glisse aisément dans mon puits d'amour d’où suinte la liqueur de ce dernier.
Il me laboure violemment tandis que Paul, saisit ma tête à pleines mains.
Il entre sa queue luisante de nôtre jouissance dans ma bouche ouverte par mes râles de jouissance.
Pas une parcelle de ma peau n’échappe à leurs explorations.
Le résultat de ce traitement est dingue, je jouis sans interruption pendant plusieurs minutes jusqu’à ce qu’Alain jouisse à son tour.
Un violent orgasme me secoue et me laisse inconsciente.
J'émerge allongée sur la banquette arrière ; Alain a repris le volant et Paul a repris ses explorations, investissant sans vergogne mon trou de balle avec ses doigts.
Moi qui pense en avoir terminé, je dois me rendre à l’évidence, qu’ils ne sont pas du même avis. Les doigts de Paul glissent sans difficulté, tant qu'ils sont lubrifiés de nos plaisirs.
Un nouveau désir monte de mes reins, moi non plus, je ne suis pas encore rassasiée.
La voiture s'arrête, Paul abandonne mon anus et me fait sortir.
Les deux garçons m’entraînent nue vers l’entrée d’un petit immeuble résidentiel.
Paul me tient par les fesses, tandis qu'Alain me pelote sans vergogne dans l'ascenseur.
Nous accédons ainsi trois étages et Paul nous fait entrer dans ce qu’il me dit être son appartement. C’est fou. Je me comporte comme une pute.
Heureusement, qu’il est tard, car, n’importe qui pourrait me voir nue entre les deux garçons.
A peine entrés, Alain se déshabille et vient se coller contre moi, toujours fouillée par les doigts de Paul.
Il m’entraîne avec lui, ce qui fait sortir un doigt de Paul de mon trou de balle.
Nous nous écroulons sur le lit, moi sur Alain.
Il fait entrer sa queue dans mon ventre, il me tient fermement par les hanches et me fait aller et venir sur lui.
Mon ventre s’enflamme, je remue moi-même ma croupe.
C’est alors que je sens Paul dans mon dos appuyer sa queue à l'entrée de mon trou de balle.
Alain stoppe ses mouvements, il me bloque vigoureusement de ses mains.
Tandis que la queue de Paul force doucement l'entrée de mes reins.
Ces deux-là n’en sont certainement pas à leur premier coup d’essai !
Une fois le gland passé, Paul n’a plus aucun mal pour enfoncer son sexe dans mon rectum. Je n’ai pas le temps de protester, car mes deux amants se mettent à me pilonner en rythme.
C'est la première fois que je suis prise en sandwich.
Le plaisir explose dans mon ventre et dans mes reins.
Je ne peux me retenir d’exprimer bruyamment mon plaisir, tout l’immeuble doit être au courant de nos ébats.
Bien calées dans mon ventre, les deux queues vont et viennent, se frottant l’une contre l’autre, elles me produisent orgasme sur orgasme. C'est divin !
Lorsque Alain jouit dans mon ventre suivi par Paul dans le fond de mon boyau. Je suis satisfaite d’avoir fait jouir deux hommes en même temps dans mon corps et surtout quelle expérience extraordinaire pour une femme, je n’aurais jamais imaginé jouir autant.
Le plaisir est tel intense que j'en perds conscience.
Ils n'en ont pas fini avec moi.
Je suis sortie des vapes par le sexe d'Alain qui force ma bouche entrouverte.
Mes deux amants m’utilisent encore plus d’une heure.
Ils prennent plusieurs photos de leurs exploits.
Ils me font jouir comme jamais et me laissent enfin épuiser m'endormir à même le lit.
En m’éveillant, je mets plusieurs secondes à comprendre où je me trouve.
Je me lève pleine de courbatures, je laisse mes deux amants d'un soir dormir sur le lit.
Je trouve la salle de bain.
Je me glisse dans la douche et laisse l’eau couler sur mon corps.
Lorsque je sors de la salle de bain couverte d’une serviette, ils sont réveillés.
Je lis dans leurs yeux, que je n’en ai pas encore fini, ils ne me laissent pas le temps de dire non.
La serviette est arrachée, je me retrouve écrasée entre leurs deux corps.
Je sens leurs sexes durcir sur mon ventre et contre mes fesses.
Alain, qui me fait face, me soulève en me tenant par les cuisses.
Il me colle à son corps, pour me faire descendre lentement, sa queue me pénètre jusqu’au fond. Dans mon dos, Paul prépare la visite de mon trou de balle avec un puis deux, puis trois doigts avant, que je sente sa queue s’introduire dans mon rectum.
Ils me baisent debout pendant de longues minutes, je jouis encore sous leurs assauts.
Alain se lâche le premier, mais Paul me pilonne encore trois quatre minutes avant de m'inonder les entrailles.
Ils ne me laissent pas le temps de repasser par la salle de bain.
Paul me prend par la main, m’entraîne entièrement nue, du sperme coule à l’intérieur de mes cuisses.
Nous sortons de l’appartement, descendons les trois étages sans rencontrer quelqu’un.
Nous sortons dehors pour rejoindre la voiture sous le regard incrédule, mais ravi d’un brave papy promenant son chien.
Dans la voiture, je peux récupérer ma jupe et mon chemisier que j’enfile tant bien que mal.
Paul me dépose devant chez moi.
Je rejoins ma maison, en marchant à petits pas de peur que mon ventre ne laisse encore s’écouler plus de sperme.
Une fois rentrée, je me précipite dans la salle de bain pour prendre une bonne douche.
Roger a fait de moi une soumise obéissante, je suis un objet sexuel, qu'il utilise à sa guise pour son plaisir et celui de ses amis.
Je le soupçonne aussi de me vendre.
Où cela va-t-il me mener ? Cependant, j'ai des jouissances mémorables, que je ne peux vivre dans mon quotidien.
Avec Roger, nous avons conclu qu'il ne me soumettrait plus, lorsque je serai enceinte.
Et qu'il n'est hors de question qu'il me partage avec des amants d'une autre couleur que la nôtre.
Il m'a assuré que les amants qu'il m'offre ne sont pas porteurs de MST et d'autres maladies.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par SAM BOTTE
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

