Le marin en perdition 6
Récit érotique écrit par SAM BOTTE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le marin en perdition 6
Marie descend dans la luxure
Dimanche soir, en partant de la cabane de chasse, Denis me dit qu’il a tout filmé et que maintenant je suis sa salope, son esclave sexuel.
C’était vrai, depuis ce dimanche, il me baise souvent. Quand il le souhaite. Dans la cabane à côté de notre maison pendant les barbecues, le soir tard dans le salon quand mon mari et couché. Les mercredi après-midi quand les enfants sont devant un dessin animé. Il fait de moi ce qui lui plaît.
En ce moment son truc c’est de venir le soir vers vint trois heures quand les enfants dorment ainsi que mon mari quand il est à la maison. Je dois l'attendre en regardant la TV. Il vient, il me baise sur le canapé. Je jouis en pensent à mon mari et mes enfants sont entrain de dormir pendant que leur mère ce fait baiser comme une chienne en chaleur au salon.
Mon mari ne se doute de rien. Et souvent le soir je vais me coucher dans le lit conjugale remplie du sperme de Denis et de son chien. Ainsi notre voisin Denis a pris l’habitude de me baiser le plus souvent possible, il trouve toujours de nouvelles idées de débauche et surtout d’humiliation.
Depuis j’observe les femmes autour de moi, recherchant à deviner leur niveau d’expérience en la matière comme si cela est une évidence, quel marqueur particulier peux m’orienter en ce sens ?
Seules mes sensations personnelles peuvent pour l’instant m’éclairer, je suis plus joyeuse et désinvolte que d’habitude, je me sens plus légère, sûrement plus belle et désirable, il me semble pouvoir palper le plaisir en moi et autour de moi.
Pourtant je ne suis pas amoureuse de cet homme, c’est une certitude, l’amour je le ressens toujours pour mon mari malgré l’érosion des années, ce n’est plus cette attirance physique de nos vingt ans, cependant une solide confiance ceinturé de tendresse et entretenue par des compromis réciproques.
Louis, je le vois comme une belle rencontre, fruit du hasard ou du destin, à mes yeux il est beau et très séduisant, charmeur, tendre et autoritaire à la fois.
Il a soudainement bouleversé ma vie de femme, m’apportant peut être ce que toute femme est en droit d’éprouver, car il n’y a rien de meilleur que de se laisser allé dans le plaisir en toute confiance.
J’ai encore besoin de cette sécurité que m’apporte mon Louis, ainsi que j’éprouve une terrible attirance pour l’aventure que me propose Denis.
Il a éveillé en moi des sensations inouïes, découvrant le plaisir au travers de la honte et la culpabilité, aimer être manipulé parfois sous une certaine contrainte, jouir de la crainte et de la peur en atteignant des niveaux de jouissance jamais ressentis.
J’ai palpé l’interdit et découvert qu’il n’y a sûrement rien de meilleur, exacerbé ma curiosité et développé une forme de dépendance au plaisir.
Dés le matin je ne pense plus qu’a çà, je choisis mes vêtements et ma lingerie en conséquence, me rendant toujours plus sexy et désirable.
Je souhaite le surprendre pour qu’il me rendre au quintuple ce plaisir tant convoité, me sentir femme fatale aux yeux du monde pour le rendre fier de m’avoir soumise.
Le genre de pensées que rejetterait toute femme naturellement constitué, moi-même si on m’en avait parlé ainsi quelques semaines avant, j’aurai crié au scandale, comment une femme peut elle aimer la soumission ?
Éprouver du plaisir dans la contrainte et la honte, ce ne sont pas des sentiments normaux et acceptables pour toute femme qui se respecte.
De toute façon c’est contre nature et réprimé par la morale, oui la revoilà cette fameuse morale, l’éducation religieuse, le bien et le mal, ce qui faut ou ne pas faire, etc.
Vous ne me croirez peut être pas, mais tout cela a volé en éclats en à peine deux expériences, si mon corps a éprouvé autant de plaisir, c’est que cela ne peut être que bon pour lui.
Je suis bien décidé à vivre pleinement toutes les sensations que mon voisin voudra bien me faire découvrir et qui m’est sûrement encore inconnues, car il me semble pourvu de bonnes capacités en la matière au regard de tout ce qu’il m'a fait vivre et accepté en si peut de temps.
Le week-end est arrivé, plus difficile pour moi de me libérer, mon homme est à la maison, je me dois aussi de lui consacrer de mon temps, nous devons faire les courses, le ménage, la lessive et le repassage, etc.
Bref, tout ce qui tue l’érotisme dans le couple, le seul avantage est que je n’ai pas vue passer ces deux jours.
Bien sur que nous avons fait l’amour, mais vite fait bien fait comme souvent, n’éprouvant plus, ni moi, ni lui, cette passion qui enflamme les corps et les âmes, il a joui sans feindre et moi j’ai simulé pour ne pas le vexer.
Ne vous trompez pas, je suis heureuse avec l’homme que j’aime, il n’est pas avare de tendresse et de douceur, sa présence me rassure, me comble et c’est sûrement avec lui que je finirai mes vieux jours si rien ne vient perturber notre destin.
Mais coté sexe, il a osé me pervertir, après nous avoir surpris, Denis et moi entrain de copuler un soir ou il devait être en mer. Sa première perversion a été de me prendre en sandwich avec Denis dans la salle à manger. Depuis rien, il a peut être trop peur de me choquer, moi sa chère et tendre épouse, la mère de nos enfants.
Pourtant je suis sure qu’il possède lui aussi des capacités insoupçonnés, il les réserves peut être pour ses femmes, un peut moins respectable, qu'il côtoie en escale.
Si tel est le cas, il est discret ou bien c’est moi qui suis trop naïve car je n’ai jamais rien imaginé, peut être ne suis-je pas jalouse tout simplement.
Pourtant, il est simple de comprendre que le plaisir est une drogue, y goûter c’est ouvrir la porte à la dépendance, à la volonté du toujours plus, jusqu'à quel point un homme peut il pervertir sa compagne sans basculer dans la vulgarité ?
Multitude de question auxquelles je ne peux pas encore répondreMon voisin Denis, lui n’a pas ses contraintes, il ne m’aime pas d’amour, il aime abuser de moi sans vergogne, il n’a aucun remord à me pervertir, il n’en reste pas moins attentif à mon propre plaisir, il m’a bien soumise, voyez vous même.
Mon beau-frère Laurent vient à la maison pour passer quinze jours de vacances chez nous afin de voir son neveu et sa nièce ainsi que son frère. Il nous a même offert un chien, c'est un Boxer qu'on appelle Max. Très rapidement Laurent fait la connaissance de plusieurs de nos voisins au cours de plusieurs apéros.
Un soir lors d’un apéro dînatoire Denis me demande de passer chez lui vers minuit. J’imagine très bien la suite et comme j’ai mon beau-frère à la maison, il ne peut plus débarquer chez moi comme il le souhaite. Je passe donc par notre jardin discrètement et arrive dans sa cuisine ou je vois une belle tenue sexy en dentelle noir que je dois mettre.
Une fois en tenue je descends dans la cave ou Denis m’attend avec à la main mon masque intégral en latex et mon bâillon boule. J’en conclus une soirée SM. Il m’attache par terre les deux mains à un banc alors je me retrouve en position de levrette sans pourvoir bougé.
Sur cette mise en place Denis m’annonce qu’il a une surprise pour moi et qu’il va revenir dans quelques minutes. Je devine aisément la suite. En effet depuis quelques mois, Denis a décidé de me partager avec des copains de son choix. Je suis donc offerte comme une pute aux bites de ses copains qui me baisent dans sa cave. Je ne sais pas qui me baise. Mais j’imagine qu’eux savent. J’ai remarqué plusieurs regard lubrique chez certain de nos voisins du quartier. Je crois que Denis en se faisant rémunérer, a comme projet de faire de mon mari le plus gros cocu de la ville ?.
C’est un sentiment particulier de ne pas savoir. Nous sommes une famille très bien intégrés dans notre quartier, ainsi il y a toujours une soirée chez l’un, un apéro chez l’autre. L’idée que je me fasse baiser par certain de nos voisins comme si de rien à l’insu de mon mari excite beaucoup Denis. Et j’avoue moi aussi.
Mais revenons sur notre soirée. Je suis donc attaché le cul offert et j’entends des pas qui descendent l’escalier de la cave. Denis commence par :- La voici comme promis, ma belle esclave sexuel ! Tu remarqueras qu’elle est grande ouverte, vas-y fait toi plaisir ? Baise-la !
Un bruit de vêtement qui tombe et me voici avec une bite qui essaye de trouver l’entrée de ma chatte. Il commence doucement un va et vient. Il sent que je suis bien lubrifier. Ça m’a excitée cette attente. Lui ne porte pas de préservatif car la sensation et trop agréable. Pendant quelques minutes, il me prend en levrette puis Denis ce met devant, il enlève mon bâillon pour que le suce. Me voici avec une bite devant et une derrière.
- Alors elle est bonne ma voisine ?
Puis il enlève sa bite de ma bouche, il m’enlève mon masque en latex. J’ai la lumière qui me fait un peu mal aux yeux. Je lève la tête, je regarde un Denis avec un gros sourire. Et le mec derrière moi vient d’arrêter de me baiser ?
- C’est pas vrai ! C’est toi ?
Moi je me retourne comme je peux et je découvre mon beau-frère derrière moi.
- Laurent ?
- Surprise ! Bon maintenant que les présentations sont faites tu vois bien Laurent que c’est une bonne salope qui veut ta queue, alors continue à la baiser comme il faut ?
Laurent n’hésite pas longtemps, je sens déjà qu’il recommence à remuer sa bite en moi. Il accélère le rythme. Ça doit l’excité grave de baiser la femme de son frère, car il va de plus en plus fort en moi. C’est plus intense que tout a l’heure. Il me pénètre plus vite et plus fort. Il m’attrape les cheveux me tire la tête en arrière, il me demande si j’aime ça. Si j’aime qu’il me baise. Moi dans ce moment de sexe intense je réponds des oui, oui. Je gémis au même rythme que ses coups de queue dans ma chatte. Denis reviens dans ma bouche.
Pendant qu’ils me baisent, Denis dit : - Elle est bonne la femme de ton frère ? Elle aime ça la baise, Vas-y défonce la bien. C’est une vraie pute, un vrai garage à bite. Tout les copains y sont passé.
Je sens Laurent ce tendre, il se crispe, il jouit en moi avec des petits coups de fin. Un liquide chaud ce répand dans mon ventre.
Il sort et va sur une chaise à ma gauche. Denis lui continue à me prendre la bouche puis ce relève, il présente sa bite dans mon cul. Il me prend sauvagement devant Laurent qui ne perd pas une miette.
Laurent me dit qu’il me trouve trop belle, qu’il a toujours rêve de me baiser !
Quand il voit comment je jouis sous les coups de bite de Denis. Laurent lance un grand : - Tes vraiment une bonne salope Marie.
Denis finit trois minutes après. Cependant Laurent en veut encore. Mais pas ici. Je rentre avec lui dans notre maison toujours habiller en salope et discrètement on va dans sa chambre. La chambre d’amis à côté de celle ou mon mari dort.
Il me baise sur le lit qui grince trop fort à mon goût.
Il me prend la bouche, le cul. Il me baise avec passion et je me laisse faire. Je fini en nage. Je suis trempée de sueur et de sperme. Je vais ainsi me coucher dans mon lit car je n’ai plus de force pour prendre une douche.
Le lendemain matin, mon mari en se levant me dit qu’il lui a semblé entendre Laurent dans la chambre d'ami. Il me dit que le lit à grincer cette nuit. Je lui réponds que son frère a le droit de se faire des petits plaisirs solitaires s’il le souhaite. S’il savait ce que le plaisir solitaire a fait à sa femme cette nuit.
C'est dix jours de baise intense entre mon mari et son frère en toute discrétion.
Il me baise le soir tard dans la chambre avec le matelas par terre, pour le bruit, dans le cellier et le garage pour la journée. Et quand les enfants sont dehors et que l’heure de faire le repas approche ? je dois me mettre en jupe courte sans culotte pour un petit coup rapide. Souvent mon mari et dans le salon devant la TV pendant que sa femme ce fait baiser dans la cuisine par son frère.
Dimanche soir, en partant de la cabane de chasse, Denis me dit qu’il a tout filmé et que maintenant je suis sa salope, son esclave sexuel.
C’était vrai, depuis ce dimanche, il me baise souvent. Quand il le souhaite. Dans la cabane à côté de notre maison pendant les barbecues, le soir tard dans le salon quand mon mari et couché. Les mercredi après-midi quand les enfants sont devant un dessin animé. Il fait de moi ce qui lui plaît.
En ce moment son truc c’est de venir le soir vers vint trois heures quand les enfants dorment ainsi que mon mari quand il est à la maison. Je dois l'attendre en regardant la TV. Il vient, il me baise sur le canapé. Je jouis en pensent à mon mari et mes enfants sont entrain de dormir pendant que leur mère ce fait baiser comme une chienne en chaleur au salon.
Mon mari ne se doute de rien. Et souvent le soir je vais me coucher dans le lit conjugale remplie du sperme de Denis et de son chien. Ainsi notre voisin Denis a pris l’habitude de me baiser le plus souvent possible, il trouve toujours de nouvelles idées de débauche et surtout d’humiliation.
Depuis j’observe les femmes autour de moi, recherchant à deviner leur niveau d’expérience en la matière comme si cela est une évidence, quel marqueur particulier peux m’orienter en ce sens ?
Seules mes sensations personnelles peuvent pour l’instant m’éclairer, je suis plus joyeuse et désinvolte que d’habitude, je me sens plus légère, sûrement plus belle et désirable, il me semble pouvoir palper le plaisir en moi et autour de moi.
Pourtant je ne suis pas amoureuse de cet homme, c’est une certitude, l’amour je le ressens toujours pour mon mari malgré l’érosion des années, ce n’est plus cette attirance physique de nos vingt ans, cependant une solide confiance ceinturé de tendresse et entretenue par des compromis réciproques.
Louis, je le vois comme une belle rencontre, fruit du hasard ou du destin, à mes yeux il est beau et très séduisant, charmeur, tendre et autoritaire à la fois.
Il a soudainement bouleversé ma vie de femme, m’apportant peut être ce que toute femme est en droit d’éprouver, car il n’y a rien de meilleur que de se laisser allé dans le plaisir en toute confiance.
J’ai encore besoin de cette sécurité que m’apporte mon Louis, ainsi que j’éprouve une terrible attirance pour l’aventure que me propose Denis.
Il a éveillé en moi des sensations inouïes, découvrant le plaisir au travers de la honte et la culpabilité, aimer être manipulé parfois sous une certaine contrainte, jouir de la crainte et de la peur en atteignant des niveaux de jouissance jamais ressentis.
J’ai palpé l’interdit et découvert qu’il n’y a sûrement rien de meilleur, exacerbé ma curiosité et développé une forme de dépendance au plaisir.
Dés le matin je ne pense plus qu’a çà, je choisis mes vêtements et ma lingerie en conséquence, me rendant toujours plus sexy et désirable.
Je souhaite le surprendre pour qu’il me rendre au quintuple ce plaisir tant convoité, me sentir femme fatale aux yeux du monde pour le rendre fier de m’avoir soumise.
Le genre de pensées que rejetterait toute femme naturellement constitué, moi-même si on m’en avait parlé ainsi quelques semaines avant, j’aurai crié au scandale, comment une femme peut elle aimer la soumission ?
Éprouver du plaisir dans la contrainte et la honte, ce ne sont pas des sentiments normaux et acceptables pour toute femme qui se respecte.
De toute façon c’est contre nature et réprimé par la morale, oui la revoilà cette fameuse morale, l’éducation religieuse, le bien et le mal, ce qui faut ou ne pas faire, etc.
Vous ne me croirez peut être pas, mais tout cela a volé en éclats en à peine deux expériences, si mon corps a éprouvé autant de plaisir, c’est que cela ne peut être que bon pour lui.
Je suis bien décidé à vivre pleinement toutes les sensations que mon voisin voudra bien me faire découvrir et qui m’est sûrement encore inconnues, car il me semble pourvu de bonnes capacités en la matière au regard de tout ce qu’il m'a fait vivre et accepté en si peut de temps.
Le week-end est arrivé, plus difficile pour moi de me libérer, mon homme est à la maison, je me dois aussi de lui consacrer de mon temps, nous devons faire les courses, le ménage, la lessive et le repassage, etc.
Bref, tout ce qui tue l’érotisme dans le couple, le seul avantage est que je n’ai pas vue passer ces deux jours.
Bien sur que nous avons fait l’amour, mais vite fait bien fait comme souvent, n’éprouvant plus, ni moi, ni lui, cette passion qui enflamme les corps et les âmes, il a joui sans feindre et moi j’ai simulé pour ne pas le vexer.
Ne vous trompez pas, je suis heureuse avec l’homme que j’aime, il n’est pas avare de tendresse et de douceur, sa présence me rassure, me comble et c’est sûrement avec lui que je finirai mes vieux jours si rien ne vient perturber notre destin.
Mais coté sexe, il a osé me pervertir, après nous avoir surpris, Denis et moi entrain de copuler un soir ou il devait être en mer. Sa première perversion a été de me prendre en sandwich avec Denis dans la salle à manger. Depuis rien, il a peut être trop peur de me choquer, moi sa chère et tendre épouse, la mère de nos enfants.
Pourtant je suis sure qu’il possède lui aussi des capacités insoupçonnés, il les réserves peut être pour ses femmes, un peut moins respectable, qu'il côtoie en escale.
Si tel est le cas, il est discret ou bien c’est moi qui suis trop naïve car je n’ai jamais rien imaginé, peut être ne suis-je pas jalouse tout simplement.
Pourtant, il est simple de comprendre que le plaisir est une drogue, y goûter c’est ouvrir la porte à la dépendance, à la volonté du toujours plus, jusqu'à quel point un homme peut il pervertir sa compagne sans basculer dans la vulgarité ?
Multitude de question auxquelles je ne peux pas encore répondreMon voisin Denis, lui n’a pas ses contraintes, il ne m’aime pas d’amour, il aime abuser de moi sans vergogne, il n’a aucun remord à me pervertir, il n’en reste pas moins attentif à mon propre plaisir, il m’a bien soumise, voyez vous même.
Mon beau-frère Laurent vient à la maison pour passer quinze jours de vacances chez nous afin de voir son neveu et sa nièce ainsi que son frère. Il nous a même offert un chien, c'est un Boxer qu'on appelle Max. Très rapidement Laurent fait la connaissance de plusieurs de nos voisins au cours de plusieurs apéros.
Un soir lors d’un apéro dînatoire Denis me demande de passer chez lui vers minuit. J’imagine très bien la suite et comme j’ai mon beau-frère à la maison, il ne peut plus débarquer chez moi comme il le souhaite. Je passe donc par notre jardin discrètement et arrive dans sa cuisine ou je vois une belle tenue sexy en dentelle noir que je dois mettre.
Une fois en tenue je descends dans la cave ou Denis m’attend avec à la main mon masque intégral en latex et mon bâillon boule. J’en conclus une soirée SM. Il m’attache par terre les deux mains à un banc alors je me retrouve en position de levrette sans pourvoir bougé.
Sur cette mise en place Denis m’annonce qu’il a une surprise pour moi et qu’il va revenir dans quelques minutes. Je devine aisément la suite. En effet depuis quelques mois, Denis a décidé de me partager avec des copains de son choix. Je suis donc offerte comme une pute aux bites de ses copains qui me baisent dans sa cave. Je ne sais pas qui me baise. Mais j’imagine qu’eux savent. J’ai remarqué plusieurs regard lubrique chez certain de nos voisins du quartier. Je crois que Denis en se faisant rémunérer, a comme projet de faire de mon mari le plus gros cocu de la ville ?.
C’est un sentiment particulier de ne pas savoir. Nous sommes une famille très bien intégrés dans notre quartier, ainsi il y a toujours une soirée chez l’un, un apéro chez l’autre. L’idée que je me fasse baiser par certain de nos voisins comme si de rien à l’insu de mon mari excite beaucoup Denis. Et j’avoue moi aussi.
Mais revenons sur notre soirée. Je suis donc attaché le cul offert et j’entends des pas qui descendent l’escalier de la cave. Denis commence par :- La voici comme promis, ma belle esclave sexuel ! Tu remarqueras qu’elle est grande ouverte, vas-y fait toi plaisir ? Baise-la !
Un bruit de vêtement qui tombe et me voici avec une bite qui essaye de trouver l’entrée de ma chatte. Il commence doucement un va et vient. Il sent que je suis bien lubrifier. Ça m’a excitée cette attente. Lui ne porte pas de préservatif car la sensation et trop agréable. Pendant quelques minutes, il me prend en levrette puis Denis ce met devant, il enlève mon bâillon pour que le suce. Me voici avec une bite devant et une derrière.
- Alors elle est bonne ma voisine ?
Puis il enlève sa bite de ma bouche, il m’enlève mon masque en latex. J’ai la lumière qui me fait un peu mal aux yeux. Je lève la tête, je regarde un Denis avec un gros sourire. Et le mec derrière moi vient d’arrêter de me baiser ?
- C’est pas vrai ! C’est toi ?
Moi je me retourne comme je peux et je découvre mon beau-frère derrière moi.
- Laurent ?
- Surprise ! Bon maintenant que les présentations sont faites tu vois bien Laurent que c’est une bonne salope qui veut ta queue, alors continue à la baiser comme il faut ?
Laurent n’hésite pas longtemps, je sens déjà qu’il recommence à remuer sa bite en moi. Il accélère le rythme. Ça doit l’excité grave de baiser la femme de son frère, car il va de plus en plus fort en moi. C’est plus intense que tout a l’heure. Il me pénètre plus vite et plus fort. Il m’attrape les cheveux me tire la tête en arrière, il me demande si j’aime ça. Si j’aime qu’il me baise. Moi dans ce moment de sexe intense je réponds des oui, oui. Je gémis au même rythme que ses coups de queue dans ma chatte. Denis reviens dans ma bouche.
Pendant qu’ils me baisent, Denis dit : - Elle est bonne la femme de ton frère ? Elle aime ça la baise, Vas-y défonce la bien. C’est une vraie pute, un vrai garage à bite. Tout les copains y sont passé.
Je sens Laurent ce tendre, il se crispe, il jouit en moi avec des petits coups de fin. Un liquide chaud ce répand dans mon ventre.
Il sort et va sur une chaise à ma gauche. Denis lui continue à me prendre la bouche puis ce relève, il présente sa bite dans mon cul. Il me prend sauvagement devant Laurent qui ne perd pas une miette.
Laurent me dit qu’il me trouve trop belle, qu’il a toujours rêve de me baiser !
Quand il voit comment je jouis sous les coups de bite de Denis. Laurent lance un grand : - Tes vraiment une bonne salope Marie.
Denis finit trois minutes après. Cependant Laurent en veut encore. Mais pas ici. Je rentre avec lui dans notre maison toujours habiller en salope et discrètement on va dans sa chambre. La chambre d’amis à côté de celle ou mon mari dort.
Il me baise sur le lit qui grince trop fort à mon goût.
Il me prend la bouche, le cul. Il me baise avec passion et je me laisse faire. Je fini en nage. Je suis trempée de sueur et de sperme. Je vais ainsi me coucher dans mon lit car je n’ai plus de force pour prendre une douche.
Le lendemain matin, mon mari en se levant me dit qu’il lui a semblé entendre Laurent dans la chambre d'ami. Il me dit que le lit à grincer cette nuit. Je lui réponds que son frère a le droit de se faire des petits plaisirs solitaires s’il le souhaite. S’il savait ce que le plaisir solitaire a fait à sa femme cette nuit.
C'est dix jours de baise intense entre mon mari et son frère en toute discrétion.
Il me baise le soir tard dans la chambre avec le matelas par terre, pour le bruit, dans le cellier et le garage pour la journée. Et quand les enfants sont dehors et que l’heure de faire le repas approche ? je dois me mettre en jupe courte sans culotte pour un petit coup rapide. Souvent mon mari et dans le salon devant la TV pendant que sa femme ce fait baiser dans la cuisine par son frère.
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