Le militaire de Lorient 1
Récit érotique écrit par Caramel35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le militaire de Lorient 1
L'ambiance bat son plein dans ce bar de Lorient lorsqu'il m'aborde le plus naturellement du monde. Rien qui pourrait me laisser imaginer qu'il est là pour chasser du jeune et s'en faire un, comme on pourrait dire.
Le brouhaha, la musique, la promiscuité; il s'écarte et m'entraîne sur le côté, se colle tout contre moi pour me parler de tout et de rien. Il s'intéresse à moi, me pose des questions banales sur mes études... Il a 30, peut être 35 ans. Il me fait penser à celui qui m'a dépucelé il y a quelques semaines… Il me trouble et je ressens un frémissement dans mon slip.
Son corps si près du mien, sa respiration, son parfum qui me pénètre…Il se présente, m'affirme qu'il est militaire… je comprend mieux son corps musclé, entretenu. Il bifurque sur sa vie privée, sa vie de divorcé, son besoin de relations sociales avec des jeunes…Puis, une main ferme sur mes reins, il me propose un verre, que j'accepte. Dans ma tête, j'imagine baiser avec lui, je l'écoute à peine, je suis ailleurs.
Il se penche, me glisse à l'oreille:
" On va aller chez moi, on sera plus tranquilles "
Il me fixe dans les yeux, sait qu'il m'a envouté, que je vais succomber, que j'ai déjà succombé.
Une bouffée de chaleur m'envahit, ma queue se raidie brusquement. Je réalise qu'il est une force de la nature par rapport à moi. Je ne sais pas si je vais être à la hauteur de ses attentes niveau sexe. Plein de questions se bousculent dans ma tête sauf l'idée de lui dire Non.
Sûr de lui, il n'attend pas de réponse. Il n'a pas dit qu'il voulait me baiser mais c'est évident.
Nous sortons, comme pour prendre l'air, comme si nous étions copains. Damien, c'est son prénom, n'est pas homme à se laisser marcher sur les pieds. Son physique et son autorité le préserve des importuns.
A peine monté dans sa voiture, il saisit ma main et la pose sur son paquet… il est raide, sans contestation possible.
" J'ai trop envie, toi aussi.
" Comment t'as vu ça?
" J'ai du flair pour ça. On va chez moi, t'inquiètes, c'est pas loin.
Je suis excité à l'idée de baiser avec lui car, il a vu juste, j'ai envie. En plus, baiser avec un militaire, ça m'excite.
La porte à peine refermée, il devient directif, m'appuie sur la nuque, me fait mettre à genoux.
" Bouffe moi la queue, vas y, suce moi.
Adossé au mur, il m'impose son autorité, me regarde défaire son ceinturon. Comme il trouve que je ne vais pas assez vite, il me colle le nez dans sa braguette, me fait sentir la dureté de sa bite.
Je lèche le tissu du pantalon, me frotte sur la raideur, le renifle. Il a sur lui une odeur de mâle dominant qui me plaît énormément et rien n'arrêtera le plaisir que j'ai envie de lui donner.
Satisfait de la tournure des évènements, il descend plus bas son pantalon treillis. Son boxer est tendu par le membre rigide et une auréole s'affiche au niveau du gland baveux.
Je lèche cette mouille délicieuse, d'un goût délicat et les effluves de son sexe me pénètrent, me font tourner la tête. Lorsque je pose mes mains sur ses cuisses puissantes, ses poils drus et fournis, je chavire, bascule complètement dans mon obéissance à satisfaire mon mâle.
Il joue de mon désir, se régale de sa domination puis, n'y tenant plus, dégage le boxer qui emprisonne son appareil reproducteur. Sans attendre, il le fourre dans ma bouche et lâche un énorme soulagement, un bien-être apprécié par l'étuve buccale.
" Wouahhhhh, vas y, bouffe moi la bite !
Son sexe n'est pas énorme, ses couilles pas très grosses. Dès que je l'ai en bouche, je prend plaisir à m'en occuper. Ce goût de mouille, ce gland qui bave sa sève translucide, quel plaisir de sucer sa bite!
Ses soupirs de contentement sont peu discrets et m'incitent à donner le maximum de moi-même. Pendant plusieurs minutes, il me laisse disposer de sa queue d'une raideur incroyable. Je suis obligé d'appuyer dessus à la base tant elle se redresse à la verticale!
" Lèches moi les prunes !
Je m'exécute, salive, suçote, aspire ses bonbons et retourne à sa tige que j'engloutis jusqu'aux couilles sans difficulté, le nez dans son pubis fourni. Il joue à coulisser entre mes lèvres, à s'écraser les couilles, à profiter de ma langue chaude qui lui masse la hampe et le nœud. Ses coups de reins deviennent plus puissants, il me l'enfourne brutalement en exprimant sa bestialité… Il me bloque la tête, gicle soudain sa semence.
" Avales tout, p'tite salope !
Son ton directif, sa domination sur moi me font bander comme un cerf. On ne m'a encore jamais ordonné d'avaler, j'adore ce mec.
" Wouahhh, c'est bien" braille t'il, en déchargeant son foutre, satisfait de mon obéissance.
Il relâche son emprise et me libère la tête; ma bouche est remplie de sa semence. Je lui fait voir ma langue chargée, gluante de son sperme et, sans attendre, j'avale. Le goût particulièrement iodé de son jus me reste en bouche, je salive, déglutis encore… Il rigole.
" Tu vois, c'est pas compliqué." me dit-il, puis, toujours raide, m'ordonne…" Fout toi à poil, je vais t'niquer.
Il se dessape et se dirige vers la chambre, la bite au garde à vous. Quel étalon ce militaire! alors que moi, après avoir éjaculé, il me faut plusieurs minutes pour reprendre la forme. Il bout d'impatience de poursuivre.
Musclé tel un fauve, les cuisses puissantes recouvertes de poils raides et courts et le poitrail tout autant fourni …il est magnifique de virilité.
" T'as un cul à t'prendre des bites, toi. Je sens que je vais m'régaler.
Excité, bavant d'envie de me niquer, il s'étale comme un pacha dans son lit; je comprend qu'il veut une gâterie et je m'installe entre ses cuisses…
" Suce moi! Après, J'vais t'la fourrer dans le cul.
La bouche pleine de son sexe avec encore le goût de sperme, je ne répond pas, trop occupé à le saliver, sans oublier ses prunes, comme il m'a dit. Son regard est sur moi, plein de vice.
Lorsqu'il estime qu'il est temps de changer de position, il me plaque sur le ventre, me chevauche, s'allonge sur moi et simule une copulation. Ma tête enfoncée dans un oreiller, je réponds à son jeu et me tortille comme un asticot, ce qui a le don de l'exciter encore plus. Il me salive le trou d'un doigt puis deux et, sans attendre, m'encule.
J'étouffe un cri d'enculé; sa bite est en moi, entière. Ce militaire est vraiment trop doué. J'imagine les autres mecs qu'il a du enculer…des puceaux, et les autres aussi…
" Tu dois t'en prendre souvent, ma p'tite salope, c'est rentré tout seul.
" J'avais envie avec toi.
J'éprouve un plaisir insensé à le sentir en moi, je me cambre pour mieux le recevoir.
" J'adore les p'tits pédés comme toi. T'inquiètes, je vais t'en donner de la bite."
Il explose de bonheur en m'entendant couiner sous ses coups de bite. Elle n'est pas démesurée et elle active bien dans mon fion. Je ressens toute la raideur de sa tige qui me transperce, me harponne avec ardeur. Il a une vraie bite de compétition, pour marathonien du sexe.
Son corps écrasé sur moi, il étale sa force et sa bestialité. Avec ses mots crus, il me rappelle toute l'envie qu'il avait de me baiser lorsqu'il m'a vu dans ce bar. Il m'explique qu'il aurait pu être avec un copain, être à deux à me baiser, il déroule son film, comme un fou de sexe… Il me fourre ses doigts dans la bouche, bave sur mon cou, lèche mes oreilles, s'en donne à cœur joie et m'utilise comme un objet sexuel. Il rigole de mes défaillances, varie la cadence, me démontre toute son endurance, toute sa capacité à baiser.
" Elle est bonne, ma bite, hein?
" Ouiiiiii" J'vais t'remplir, tu veux bien ?
Vu sur quel ton il me dit ça, je comprend qu'il va le faire, que je le veuille ou pas. Je marmonne un truc et il entend ce qu'il veut. C'est comme un jeu, un plaisir sexuel entre nous.
" Les p'tits pédés comme toi, j'leur fait un p'tit.
Et il continue son plaisir, agissant comme s'il me violait, éructant tout un tas de propos vulgaires à faire bander tous ses copains de régiment. Je me débat et couine comme un puceau, ce qui augmente encore sa fièvre. Pris de folie, sans doute parce que je suis rentré dans son fantasme, il s'empare de mon sexe et le branle tout en coulissant en moi…
Nos corps enfiévrés exultent, enchâssés l'un dans l'autre et, à l'unisson, il beugle comme un taureau en me fertilisant l'anus, je jouis dans sa main besogneuse, me pâme sous sa saillie…
Un long souffle de satisfaction le parcoure pendant qu'il s'avachit sur moi, sa mission de reproduction accomplie. Il me présente sa main engluée de mon sperme, me la fait lécher puis s'assoupit quelques instants.
" Allez, une petite douche pour laver le matériel.
Rapide, énergique, le voilà sur pied direction la douche. Il ne m'attend pas, se savonne méticuleusement la queue, restée dressée. Je le rejoins à sa demande et, de ses doigts agiles, il me savonne le fion et me masse tout l'arrière train. A son regard et à sa respiration, je sais qu'il rêve de me niquer de nouveau. Vu la vigueur de sa tige, aucun doute.
Moi qui pensait devoir partir après m'être fait enfilé, nous revoilà dans son lit. Il redemande une turlute que je me réjouis de lui faire. C'est archi agréable de sucer une tige qui ne fatigue pas la mâchoire. Il compense en me donnant des coups de queue dans la bouche, à s'en péter les couilles.
Puis il décide de venir se planter en moi en me positionnant sur le dos.
Un peu de salive et son sexe raide comme un tuteur me perfore. Il sait mon consentement à le recevoir en moi et ne se prive pas de me piner le cul, faisant ressortir sa queue merveilleuse pour m'enquiller aussitôt brutalement, et je lui donne les couinements qu'il aime entendre.
Je le veux, il est trop bon, mes mains frottent ses cuisses musclées, caressent ses flancs. Envahi par sa libido, pris par ma demande de son sexe, il bascule, se penche, s'écrase sur moi. Nos lèvres se rejoignent, sa langue me fouille la bouche, sa barbe raide m'arrache la peau pendant qu'il libère ses instinct de mâle et satisfait ses pulsions de sexe.
Il se régale de mes gémissements et je joue la femelle pour son fantasme…Il finit par jouir en moi, bascule aussitôt sur le dos et dort dans la minute, me laissant là, ébahi, à constater mon fion dévasté, à tâter mon trou gluant.
Tel un marin ou un militaire habitué à ses tours de garde, il va s'endormir, se réveiller et s'occuper aussitôt de mon cul plusieurs fois dans la nuit. Tel un étalon en pleine forme, il me nique sans s'inquiéter de mon envie…je suis là pour le satisfaire.
Au petit matin, épuisé, lessivé, le cul démoli, je ne comprend pas comment ce mec peut tenir une telle énergie … Sorti de la douche, ragaillardi, même pas claqué, il prépare des cafés. Pendant qu'il boit son café, il se lève:
" Taille moi une pipe ! Après, je t'ramène chez toi.
Vous l'avez deviné, je l'ai sucé comme un dingue. Il a fait durer le plaisir mais j'ai réussi. Oui, j'ai réussi à vider ses petites couilles juteuses. Son sperme était encore meilleur que la veille et j'ai tout avalé, bien sûr. Je n'allais pas faire le travail à moitié.
" Tiens, v'là le numéro d'un copain, tu l'appelle de ma part. Tu sera pas déçu…
Restes à savoir ce qu'il entend par là….
Caramel35La fièvre du sexe, la bonne température pour le plaisir Merci pour vos mails et commentaires
Le brouhaha, la musique, la promiscuité; il s'écarte et m'entraîne sur le côté, se colle tout contre moi pour me parler de tout et de rien. Il s'intéresse à moi, me pose des questions banales sur mes études... Il a 30, peut être 35 ans. Il me fait penser à celui qui m'a dépucelé il y a quelques semaines… Il me trouble et je ressens un frémissement dans mon slip.
Son corps si près du mien, sa respiration, son parfum qui me pénètre…Il se présente, m'affirme qu'il est militaire… je comprend mieux son corps musclé, entretenu. Il bifurque sur sa vie privée, sa vie de divorcé, son besoin de relations sociales avec des jeunes…Puis, une main ferme sur mes reins, il me propose un verre, que j'accepte. Dans ma tête, j'imagine baiser avec lui, je l'écoute à peine, je suis ailleurs.
Il se penche, me glisse à l'oreille:
" On va aller chez moi, on sera plus tranquilles "
Il me fixe dans les yeux, sait qu'il m'a envouté, que je vais succomber, que j'ai déjà succombé.
Une bouffée de chaleur m'envahit, ma queue se raidie brusquement. Je réalise qu'il est une force de la nature par rapport à moi. Je ne sais pas si je vais être à la hauteur de ses attentes niveau sexe. Plein de questions se bousculent dans ma tête sauf l'idée de lui dire Non.
Sûr de lui, il n'attend pas de réponse. Il n'a pas dit qu'il voulait me baiser mais c'est évident.
Nous sortons, comme pour prendre l'air, comme si nous étions copains. Damien, c'est son prénom, n'est pas homme à se laisser marcher sur les pieds. Son physique et son autorité le préserve des importuns.
A peine monté dans sa voiture, il saisit ma main et la pose sur son paquet… il est raide, sans contestation possible.
" J'ai trop envie, toi aussi.
" Comment t'as vu ça?
" J'ai du flair pour ça. On va chez moi, t'inquiètes, c'est pas loin.
Je suis excité à l'idée de baiser avec lui car, il a vu juste, j'ai envie. En plus, baiser avec un militaire, ça m'excite.
La porte à peine refermée, il devient directif, m'appuie sur la nuque, me fait mettre à genoux.
" Bouffe moi la queue, vas y, suce moi.
Adossé au mur, il m'impose son autorité, me regarde défaire son ceinturon. Comme il trouve que je ne vais pas assez vite, il me colle le nez dans sa braguette, me fait sentir la dureté de sa bite.
Je lèche le tissu du pantalon, me frotte sur la raideur, le renifle. Il a sur lui une odeur de mâle dominant qui me plaît énormément et rien n'arrêtera le plaisir que j'ai envie de lui donner.
Satisfait de la tournure des évènements, il descend plus bas son pantalon treillis. Son boxer est tendu par le membre rigide et une auréole s'affiche au niveau du gland baveux.
Je lèche cette mouille délicieuse, d'un goût délicat et les effluves de son sexe me pénètrent, me font tourner la tête. Lorsque je pose mes mains sur ses cuisses puissantes, ses poils drus et fournis, je chavire, bascule complètement dans mon obéissance à satisfaire mon mâle.
Il joue de mon désir, se régale de sa domination puis, n'y tenant plus, dégage le boxer qui emprisonne son appareil reproducteur. Sans attendre, il le fourre dans ma bouche et lâche un énorme soulagement, un bien-être apprécié par l'étuve buccale.
" Wouahhhhh, vas y, bouffe moi la bite !
Son sexe n'est pas énorme, ses couilles pas très grosses. Dès que je l'ai en bouche, je prend plaisir à m'en occuper. Ce goût de mouille, ce gland qui bave sa sève translucide, quel plaisir de sucer sa bite!
Ses soupirs de contentement sont peu discrets et m'incitent à donner le maximum de moi-même. Pendant plusieurs minutes, il me laisse disposer de sa queue d'une raideur incroyable. Je suis obligé d'appuyer dessus à la base tant elle se redresse à la verticale!
" Lèches moi les prunes !
Je m'exécute, salive, suçote, aspire ses bonbons et retourne à sa tige que j'engloutis jusqu'aux couilles sans difficulté, le nez dans son pubis fourni. Il joue à coulisser entre mes lèvres, à s'écraser les couilles, à profiter de ma langue chaude qui lui masse la hampe et le nœud. Ses coups de reins deviennent plus puissants, il me l'enfourne brutalement en exprimant sa bestialité… Il me bloque la tête, gicle soudain sa semence.
" Avales tout, p'tite salope !
Son ton directif, sa domination sur moi me font bander comme un cerf. On ne m'a encore jamais ordonné d'avaler, j'adore ce mec.
" Wouahhh, c'est bien" braille t'il, en déchargeant son foutre, satisfait de mon obéissance.
Il relâche son emprise et me libère la tête; ma bouche est remplie de sa semence. Je lui fait voir ma langue chargée, gluante de son sperme et, sans attendre, j'avale. Le goût particulièrement iodé de son jus me reste en bouche, je salive, déglutis encore… Il rigole.
" Tu vois, c'est pas compliqué." me dit-il, puis, toujours raide, m'ordonne…" Fout toi à poil, je vais t'niquer.
Il se dessape et se dirige vers la chambre, la bite au garde à vous. Quel étalon ce militaire! alors que moi, après avoir éjaculé, il me faut plusieurs minutes pour reprendre la forme. Il bout d'impatience de poursuivre.
Musclé tel un fauve, les cuisses puissantes recouvertes de poils raides et courts et le poitrail tout autant fourni …il est magnifique de virilité.
" T'as un cul à t'prendre des bites, toi. Je sens que je vais m'régaler.
Excité, bavant d'envie de me niquer, il s'étale comme un pacha dans son lit; je comprend qu'il veut une gâterie et je m'installe entre ses cuisses…
" Suce moi! Après, J'vais t'la fourrer dans le cul.
La bouche pleine de son sexe avec encore le goût de sperme, je ne répond pas, trop occupé à le saliver, sans oublier ses prunes, comme il m'a dit. Son regard est sur moi, plein de vice.
Lorsqu'il estime qu'il est temps de changer de position, il me plaque sur le ventre, me chevauche, s'allonge sur moi et simule une copulation. Ma tête enfoncée dans un oreiller, je réponds à son jeu et me tortille comme un asticot, ce qui a le don de l'exciter encore plus. Il me salive le trou d'un doigt puis deux et, sans attendre, m'encule.
J'étouffe un cri d'enculé; sa bite est en moi, entière. Ce militaire est vraiment trop doué. J'imagine les autres mecs qu'il a du enculer…des puceaux, et les autres aussi…
" Tu dois t'en prendre souvent, ma p'tite salope, c'est rentré tout seul.
" J'avais envie avec toi.
J'éprouve un plaisir insensé à le sentir en moi, je me cambre pour mieux le recevoir.
" J'adore les p'tits pédés comme toi. T'inquiètes, je vais t'en donner de la bite."
Il explose de bonheur en m'entendant couiner sous ses coups de bite. Elle n'est pas démesurée et elle active bien dans mon fion. Je ressens toute la raideur de sa tige qui me transperce, me harponne avec ardeur. Il a une vraie bite de compétition, pour marathonien du sexe.
Son corps écrasé sur moi, il étale sa force et sa bestialité. Avec ses mots crus, il me rappelle toute l'envie qu'il avait de me baiser lorsqu'il m'a vu dans ce bar. Il m'explique qu'il aurait pu être avec un copain, être à deux à me baiser, il déroule son film, comme un fou de sexe… Il me fourre ses doigts dans la bouche, bave sur mon cou, lèche mes oreilles, s'en donne à cœur joie et m'utilise comme un objet sexuel. Il rigole de mes défaillances, varie la cadence, me démontre toute son endurance, toute sa capacité à baiser.
" Elle est bonne, ma bite, hein?
" Ouiiiiii" J'vais t'remplir, tu veux bien ?
Vu sur quel ton il me dit ça, je comprend qu'il va le faire, que je le veuille ou pas. Je marmonne un truc et il entend ce qu'il veut. C'est comme un jeu, un plaisir sexuel entre nous.
" Les p'tits pédés comme toi, j'leur fait un p'tit.
Et il continue son plaisir, agissant comme s'il me violait, éructant tout un tas de propos vulgaires à faire bander tous ses copains de régiment. Je me débat et couine comme un puceau, ce qui augmente encore sa fièvre. Pris de folie, sans doute parce que je suis rentré dans son fantasme, il s'empare de mon sexe et le branle tout en coulissant en moi…
Nos corps enfiévrés exultent, enchâssés l'un dans l'autre et, à l'unisson, il beugle comme un taureau en me fertilisant l'anus, je jouis dans sa main besogneuse, me pâme sous sa saillie…
Un long souffle de satisfaction le parcoure pendant qu'il s'avachit sur moi, sa mission de reproduction accomplie. Il me présente sa main engluée de mon sperme, me la fait lécher puis s'assoupit quelques instants.
" Allez, une petite douche pour laver le matériel.
Rapide, énergique, le voilà sur pied direction la douche. Il ne m'attend pas, se savonne méticuleusement la queue, restée dressée. Je le rejoins à sa demande et, de ses doigts agiles, il me savonne le fion et me masse tout l'arrière train. A son regard et à sa respiration, je sais qu'il rêve de me niquer de nouveau. Vu la vigueur de sa tige, aucun doute.
Moi qui pensait devoir partir après m'être fait enfilé, nous revoilà dans son lit. Il redemande une turlute que je me réjouis de lui faire. C'est archi agréable de sucer une tige qui ne fatigue pas la mâchoire. Il compense en me donnant des coups de queue dans la bouche, à s'en péter les couilles.
Puis il décide de venir se planter en moi en me positionnant sur le dos.
Un peu de salive et son sexe raide comme un tuteur me perfore. Il sait mon consentement à le recevoir en moi et ne se prive pas de me piner le cul, faisant ressortir sa queue merveilleuse pour m'enquiller aussitôt brutalement, et je lui donne les couinements qu'il aime entendre.
Je le veux, il est trop bon, mes mains frottent ses cuisses musclées, caressent ses flancs. Envahi par sa libido, pris par ma demande de son sexe, il bascule, se penche, s'écrase sur moi. Nos lèvres se rejoignent, sa langue me fouille la bouche, sa barbe raide m'arrache la peau pendant qu'il libère ses instinct de mâle et satisfait ses pulsions de sexe.
Il se régale de mes gémissements et je joue la femelle pour son fantasme…Il finit par jouir en moi, bascule aussitôt sur le dos et dort dans la minute, me laissant là, ébahi, à constater mon fion dévasté, à tâter mon trou gluant.
Tel un marin ou un militaire habitué à ses tours de garde, il va s'endormir, se réveiller et s'occuper aussitôt de mon cul plusieurs fois dans la nuit. Tel un étalon en pleine forme, il me nique sans s'inquiéter de mon envie…je suis là pour le satisfaire.
Au petit matin, épuisé, lessivé, le cul démoli, je ne comprend pas comment ce mec peut tenir une telle énergie … Sorti de la douche, ragaillardi, même pas claqué, il prépare des cafés. Pendant qu'il boit son café, il se lève:
" Taille moi une pipe ! Après, je t'ramène chez toi.
Vous l'avez deviné, je l'ai sucé comme un dingue. Il a fait durer le plaisir mais j'ai réussi. Oui, j'ai réussi à vider ses petites couilles juteuses. Son sperme était encore meilleur que la veille et j'ai tout avalé, bien sûr. Je n'allais pas faire le travail à moitié.
" Tiens, v'là le numéro d'un copain, tu l'appelle de ma part. Tu sera pas déçu…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très chaud
Je garde un excellent souvenir de cette fois ou comme toi je me suis fait enculer par un militaire qui voulait se soulager. Super ton histoire
Très enflammé. Super.