Le prix à payer, l’effet papillon.

- Par l'auteur HDS PP06 -
Récit érotique écrit par PP06 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le prix à payer, l’effet papillon. Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Le prix à payer, l’effet papillon.
La vengeance est un plat qui se mange froid, mais c’est un bien vilain défaut… pourtant que ne ferait-on pas sous le coup de la colère ?
Ce récit est une pure fiction sortant de mon imagination, jamais personne, et surtout pas moi, ne voudrait s’abaisser à ce point pour se venger de sa femme infidèle.

Après avoir lu « Le prix à payer » de Tamalou, comme de nombreux lecteurs, j’attendais une suite…. Comment va réagir le mari ? Vengeance, séparation, candaulisme ? Je me suis fait un petit cinéma dans ma tête, imaginant quelle aurait pu être la réaction du mari, et de sa femme ?

Certains lecteurs diront que ce n’est pas très réaliste, peut-être… Chacun jugera. Le caractère des personnages n’est pas exactement le même … Lui un peu plus… Elle un peu moins… Ou l’inverse… Enfin comme je les imagine être avant, après 20 ans de mariage.

Avant de continuer, je vous conseille de lire le récit original de Tamalou.

--- o O o ---
Connaissez-vous l’effet papillon ?

L’effet papillon est une expression concernant la théorie du chaos. La formulation exacte fut exprimée par Edward Lorenz lors d'une conférence scientifique en 1972, dont le titre était : « Le battement d'ailes d'un papillon au Brésil peut-il provoquer une tornade au Texas ? »
L'effet papillon est matérialisé par une chaîne d'événements qui se suivent les uns les autres et dont le précédent influe sur le suivant. Ainsi, il suffit de modifier de façon infime un événement insignifiant au début de la chaîne pour que celui-ci s’amplifie progressivement et provoque des changements catastrophique à la fin.

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Marié avec Jody depuis 20 ans, nous nous aimons toujours comme au premier jour. Nous étions en vacances sur cette ile paradisiaque, séjour gagné dans ma société, comme meilleur commercial de l’année. Comme moi, Jody se faisait une fête de cet intermède en amoureux.

Avec Daniel nous sommes dans la même société, il est responsable commercial de la zone Sud-Ouest, moi de la zone Sud-Est. Les échanges sont fréquents, nous nous voyons souvent dans le cadre professionnel, au fil du temps nous sommes devenus de bons amis sans aucune compétition entre nous, enfin je le croyais …
Rappel de la fin du récit « Le prix à Payer » :
Le reste du séjour s'est déroulé sur le même rythme. Jody était collée à Daniel, subissant ses assauts tantôt tendres, tantôt fougueux. Ils baisaient partout, dans n'importe quelle position, que je sois présent ou pas.

Jody faisait tout son possible pour m'éviter et ne pas avoir à subir une conversation. Je n'ai même pas essayé de la toucher. Pour ça aussi, je pensais juste qu'il valait mieux attendre d'être de retour à la maison. J'en ai profité pour me balader et visiter l'île.
Le moment du départ est arrivé. Les affaires emballées, Jody se préparait dans la salle de bain, je suis allé à la réception régler les derniers détails. Je me suis promené dans les jardins pour profiter une dernière fois du paysage magnifique. Pensant que Jody devait être prête et impatiente, je suis revenu à la chambre.

Jody était penchée en avant sur le lit, en appui sur les mains. Son corsage était grand ouvert, ses seins étaient sortis des bonnets du soutien-gorge. Elle tenait sa culotte à la main et sa jupe était roulée sur ses reins. Elle présentait son cul à Daniel, qui se tenait debout derrière elle, la bite à la main, en train de frotter son gland dans la fente de sa chatte.
Jody m'a regardé, les yeux remplis d'humiliation et d'avidité.

Elle m'a dit : "Une dernière fois, chéri, après nous pourrons y aller."
Je lui ai dit : "Mais c'est l'heure, il faut partir !"
Elle a répondu : "Je t'en supplie ! J'en ai tellement besoin ! Je ne serai pas longue !"
Je me suis enfui de la chambre, dévasté. Au bout d'une minute, ma curiosité l'a emporté. Je suis retourné regarder. Jody était penchée sur le bord du lit, en appui sur les mains et sur un genou, l'autre pied au sol. Daniel la baisait par derrière. Je savais qu'il voulait juste l'avoir une dernière fois, lui laisser sa marque. Il la baisait durement, la martelant, agrippé à ses hanches. Ses gros seins se balançaient au rythme des coups de bite qu'elle recevait dans la chatte. Quand il l'a remplie de son foutre, c'était comme un marquage indélébile. Comme un acte de propriété. Qu'elle emporterait avec elle, chez nous.

Le retour en avion à la maison se fit dans un mutisme total. Nous sommes rentrés chez nous comme si tout était normal. Nous en discuterons demain.

Fin.

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A partir de là, mon imagination prend le relais…
Voyage de nuit, dans l’avion du retour Jody s’endort rapidement, elle est fatiguée, on le serait à moins. Moi je n’arrive pas à trouver le sommeil, je repasse dans ma tête le film de cette semaine : l’arrivée de Daniel, la première fois dans la mer, ses efforts pour rester seule avec lui, pour m’éviter, jusqu’à ces quelques minutes avant le départ, dans notre chambre, sous mes yeux.

D’accord, je ne suis pas totalement innocent non plus, je n’ai pas toujours été très fidèle, Jody ne l’a jamais su, sauf si Daniel… l’an dernier, il lui a parlé de nos sorties entre homme. Quels détails a-t-il pu lui donner ? Ce n’était qu’une soirée qui a dérapé, il y a bientôt 6 ans, de l’histoire ancienne.
J’aurais compris une aventure, avec lui ou un autre, mais pas comme ça, et pourquoi pendant nos vacances ?

Daniel est célibataire, il drague tout ce qu’il croise, mais comment a-t-il pu me voler ma Jody ? J’avais bien remarqué à la fête de l’an dernier que Jody lui plaisait, comme j’avais remarqué le trouble de Jody quand elle dansait avec lui, mais pas au point à me trahir. Il aurait pu la séduire sans que je le sache. Pourquoi être venu ? Pour m’humilier ? D’accord j’ai de meilleurs résultats que lui, mais c’est le boulot, il ne faut pas tout mélanger. J’espère qu’il sera discret et que personne de la boite ne le saura jamais, on a sa petite fierté.

Dans l’avion, je somnole, mon esprit vagabonde…
Mes pensées vont vers toi Jody, tu dors « innocente », instinctivement ta tête s’est posée sur mon épaule, comme si rien ne s’était passé, comme si nous revenions d’une semaine de vacances … c’est agréable, je te retrouve toi ma femme… en te regardant, aussi calme, aussi détendue, je ne peux réaliser qu’il y a deux heures à peine… que pourras-tu me dire en arrivant chez nous, que trouveras-tu pour justifier ta conduite ? Je ne te reconnais pas. Je découvre en toi une autre Jody, que m’as-tu caché depuis 20 ans ? Voudras tu rester encore avec moi ? me quitter ? Mille questions trottent dans la tête.

Petit à petit l’idée de me venger envahi mon l’esprit, j’imagine les pires tortures à leur infliger… Grrrr, je serais impitoyable… je ne vais tout de même pas me battre… moi non, mais je pourrais recruter des gros bras… … mettre le feu à sa maison… piéger sa voiture… inonder les réseaux sociaux avec des photos intimes ou des fausses nouvelles… ou déclencher le divorce du siècle, tous les journaux détallant les turpitudes de Jody avec Daniel… je divague… ça me calme d’imaginer le pire.

Bercé par le ronron des moteurs de l’avion, je cogite. Les idées sont insidieuses, des pensées de plus en plus précises tournent dans ma tête, les scénarios sont de plus en plus réalistes, … Une vengeance… Pourquoi pas ? j’ai ce défaut, on ne se refait pas. Mais il ne faut pas qu’ils sachent que cela vient de moi, l’hypocrisie je connais aussi.

A force d’y penser, d’y repenser, un plan se met en place… je pèse le pour, le contre, les obstacles à surmonter… Je n’y songe pas sérieusement, mais je suis en colère, construire une belle vengeance est pour moi une façon d’exorciser ce que je viens de vivre.

L’avion atterrit… Je me suis endormi sans m’en rendre compte… Ai-je rêvé ? Non, c’est un vrai cauchemar… ma décision est prise, Daniel et toi Jody vous vous êtes trop moqués de moi.

Nous récupérons nos bagages… Je ne dis rien, Jody aussi garde le silence. A quoi a-t-elle pensé durant ce voyage ? Regrette-t-elle ?

Le taxi… nous posons enfin nos valises, chez nous.

Arrivés au petit matin, nous sommes fatigués, avec en plus le décalage horaire. Un peu de repos nous fera du bien, Mais je veux savoir, je n’y tiens plus. Je saisis Jody par le bras, un peu brusquement :
- Maintenant, tu ne peux plus te défiler, il va falloir que tu m’expliques.
- Je suis fatiguée, laisses moi.
- Tu me dois une explication. Pourquoi ?
- Il n’y a rien à expliquer, chacun son tour, je n’ai fait que me venger, voilà tout, - Quoi ? Tu es folle, n’inverse pas les rôles.
- Fais l’innocent… - Pourquoi avoir demandé à Daniel de nous rejoindre ?
- Qu’est-ce que tu imagines, je ne savais pas qu’il allait venir.
- Alors pourquoi ?
- Je te l’ai dit, chacun son tour. Daniel m’a tout raconté. Tu m’as déçu. Alors sous le coup de la colère, il en a profité.
- De quoi parles-tu ? Explique-toi.

Jody me regarde, dilemme intérieur, elle se lance :- Si tu veux tout savoir, écoute... Depuis l’an dernier, Daniel m’a téléphoné plusieurs fois lors de ses déplacements, quand il passait te voir pour le travail. Il m’a invité à déjeuner, je ne voulais pas te tromper, mais vu ce qu’il m’avait dit l’an dernier lors de la soirée, j’ai fini par succomber. On s’est vu trois fois, je pensais que tu ne le saurais jamais. Je ne te cacherais pas que j’aimais être dans ses bras, je te passe les détails, il m’a vraiment fait jouir, et quelle endurance. Mais à chaque fois, il te dénigrait, j’ai vite compris qu’il se servait de moi pour t’atteindre. Ayant peur que tu ne l’apprennes, j’ai décidé de tout arrêté. Tu as gagné ce voyage. J’ai appelé Daniel pour lui signifier que c’était fini entre nous.
Il savait que tu avais été sacré meilleur commercial, je sentais sa jalousie, alors qu’il me disait m’aimer et vouloir me revoir. Il ne m’a jamais fait part de son intention de nous rejoindre. Je n’avais qu’une envie passer cette semaine en amoureux avec toi.
- Et bien c’est réussi.
- J’ai été très surprise de le voir arriver sur la plage. Je t’ai demandé d’aller nous chercher des boissons pour mettre les choses au clair avec lui, je ne voulais pas qu’il gâche nos vacances Je voulais qu’il reparte, qu’il comprenne qu’entre nous c’était bien fini.
Pendant ton absence, rapidement il a recommencé à me draguer, il m’a dit m’aimer, qu’il aimait faire l’amour avec moi, il a essayé de m’embrasser, mais je tenais bon. Devant mon refus, il m’a dit de ne pas hésiter, que toi il y a longtemps que tu n’hésitais pas. Il m’a raconté vos soirées entre hommes depuis 6 ans, tes différentes maitresses d’un soir, vos soirées libertines… ta maitresse actuelle quand tu vas en déplacement chez lui… et même ta secrétaire.
- Et tu l’as cru ?
- Je n’avais aucune raison de douter. Il m’a dit avoir dépensé une fortune pour venir me rejoindre à la dernière minute, il voulait continuer avec moi, c’était l’occasion rêvée pour lui. J’ai été touché de cet acharnement, C’est un bel homme, j’avais toujours envie de lui, la colère m’a aveuglé, j’ai vu rouge, je n’ai pensé qu’à me venger pour te faire payer tes infidélités.
C’est vrai que j’y suis allée un peu fort. Nous sommes allés nous baigner, dans l’eau tu as bien compris qu’il me baisait, tu regardais de loin. Le soir j’ai voulu te narguer en te l’avouant de façon brutale, j’étais toujours en colère, je voulais te faire souffrir. Tu as accusé le coup, sans te rebeller, ce qui prouvait ta propre culpabilité. Ensuite, tout s’est enchainé, Daniel en a profité au maximum. Je ne pouvais plus reculer, je n’ai pas réfléchi, sa queue me fascinait. Je crois qu’il aimait te faire sentir sa supériorité, car au travail tu es meilleur que lui. Avant de partir, c’est lui qui a voulu te donner le coup de grâce, ça m’a amusé de voir ta tête, sachant que c’était la dernière fois.
Voilà tu sais tout.
- Et maintenant, que comptes tu faire ? Tu envisages de le revoir ? d’aller vivre avec lui ?
- Non, je te l’ai dit c’est fini. On a remis les compteurs à zéro. On peut reprendre notre vie, comme avant. Si tu me jures de me rester fidèle, moi je ne te tromperais jamais plus, ni avec Daniel ni avec personne d’autre.
- C’est un peu facile non ? Je n’ai même pas à me justifier, tu t’es soi-disant vengée sans me demander des comptes avant. Je n’ai qu’une chose à te dire, je ne t’ai jamais trompé, tout ce que t’a dit Daniel est faux, Il a tout inventé pour que tu tombes plus facilement dans ses bras, c’est son truc qu’il a déjà expérimenté avec succès avec d’autres femmes.
- Ben voyons.
- Tu n’es plus la Jody que j’ai épousée. Tu as voulu croire à mes soi-disant infidélités, car dans le fond ça t’arrangeait, tu n’avais qu’une envie, baiser avec lui. Je découvre ta vraie personnalité.
- Oh !
- Tu as tout détruit. J’ai des images plein la tête, que je ne peux pas oublier, Partons chacun de notre côté.
- Quoi ? tu veux me quitter ?
- Non c’est toi qui m’as quitté, il y a une semaine.
- Mais non, c’était juste pour te donner une leçon.
- Ça va, j’ai compris la leçon, je te rends ta liberté, tu vas pouvoir faire ce que tu veux, avec qui tu veux.
- Tu me connais, tu sais que je ne suis pas comme ça, c’était pour te faire comprendre, j’étais en colère.
- J’ai très bien compris.
- …
Nous n’avons plus rien à nous dire. Jody va s’allonger, elle veut se reposer.

Ma colère contre Jody, contre Daniel, n’est pas retombée, bien au contraire. Durant sa sieste, j’ai le temps de mettre en place le plan imaginé dans l’avion. Juste une petite vengeance, ce n’est pas beau, mais… j’allume mon ordinateur…
Le soir, après un diner silencieux, elle se dirige vers la chambre, m’attend quelques secondes sur le pas de la porte. Je n’ai pas bougé du salon, j’ai décidé de passer la nuit sur le canapé, je ne veux plus, je ne peux plus la toucher.

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Le lendemain je pars au bureau avant qu’elle ne se réveille. Un simple passage, car j’ai encore quelques jours de vacances. Je rentre tôt afin d’être là à son retour. Pour elle aussi la journée a dû être pénible, elle doit se poser pas mal de questions… elle n’a pas fini de s’en poser.

A son arrivée, juste un petit bonjour, Jody sent bien que je ne suis pas prêt à pardonner.

Le frigo est vide, tandis qu’elle se dirige vers la cuisine porter les quelques courses qu’elle a faites en rentrant, la porte de notre chambre s’ouvre devant une belle créature, jolie brune en mini robe.
- Excuses moi chéri, tu es occupé.

Jody n’en croit pas ses yeux, elle ouvre la bouche mais aucun son ne sort. Qui c’est celle-là ?
- Jody, je te présente Matilde. Matilde, Jody mon épouse, enfin mon ex.

Jody ouvre la bouche encore plus grande en me fixant, croyant avoir mal entendu.
J’enfonce le clou :- Ça ne te dérange pas de dormir sur le canapé cette nuit ? Chacun son tour.
- …
Elle est paralysée, sans rien pouvoir dire.

Je vais dans notre chambre entrainant Matilde, et reviens dans le salon avec une couverture et un oreiller :- Bonne nuit ma chérie.

En vérité, j’ai fait appel à une call girl, la nuit va me coute cher. Elle connait son rôle, mais ne s’en offusque pas. Je laisse la porte de la chambre entre ouverte.
Nuit torride. En pensant à Jody, j’ai quelques scrupules, bien vite balayés par l’image de Daniel en train de la pilonner en levrette, elle n’avait aucun scrupule. Matilde est une bonne professionnelle, et l’abstinence forcée de cette semaine efface toute hésitation... Matilde jouit peut-être plus bruyamment que nécessaire. Au 3ième orgasme, je me lève, petit passage dans la salle de bain.

Tandis que Matilde est sous la douche, je vais au salon, Jody ne dort pas.
- Excusons-nous Jody, j’espère qu’on ne t’empêche pas de dormir.

Le ton ironique ne lui échappe pas- …
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Au matin, j’ai quelques remords en repensant à cette nuit, mais une vengeance est une vengeance, je dois aller jusqu’au bout. Heureusement, Matilde est une bonne comédienne, son cri réveille Jody venant juste de trouver le sommeil.
Elle reste prostrée sur le canapé, pendant que je prends avec Matilde un petit déjeuner en amoureux.

Nous retournons dans la chambre. Assis sur le lit, Matilde va me montrer une nouvelle fois ses talents de comédienne, J’ai prévu un dernier acte, me souvenant du dernier jour avant de prendre l’avion.
Assez fort pour que Jody nous entende :
Matilde me dit : "Une dernière fois, chéri, après nous pourrons y aller."Je lui dis : "Mais c'est l'heure, il faut partir !"Elle me répond : "Je t'en supplie ! J'en ai tellement besoin ! Je ne serai pas longue !"
Jody a dû se boucher les oreilles pour ne pas entendre nos soupirs, qu’elle ne savait pas simulés.

Cette fois, Matilde s’en va, je l’embrasse sur le pas de la porte, un baiser enflammé sous les yeux de Jody hypnotisée par la scène.
- Tu m’appelles, si je peux me libérer à midi, nous pourrions déjeuner ensemble.

Je ne reverrais jamais Matilde, mais ça Jody ne le sait pas.

Elle ne prononce pas un mot. Si, juste un :- Salaud.
Elle n’a pas un grand vocabulaire.

- Alors que comptes-tu faire ? Où envisages tu t’installer ?
- Quoi, c’est vrai ? tu veux me quitter ?
- Non, je te l’ai déjà dit, c’est toi qui m’as quitté, en passant NOS vacances avec Daniel.
- …- Tu peux aller le retrouver, il reste ici une semaine pour le boulot, nous avons des réunions avec le grand chef de Paris, profites en. Tu as Daniel, j’ai Matilde.

Jody veut prendre le dessus :- Tu l’auras voulu. Je vais le rejoindre, il m’aime et lui au moins il me fait jouir. (Petite vacherie qui semble la ravir).

Deux heures après, elle me regarde avec défit et ouvre la porte d’entrée une valise à la main :- Adieu, Daniel sera content de me voir.
La porte se referme, aujourd’hui elle n’ira pas travailler.

Connaissant le loustic, célibataire endurci, je pense qu’elle va très vite déchantée
Le soir, tranquillement installé dans mon fauteuil, un verre de whisky à la main j’entends la porte s’ouvrir, apparait une Jody penaude, sa valise à la main, elle a l’air totalement désorientée, elle a perdu de sa verve.
- Et bien ma chérie, que se passe-t-il ?
- Il n’a pas voulu que je reste avec lui, il a des soucis.
- Qu’est-ce que tu croyais ? Qu’il allait t’accueillir à bras ouvert ? Viens boire un verre, dis-moi tout.

Elle s’assoie sur la première chaise :- Qu’a-t-il comme soucis ?
- J’en sais rien, il n’a rien voulu me le dire, il doit te téléphoner demain.
- … (Tien, ça bouge déjà).
- Le salaud. Si tu savais tout ce qu’il m’a dit.
J’imagine.
- Tout de même, Il a passé de bonnes vacances grâce à moi, je ne lui ai rien refusé … Il a même été content de pouvoir t’humilier, il devait avoir des comptes à régler.
- Que comptes tu faire maintenant ?
- …Chacun va se coucher, elle dans le lit conjugal, moi sur mon canapé. Je ne peux m’empêcher de sourire en m’endormant.

--- o O o ---
Le petit déjeuner n’est pas encore terminé, le téléphone sonne, c’est Daniel. Il est ennuyé, la direction vient d’apprendre qu’il a créé une boite concurrente et qu’il détourne des clients à son profit. Il me demande de l’aider, entre bons amis.
- Comment ont-ils pu savoir ? Depuis le temps, le système était bien rodé, je faisais suffisamment attention.

Moi, avec un petit sourire :- Que puis-je faire pour toi ?

Je mets le haut-parleur pour que Jody puisse suivre notre conversation :- Tu seras surement interrogé par le Directeur, essaie de minimiser,- Ok, que ne ferais-je pas pour un ami. Comptes sur moi, on va te sortir de ce mauvais pas.
- Merci, t’es un vrai pote.
- No problème… Mais dis donc, tu y as été fort avec Jody.
- Tu as raison, excuses moi, je ne pensais pas qu’elle était aussi naïve, ni aussi chaude. Elle doit croire que tu es un surhomme pour avoir autant de maitresses, Elle a gobé tout ce que je lui ai dit, et quand je dis gober, il n’y a pas que des mots, si tu vois à quoi je fais allusion. Mais faut lui accorde cette qualité, c’est une sacrée baiseuse.
- Oui mon cochon, tu en as bien profité. Enfin, ce n’est pas une pouf qui va se mettre entre nous.

Jody écoute, elle reste bouche bée, c’est d’elle dont on parle, pas possible…elle commence à comprendre que Daniel l’a berné avec les soi-disantes infidélités de son mari. Elle a l’air perdu.
La conversation continue :
- Si j’étais à ta place, je la larguerais, te faire cocu devant toi, elle n’a pas honte ? Moi je ne pourrais pas vivre avec une femme comme ça. Tu connais la meilleure ? Hier elle est venue à mon hôtel, elle voulait rester avec moi, tu te rends compte, En ce moment j’ai d’autres soucis, j’aurais bien voulu la baiser pour la remercier du dérangement mais j’avais peur qu’elle ne s’accroche, un vrai pot de colle. Quelle conne, je l’ai jetée, on ne vit pas avec une pute, on la baise et on la jette. Un conseil, fais comme moi.
- Merci du conseil, c’est bien mon intention. J’ai découvert sa vraie nature,- Je suis content de t’avoir ouvert les yeux, ça sert à ça les amis. Tu sais, je connais les femmes, Jody je n’ai pas eu besoin de beaucoup insister, elle aime la bite, tu dois avoir une sacrée collection de cornes.

Jody est blême, à plusieurs reprises elle a voulu sauter sur le téléphone, j’ai dû masquer le micro pour que Daniel ne se rende pas compte de sa présence.
- Non, c’est faux, c’était la première fois, je ne t’ai jamais trompé avant mon chéri. Je t’aime, je regrette.

Hypocritement, je reprends la discussion avec Daniel :- Ok, je vais voir comment m’en sortir avec le directeur, mais toi fais attention, planque tes dossiers.
- Merci vieux, je te revaudrais ça.
- De ton côté, soit discret pour la semaine dernière, personne ne comprendrait qu’un mari défende l’amant de sa femme, ne va pas te venter comme d’habitude.
- Oui tu as raison, bouche cousue cette fois.
- On se comprends…Salut
Daniel se protège, il ne parlera pas de sa semaine avec Jody. Ouf ma réputation est sauve.

Mon plan est en marche, où s’arrêtera-t-il ?

Jody est effondrée, … tout ce qu’elle vient d’entendre, elle comprend que Daniel l’a manipulée, Elle relève la tête, me regarde les yeux grands ouvert, comme si elle venait enfin de prendre conscience de ce qu’elle avait fait :- Mais alors mon chéri, je t’ai tr… mon dieu, j’ai honte, peux-tu me pardonner ?
- Tu es impardonnable.
- …
Jody dort toujours seule dans le lit conjugal, j’ai définitivement adopté le canapé. Je savoure ma liberté retrouvée… ma colère renait chaque fois que les images de Jody avec Daniel refont surface. Bizarrement, je n’ai plus envie d’elle.

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Le lendemain, grande effervescence au bureau, Daniel a été licencié pour faute professionnelle.
Je suis convoqué par la direction. Mis au courant de la situation, je tombe des nues … non ? il a fait ça ?... Qui aurait pu croire que Daniel… oui monsieur le directeur, vous pouvez compter sur moi… oui, je peux reprendre tous ses clients en attendant de trouver un remplaçant.
Je deviens le sauveur, pas mécontent de ma prestation devant le directeur.

Daniel rentre chez lui, sans retour possible au bureau. Licenciement pour faute lourde, pas d’indemnité… il ne peut même pas attaquer au prudhomme ne voulant pas faire de vague avec sa boite personnelle.

Le DRH notifie au CE la décision de licenciement. Les syndicats ne bougent pas, la faute est grave, ils ne vont pas se mouiller pour un cadre pourri.

Le licenciement est fait dans les règles, l’inspection du travail est informée. Il faut avoir son accord.

L’inspecteur du travail, avant de donner un avis, en informe son collègue du Sud-Ouest pour une vérification sur place, savoir si les accusations contre Daniel sont justifiées ou pas.

L’enquête est lancée… Il ne faut pas sous-estimer l’opiniâtreté des agents de l’administration appliquant à la lettre, et en prenant leur temps, les procédures.

Une demande aboutit à la Chambre de Commerce, la société privée de Daniel est bien active… à la Direction des Impôts qui ne trouve aucune trace de déclaration à ce nom… à la Sécurité Sociale, à l’URSSAF … chaque service poursuit ses investigations, avec le zèle bien connu des fonctionnaires à faire des dossiers, afin d’alimenter celui de l’inspection du travail qui grossit un peu plus chaque jour.

Deux jours après, nouvel appel de Daniel, je me rapproche de Jody pour qu’elle entende :- La tuile, la boite m’a signalé à l’inspection du travail. J’ai un contrôle fiscal, et l’URSSAF me réclame déjà 10.000 € d’arriéré.
- Ce n’est pas encore trop. Mais le contrôle fiscal, ça risque d’être chaud non ?
- Sur… Mais je suis à sec, je n’ai reçu aucune indemnité, et la paye ne tombera plus en fin de mois. D’autant que la petite escapade avec ta femme m’a couté un bras, je n’étais pas invité comme toi. L’avion et l’hôtel à la dernière minute, tu peux pas savoir. Ces vacances m’ont couté cher.
- Oui, elles vont te couter très cher.
Daniel ne relève pas l’ironie.

- Pourrais-tu me dépanner ?
- Je voudrais bien, tu le sais (toujours avec une voix hypocrite), mais en ce moment je n’ai pas de liquidité, sur un bon coup, j’ai engagé toute ma prime. Et je dois prévoir pour le divorce.
- Je comprends, merci quand même. Puis je venir te voir, nous pourrions en discuter, j’ai besoin de parler.
- Je te vois venir mon cochon, tu as encore envie de te taper ma femme. Remarque, elle ne doit pas demander mieux.

Jody face à moi me lance un regard… si ces yeux étaient des révolvers, je serais mort sur le champ.
- T’es con, Je n’ai pas la tête à ça, et elle essaiera encore de me mettre le grapin dessus, j’ai assez d’ennuis comme ça. D’accord elle suce bien, mais je ne vais pas me faire chier avec une conne qui baise avec tout ce qui bouge- Là, tu exagères un peu,- Ok, c’est encore ta femme excuses moi, mais avoue c’est vraiment une belle salope.
- (En riant) tu as trouvé le mot juste.
- Je vais voir comment m’arranger pour l’URSSAF, en espérant qu’ils ne trouvent rien d’autre.
- Tiens-moi au courant. Si je peux t’aider, je ferais le maximum, mais là, excuses moi encore- Ok, t’es un pote.

Lorsque je raccroche, Jody est rouge, outrée de ce qu’elle vient d’entendre. Mon sourire l’intrigue. Elle me regarde interrogative, et soudain une idée lui vient :- Non, c’est toi qui …. Non, tu n’as pas fait ça.
Seul mon sourire lui répond. Elle a compris.

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Rumeurs au bureau, personne n’ose me parler, quel secret courre encore dans les couloirs, pourvu que Daniel ait su tenir sa langue, que tout le monde ne soit pas au courant de mon infortune.
Enfin, ma secrétaire vient me voir, Daniel a été convoqué par la brigade financière.

C’est la dégringolade pour ce pauvre Daniel. Après l’URSSAF, arrive un redressement fiscal… l’inspecteur du travail est sur son dos, emplois non déclarés… perquisition de son domicile…les redressements sont calculés avec célérité… les amendes pleuvent …
Je m’empresse d’informer Jody, autant lui faire profiter des malheurs de son amant. Elle tremble pour lui, si elle pense toujours que c’est un salaud, elle doit se souvenir comment elle a joui avec lui…
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Entre nous, le silence c’est installé, nous ne nous parlons presque plus, Jody occupe toujours le lit conjugal, j’ai pris un abonnement sur le canapé.

Et un jour, j’ai ouvert la porte… Jody est partie, je ne l’ai pas retenue. Mon amour de jeunesse, je ne pouvais plus la toucher, trop d’images, trop de souffrance… Elle est allée s’installer chez sa mère,
J’ai repris, en plus de mon territoire, celui de Daniel, joignant le Sud-Est et le Sud-Ouest, passant la moitié de mon temps en déplacement. Je me noie dans le travail pour ne plus penser, essayant d’oublier.

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Un mois après, La direction générale me contacte, elle envisage de me confier la direction centrale à Paris.

C’est le moment choisi par Jody pour venir chercher des affaires, elle ne fait que passer. Elle a l’air grave, sans entrain, mais dieu qu’elle est belle, en 20 ans elle a si peu changé. Je la regarde avec nostalgie.
Je l’informe de ma promotion, et de mon projet de déménager à Paris. Ironiquement, je lui dis qu’elle aura tout loisir de s’installer chez nous pour y recevoir ses amants.
Elle me regarde tristement, déjà je regrette mes paroles. Je ne veux plus lui faire mal. Je n’ai pas envie de la perdre, mais comment lui pardonner ? C’est au-dessus de mes forces
Je la retiens à diner, on discute de tout et de rien, de nous. Il est tard, je lui propose de rester dormir, elle est encore chez elle. Elle accepte, son regard est plein d’espoir, mais je reprends ma place sur le canapé.
J’ai du mal à trouver le sommeil, l’image de Jody me revient, elle est avec Daniel, la colère monte, je me retourne 36 fois sur mon canapé. Mais très vite ce sont des images heureuses, Jody en vacances, Jody avant notre mariage quand je la pelotais dans la voiture en la raccompagnant chez ses parents… et surtout le sourire de Jody, celui qui m’a fait craquer, celui qu’elle avait en disant oui à monsieur le maire. Elle me manque. Tout à coup Je prends conscience que je bande, heureux je trouve enfin le sommeil.

Je suis réveillé par une odeur familière, café et pain grillé. Jody a tout préparé. Nous reprenons nos vieillies habitudes, on déjeune dans la cuisine. Je lui fais même une bise rapide.

J’accepte qu’elle m’accompagne à Paris, pour la réception au siège de la société, pour annoncer la nouvelle à mes collaborateurs.
Jody est belle, sexy juste ce qu’il faut, la classe. Je suis fier de l’avoir à mon bras, elle attire l’attention de tous. Je dois faire des jaloux, une belle femme, une promotion… Aucun sous-entendu, Daniel ne s’est pas venté, j’avais tout de même un peu peur.
Dans son discourt, le Président insiste sur mes qualités, ma capacité à gérer les situations de crise... Il ne croit pas si bien dire.

Lors du cocktail qui a suivi, après les félicitations d’usage, les conversations évoquent inévitablement Daniel. Toute la profession est au courant, il va avoir beaucoup de mal à retrouver un nouveau poste.
Jody rencontre ma secrétaire, celle-ci lui dit sans détour que Daniel est un beau parleur, un menteur, elle ose lui dire sa satisfaction de ce qui lui arrive, elle ne pouvait pas le voir, il a même essayé de la draguer… ce n’est pas comme son mari, moi, un mec droit et honnête. Quelle chance elle a de m’avoir… Jody est fière, elle est presque jalouse, pensant que ma secrétaire doit être amoureuse de moi.

En rentrant à notre hôtel, je lis de l’amour dans ses yeux.
Dans un grand sourire :- C’est vraiment toi le meilleur, mon chéri.
- Tu t’en aperçois bien tard.
- …
Au lit, n’ayant pas mon canapé préféré, je n’ose pas la toucher. Nous nous endormons dos à dos, chacun de notre côté, pour nous réveiller blottis dans les bras l’un de l’autre, un réflex.

--- o O o ---
En préparant mes affaires pour m’installer à Paris, Jody me regarde en silence, l’air triste. Je lui souris :- Alors ma chérie, tu ne prépares pas ta valise ?

Le sourire qui illumine son visage est la meilleure des récompenses… cette nuit je n’ai pas dormi sur le canapé.

Epilogue
Nous nous sommes installés à Paris. Jody a joué la fée du logis, tout en cherchant un nouveau travail.
Mon poste de direction m’occupe beaucoup, je ne compte plus mes heures, mais j’arrive à nous réserver du temps, nous sortons souvent, théâtre, concert…La vie à Paris est bien agréable…
Les clients ayant été informés, la société de Daniel a fait faillite, Afin d’arrêter la procédure judiciaire, pour payer les amendes et rembourser toutes ses dettes, il a été obligé de vendre sa belle propriété.

Je n’ai plus jamais eu de nouvelles de lui. A-t-il appris que moi, son ami, son pote … parfois j’aimerais qu’il le sache, ma vengeance serait alors complète.

Pauvre Daniel. Sans être fier de moi, je suis étonné de voir comment un simple petit message a pu déclencher un tel cataclysme… L’effet papillon.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Elle ne mériter pas l indulgence suites aux adultères avec son amant pote de son mari pas de pardon surtout la baise qu’elle a mener avec Daniel devant son mari sans aucun état d âme ,des dérapages flagrants impardonnables ,cette fin à noircir toute l histoire elle mérite mille fois le divorce

Histoire Erotique
Pas de pardon il faut qu elle paye la façon ignoble qu elle a employée pour se venger d adulteres imaginé par son amant car elle s est bien faite baiser trois fois avant ce départ en vacance donc pas de pardon qu elle dégage et très vite et pour faute lourde comme son amant.

Histoire Erotique
Tres cher Patrick tu finis dans 99% des cas par un pardon 😇 … pour tout le reste tjts au top mais j’aimerai perso plus de fin ou il y a séparation avec dans le chapitre suite une suite du ou de la bafoué(e) … et je dirais même que l’exercice le plus compliqué c est de décrire la séparation et ce qui suit …. Comme une histoire excellente lu sur xstory : de tentation en tentation qui était excellente et qui a fait plouf a la fin …. Le dernier chapitre occulte la séparation le divorce l’explication et meme la femme infidèle pour nous pondre un mariage entre le mari bafoué et la fille des voisins pervers … et dans le final le mari tombe dans le travers de ses voisins qu’il a decrié depuis le début….

Histoire Erotique
Tres cher Patrick tu finis dans 99% des cas par un pardon 😇 … pour tout le reste tjts au top mais j’aimerai perso plus de fin ou il y a séparation avec dans le chapitre suite une suite du ou de la bafoué(e)

Amis lecteurs anonymes... il est vrai que dans mes suites, je suis souvent dans le pardon, pas toujours.
Mais c'est l'exercice, car le plus souvent elle ne le mérite pas.
Une séparation serait trop simple. J'ai du trouver comment justifier ce pardon.

Merci pour vos commentaires,
Patrick

Histoire Erotique
Ahhhh Patrick tu es quasi tout le temps dans le pardon 😜 … mais clairement là elle ne méritait pas de pardon

C'est un peu l'exercice auquel je me suis amusé.
Il serait facile de voir un avocat, ils divorcent, c'est fini.
Ici, j'ai voulu donner une raison à la conduite de l'épouse, et monter une belle vengeance pour le collègue séducteur.
C'est le jeu.
Merci de m'avoir lu. J'ai écrit d'autres histoires moins fleurs bleues.
Patrick PP06

Histoire Coquine
Elle s en sort trop bien! Com dab une belle histoirecqui finit comme un roman a l’eau de rose ! Dommage

Histoire Erotique
La trahison de Jody est énorme, sous prétexte d'une vengeance, elle a cru à la fable d'un rigolo, s'est conduite comme une p... & c'est retrouvée bernée. Plus garce qu'elle tu meures! Naïve Jody... Belle vengeance mais le mari est trop brave avec elle pour la faute commise. Un beau récit bien mené.
arnojan



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