Le réconfort de Maxime : la bite de son frère

- Par l'auteur HDS EricDeFrance -
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Récit libertin : Le réconfort de Maxime : la bite de son frère Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le réconfort de Maxime : la bite de son frère
« C’est pas grave, petit frère, c’est juste une mauvaise passe ».
« Pour moi, tu resteras toujours le meilleur des petits frères ».
« Si tu as besoin de réconfort, tu sais que le corps et le coeur de ton grand frère sont à ta disposition».

En lisant ces trois sms reçus ce soir là vers 23h45, Maxime fut ému aux larmes, et, même, il pleura un bon coup dans le vestiaire.
Une soirée d’infinie tristesse. Une lourde défaite à domicile, un non-match, des erreurs individuelles à n’en plus finir, et, pour couronner le tout, les voici derniers (oui, derniers!) après seulement quatre journées de championnat...

Depuis son retour, prématuré, du championnat d’Europe espoirs, au début de l’été, rien ne va. De la fatigue, mélangée à une sacrée gueule de bois, après cette compétition. Sa copine, avec qui il était depuis ses seize ans, dont il s’est séparé. De mauvaises vacances. Une reprise trop tôt. La forme physique qui le fuit. Des résultats catastrophiques lors des matches de préparation. Et une entame de championnat à la ramasse.

Et puis, sur le plan intime, ça n’allait pas. Il avait trouvé divers prétextes pour quitter sa copine, mais au fond de lui il savait ce que c’était : il lui fallait se rendre à l’évidence, il aimait les mecs plus que les nanas. Et il ne le vivait pas très bien. Ça chamboulait tous ses plans de vie. Il se voyait, comme beaucoup d’autres footeux, se marier jeune avec son amour d’adolescence, avoir une belle maison, des enfants... Désormais, tout était par terre. Avec sa copine, adorable pourtant, il n’en pouvait plus. De faire semblant au lit, c’était devenu terrible, à la fin, il n’arrivait même plus à bander.
En fait il n’en pouvait plus de faire semblant tout court.

Son physique de petit minet (cheveux chatains, coiffés en arrière, gominés, sa relative petite taille - 1m74 -, son torse imberbe, finement musclé), qui l’avait servi jusque là (quel succès auprès des petits du club, des supporters, et notamment des belles-mères et des grands-mères, avec son côté petit-fils et gendre idéal..), il n’en pouvait plus désormais. Et il vieillissait. 23 ans depuis le mois de février. Le regard plus sombre, plus grave. Lui, à qui tout avait réussi jusque là, se sentait bien seul, bien bas, en ce dimanche soir de défaite. De déroute même.

C’est pourquoi les messages de son frère, Etienne, lui avaient fait du bien. Ce grand frère, de deux ans son aîné, qu’il avait toujours admiré, toujours aimé, toujours suivi. Il avait fait du foot aussi, mais une blessure, à ses dix-huit ans, dont il ne s’était jamais vraiment remis, l’avait écarté des terrains. Du coup il était devenu artisan électricien, bossait bien, et beaucoup, et gagnait bien sa vie. Et il s’occupait de la carrière de son petit frère, de ses intérêts.
Lui aussi venait de se séparer de sa copine, et, depuis quelques semaines, était venu se ressourcer et vivre à nouveau chez leurs parents. Comme Maxime, depuis sa séparation à lui.

C’était pratique pour lui, il avait toujours joué dans le club de son enfance, et ses parents habitaient dans le coin, dans la grande banlieue de Lyon, une agréable demeure dans la campagne, où il se sentait bien. Comme son frère et sa soeur (aînée), qui, elle, avait pris plus définitivement son envol, en se mariant il y a trois ans, et en ayant déjà deux enfants, ses neveux qu’il adorait.

Il appréciait les contacts physiques avec son frère. Depuis tout petit, ils faisaient la bagarre. Il avait longtemps perdu, question de gabarit, mais depuis quelque temps ça avait tendance à se resserrer, même si son grand frère restait plus costaud que lui.
Et puis, à ses dix-huit ans (son frère en avait 20) leurs rapports s’étaient encore renforcés en basculant dans une relation intime, et sexuelle.
Les premières fois, ils s’étaient contentés de caresses, de câlins, et puis ça avait évolué, vers des baisers, pas simplement sur la bouche, mais sur le sexe, les fesses, et ils avaient fini par faire l’amour.
C’est comme ça que Maxime avait découvert le sexe entre mecs, et il était devenu accroc à la bite de son frère, qu’il suçait régulièrement, et qui avait la caractéristique d’être particulièrement épaisse.

Ce soir de défaite, il avait très envie de partir, de quitter ce vestiaire, et ce stade, de fuir le regard des autres, de se sentir enfin seul, loin de tout, et de tous.
En fait, il avait très envie de rejoindre son frère, et les sms qu’il avait reçus, notamment le dernier, l’avaient bien chauffé.
Son frère lui avait écrit que son coeur, et son corps étaient à sa disposition. Il avait envie des deux en réalité, et lui avait envoyé un sms lui disant qu’il viendrait le rejoindre dans sa chambre et qu’il avait envie de dormir avec lui. Pas que dormir, mais, bon, ça, il n’avait pas osé l’écrire, et, finalement, il n’avait pas besoin de l’écrire, son frère aurait compris, et le sms, où il lui écrivait que son corps était à sa dispo, était quand même des plus explicite.

Il avait vraiment hâte de le retrouver et fut déjà content quand il récupéra sa voiture, dans le parking du stade qui leur était réservé. Ils avaient attendu pas mal de temps avant de pouvoir quitter le vestiaire. Le temps que les supporters, qui les avaient pris à partie déjà, à la fin du match, soient tous partis.
Il était donc 1h20 quand, enfin, il put sortir du stade en voiture. Ouf... enfin seul...
La maison de ses parents était à 1/2 heure de route, à peu près. Ce laps de temps lui fit du bien, il mit la musique à fond, et roula (un peu) vite, déjà, au bout de quelques minutes, il se sentait mieux.
Il se gara devant la maison, et rentra. Le silence, le noir. Visiblement, tout le monde dormait. Seul le chat était venu à la cuisine, comme il faisait habituellement, quand quelqu’un rentrait.

Il enleva ses chaussures et monta pieds nus à l’étage des chambres.
La sienne et celle de son frère étaient sur la gauche. Celle de leur soeur et de leurs parents, sur la droite.
Il rentra dans sa chambre, et défit son sac. Il se déshabilla, et mit un pyjashort, celui qu’il mettait pour dormir.
Il n’entendait aucun bruit, et supposait que son frère devait dormir. D’ailleurs, il lui avait envoyé un sms pour lui dire qu’il quittait le stade, mais il n’avait pas répondu.
Ce n’était pas gênant, il savait qu’il pouvait le réveiller, Etienne le lui avait encore écrit, un peu après minuit, en lui disant qu’il se couchait, et que, même s’il dormait, il pouvait le rejoindre.

Maxime alla gratter à la porte de son frère, pas de réponse. Il entra, visiblement, il dormait.
Il s’approcha du lit, il y voyait car son frère avait laissé la fenêtre et les volets de sa chambre ouverts, ce qui était bienvenu en ce début septembre, où il faisait encore très chaud la journée, mais plutôt frais la nuit. En plus c’était une nuit de pleine lune.
Il aperçut Etienne, enfoui sous les draps, ses épaules dépassant, il était manifestement (au moins) torse nu.
Maxime fit le moins de bruit possible, et entra dans le lit. Comme il avait les mains froides, il se les réchauffa en les mettant entre ses jambes. Il en profita pour se toucher, il bandait légèrement.

Il fut alors envahi d’une grande sensation de bien-être. Dans un lit, aux côtés de son grand frère, il avait l’impression que rien ne pouvait lui arriver.
Lentement, il se rapprocha d’Etienne, qui dormait profondément. Il se colla à lui, et se rendit compte qu’il était totalement à poil.
Il se déshabilla, enleva son short et son tee-shirt, et se retrouva lui aussi totalement à poil. Il bandait déjà bien à fond et commença à se branler doucement. Visiblement son frère dormait toujours, tandis que lui ressentait alors une forte excitation, et une double envie, de prendre sa bite dans la bouche, mais aussi dans le cul, qu’il venait de mettre à l’air et qui le démangeait.

Son frère, Etienne, lui ressemblait pas mal, en plus grand, et plus costaud, il avait comme lui le torse imberbe, et un peu la même gueule, avec toutefois une coupe de cheveux différente. Il avait surtout une queue plus épaisse et plus lourde, et Maxime s’en faisait ses délices. En plaisantant, ils disaient tous deux qu’elle était son réconfort, tellement, depuis ces années, il avait pris l’habitude de la prendre en bouche. Il adorait sucer, il adorait la bite de son frère, et celui-ci adorait qu’il le suce. Ils se limitaient souvent à une bonne pipe, c’était plus rare qu’ils aillent jusqu’à la sodomie. En ce cas, c’était toujours le grand frère l’actif, et le petit frère, le passif. Peut-être un jour ça changerait... c’était en tout cas l’espoir de Maxime, qui était auto-reverse...

Cette nuit-là, tout en se branlant de la main droite, il caressa la bite d’Etienne avec sa main gauche, elle était toute molle, engourdie elle aussi de sommeil. Il lui fallait donc la réveiller, et le réveiller... Il entreprit d’enlever le drap qui les recouvrait, puisqu’en cette saison, il n’y avait pas besoin d’autre chose que d’un drap pour dormir.
Etienne était allongé sur le côté, le torse en direction de Maxime, qui se baissa, ouvrit la bouche, et y fit entrer le sexe de son frère.
Il commença à l’aspirer, puis à le faire aller et venir, sans, au départ, que cela suscite de réaction particulière de la part d’Etienne.
Maxime continua, et se mit à caresser le torse de son frère, qui ne réagissait toujours pas.

Lui de son côté bandait bien à fond, excité à la fois par sa propre nudité, mais aussi par le corps et la chaleur de son frère, qu’il sentait tout proches.
Il entreprit alors de se mettre sur lui, et vint frotter son corps contre le sien, il était vraiment très excité, et commençait à gémir bruyamment.
- Réveille-toi, Etienne... gémit-il, en posant ses lèvres contre les siennes.
Ce fut la butée de sa queue contre son entrejambes qui finit par le réveiller.
- ah c’est toi... t’as l’air chaud... tu veux me baiser ?
- ouais... gémit Maxime...
- ben vas-y, répondit Etienne, en écartant les jambes, et en empoignant les fesses de son cadet, pour mieux les coller à lui.

Maxime ne se fit pas prier, et rentra sa bite dans l’orifice que son frère avait écarté de ses mains, pour bien le mettre à sa disposition.
C’était la première fois que Maxime baisait Etienne, il rentra facilement, et se dit qu’il ne devait pas être le premier... ça lui fit un coup, lui qui, depuis des années, n’imaginait son grand frère pas autrement qu’actif...
Maxime de son côté n’avait jamais enculé un mec, ses expériences de ce côté étaient assez limitées, et il était content que son frère soit le premier.

Il savourait cette sensation, qu’il ne connaissait pas, de la bite enserrée dans un orifice anal, et il trouvait cela particulièrement jouissif.
Son frère se laissait faire, et avait l’air d’aimer ça, en tout cas, ses gémissements étaient à l’unisson avec les siens.
Maxime aimait aussi qu’il lui caresse les fesses, et, même, qu’il le doigte légèrement, avec douceur.
Leurs corps ne faisaient plus qu’un, il avait raison Etienne de lui dire que son corps était à sa disposition, et, après cette soirée cauchemardesque, ce qu’il ressentait lui faisait du bien.

Etienne de son côté bandait de plus en plus, et ne tarda pas à avoir envie d’être actif. Il usa de sa force physique pour prendre le dessus sur Maxime, et se mettre à son tour sur lui, dans une position inversée.
Il l’encula sans ménagement, et le pilonna bien à fond.
Maxime avait à peine eu le temps de dire “ouf” et il se trouvait à encaisser les coups de butoir de son grand frère, dans la position de soumission qui était habituellement la sienne.
En tout cas il bandait toujours autant, allongé sur le dos, son frère sur lui, qui le baisait bien à fond. Dans ces moments là, Maxime se sentait chienne, et il ressentait le sexe en érection de son frère au plus profond de lui. Ça lui faisait un bien fou.

Etienne le baisa ainsi un long moment, et, à plusieurs reprises, il changea de position. Maxime se faisait vraiment défoncer, et prenait un pied d’enfer. Les deux frères finirent par jouir en même temps, ils avaient l’habitude de se coordonner, et c’était devenu comme un défi entre eux d’éjaculer dans le même laps de temps. Quand le premier sentait que la sauce montait il avertissait l’autre qui soit lui disait que c’était bon soit lui disait d’attendre.
Les deux qui jouissent en même temps, c’est vraiment le point d’orgue d’une relation sexuelle entre mecs, le petit plus, le bonus, ce qui faisait que tout ce qui s’était passé avant prenait une dimension particulière, ou engendrait une frustration qui durait.

Entre eux, cette nuit-là, comme souvent, comme la plupart du temps même, la communion avait été parfaite. Etienne avait joui dans Maxime et celui-ci avait joui sur son torse. Etienne alla jusqu’à frotter son corps sur celui de son jeune frère, pour répandre la semence. Certains étaient dégoûtés par ça et ne supportaient pas le contact du sperme une fois qu’ils avaient joui, ce n’était pas son cas, et puis c’était la jute de son frère, c’est un peu comme si c’était la sienne.

- ca va mieux, petit frère ?
- ouais, grave, c’était très bon, et ça m’a fait beaucoup de bien.
- à la bonne heure ... moi aussi j’ai aimé... dit Etienne en se relevant, et même en se levant du lit pour se diriger vers la fenêtre, qui donnait sur des arbres et de la verdure, éclairés par la lune.
Maxime vint l’y rejoindre, et l’enlaça, plein de reconnaissance : une fois de plus, la bite de son frère avait été son réconfort.

Les avis des lecteurs

Merci de ce retour, dont le contenu me touche beaucoup
J’ai un peu hésité à écrire une histoire entre deux frères, et ce que vous en avez pensé me rassure
J’ai vu que vous étiez nouvellement inscrit, bienvenue donc
Je vous laisse explorer mes autres récits si le coeur vous en dit, n’hésitez pas à écrire d’autres commentaires
Au plaisir de continuer à échanger

Premier récit d'inceste entre frères que je lis (pas que ça me gêne, hein), j'ai bien aimé la construction, le contexte posé tranquillement, la découverte par Maxime de l'homosexualité d'Etienne, puis de la sienne possible (ou du moins sa bisexualité)
Juste ce qu'il faut d'explicite pour être excitant sans être du pur porno, vraiment plus que pas mal du tout, merci ;)

Oui c'est une super histoire bien bandante !

C’était le but … merci de ce retour

Histoire Erotique
elle m'a bien fait bander



Texte coquin : Le réconfort de Maxime : la bite de son frère
Histoire sexe : Une rose rouge
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