Le réveillon 3 - histoire érotique

Edmond, place son phallus contre la chatte dégoulinante, et pousse en s'agrippant aux hanches de sa proie, lentement le pieu de chair s'enfonce de plus en plus profondément dans le ventre de madeleine, qui serre les dents en grognant. Une fois le manche bien en place, Edmond commence le pilonnage. Madeleine s'accroche à lui comme une pieuvre à son rocher. Le va-et-vient devient de plus en plus rapide. La verge, fortement veinée, rabote les parois sensibles du vagin. Madeleine est hors sol, elle geint comme une bête tombée dans un piège. Lucienne, souriante, encourage son mari :

-Baise-là bien mon chéri, laisse-lui un bon souvenir de ta queue, oui vas-y défonce-là à fond mon chéri, elle aime ça, regarde, comme s'accroche à toi, elle en veut un maximum la salope, ne la déçois pas !


Edmond, ne ménage pas Madeleine, il sait qu'elle est venue de son plein gré, donc il peut en faire sa chose. Ses coups de reins sont si violents que Madeleine se cabre à chaque coup de pilon. La tension monte d'un cran, Lucienne se mêle à la partie. Elle pose sa main sur le clito qui est devenu méconnaissable, et le branle comme une petite bite. Madeleine est comme sur un nuage, ses yeux sont révulsés, un rictus affreux déforme son doux visage. Lucienne ne la quitte pas des yeux, elle dit en souriant :

-Accélère mon chéri, elle va jouir, vite, vite, bourre-là plus profond !


Edmond augmente la cadence, Madeleine agite sa croupe comme une forcenée, en geignant terriblement fort. Elle se cambre en poussant un long râle et dit :

-Oui, oui, oh mon Dieu, je jouis !


Sa jouissance n'est même pas terminée, qu'Edmond retire rapidement sa verge du vagin en furie et la pose sur l'anus de Madeleine qui ne s'attend pas à ça. Edmond pousse fortement, l'anneau ne résiste pas longtemps, et avale lentement la totalité de la verge qui dilate la gaine anale. Madeleine veut crier, sa bouche est grande ouverte, mais aucun son n'en sort. C'est en poussant un long gémissement qu'elle reçoit le pal jusqu'aux couilles dans son rectum. C'est sa première sodomie, elle grimace, en serrant les dents, elle ne pensait pas que cela était si douloureux. Edmond, en bon éducateur, ne fait plus aucun mouvement. Il attend patiemment que Madeleine souffre moins pour pouvoir commencer l'enculage dont il est maitre en matière. C'est en prenant le plus de précautions possibles qui commencent le va-et-vient. Madeleine croit mourir, elle est si dilatée qu'elle s'accroche à son pourfendeur en serrant les dents, pour ne pas le repousser violemment.


Lentement, le rectum commence à s'habituer au membre qui le visite pour la première fois. La gaine étroite, dilatée, enserre fortement l'engin gorgé de sang qui commence à se mouvoir lentement en elle. Madeleine souffle comme un taureau, elle s'agrippe à son enculeur, en lui plantant ses ongles dans les flancs. Edmond augmente le rythme de pénétration progressivement. Pour arriver à une vitesse que peut supporter Madeleine. Madeleine, très courageuse, endure un instant un calvaire. Mais comme la nature fait bien les choses, la douleur s'estampe au fur et à mesure du va-et-vient. Maintenant, Madeleine grogne non de douleur, mais de plaisir. La main de Lucienne et très efficace, elle ne cesse de branler le clito qui à encore prit du volume. Ça y est, Edmond peut œuvrer à sa guise. Le pilonnage devient plus violent. Les râles de Madeleine laissent penser, qu'elle prend un plaisir certain à sa première sodomie. Elle commenc même à agiter sa croupe en geignant fortement. Le Ramonage du cul de Madeleine est redoutable, elle se cambre comme un pont, et en hurlant explose. Elle jouit du cul comme il n'est pas permis. Edmond la défonce sans retenir ses coups, il sait que désormais Madeleine peut jouir du cul.

Il retire sa queue et la plante dans la chatte débordante de cyprine, il donne quelques coups de pilon puis réinvestit le rectum. Plusieurs fois, il change d'orifices, Madeleine est aux anges et ne peut s'empêcher de dire :

-Oh Edmond, mais vous êtes à plusieurs à investir mes trous, Mon Dieu, c'est merveilleux, encore mon chéri, encore éclates moi à fond !


Edmond, après avoir fait re-jouir Madeleine, déverse son sperme dans le rectum de la jouisseuse. Il se retire, et offre aux lèvres charnues de Madeleine sa queue gluante. Elle saisit l'engin vivant qui bat dans sa main, le branle un court instant puis le décalotte, globe le gland et le suce avec une telle ardeur, comme pour remercier Edmond. Lucienne triture les couilles de son mari, elle dit en souriant :

-Il en a encore plein les couilles de son jus, fais-toi plaisir ma chérie, avale son nectar !


Avec persévérance, Madeleine arrive à faire éjaculer Edmond dans sa bouche, elle le repousse et avale, comme le lui a recommandé Lucienne, la semence épaisse. Les deux ont travaillé Madeleine pendant de longues heures. Les jouissances des trois protagonistes furent fabuleuses. Entrecoupées de pauses réparatrices, Sous les assauts intenses, Madeleine, n'a rien refusée à ses amants, elle à fait des choses inimaginables avec eux. Lucienne, lui a même visitée le cul avec un concombre. C'est tard dans la nuit qu'elle rentre chez elle, gavée et pleine de savoir. Elle s'est découverte sous un nouveau jour en acceptant tous délires sexuels. Les sodomies à répétitions, les défonçages de sa chatte, l'ont converti à être une bonne salope, un seul hic dans les délires, ce sont des tentatives de fist vaines. Madeleine promet de s'exercer pour pouvoir faire comme Lucienne, entrer toute sa main dans sa chatte et son rectum. Madeleine entre chez elle, radieuse, son mari l'attendait. Elle se jette dans ses bras, l'embrasse fougueusement et lui dit :

-Oh mon chéri, j'ai passée un moment inoubliable, je veux recommencer avec toi ce que j'ai subi. Ils m'ont éclaté le cul comme jamais, c'est formidable. Je ne pensais pas que c'était possible de jouir du cul comme ça. Il faut que tu me travailles la chatte et le cul pour que je puisse recevoir ta main entière en moi, mais pas maintenant, j'ai, le cul en fleur !