Le Roy 01 Une jeunesse au village
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Roy 01 Une jeunesse au village
Le Roy 01
Une jeunesse au village
Je suis originaire d'un petit village dans le nord du pays. C'est un endroit chaud, et boisé. Il y a des arbres partout, tous les vingt mètres un arbres, c'est beau à voir le soir quand le soleil se couche et enfant j'aimais me réfugier sur le Montalto, pour regarder le soleil disparaître sur cette forêt qui allait à perte de vue.
Le Montalto c'est un énorme rocher de plus de deux cent mètres de haut, il n'est pas bien difficile à escalader, et de tout en haut c'est magnifique on peut voir le monde sans limite de distance. Il a la forme d'une baleine m'a dit un jour un voyageur qui avait vu la mer. J'ai pas trop compris ce que c'était que la mer.
C'est là que j'ai grandi. Enfant on y est très libre. Comme il fait chaud, on n'a pas besoin de vêtements. Enfin il paraît que quand on devient plus grand il est plus convenable de s'habiller mais tant qu'on est enfant c'est une idée qui ne nous viendrait pas.
On venait de m'offrir mon premier vêtement, une tunique en une pièce qui ouvrait au niveau du torse. C'est bien, ça prouve que je grandis, me disais-je. Elle descendait presque jusqu'à mes genoux et me couvrait bien, très large, on pouvait en mettre deux comme moi dedans, je pouvais être fier mais ça gratte … J'aime pas vraiment. Je ne la met que quand je sors dans le village. Aux champs ou quand je garde les moutons, je ne la met pas, tout comme tout le monde à la maison.
Il y a aussi l'école mais là, on s'habille comme on veut. Le professeur lui porte une tunique. Ça fait tout de suite plus sérieux. Il y a les plus grands aussi, eux ils porte un étui pénien. C'est un truc que tous les plus grands portent à un moment ou à un autre. Si ce n'ai absolument pas indécent de se montrer nu c'est pas du tout convenable de bander en public, mais vraiment pas du tout convenable. C'est un coup à recevoir un pot de chambre sur la tête. C'est arrivé un jour à mon grand frère, qu'est ce qu'on à rigolé avec les copains ce jour là.
La voisine la vu, il était au milieu de la cour commune, il se réveillait de sa sieste il avait un érection. Elle est devenue rouge de colère, à pris une sorte de bassine, est allé la remplis à la fosse septique et avant qu'il ne réagisse la lui a retournée sur la tête.
Je vous jure ça l'a calmé.
Il a râlé, remarquez je le comprend, il a couru se laver à la rivière. Ça ne doit pas être agréable, moi quand je serai plus grand je vous jure, je ferai attention. Je ne voudrais pas que ça m'arrive …
C'est ainsi que j'ai grandi. La vie était paisible, on prenait bien le temps de vivre. Il y avait les commerçants qui se déplaçaient souvent à la grand ville et qui passaient toutes les semaines. On était à proximité d'une route de commerce et souvent ceux qui vendaient retrouvaient ceux qui achetaient. C'est pour ça que les prix, dans mon village, étaient attractifs.
Je portais la tunique plus souvent, à chaque fois que je sortais de chez moi, elle descendait maintenant jusqu'en haut de mes cuisses. Je la refermais avec une ceinture tressée qui me donnais très belle allure, de dos on voyait la moitié de mes fesses et de face on voyait dépasser la pointe de mon étui pénien.
Je vous jure que je sortais jamais sans, la petite aventure qui était arrivé à mon grand frère quelques années plus tôt me servait de leçon. Ce n'est quelques années plus tard, quand j'étais bien sûr de contrôler mes réactions que je ne le portais plus. Ça aussi ça gratte et ce n'est pas toujours agréable à porter.
J'étais presque un homme. Ma tunique s'ajustait parfaitement avec sa ceinture, avec, on voyait parfaitement mes fesses, et de face on voyait ma queue qui pendouillait à chacun de mes mouvements.
J'arrivais à l'âge ou se couvrir le corps est plus présentable et ou ne pas cacher sa queue reste plus séducteur. Surtout que j'en avais une belle. Toutes les filles me regardaient, certaines du coin de l’œil, d'autres moins timides ou moins timorées, ne prenaient même pas la peine de faire semblant de regarder ailleurs. Ma tunique avait maintenant la taille idéale, on ne voyait presque pas mes couilles mais on pouvait contempler tout le reste.
J'étais très beau garçon, je ne dis pas ça parce que je parle de moi, c'est vrai … J'étais très beau et si j'évitais quelquefois de regarder les filles de trop près c'était juste pour ne pas risquer de recevoir un pot de chambre sur la tête …
Souvent avec mes amis, quand on était seuls, aux champs ou à garder les moutons, on s'allongeait sous un arbre et on parlait. Plus jeune on parlait de choses sans importances, mais plus vieux on parlait des filles. Un de mes camarades préférait les garçon mais, comment dire, chacun ses goûts.
Le premier qui bandait entraînait tous les autres. Ensuite on se branlait. C'était un jeux auquel on jouait déjà depuis quelques années. On était tout à fait à notre aise, au niveau moral, il n'y avait aucun interdit. Si quelqu'un venait à nous surprendre il nous lançait seulement.
– Alors les jeunes on est sage ?
On répondait alors …
– Oui m'sieu, on n'embête personne !
Et dès qu'il repartait on continuait. Si on avait fait ça au milieu du village on n'aurait pris un pot de chambre sur la tête mais il n'y avait pas de fosse septique dans le coin …
On parlait souvent des filles, elles aussi avaient un coin secret ou elles se retrouvaient. S'amusaient-elles entre elles également ? On se posait beaucoup de questions, mon grand frère venait de se marier, sa femme lui avait offert une tunique longue.
Je m’aperçois que j'ai que j'ai oublié de vous parler des filles, enfant c'est comme pour les garçons, on ne faisait pas vraiment la différence, elles couraient toute nues, comme les garçons mais quand leurs formes commençaient à apparaître elle s'habillaient. Elles portaient également une tunique mais une tunique qui fermait devant et qui était un peu plus longue que celle des garçons.
Si un garçon pouvait sortir et se promener entièrement nu sans choquer personne, on aurait immédiatement demandé à une jeune fille de se couvrir.
Bref mais moi, je n'étais pas encore marié, on me disait que j'étais trop jeune mais j'étais adulte, mon corps était parfaitement formé, je bandais bien, je bandais ferme, tous les matins je bandais sur plus de vingt centimètres de long. On m'a dit que c'était pas bien de se vanter mais là vous remarquerez que c'est loin d'être le cas.
Enfin on est tous comme ça dans la famille. C'est peut être pour ça que beaucoup de filles me regardaient si fixement. Ça dépassait un peu sous la tunique, c'est peut être aussi pour ça que ma belle sœur avait offert une tunique longue à mon frère comme premier cadeau de mariage …
Je bandais souvent aussi quand je gardais les moutons, et presque à chaque fois je terminais en me masturbant. Un jour ou j'étais seul, tranquille à me caresser la queue sans penser à rien, j'ouvrais les yeux et c'est mon ami Artémi qui me surprenait. Il était là à mes pieds, je ne l'avais pas entendu approcher. Il était nu, il bandait lui aussi, il me regardait. Artémi, c'est celui qui nous disait qu'il préférait les garçons. Je ne donne la précision que pour le lecteur car comme je vous le disais, il n'y avait pas d'interdit. Il y avait même dans le village un homme était polygame.
La polygamie est totalement interdite mais là c'était différent, il avait une femme mais il avait aussi un mari … Donc là c'était permis. Ce n'était pas de la polyandrie, ça aussi c'était discutable. Le mari en question portait en permanence un dispositif de chasteté qui ne lui autorisait qu'un seul rôle sexuel. Une femme peut aussi connaître la même situation. Elle peut épouser un homme et une femme, à la condition que l'homme accepte de porter un dispositif de chasteté ...
C'est assez bizarre vous en conviendrez. Mais il en faut pour tous les goûts.
Artémi Venait donc de me surprendre pendant une activité qui aurait pu choquer ( enfin au milieu du village ), ça ne m'arrêtait pas.
– Ça va pour toi ? Me demandait-il en se caressant la queue.
– C'est moi qui te fait cet effet ? Lui répondais-je.
– J'avais envie de me branler mais j'avais pas envie de le faire tout seul !
– Vas y, prend place !
Il ne s'allongeait pas à côté de moi comme je m'y attendais. Il se penchait vers moi, se mettais à genoux, ses genoux entre les miens, j'avais les jambes écartées et je le regardais faire un peu surpris.
Il penchais son visage sur mon sexe, il écartais mes mains avec douceur, je ne résistais pas, le laissais faire et je sentais sa langue me caresser le gland. C'était chaud, c'était humide, c'était doux … C'était terriblement doux, j'étais incroyablement surpris, mais je le laissais faire.
Sa langue passait et repassait tout autour de mon gland, j'avais brusquement envie de crier de plaisir. J'ai respiré très fort, je lui ai pris la tête entre les mains et j'ai appuyé sur sa tête pour qu'il avale ma queue en entier, en même temps je soulevais mon bassin par des mouvements lents au départ puis plus violents. Je terminais par un violent coup de bite qui ne lui arrivait pas jusqu'à la gorge, mais jusque dans la gorge.
Là il à suffoqué, il semblait paniquer mais je ne lâchais pas. Il gigotait mais j'étais tellement concentré sur mon plaisir que j'oubliais complètement celui de mon partenaire.
Je finissais par le lâcher, il relevait alors la tête rapidement. Il suffoquait, il reprenait son souffle.
– Mais tu veux me tuer ? Il faut bien que je respire.
– Vas y respire et recommence.
C'est ce qu'il a fait. Il a repris ma queue dans sa bouche, je l'ai laissé faire. J'avais un mal fou à ne pas lui saisir la tête pour appuyer dessus mais je me retenais.
Il avalait ma queue de plus en plus profond, il forçait et je sentais qu'il peinait mais ce qui m'intéressait, c'était le plaisir qu'il me donnait. Un plaisir nouveau et tellement bon. Il appuyait et relevait son visage, par moments pendant très peu de temps, une seconde à peine, son nez s'écrasait sur mon ventre. C'était divin.
Je n'avais qu'une seule envie, que ça dure, que ça dure, que ça dure … Et il a fait durer. À plusieurs moments j'ai bien cru que j'allais jouir, et à chaque fois, peut être le sentait-il, il arrêtait ses caresses, il arrêtait assez longtemps pour que je me détende et que je reprenne le contrôle.
Il m'a fait découvrir tout un tas de choses sur moi ce jour là. Ce ne devait pas être la première fois qu'il faisait ça. Comme je vous le disais j'ai une grosse queue bien large et je ne savais pas que quelqu'un pourrait l'avaler aussi facilement. Je ne sentais pas ses dents.
Je sentais sa langue qui me caressait la queue quand elle s'enfonçait et qui insistait longuement sur mon gland quand il relevais la tête. Il masturbait alors avec douceur, il ne voulait pas me faire jouir trop vite et il y parvenait.
Pendant je ne sais combien de temps je sentais que j'allais jouir, j'allais jouir tout de suite mais je ne jouissais pas, mais je le sentais, j'allais jouir. C'était un moment extraordinaire que je n'avais jamais connu. La tension sexuelle était à son sommet et ne descendait pas, je manquais d'air, j'avais l'impression de manquer d'air.
Il relevait la tête, me regardait et me faisait un sourire. C'est là que j'ai compris que c'était lui et lui seul qui contrôlait la situation.
Il replongeait, ma queue s'enfonçait dans sa gorge, ses mouvements devenaient plus rapides, plus fermes et quelques instants je gémissais de plaisir.
Il me faisait jouir.
J'ai joui comme jamais, j'ai éjaculé dans sa gorge, puis comme il se relevais, j'ai éjaculé dans sa bouche puis j'ai encore éjaculé sur ses lèvres et ensuite plusieurs fois sur son visage. J'ai pris mon pied, je venais de découvrir une nouvelle manière d'avoir du plaisir, je savais que je pourrais faire durer, que je pourrais retarder l'orgasme, qu'il ne serait que plus intense. Et savais comment j'allais me masturber en attendant de recommencer ça.
Par la suite, j'ai repris l'habitude de porter mon étui pénien. Bein oui je sais, ça faisait longtemps que je n'en avais plus besoin mais maintenant j'étais aussi excité quand je croisais les garçons.
Un beau visage bien mâle, bien masculin, bien virile et ça y était je bandais...
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Une jeunesse au village
Je suis originaire d'un petit village dans le nord du pays. C'est un endroit chaud, et boisé. Il y a des arbres partout, tous les vingt mètres un arbres, c'est beau à voir le soir quand le soleil se couche et enfant j'aimais me réfugier sur le Montalto, pour regarder le soleil disparaître sur cette forêt qui allait à perte de vue.
Le Montalto c'est un énorme rocher de plus de deux cent mètres de haut, il n'est pas bien difficile à escalader, et de tout en haut c'est magnifique on peut voir le monde sans limite de distance. Il a la forme d'une baleine m'a dit un jour un voyageur qui avait vu la mer. J'ai pas trop compris ce que c'était que la mer.
C'est là que j'ai grandi. Enfant on y est très libre. Comme il fait chaud, on n'a pas besoin de vêtements. Enfin il paraît que quand on devient plus grand il est plus convenable de s'habiller mais tant qu'on est enfant c'est une idée qui ne nous viendrait pas.
On venait de m'offrir mon premier vêtement, une tunique en une pièce qui ouvrait au niveau du torse. C'est bien, ça prouve que je grandis, me disais-je. Elle descendait presque jusqu'à mes genoux et me couvrait bien, très large, on pouvait en mettre deux comme moi dedans, je pouvais être fier mais ça gratte … J'aime pas vraiment. Je ne la met que quand je sors dans le village. Aux champs ou quand je garde les moutons, je ne la met pas, tout comme tout le monde à la maison.
Il y a aussi l'école mais là, on s'habille comme on veut. Le professeur lui porte une tunique. Ça fait tout de suite plus sérieux. Il y a les plus grands aussi, eux ils porte un étui pénien. C'est un truc que tous les plus grands portent à un moment ou à un autre. Si ce n'ai absolument pas indécent de se montrer nu c'est pas du tout convenable de bander en public, mais vraiment pas du tout convenable. C'est un coup à recevoir un pot de chambre sur la tête. C'est arrivé un jour à mon grand frère, qu'est ce qu'on à rigolé avec les copains ce jour là.
La voisine la vu, il était au milieu de la cour commune, il se réveillait de sa sieste il avait un érection. Elle est devenue rouge de colère, à pris une sorte de bassine, est allé la remplis à la fosse septique et avant qu'il ne réagisse la lui a retournée sur la tête.
Je vous jure ça l'a calmé.
Il a râlé, remarquez je le comprend, il a couru se laver à la rivière. Ça ne doit pas être agréable, moi quand je serai plus grand je vous jure, je ferai attention. Je ne voudrais pas que ça m'arrive …
C'est ainsi que j'ai grandi. La vie était paisible, on prenait bien le temps de vivre. Il y avait les commerçants qui se déplaçaient souvent à la grand ville et qui passaient toutes les semaines. On était à proximité d'une route de commerce et souvent ceux qui vendaient retrouvaient ceux qui achetaient. C'est pour ça que les prix, dans mon village, étaient attractifs.
Je portais la tunique plus souvent, à chaque fois que je sortais de chez moi, elle descendait maintenant jusqu'en haut de mes cuisses. Je la refermais avec une ceinture tressée qui me donnais très belle allure, de dos on voyait la moitié de mes fesses et de face on voyait dépasser la pointe de mon étui pénien.
Je vous jure que je sortais jamais sans, la petite aventure qui était arrivé à mon grand frère quelques années plus tôt me servait de leçon. Ce n'est quelques années plus tard, quand j'étais bien sûr de contrôler mes réactions que je ne le portais plus. Ça aussi ça gratte et ce n'est pas toujours agréable à porter.
J'étais presque un homme. Ma tunique s'ajustait parfaitement avec sa ceinture, avec, on voyait parfaitement mes fesses, et de face on voyait ma queue qui pendouillait à chacun de mes mouvements.
J'arrivais à l'âge ou se couvrir le corps est plus présentable et ou ne pas cacher sa queue reste plus séducteur. Surtout que j'en avais une belle. Toutes les filles me regardaient, certaines du coin de l’œil, d'autres moins timides ou moins timorées, ne prenaient même pas la peine de faire semblant de regarder ailleurs. Ma tunique avait maintenant la taille idéale, on ne voyait presque pas mes couilles mais on pouvait contempler tout le reste.
J'étais très beau garçon, je ne dis pas ça parce que je parle de moi, c'est vrai … J'étais très beau et si j'évitais quelquefois de regarder les filles de trop près c'était juste pour ne pas risquer de recevoir un pot de chambre sur la tête …
Souvent avec mes amis, quand on était seuls, aux champs ou à garder les moutons, on s'allongeait sous un arbre et on parlait. Plus jeune on parlait de choses sans importances, mais plus vieux on parlait des filles. Un de mes camarades préférait les garçon mais, comment dire, chacun ses goûts.
Le premier qui bandait entraînait tous les autres. Ensuite on se branlait. C'était un jeux auquel on jouait déjà depuis quelques années. On était tout à fait à notre aise, au niveau moral, il n'y avait aucun interdit. Si quelqu'un venait à nous surprendre il nous lançait seulement.
– Alors les jeunes on est sage ?
On répondait alors …
– Oui m'sieu, on n'embête personne !
Et dès qu'il repartait on continuait. Si on avait fait ça au milieu du village on n'aurait pris un pot de chambre sur la tête mais il n'y avait pas de fosse septique dans le coin …
On parlait souvent des filles, elles aussi avaient un coin secret ou elles se retrouvaient. S'amusaient-elles entre elles également ? On se posait beaucoup de questions, mon grand frère venait de se marier, sa femme lui avait offert une tunique longue.
Je m’aperçois que j'ai que j'ai oublié de vous parler des filles, enfant c'est comme pour les garçons, on ne faisait pas vraiment la différence, elles couraient toute nues, comme les garçons mais quand leurs formes commençaient à apparaître elle s'habillaient. Elles portaient également une tunique mais une tunique qui fermait devant et qui était un peu plus longue que celle des garçons.
Si un garçon pouvait sortir et se promener entièrement nu sans choquer personne, on aurait immédiatement demandé à une jeune fille de se couvrir.
Bref mais moi, je n'étais pas encore marié, on me disait que j'étais trop jeune mais j'étais adulte, mon corps était parfaitement formé, je bandais bien, je bandais ferme, tous les matins je bandais sur plus de vingt centimètres de long. On m'a dit que c'était pas bien de se vanter mais là vous remarquerez que c'est loin d'être le cas.
Enfin on est tous comme ça dans la famille. C'est peut être pour ça que beaucoup de filles me regardaient si fixement. Ça dépassait un peu sous la tunique, c'est peut être aussi pour ça que ma belle sœur avait offert une tunique longue à mon frère comme premier cadeau de mariage …
Je bandais souvent aussi quand je gardais les moutons, et presque à chaque fois je terminais en me masturbant. Un jour ou j'étais seul, tranquille à me caresser la queue sans penser à rien, j'ouvrais les yeux et c'est mon ami Artémi qui me surprenait. Il était là à mes pieds, je ne l'avais pas entendu approcher. Il était nu, il bandait lui aussi, il me regardait. Artémi, c'est celui qui nous disait qu'il préférait les garçons. Je ne donne la précision que pour le lecteur car comme je vous le disais, il n'y avait pas d'interdit. Il y avait même dans le village un homme était polygame.
La polygamie est totalement interdite mais là c'était différent, il avait une femme mais il avait aussi un mari … Donc là c'était permis. Ce n'était pas de la polyandrie, ça aussi c'était discutable. Le mari en question portait en permanence un dispositif de chasteté qui ne lui autorisait qu'un seul rôle sexuel. Une femme peut aussi connaître la même situation. Elle peut épouser un homme et une femme, à la condition que l'homme accepte de porter un dispositif de chasteté ...
C'est assez bizarre vous en conviendrez. Mais il en faut pour tous les goûts.
Artémi Venait donc de me surprendre pendant une activité qui aurait pu choquer ( enfin au milieu du village ), ça ne m'arrêtait pas.
– Ça va pour toi ? Me demandait-il en se caressant la queue.
– C'est moi qui te fait cet effet ? Lui répondais-je.
– J'avais envie de me branler mais j'avais pas envie de le faire tout seul !
– Vas y, prend place !
Il ne s'allongeait pas à côté de moi comme je m'y attendais. Il se penchait vers moi, se mettais à genoux, ses genoux entre les miens, j'avais les jambes écartées et je le regardais faire un peu surpris.
Il penchais son visage sur mon sexe, il écartais mes mains avec douceur, je ne résistais pas, le laissais faire et je sentais sa langue me caresser le gland. C'était chaud, c'était humide, c'était doux … C'était terriblement doux, j'étais incroyablement surpris, mais je le laissais faire.
Sa langue passait et repassait tout autour de mon gland, j'avais brusquement envie de crier de plaisir. J'ai respiré très fort, je lui ai pris la tête entre les mains et j'ai appuyé sur sa tête pour qu'il avale ma queue en entier, en même temps je soulevais mon bassin par des mouvements lents au départ puis plus violents. Je terminais par un violent coup de bite qui ne lui arrivait pas jusqu'à la gorge, mais jusque dans la gorge.
Là il à suffoqué, il semblait paniquer mais je ne lâchais pas. Il gigotait mais j'étais tellement concentré sur mon plaisir que j'oubliais complètement celui de mon partenaire.
Je finissais par le lâcher, il relevait alors la tête rapidement. Il suffoquait, il reprenait son souffle.
– Mais tu veux me tuer ? Il faut bien que je respire.
– Vas y respire et recommence.
C'est ce qu'il a fait. Il a repris ma queue dans sa bouche, je l'ai laissé faire. J'avais un mal fou à ne pas lui saisir la tête pour appuyer dessus mais je me retenais.
Il avalait ma queue de plus en plus profond, il forçait et je sentais qu'il peinait mais ce qui m'intéressait, c'était le plaisir qu'il me donnait. Un plaisir nouveau et tellement bon. Il appuyait et relevait son visage, par moments pendant très peu de temps, une seconde à peine, son nez s'écrasait sur mon ventre. C'était divin.
Je n'avais qu'une seule envie, que ça dure, que ça dure, que ça dure … Et il a fait durer. À plusieurs moments j'ai bien cru que j'allais jouir, et à chaque fois, peut être le sentait-il, il arrêtait ses caresses, il arrêtait assez longtemps pour que je me détende et que je reprenne le contrôle.
Il m'a fait découvrir tout un tas de choses sur moi ce jour là. Ce ne devait pas être la première fois qu'il faisait ça. Comme je vous le disais j'ai une grosse queue bien large et je ne savais pas que quelqu'un pourrait l'avaler aussi facilement. Je ne sentais pas ses dents.
Je sentais sa langue qui me caressait la queue quand elle s'enfonçait et qui insistait longuement sur mon gland quand il relevais la tête. Il masturbait alors avec douceur, il ne voulait pas me faire jouir trop vite et il y parvenait.
Pendant je ne sais combien de temps je sentais que j'allais jouir, j'allais jouir tout de suite mais je ne jouissais pas, mais je le sentais, j'allais jouir. C'était un moment extraordinaire que je n'avais jamais connu. La tension sexuelle était à son sommet et ne descendait pas, je manquais d'air, j'avais l'impression de manquer d'air.
Il relevait la tête, me regardait et me faisait un sourire. C'est là que j'ai compris que c'était lui et lui seul qui contrôlait la situation.
Il replongeait, ma queue s'enfonçait dans sa gorge, ses mouvements devenaient plus rapides, plus fermes et quelques instants je gémissais de plaisir.
Il me faisait jouir.
J'ai joui comme jamais, j'ai éjaculé dans sa gorge, puis comme il se relevais, j'ai éjaculé dans sa bouche puis j'ai encore éjaculé sur ses lèvres et ensuite plusieurs fois sur son visage. J'ai pris mon pied, je venais de découvrir une nouvelle manière d'avoir du plaisir, je savais que je pourrais faire durer, que je pourrais retarder l'orgasme, qu'il ne serait que plus intense. Et savais comment j'allais me masturber en attendant de recommencer ça.
Par la suite, j'ai repris l'habitude de porter mon étui pénien. Bein oui je sais, ça faisait longtemps que je n'en avais plus besoin mais maintenant j'étais aussi excité quand je croisais les garçons.
Un beau visage bien mâle, bien masculin, bien virile et ça y était je bandais...
A suivre
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci. Cette ambiance est un peu voulue ...
C’est mignon, naïf et comme raconté par un enfant trop vite grandi, ayant vécu dans une société pastorale imaginaire mais très proche de la nature. J’aime beaucoup.