Le Roy 06 Le recrutement

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le Roy 06 Le recrutement Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Roy 06 Le recrutement
Le Roy 06
Le recrutement



Il ne me fallait pas bien longtemps pour retrouver un parfait self-control. Je me déplaçais maintenant avec mon harnais, pour tout vêtement. Et je vous jure on me remarquait. ' Un harnais ça habille ! ' m'avait bien dit le marchant. Les soirs de fête je rajoutais le ceinturon, j'y accrochais un sorte de bourse. Si on n'accroche rien à un ceinturon ça fait un peu con, genre frimeur qui ne pense à rien. Je ne voulais pas passer pour un idiot alors j'accrochais quelque chose à mon ceinturon.

Bien sûr je pouvais accrocher mon poignard de parade, mais lui je ne le mettais que si je rajoutais la cape mais pas à chaque fois.

J'avais fière allure, et je frimais un peu. Je sentais ma queue qui se balançait, j'avais l'impression qu'elle avait grossi depuis que j'avais porté la cage de chasteté pendant trois mois. Ce n'était qu'un impression, mais elle n'avait pas diminué, c'est déjà bien. En fait pendant trois mois je ne ressentais pas la même chose aussi maintenant je remarquais encore plus sa présence, son poids, elle était grosse et longue.

Elle était lourde et c'était un plaisir de la sentir se balancer, tout le monde me regardait. Enfin ça aussi, c'était une impression. J'étais beau, je vous l'ai déjà dit mais maintenant il n'y avait plus seulement que ma maman qui me le disait, je l'entendais régulièrement. Les filles commençaient à me regarder avec plus d'insistance. Ce devait être le harnais.

J'arrivais à l'âge ou on commence à penser au mariage. C'est une période trouble dans la vie d'un jeune homme, on pense aux filles, les filles pensent à nous. On se regarde, on se rapproche on rêve un peu, quelquefois on se frôle et on fini par bander, et là au milieu de la rue on se fait remarquer, c'est là qu'on risque le pot de chambre sur la tête.

Je n'avais vraiment pas envie que ça m'arrive aussi, comme je n'avais plus l'âge de mettre un étui pénien, c'est pour les gosse ça, je mettais mon dispositif de chasteté.

Oui je sais, une cage à bite avec un harnais ça fait péquenot m'avait dit le marchand. Mais on est dans un petit village et personne ne connaissait les subtilités de la mode. Personne ne tiquait, sauf peut être ce personnage sorti de je ne sais où.

Il avait très belle allure. Il portait lui aussi un harnais, il y avait accroché une cape sans capuche. Elle était très légère, c'était un tissus de luxe. Mais lui avait une épée courte accroché à son ceinturon. Le tout était du haut de gamme. Aux pieds il avait des sandales hautes. Elles aussi était de belle facture.

Il m'abordait tout simplement.

– Salut soldat ! On ne t'as jamais dit que la cage à bite avec le harnais ça fait péquenot ?

Il n'était pas du coin mais je me sentais un peu con tout de même. J'allais répondre mais il reprenait.

– Tu es jeune, tu ne te contrôles pas encore mais tu préfères encore une faute de mode que le risque de ne pas rester pur. C'est très bien, et je préfère ça. Si tu veux faire une belle carrière et devenir quelqu'un, je t'invite à me retrouver au bureau de recrutement. Je me suis installé près de la fontaine, tu trouveras facilement. Tu peux venir comme tu es.

Il me laissait, il me laissait perplexe. Une recruteur, me disais-je, mais il recrute qui, il recrute quoi ce mec ? Je m'y rendais et je m'installais à la fontaine, j'avais pris soin de m'habiller léger. Je n'avais que ma sacoche autour de mon cou.

Il faisait beau, il ne faisait pas vraiment chaud mais il ne fait jamais froid ici. Quelques dromadaires transpiraient près de leur abreuvoir, moi j'étais habitué à la chaleur. J'étais habillé comme un jour ordinaire. Il y avait le recruteur que j'avais vu quelques heures plus tôt, il s'était installé à l'ombre juste devant la taverne, il se faisait servir des boissons fraîches régulièrement. Il y avait un autre homme qui lui aussi était installé à un table et qui de toutes évidences l'accompagnait.

Le recruteur était en train de discuté avec un jeune du village que je connaissais. C'est vrai que c'est un village et que je connaissais tout le monde. Le recruteur prenait des notes sur une sorte de carnet de grande taille.

Il me remarquait, disait quelques mots à son camarade. Celui-ci se levait alors et venait dans ma direction. Il portait des sandale et un étrange dispositif de chasteté blanc. Il s'arrêtait à mon niveau.

– Vous veniez pour voir le lieutenant recruteur ? Je suis son secrétaire.

Je faisais oui de la tête.

– Ce ne sera pas long, si vous voulez bien attendre, je viendrais vous chercher.

Il avait un très beau corps, il était souriant, mais ce dispositif de chasteté était étrange, il ne devait pas être en métal, je ne connaissait pas ce matériau. C'était lisse et brillant, il avait l'air doux. Le secrétaire repartais, je pensais à son dispositif de chasteté, et je sentais comme une petite contraction au niveau de ma queue, mais je contrôlais.

La discussion prenait fin, le garçon de mon village qui discutait avec le recruteur repartait, la discussion n'avait sans doute pas aboutie. Mais tout le monde gardait le sourire. Le secrétaire venait vers moi, je me levais avant qu'il n'arrive à mon niveau.

Le lieutenant recruteur était charmant, souriant, il me faisait servir une boissons fraîche. Son secrétaire se retournait vers moi. C'était toujours son dispositif que je regardais, l'objet était fait de plusieurs parties qui s’emboîtaient. Il était magnifique, l'objet bien sûr pas le secrétaire. Le secrétaire était pas mal, mais vous le savez je ne suis pas intéressé par les hommes.

Ils devaient avoir la trentaine tous les deux. Il n'était pas recruteur pour l'armée malgré son grade militaire. Ils travaillait pour le ministère du service des proches … J'ouvrais de grands yeux.

– Et c'est quoi ?
– C'est la cour du roi, les membres de la cour du roi.
– Et pourquoi m'avez-vous approché ? Moi j'ai rien de spécial.
– Les critères de sélection sont avant tout physique. Ta plastique est particulièrement réussie mon garçon.
– Alors c'est parce que je suis beau gosse ? Demandais-je en bafouillant.

Il m'expliquait que mon travail consisterait à rester proche du Roi, je le servirais, j'assurerais sa sécurité, je lui tiendrait compagnie, je veillerais sur lui quoi. Bien sûr je ne serais pas seul, régulièrement un nouvel homme de compagnie était recruté, le contrat dure cinq ans non renouvelables.

Les conditions semblaient intéressantes. Je demandais à réfléchir.

– Une dernière petite question mon garçon.
– Oui.
– Est tu encore pur ?

Je n'ai pas compris la question et il l'a vu.

– Est tu encore vierge ?
– Vierge ? Bein, l'autre jour avec un copain …
– Avec les garçons, ça ne compte pas ! Rajoutait-il en me coupant la parole.
– Même si on …
– Même ! Rajoutait-il. Avec les garçons ça ne compte pas. As tu déjà fait des trucs avec une femme ?
– Avec une femme, non, jamais, pas encore !
– Donc tu es pur !

Je le regardait incrédule, mais comme j'avais envie de voyager. Je disais oui. La cour du Roi, c'était pas rien !

Je revenais tranquillement vers ma maison, le cœur léger. Il y avait un homme entièrement nu qui était allongé dans un coin, c'est pas très fréquent dans notre village. Ce n'est pas le fait qu'il était nu, presque tous les hommes se baladaient à poil ou avec presque rien sur le dos, c'était le fait qu'il était allongé sur le sol et n'avait pas l'air en forme. Je me penchais pour voir ce qui se passait de plus près.

C'était Jaffa. Son père l'avait viré, en fait il avait appris que ce n'était pas son père, qu'il avait été acheté mais comme c'est interdit de vendre ou d'acheter des enfants, le commerçant avait prétendu qu'il était son père. Il voulait le garder sous son contrôle, Jaffa ne le voulait plus. Le commerçant avait jeté la clé et Jaffa s'était enfui.

Je l'invitais à me suivre à la maison. Là je lui ai donné à manger, ça faisait deux jours qu'il n'avait rien mangé. Ensuite on a parlé.

Je me suis déshabillé … Je veux dire par là … J'ai retiré la sacoche que je portais au cou et je l'ai posé sur le petit meuble … Oui parce que en fait … Enfin vous avez compris.

Il est allé se lavé, on a une douche très moderne à la maison. C'est au fond de la cour on a installé un réservoir et un truc qui fait tomber l'eau sous forme de pluie … C'est ma mère qui voulait un truc comme ça un marchand lui en avait parlé et … Enfin bref.

Il était tout propre quand il est revenu, je le trouvais beau, il était très beau, pourtant vous savez que les hommes ne m'attirent pas. Je l'avais regardé de loin maintenant je le voyais de près. J'étais allongé sur mon lit, il s'allongeait près de moi et, je me suis toujours demandé si c'était juste pour me remercier mais il me caressait. Au début j'ai pas vraiment réagi mais il m'a tripoté la bite et là j'ai bandé.

C'est vrai que je ne m'y attendait pas, j'aurais du m'en douter, c'était Jaffa. Il n'attendait pas d'avantage il penchais son visage sur ma queue et doucement parcourait sa langue sur toute sa longueur.

Puis il insistait sur mon gland, il passait et repassait sa langue autour. Je me souvenais ce qu'avait dit le recruteur … '' Avec les hommes, ça ne compte pas !''. Je pouvais me laisser aller, j'étais toujours pur et je le resterais.

J'avais tout mon temps et je laissais faire Jaffa. Il y mettait les doigts, il me soulevais la queue et prenait ma queue dans la bouche. C'était toujours aussi agréable avec lui. C'était un expert et c'est moi qui en profitais.

Il avalait ma queue avec toujours la même facilité. En quelques secondes je sentais mon gland s'écraser au fond de sa gorge, c'était doux, son nez appuyait sur mon ventre et il tenait la position. J'y croyais pas, il ne respirait pas, là il ne pouvait pas mais il restait comme ça sans mollir, je sentais sa déglutition, ça bougeait dans sa bouche et ça me massait la queue.

Il faisait une pause et relevait la tête.

Encule moi.

Je vous avais bien dit que j'étais puceau, et bien avec les mecs aussi j'étais puceau, je n'avais jamais fait ça. Je me souvenais la fois ou Artémi m'avait enculé, ça faisait déjà quelques temps mais je n'avais pas oublié la douleur, j'hésitais mais je n'hésitais pas bien longtemps.

Il prenait position, sur son conseil je prenais un peu de beurre, avec la chaleur il était mou. Je me souvenais des dromadaires qui devaient encore suffoquer de chaleur à l'ombre, à côté de leur abreuvoir. Je lui lubrifiais le cul, il me donnait des conseils mais je ne les écoutais pas. Je prenais position et je poussais ma queue contre son cul.

Je l'ai entendu râler, il se retenait de hurler mais il n'arrivait pas à se retenir totalement. Il gémissait … ' Vas y doucement ' mais là encore je ne l'écoutais pas et ma grosse queue glissait dans son cul. Elle s'enfonçait, j'y croyais pas, il ne me fallait que quelques instant pour que mon ventre ne s'écrase contre ses fesses.

J'étais content de moi. Je n'étais plus puceau, enfin plus vraiment, c'est vrai qu'avec un mec ça ne compte pas, mais j'étais content de moi tout de même.

Sans ressortir ma queue de son cul je continuais à pousser par intermittence, il gémissait mais en même temps je l'entendais clairement gémir, ' Oui vas y c'est bon '. Je continuais. Au bout d'un moment je retirais ma queue, il poussait une longue plainte, puis je revenais, il poussait un sanglot.

Je vous ai dit que j'avais une grosse queue ? Il encaissait les vingt trois centimètres sur plus de six avec facilité. La queue d'Artémi était un peu plus petite mais je vous jure que je l'avais senti passer.

Là je commençais à le limer, doucement au début puis plus rapidement, puis j'accélérais progressivement.

Je me donnais librement, je ne me retenais plus. Mon ventre claquait contre ses fesses. Le massage que son cul, exerçait sur ma bite était tout simplement divin, bien mieux que la branlette. Il se cramponnait là ou il pouvait, moi je le retenais. Je passais mes bras autour de son ventre, le retenais, je m'allongeais sur lui et je continuais à le buriner avec force . Il pleurait.

Il ne tentait pas de me repousser, j'aurais pas aimé mais bon je me serais retiré, aussi je continuais, de plus en plus fort. Avec à chaque fois encore plus de violence. Ça lubrifie bien le beurre, c'était évident, pour pouvoir se prendre ma queue dans le cul il fallait bien lubrifier.

Je me sentais bien et je me laissais aller. Je le tenais par les anches et à chaque fois que je lui donnais un coup de bite dans le cul je le tirais vers moi avec force, il poussait un cri.

Au bout d'un moment au bout d'un long moment je sentais le plaisir monter, je n'essayait pas de le retarder. Au contraire je continuais avec toujours autant de force et j'y mettais toute ma force, là il a du le sentir passer, au moment ou j'éjaculais.

J'éjaculais à plusieurs reprises et à chaque fois je lui donnais un coup d'une violence extrême. Je me sentais bien, je le lâchais, il tombait par terre.

J'étais content de moi, peut être que ça ne comptait pas, peut être qu'avec les mecs ça ne compte pas mais … Ça fait du bien !

Je l'ai laisser récupérer, on s'est lavé, la maison était vide puis on s'est allongé l'un à côté de l'autre. Plus tard je suis allé aidé mon jeune frère, pas celui qui est marié, l'autre, Jaffa me suivait. Quand on est arrivé il était allongé sur le ventre sur le sol, en s'approchant on s'est aperçu qu'il n'était pas allongé sur le sol mais sur sa copine Torrévia. Il se relevait, il bandait bien ferme et on pouvait voir qu'il venait de jouir.

– Chomo, tu ne crois pas que tu exagères là. Tu vas te retrouver père de famille avant d'être marié. Tu as à peine seize ans tu sais !
– Tu le diras pas à nos parents dis ?
– Mais non, mais tu n'est pas sérieux mon petit père.

Lui il était plus jeune que moi mais il n'était pas pur, et j'avais comme l'impression que ce n'était pas nouveau.

Torrévia se couvrait, et repartais vers sa maison. Jaffa, Chomo et moi ramenions les moutons. Vous savez ce genre de bestioles c'est pas compliqué à conduire, là ou il y en a un qui passe les autres suivent.

Chomo s'intéressait particulièrement au dispositif.

– Toi aussi tu portes un de ces truc ?
– C'est mon père qui …
– Et tu peux le retirer quand tu veux ou pas, parce que Flèsh il en a porté un pendant six mois et …
– TROIS mois ! Répondais-je en lui coupant la parole. Et si tu te taisais tu dirais moins de connerie.

On avait belle allure tous les trois. Tous les trois nus, je n'avais même pas ma sacoche, Chomo était aussi bien monté que moi, et après ce qu'il venait de faire il gardait une grosse molle qui pendouillait lourdement et moi …


A suivre



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Les avis des lecteurs

C'est pas finit, il y a des rebondissements.

Y a pas à dire : Jaffa n’a pas eu à se plaindre !



Texte coquin : Le Roy 06 Le recrutement
Histoire sexe : Une rose rouge
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