LES AVENTURES DE DAVID 02
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LES AVENTURES DE DAVID 02
LES AVENTURES DE DAVID 02
CHALEUR CHALEUR
David était allongé sur son lit, il faisait tellement chaud qu'il avait l'impression de se liquéfie, les persiennes étaient fermées pour arrêter les rayons du soleil mais l'air qui traversait était chaud ... Très chaud ... Trop chaud ... ! Les portes étaient restée ouvertes pour laisser passer l'air, mais l'air était chaud ! A son arrivée dans la nuit, il n'avait pas trop souffert car la voiture était climatisée, mais là ... chaleur, chaleur.
Philippe , c'est le prénom du grand père de David, entrait dans la maison et arrivait dans la chambre de David .
P : Alors bonhomme on attend l'hiver ! Tu sais que tu peux attendre encore longtemps, la dernière fois qu'il a fait froid ici, c'était durant la dernière grande glaciation alors ... !
D : Laisses moi ici, je vais mourir, n'essayes pas de me sauver c'est trop tard, vas y sauves ta peau, moi je te retarderais ...
Philippe éclatait de rire.
P : Tu crois pas que tu en fait trop là ? Bon, il fait un peut chaud, mais à peine 35 degrés, il est encore tôt. Viens donc manger, après tu pourras prendre une douche et dormir jusqu'à ce soir.
D : Ne me dit pas qu'il va faire encore plus chaud dans le reste de la journée.
P : Il ne fera pas plus chaud dans le reste de la journée ! La température ne devrait pas dépasser les 40 degrés.
D : (toujours allongé sur son lit les bras en croix) 40 ... Je vais mourir, je suis intransportable ...
Philippe rigolait en voyant son petit fils se lever péniblement pour le suivre.
La propriété du grand père de David était en fait un ensemble de plusieurs maisons, une grande bâtisse principale de type coloniale et deux plus petites maisons de chaque coté, David avait été logé dans la maison de droite, un grand salon,trois chambres et une salle de bain. La maison de gauche était plus grande elle était utilisée pour recevoir des groupes. Des arbres avaient été plantés un peu partout, et par endroit on avait l'impression d'être dans une jungle.
David ne mangeait pas beaucoup, mais buvait beaucoup de liquide. Il retournait vers sa maison en passant par derrière la bâtisse principale, là encore des arbres, plus loin un bâtiment pour loger les employés, six lui avait dit son grand père, et un petit bâtiment très ventilé qui semblait ne pas avoir de porte. David s'approchait.
D : C'est quoi ce truc, (David approchait puis entrait) , des douches ! C'est des douches ! Ça tombe bien ça, parce que ... Chaleur chaleur.
C'était une grande salle sans cloisons avec des douches collectives, David en testait une, l'eau coulais fraîche. Sans aucune hésitation il laissait ses sandales et ses vêtements dans une niche à l'entrée.
Il laissait l'eau ruisseler sur son corps quand il entendit un bruit. Il tournais la tète vers l'entrée, il y avait un jeune homme entièrement nu qui lui aussi venait prendre sa douche. C'était un black à peine plus âgé que lui, 1m70 maximum carré, très musclé, un sourire charmeur ou brillaient deux rangées de dents blanches, l'air penaud, mal adroit, il était vraiment très beau. David ne savait pas comment réagir, cet invité inattendu ne le voyait que de dos pour le moment.
Le jeune homme s'approchait timidement . ''Excuses-moi Msieu David, moi c'est Dadou, je voulais pas te faire peur, mais il fait chaud, je peux prendre une douche ?''
Tout en disant cela, il s'approchait et David remarquait que Dadou n'était pas simplement bien bâti, il était également bien monté. Il avait une queue énorme qui se balançait entre les cuisses et qu'il ne tentait pas de dissimuler, au contraire, il en paraissait très fière.
David répondait distraitement : '' oui oui, bien sûr ''
Dadou commençait à se savonner, une mousse blanche se déposait partout sur son corps, il se frottait bien partout en insistant sur sa bite et ses couilles y déposant un paquet de mousse blanche, ce qui le rendait encore plus beau. David admirait le spectacle du coin de l’œil, Dadou faisait semblant de ne pas le remarquer. David ne s'était toujours pas retourné quand ...
Dadou : Tu veux que te frotte le dos Msieu David ?
Ce 'tu' avec ce 'Msieu' dans la même phrase fit rire David, mais sans attendre la réponse Dadou commençait à lui savonner le dos. David fut d'abord surpris mais le laissait faire. Il n'avait pas l'habitude d'un tel contact physique, mais que pouvait-il se passer,il ne risquait pas d'avoir une érection... Dadou lui massait le dos jusqu'au moment ou il lui glissait fermement un doigt dans le cul.
David se retournait pour protester et se retrouvait face a un sourire ravageur à un regard perçant et face également à une bite énorme qui était maintenant bien en érection. Dadou continuait à lui savonner le torse et le ventre. David se sentait désarmé. Dadou baissait les yeux.
Dadou : Tu sais Msieu David presque tous les petits blancs qui viennent ici ils ont un truc comme toi, mais tu es le premier jeune qui en porter un en métal doré, le même que Msieu Philippe. C'est vrai que tu peux pas le retirer?
David faisait oui de la tête. Dadou le regardait maintenant droit dans les yeux et lui posait la main sur l'épaule.
Dadou : Suce ma bite !
Disant cela, il appuyait sur l'épaule de David qui sans résister se mettant à genoux et commençait à s'exécuter. Dadou prenait la tète de David qui se laissait faire, il lui enfonçait sa queue aussi profond que possible avec un mouvement de va et vient viril et dépourvu de tendresses, à chaque mouvement il poussait un peu plus, David était tout rouge, il avait du mal à respirer, il n'osait pas résister, mais en avait-il seulement envie?
Dadou repoussait David qui se retrouvait assis, la tète contre le mur maintenue fermement à deux mains, et une grosse bite qui lui rentrait jusque dans la gorge, David avait du mal à respirer, quand il n'en pouvait plus il se dégageait d'un mouvement violent, Dadou lui laissait le temps de récupérer puis revenait à la charge. David ne contrôlait plus rien, il ne savait plus s'il aimait ou pas. Dadou était plus fort que lui, mais il aurait pu se libérer, se dégager, juste en gueulant ... Sa sexualité s'était limitée à ce jour à la branlette solitaire jusqu'à ses 15 ans comme tous les gamins, puis plus rien jusqu'au petit plaisir que lui avait donné François trois mois plus tôt quand il s'est fait posé sa PK-OR. Il ne parlait jamais de sexe avec personne, et, bien sûr aucun flirt, jamais ! Là il n'était plus qu'un objet sexuel entre les mains d'un black bien bâti, bien monté, superbe, et, il aimait ça !
David se dégageait, reprenait son souffle, crachai, toussait, il était rouge et il en pleurait, son cœur battait fort à lui briser les cotes, mais il ne faisait aucun geste pour tout arrêter ... Dadou lui accordait quelques instants de répit puis reprenait...
Dadou se retirait complètement.
Dadou : Tu as l'air d'aimer ça Msieu David, tu te laisses faire ...
David le regardait Hagard, la bouche ouverte, il bavai, son visage était rouge, il tremblait, il était en sueur ...
Dadou se penchait, soulevait et redressait David, il le retournait, et tout en le pressant fortement contre le mur lui savonnait abondamment le cul en y mettant sans ménagement un puis deux doigts.
David râlait mais n'essayait pas vraiment de se dégager.
Dadou se pressait contre David en le tenant fermement des deux bras, puis lui enfonçait doucement mais fermement sa grosse bite dans le cul.
David hurlait, Dadou le fit taire une main sur la bouche et continuait a enfoncer sa queue jusqu'à la garde, le visage de David exprimait surtout de la douleur.
Dadou marquait une pose, ne bougeait plus, entre ses bras David gémissait, tremblait et avait le souffle court.
Dadou commençait ensuite une série de vas et vient . David voulu hurler de nouveau mais la main de Dadou empêchait tout bruit de sortir sinon quelques gémissements.
Dadou continuait les mouvements avec de violents coups de rein. Il tenait David fortement alors que celui-ci se contractait, il avait très mal. A ce moment il voulait se dégager mais n'essayait même pas, Dadou ne voulait plus le lâcher, il était fort ... Un moment plus tard qui parut à David une éternité, Dadou concluait dans un râle de plaisir. Il se retirait, lâchait David qui se laissait tomber au sol et se retournait pour le regarder, avec un regard vide.
Dadou reprenait sa douche tout en regardant David avec son sourire charmeur. David avait vraiment mal au cul et n'avait plus la force de bouger, pourtant il ne pouvait se retenir de lui rendre son sourire.
Dadou : Dis donc Msieu David, t'es un sacré bon coup toi, on a du te le dire souvent . Je crois que je t'ai vidé, t'as l'air complètement à plat. C'est pas une quéquette de PD ça, ( en montrant sa queue). Mais tu vas pas rester là, attends, je vais m'occuper de toi.
Il soulevait a nouveau David sans efforts, l'appuyait contre le mur et commençait à le doucher mais avec beaucoup de tendresse et de douceur. David le laissait faire tout en lui caressant les bras et le torse, ses jambes tremblaient, il ne tenait pas debout et aurait été incapable de marcher. Il avait vraiment très mal au cul. Il était à la fois horrifié et fasciné par ce qu'il venait de faire.
Dadou terminait de doucher David qui peu à peu retrouvait figure humaine.
Dadou : Faut pas rester là Msieu David, les autres vont pas tarder à arriver, tu veux que je te ramène à ta chambre. Je suis fort Msieu David tu sais je peux te porter sans effort.
David parvenait finalement, d'une démarche mal assurée, a retourner jusqu'à sa chambre. Dadou avait choisi de l'accompagne, lui qui sait être si viril et même violent, sans aucune douceur ni aucune tendresse, se montrait maintenant sous un tout autre visage, doux et attentionné. Un peu avant d'arriver a la maison, les jambes de David commençaient à l'abandonner. Dadou, sans hésiter et sans efforts le soulevait du sol, le jetait sur son épaule et continuait ainsi jusqu'à sa chambre ou il le déposait en douceur sur le lit.
Dadou : T'as besoin de quelque chose Msieu David, tu me dis, ... En tous cas t'es un sacre bon coup toi. Moi j'aime bien les ptits culs étroits qui ne demande qu'à se faire élargir. Ouais t'es un sacré bon coup ! On pourra recommencer quand tu veux ! Tu me dis !
David ne répondait pas il le regardait, il appréciait davantage cette personnalité plus douce et attentionnée, et le revoyait un peu plus tôt ... Dans le sexe ce petit gars avec un sourire d'ange était en fait un démon.
Dadou : Je vais te chercher, à boire, Msieu David, si tu veux quelque chose, tu me dis...
Quand Dadou revenait avec une bouteille d'eau et un verre, David s'était endormi .
David se réveillait, il faisait déjà nuit, surpris, il se relevait brusquement, une violente douleur au fesses lui rappelait ses expériences de l' après-midi, il regardait l'heure ,18h30, c'est vrai que le soleil se couche très tôt sous ces latitudes. La température semblait baisser et était presque supportable. Il se rafraîchissait sous une douche froide rapide, et se prit a se demander a quoi pouvait servir le robinet d'eau chaude ... Son anus lui faisait toujours mal mai tout semblait en ordre. Il enfilait juste un pantalon en toile large et une chemise légère, des sandales mais pas de sous vêtements, moins on a de trucs sur le dos mieux on se porte.
Il approchait de la bâtisse principale, son grand père Philippe était assis en terrasse, un apéritif devant lui sur une table, il semblait lire un courrier. David prenait place face a son grand père, hésitant, il avait toujours mal au cul.
Philippe : Alors bonhomme, bien dormi ? Le soir c'est le meilleur moment de la journée, la température baisse un peu, on peut se détendre. Demain matin debout à cinq heure, pour profiter de la fraîcheur, à midi la chaleur est trop forte, on se met au frai ou on peut et on sieste. Ok, demain je te fait visiter le coin ...
David n'arrêtait pas de gigoter sur sa chaise tout en faisant des grimaces sans même s'en rendre compte.
David : Ok demain cinq heures.
P : On va manger dans un petit moment, les gars préparent le repas. J'ai reçu un courrier, nous aurons un invite, un jeune de ton âge, sa mère, une vieille amie, m'a fait parvenir un petit cadeau qu'il faudra lui donner le jour de son anniversaire...
D : Je me sers un petit apéritif.
P : Vas y fils, mais qu'est ce que tu as à gigoter comme ça ? Tu as mal quelque par, tu as mal au cul ou quoi ? Tu as fait quoi cet après-midi ?
David devenait tout rouge de confusion, il regardait vers le groupe d'hommes qui préparaient le repas dans une joyeuse pagaille bruyante, et apercevant Dadou son trouble ne fit qu'augmenter. Philippe remarquait ces regard, mais il n'osait pas encore comprendre. Quand Dadou s'approchait des deux hommes avec les couverts pour préparer la table, David baissait la tète, visiblement gêné.
Dadou : Le repas sera près dans dix minutes Msieu Philippe, tu vas bien Msieu David ? Si tu as besoin de quelque chose Msieu Philippe, tu me dis .
David n'osait pas relever la tète pour répondre, il était rouge de confusion, et il remarquai que sous son pantalon de toile Dadou ne portait certainement pas de sous vêtement. Il ne relevait la tète que quand le jeune homme s'était éloigné. Philippe, son grand père le regardait droit dans les yeux.
P : David, pourrais-tu me dire exactement ce que tu as fait aujourd'hui ?
David soupirait longuement, puis tout en continuant à gigoter sur sa chaise, racontait rapidement, sans entrer dans les détails . Médusé, le grand père écoutait.
P : Je ne savait pas que tu était porté sur le cul, gay passif, c'est pour ça que tu voulais porter une PK ... Raconte, tu as eut beaucoup de copains comme ça ...
D : En fait , c'était la première fois. Et tu peux me croire, ça fait mal, vraiment mal.
P : Et il t'a vraiment pénétré ?
D : Et je l'ai senti passé ! Tu peux me croire !
David continuait à gigoter sur sa chaise. Son grand père se levait, là il ne rigolait plus.
P : Viens avec moi, il faut que je vois quelque chose .
Le ton était sec, David compris tout de suite que là, on ne rigolait plus et qu'il valait mieux obtempérer. Philippe entraînait son petit fils dans son bureau et tout en fermant la porte lui demandais de baisser son pantalon et de se pencher en avant. David hésitait un instant puis s'exécutait. Philippe se penchait pour observer de plus près, délicatement écartait les fesses pour examiner l'anus de David qui grimaçait et poussait un léger gémissement. Puis se relevant...
P : Tu m'étonne si tu as mal au cul mon gars... Il t'a bien éclaté la rondelle, il fallait en vouloir pour encaisser ça ... pour une première fois ... Bon ce n'est pas grave, je vais te donner une pommade et dans quelques jour tu pourras recommencer, attends un peu tout de même, ça aurait pu être pire. Une déchirure sérieuse, et tu te retrouvais à l'hôpital. Et ici les hôpitaux ...
Philippe prenait la pomade et lui appliquait tout en lui expliquant comment l'utiliser. L'effet était immédiat, déjà David n'avait plus mal ! Puis les deux hommes retournaient en discutant vers la terrage pour souper, David se sentait mieux, et commençait à avoir faim.
P : C'était la première fois tu dis ... Tu sais il faut toujours commencer par des trucs plus petits. Ensuite tu passes à plus gros ... Toi évidemment tu ... Tiens c'est comme quand tu essaye une PK, tu la mets un jour et tu la garde toujours ... Là c'est pareil, tu veux te faire défoncer le cul, tu te tape un mec qui est monté comme un âne ... Et en plus , je connais le bestiaux, dans le sexe, c'est pas un tendre !
D : C'était pas prémédité, et puis comment tu sais que c'est pas un tendre, a le voir comme ça on dirait un ange ...
P : J'ai plus d'expérience que toi ... Et puis c'est vrai, on dirait un ange, il est adorable, mais dans le sexe, c'est un violent ... Comme premier mec tu aurais du choisir ... Marc par exemple, il est viril, doux, bien monté mais la c'est raisonnable ...
David ne savait plus quoi dire ... La relation de David avec son grand père était en train de changer, il devenait un ami, une confident, un conseiller ... Il l'appréciait de plus en plus .
Ils arrivaient a la terrasse, un jeune homme de peut être trente ans venait d'apporter le repas et terminait de mettre la table. Il avait une bonne tète un silhouette mince mais musclée tout de même. D'un air malicieux Philippe le présentait.
P : Je te présente Marc, qui est le plus ancien ici, à mon service, depuis plus de dix ans. Vous devriez vous entendre, si tu as besoin de quelque chose, n'hésite pas à lui demander.
David rougi, il saisissait l'allusion, (Marc aussi, surtout que Dadou avait raconté ses exploits a tout le monde).
D : Bonjour Marc.
Marc : Bonjour Msieu David, ta première journée parmi nous a été agréable j'espère.
David attendait que Marc s'éloigne, pour demander a son grand père ...
D : Tu penses qu'il est au courant?
P : Je pense que Dadou n'a pas manquer de raconter ses exploits a TOUS les autres. Ils étaient tous au courant avant moi ... C'est sur !
Après le repas, les deux hommes restaient à discuter de choses et d'autres.
D : Les gars qui travaillent ici, ils sont tous ...
P : Tous gay, oui tu peut le dire, tous gay comme toi, comme moi ! Ils sont tous actifs contrairement à nous mais certains sont également passifs, comme toi, comme moi.
D : T'as couché avec plusieurs d'entre eux ?
P : Tous !
D : Tous ?
P : Pas tous en même temps, mais tous, oui !
P : Pour eux cet endroit est une sorte de refuge, certains on été persécutés, brutalisés, rejetés par leur familles … Ici c'est comme une nouvelle famille, d'habitude on mange tous ensemble, ce soir c'est pour te laisser le temps de t'acclimater...
La discussion touchait aussi d'autres sujets ...
P : J'avais prévu une grande balade à cheval pour demain à l'aube mais , je pense qu'il serait préférable de ... Tu as toujours mal.
D : Non j'ai plus du tout mal, elle est super ta pommade ...
P : On évitera le cheval pendant plusieurs jours, c'est plus sûr ...
Le ciel était d'une grande clarté et la course des étoiles offrait un spectacle de rêve. La table était nettoyée, il n'y restait que la bouteille de vin et deux verres. Le groupe des employés ne faisait plus de bruit et à la demande de Philippe, Thom était venu les rejoindre, il avait emmené son verre. Les trois hommes terminaient sans se presser la bouteille de vin ...
P : Nous aurons un invité la semaine prochaine.
T : Un jeune ou une personne plus âgé ?
P : Il doit avoir vingt ans ou à peine plus.
T : Je pense Philippe qu'on pourrait le loger dans le petit pavillon, si David n'y voit pas d'objections.
D : Je suis pour, la maison est grande pour moi tout seul.
P : Il s'appelle Will.
David finissait par aller se coucher, sur la route il rencontrait Marc qui lui lançait.
M : Bonsoir Msieu David, tout vas bien ? Si tu as besoin de quelques chose, tu n'hésites surtout pas. Appelles moi .
En arrivant dans sa chambre David se demandait si Thom n'allait pas terminer la nuit dans le lit de son grand père.
Décidément, la chaleur c'était pas que le climat. Ici les mecs aussi étaient chauds ! Chaleur Chaleur...
Le lendemain matin, David se réveillait un peu avant six heures.
D : Mince ! On avait dit cinq heures !
Sans plus attendre il passait un pantalon en toile et fonçait vers la Maison du Maître , sur le chemin il rencontrait un homme qu'il ne connaissait pas, en le voyant approcher, il se dit ''Ouah, celui-là il est vraiment balèze ! '' . Plus l'homme approchait plus il semblait balèze. Au final David se retrouvait face à un géant de plus deux mètres de haut. Depuis son petit mètre soixante dix, David se sentait tout petit et terriblement impressionné, il se sentait tout frétillante, un peu comme une vierge le soir de sa nuit de noces avec une équipe de rugbyman, il le regardait en penchant sa tête en arrière de plus en plus, il était en fait comme attiré et sans s'en rendre compte continuait a s'approcher jusqu'à le toucher. Là il réagissait et reculait d'un pas, le souffle court. Ce géant avait une bonne tête, un sourire amusé par le trouble et la maladresse de David, une très belle musculature mais pas hypertrophiée.
Camel : Bonjour Msieu David, j'allais voir si tu dormais toujours. Je vois que tu es en forme. On t'attend . Moi c'est Camel je suis heureux de faire ta connaissance.
Les deux hommes marchaient l'un à coté de l'autre, David ne pouvais détacher son regard de ces muscles, ces bras, ce torse ... Camel portait un pantalon de toile et on pouvait voir distinctement une forme allongée de grosse taille se balancer à chaque pas entre ses jambes. Là David était vraiment en chaleur et il se disait qu'on devait se sentir bien dans ces bras... Chaleur ...
Ils arrivaient a la terrage, tout le monde lui lançait un ''Bonjour Msieu David'' auquel il répondait par un ''Salut à tous'' avec un geste de la main.
Son grand père s'approchait l'embrassait pour lui dire bonjour, puis.
Philippe : Alors on avait dit cinq heures ...
David : (Sans lâcher Camel des yeux) Oui !
Philippe : Et tu as rencontré Camel ?
David : (toujours les yeux rivés sur Camel) Oui !
Philippe : Tu ne connaissais pas encore Camel ?
David : (sans changement) Oui !
Philippe : Et tu craques complètement pour lui ?
David : (toujours pareil) Oui !
Puis semblant se réveiller.
David : Ah grand père, (David embrassait son grand père) bonjour , ça va ? Tu disait quelque chose ... ?
Philippe : (l'air désabuse ...) Non … ! Viens prendre ton petit déjeune, après ça ira mieux ...
Tandis que David se servait ...
Philippe : Il faut que je te dise, pour Camel ...
David : Il est bien, non, oui ...
Philippe : Il est très bien , mais ...
David : Il mesure combien ?
Philippe : 2m05, mais c'est pas ça ...
David : Il pèse combien ? Il est balèze ! Il fait de la muscu ?
Philippe : David , on se calme , Dadou a cote de Camel, c'est une petite bite ... !
David : (Prenant un air détendu) Bon ça va là, j'ai entendu, et je suis pas le seul ...
Philippe se retournait l'air con, tous les six le regardaient avec un léger fou rire. On entendit la voix de Dadou : ''Bon ça va, on sait que c'est lui qui a plus grosse...''. Camel ne savait plus ou se mettre, et pour garder une certaine contenance, balançait son bassin d'avant en arrière a l'intention de David, il ne portait pas de sous vêtement, puis il exhibait son manche un instant, toujours pour David qui avait les yeux qui lui ressortaient de la tête, c’était énorme, au repos c’était presque la taille de Dadou en action ... Tout le monde se marrait, sauf David qui restait tétanisé .
Philippe :(a l'oreille de son petit fils) 26cm en action, c'est pas pour les débutants, t'es pas de taille, Dadou ne dépasse pas les 22cm ... Alors ... ( se retournant vers le gros de la bande, d'une voie plus forte) Bon un peu de tenue s'il vous plaît les gars ! Viens par ici David que je te présente aux derniers que tu connais pas ... Voila Boubou, c'est le cuisinier, et Raffi . Voila tu connais toute l’équipe qui s'occupe du domaine.
David et les deux derniers se saluaient. Boubou était un tout petit bonhomme d'environ 1m60, d'un physique sec pas plus de 60 kg, musclé nerveux, la trentaine. Raffi était le dernier arrive dans l’équipe moins d'un an plus tôt, c’était le plus jeune, il n'avait pas vingt ans, 1m80 environ belle corpulence.
David remarquai que tout le monde était habille pareil, un pantalon en toile légère et des sandales, personne ne portait de sous vêtement et chacun semblait prendre un véritable plaisir à laisser percevoir le mouvement de balancier de leur membre viril sous le tissus de leur pantalon ... Chaleur Chaleur.
Philippe : ( prenant la parole ) Grande nouvelle . Les caisses que nous attendons sont en route, mais le camion est coincé à la sortie du village, il faudrait aller le chercher et lui montrer la route ....
Tous les bras se levèrent '' Moi j'y vais''... '' Non moi ...'' . Ça doit être important se dit David, ils sont tous volontaires ! Philippe choisissait Camel .
Philippe : Camel, prend la moto et emmène le ptit, ça lui fera prendre l'air.
David se retrouvait quelques instants plus tard, sur une moto, Camel conduisait et lui dit avant de partir : '' Accroches toi bien a moi, je voudrais pas te laisser sur la piste, ça pourrait être dangereux.''. Les deux hommes étaient torse nue, et pour David ce fut un plaisir, il sentait la musculature avantageuse du géant, sa peau était douce comme de la soie et par moment se surprenait à la caresser. Camel ne semblait pas s'en offusquer, par moment il semblait lui aussi caresser la main ou le bras de son petit camarade. Un peu avant d'arriver a destination, Camel faisait une petite pause pour ... pisser un coup. David se rendait compte que, en fait Camel bandait, et que c'était pas discret surtout qu'il ne portait pas de sous vêtements... David admirait de profil son camarade qui faisait semblant de pisser essayant de se calmer, il se disait : '' C'est moi qui l'ai mis dans cet état ! ... C'est vraiment énorme ! ... Je savais pas que ça pouvait être aussi gros ... Mon dieu ce garçon est vraiment trop beau ... Si j'avais pas mon dispositif, sûr, je serais dans le même état !''. Ils arrivaient finalement au village, un gros camion attendait, le chauffeur s'était endormi, tout allait bien il était seulement perdu. David montait dans le camion et tout le monde rentrait a la propriété, Camel ouvrait le chemin avec sa moto. Ils arrivaient un peu avant dix heures, tous les gars attendaient, le travail n'avait jamais été fait aussi vite, tous voulaient être libre pour le reste de la journée.
Le camion était à peine garé que tous les gars sautaient dedans pour le décharger... ''Ce doit être important '' se dit David qui décidait de les aider. Le chauffeur, lui, allait voir Philippe qui lui offrait un bon repas et lui proposait un coin pour dormir, il avait conduit une bonne partie de la nuit.
Au début de l’après midi toutes les caisses étaient déchargées et rangées sur un terrain prévu à cet effet derrière la maison de David, a proximité de la maison des employés. Mais David ne savait toujours pas de quoi il s'agissait ...
La chaleur devenait étouffante et il préférait faire une pause sieste, il entrait dans la douche pour se rafraîchir, quelques instant après Camel entrait à son tour, et sans faire de bruit alors que David les mains appuyées sur le mur laissait ruisseler l'eau fraîche sur son corps, Camel s'approchait et prenait David dans ses bras, il se penchait pour l'embrasser dans le coup. David ne l'avait pas entendu venir, mais il l'avait reconnu, il l'avait deviné. Le géant enlaçait David de ses bras énormes, il le caressait avec une extrême douceur. David se retournait et passait ses bras autour du coup de Camel, qui le soulevait toujours en douceur, au sens propre comme au figuré, David ne touchait plus le sol ... Il passait ses jambes autour des hanches du géant qui continuait à le caresser et à l'embrasser... Camel reposait David, ce dernier se retrouvait faces à cet énorme pénis, un peu plus long et un peu plus épais que celui qui la veille ...
David : C'est énorme, je ne sais pas si je ...
Camel le faisait taire en l'embrassant tendrement. David était aux anges, il se sentait bien, ce géant était une montagne de chair de muscle de tendresse et de douceur. David n'était qu'un petit jouet dans de tels bras qui pouvaient le soulever le retourner le jeter en l'air le casser en plusieurs morceaux sans efforts, mais l’extrême douceur de son camarade le rassurait, il se sentait en totale sécurité dans ces bras là.
David se penchait et commençait à sucer comme il pouvait le pénis de Camel qui ne dissimulait pas son plaisir, c'était vraiment gros, Camel dirigeait David avec ses deux mains placées de chaque coté de sa tête. Ces deux mains n'exerçait aucune pression, David restait libre de ses mouvements, Camel ne le poussait pas à avaler sa queue. David avalait aussi profond qu'il pouvait, Camel l'accompagnait avec douceur tout en gémissant de plaisir, David caressait des deux mains la queue qui lui était offerte, sa grande taille se prêtait bien a cette manipulation à deux mains... Camel s’asseyait sur un banc les jambes bien écarter pour offrir sa queue au petit David qui profitait de la position pour la caresser, la masser la sucer , il passait longuement sa langue sur le gland. La respiration de Camel devenait plus forte et il caressait plus fortement la nuque de David sans pour autant le forcer à avaler sa queue.
Camel : Oui vas y, c'est bon, je vais jouir, oui.
Camel éjaculait. David qui continuait à masser sa bite se prenait tout dans la figure, il était fasciné et ne tentait même pas d'éviter le jet. A genoux David regardait Camel avec un grand sourire le visage recouvert de sperme. Camel se plaçait à genoux devant son petit camarade, embrassait son visage léchait le sperme puis l'embrassait tendrement sur la bouche. David vivait un rêve, le goût du sperme sur sa langue était un régal. Camel continuait jusqu'à ce que toute trace de sperme ait disparu... Il avait pris David dans ses bras et celui-ci s'abandonnait totalement à cette étreinte... Se relevant tout en soulevant David.
Camel : Maintenant c'est ton tour ...
Disant cela il reposait délicatement son petit camarade sur le dos, une serviette sous la tête, et commençait à lui caresser les cuisses tout en lui embrassant les téton et le ventre. Il lui glissait sa mains entre les cuisses et dirigeait, toujours avec douceur, un doigt ver son anus.
David se contractait et posait une main crispée sur celle de Camel. Celui ci retirait sa main, lui caressait le ventre, l'embrassait en disant .
Camel : Tu n'es pas prêt, tu sais, moi je te ferai pas mal ... un autre jour ...
Plus tard David se dirigeait vers sa chambre, il était pensif ... La veille il était puceau, totalement puceau, jamais aucun flirt, il n'avait jamais embrassé un garçon (ni aucune fille), il n'aurait jamais eut l'idée de s'introduire un gode dans le cul, il n'avait jamais pris un homme (ou une fille) dans ses bras, et aujourd'hui ...
'' Je vais pas regretter mon voyage moi ! '' se dit-il !
CHALEUR CHALEUR
David était allongé sur son lit, il faisait tellement chaud qu'il avait l'impression de se liquéfie, les persiennes étaient fermées pour arrêter les rayons du soleil mais l'air qui traversait était chaud ... Très chaud ... Trop chaud ... ! Les portes étaient restée ouvertes pour laisser passer l'air, mais l'air était chaud ! A son arrivée dans la nuit, il n'avait pas trop souffert car la voiture était climatisée, mais là ... chaleur, chaleur.
Philippe , c'est le prénom du grand père de David, entrait dans la maison et arrivait dans la chambre de David .
P : Alors bonhomme on attend l'hiver ! Tu sais que tu peux attendre encore longtemps, la dernière fois qu'il a fait froid ici, c'était durant la dernière grande glaciation alors ... !
D : Laisses moi ici, je vais mourir, n'essayes pas de me sauver c'est trop tard, vas y sauves ta peau, moi je te retarderais ...
Philippe éclatait de rire.
P : Tu crois pas que tu en fait trop là ? Bon, il fait un peut chaud, mais à peine 35 degrés, il est encore tôt. Viens donc manger, après tu pourras prendre une douche et dormir jusqu'à ce soir.
D : Ne me dit pas qu'il va faire encore plus chaud dans le reste de la journée.
P : Il ne fera pas plus chaud dans le reste de la journée ! La température ne devrait pas dépasser les 40 degrés.
D : (toujours allongé sur son lit les bras en croix) 40 ... Je vais mourir, je suis intransportable ...
Philippe rigolait en voyant son petit fils se lever péniblement pour le suivre.
La propriété du grand père de David était en fait un ensemble de plusieurs maisons, une grande bâtisse principale de type coloniale et deux plus petites maisons de chaque coté, David avait été logé dans la maison de droite, un grand salon,trois chambres et une salle de bain. La maison de gauche était plus grande elle était utilisée pour recevoir des groupes. Des arbres avaient été plantés un peu partout, et par endroit on avait l'impression d'être dans une jungle.
David ne mangeait pas beaucoup, mais buvait beaucoup de liquide. Il retournait vers sa maison en passant par derrière la bâtisse principale, là encore des arbres, plus loin un bâtiment pour loger les employés, six lui avait dit son grand père, et un petit bâtiment très ventilé qui semblait ne pas avoir de porte. David s'approchait.
D : C'est quoi ce truc, (David approchait puis entrait) , des douches ! C'est des douches ! Ça tombe bien ça, parce que ... Chaleur chaleur.
C'était une grande salle sans cloisons avec des douches collectives, David en testait une, l'eau coulais fraîche. Sans aucune hésitation il laissait ses sandales et ses vêtements dans une niche à l'entrée.
Il laissait l'eau ruisseler sur son corps quand il entendit un bruit. Il tournais la tète vers l'entrée, il y avait un jeune homme entièrement nu qui lui aussi venait prendre sa douche. C'était un black à peine plus âgé que lui, 1m70 maximum carré, très musclé, un sourire charmeur ou brillaient deux rangées de dents blanches, l'air penaud, mal adroit, il était vraiment très beau. David ne savait pas comment réagir, cet invité inattendu ne le voyait que de dos pour le moment.
Le jeune homme s'approchait timidement . ''Excuses-moi Msieu David, moi c'est Dadou, je voulais pas te faire peur, mais il fait chaud, je peux prendre une douche ?''
Tout en disant cela, il s'approchait et David remarquait que Dadou n'était pas simplement bien bâti, il était également bien monté. Il avait une queue énorme qui se balançait entre les cuisses et qu'il ne tentait pas de dissimuler, au contraire, il en paraissait très fière.
David répondait distraitement : '' oui oui, bien sûr ''
Dadou commençait à se savonner, une mousse blanche se déposait partout sur son corps, il se frottait bien partout en insistant sur sa bite et ses couilles y déposant un paquet de mousse blanche, ce qui le rendait encore plus beau. David admirait le spectacle du coin de l’œil, Dadou faisait semblant de ne pas le remarquer. David ne s'était toujours pas retourné quand ...
Dadou : Tu veux que te frotte le dos Msieu David ?
Ce 'tu' avec ce 'Msieu' dans la même phrase fit rire David, mais sans attendre la réponse Dadou commençait à lui savonner le dos. David fut d'abord surpris mais le laissait faire. Il n'avait pas l'habitude d'un tel contact physique, mais que pouvait-il se passer,il ne risquait pas d'avoir une érection... Dadou lui massait le dos jusqu'au moment ou il lui glissait fermement un doigt dans le cul.
David se retournait pour protester et se retrouvait face a un sourire ravageur à un regard perçant et face également à une bite énorme qui était maintenant bien en érection. Dadou continuait à lui savonner le torse et le ventre. David se sentait désarmé. Dadou baissait les yeux.
Dadou : Tu sais Msieu David presque tous les petits blancs qui viennent ici ils ont un truc comme toi, mais tu es le premier jeune qui en porter un en métal doré, le même que Msieu Philippe. C'est vrai que tu peux pas le retirer?
David faisait oui de la tête. Dadou le regardait maintenant droit dans les yeux et lui posait la main sur l'épaule.
Dadou : Suce ma bite !
Disant cela, il appuyait sur l'épaule de David qui sans résister se mettant à genoux et commençait à s'exécuter. Dadou prenait la tète de David qui se laissait faire, il lui enfonçait sa queue aussi profond que possible avec un mouvement de va et vient viril et dépourvu de tendresses, à chaque mouvement il poussait un peu plus, David était tout rouge, il avait du mal à respirer, il n'osait pas résister, mais en avait-il seulement envie?
Dadou repoussait David qui se retrouvait assis, la tète contre le mur maintenue fermement à deux mains, et une grosse bite qui lui rentrait jusque dans la gorge, David avait du mal à respirer, quand il n'en pouvait plus il se dégageait d'un mouvement violent, Dadou lui laissait le temps de récupérer puis revenait à la charge. David ne contrôlait plus rien, il ne savait plus s'il aimait ou pas. Dadou était plus fort que lui, mais il aurait pu se libérer, se dégager, juste en gueulant ... Sa sexualité s'était limitée à ce jour à la branlette solitaire jusqu'à ses 15 ans comme tous les gamins, puis plus rien jusqu'au petit plaisir que lui avait donné François trois mois plus tôt quand il s'est fait posé sa PK-OR. Il ne parlait jamais de sexe avec personne, et, bien sûr aucun flirt, jamais ! Là il n'était plus qu'un objet sexuel entre les mains d'un black bien bâti, bien monté, superbe, et, il aimait ça !
David se dégageait, reprenait son souffle, crachai, toussait, il était rouge et il en pleurait, son cœur battait fort à lui briser les cotes, mais il ne faisait aucun geste pour tout arrêter ... Dadou lui accordait quelques instants de répit puis reprenait...
Dadou se retirait complètement.
Dadou : Tu as l'air d'aimer ça Msieu David, tu te laisses faire ...
David le regardait Hagard, la bouche ouverte, il bavai, son visage était rouge, il tremblait, il était en sueur ...
Dadou se penchait, soulevait et redressait David, il le retournait, et tout en le pressant fortement contre le mur lui savonnait abondamment le cul en y mettant sans ménagement un puis deux doigts.
David râlait mais n'essayait pas vraiment de se dégager.
Dadou se pressait contre David en le tenant fermement des deux bras, puis lui enfonçait doucement mais fermement sa grosse bite dans le cul.
David hurlait, Dadou le fit taire une main sur la bouche et continuait a enfoncer sa queue jusqu'à la garde, le visage de David exprimait surtout de la douleur.
Dadou marquait une pose, ne bougeait plus, entre ses bras David gémissait, tremblait et avait le souffle court.
Dadou commençait ensuite une série de vas et vient . David voulu hurler de nouveau mais la main de Dadou empêchait tout bruit de sortir sinon quelques gémissements.
Dadou continuait les mouvements avec de violents coups de rein. Il tenait David fortement alors que celui-ci se contractait, il avait très mal. A ce moment il voulait se dégager mais n'essayait même pas, Dadou ne voulait plus le lâcher, il était fort ... Un moment plus tard qui parut à David une éternité, Dadou concluait dans un râle de plaisir. Il se retirait, lâchait David qui se laissait tomber au sol et se retournait pour le regarder, avec un regard vide.
Dadou reprenait sa douche tout en regardant David avec son sourire charmeur. David avait vraiment mal au cul et n'avait plus la force de bouger, pourtant il ne pouvait se retenir de lui rendre son sourire.
Dadou : Dis donc Msieu David, t'es un sacré bon coup toi, on a du te le dire souvent . Je crois que je t'ai vidé, t'as l'air complètement à plat. C'est pas une quéquette de PD ça, ( en montrant sa queue). Mais tu vas pas rester là, attends, je vais m'occuper de toi.
Il soulevait a nouveau David sans efforts, l'appuyait contre le mur et commençait à le doucher mais avec beaucoup de tendresse et de douceur. David le laissait faire tout en lui caressant les bras et le torse, ses jambes tremblaient, il ne tenait pas debout et aurait été incapable de marcher. Il avait vraiment très mal au cul. Il était à la fois horrifié et fasciné par ce qu'il venait de faire.
Dadou terminait de doucher David qui peu à peu retrouvait figure humaine.
Dadou : Faut pas rester là Msieu David, les autres vont pas tarder à arriver, tu veux que je te ramène à ta chambre. Je suis fort Msieu David tu sais je peux te porter sans effort.
David parvenait finalement, d'une démarche mal assurée, a retourner jusqu'à sa chambre. Dadou avait choisi de l'accompagne, lui qui sait être si viril et même violent, sans aucune douceur ni aucune tendresse, se montrait maintenant sous un tout autre visage, doux et attentionné. Un peu avant d'arriver a la maison, les jambes de David commençaient à l'abandonner. Dadou, sans hésiter et sans efforts le soulevait du sol, le jetait sur son épaule et continuait ainsi jusqu'à sa chambre ou il le déposait en douceur sur le lit.
Dadou : T'as besoin de quelque chose Msieu David, tu me dis, ... En tous cas t'es un sacre bon coup toi. Moi j'aime bien les ptits culs étroits qui ne demande qu'à se faire élargir. Ouais t'es un sacré bon coup ! On pourra recommencer quand tu veux ! Tu me dis !
David ne répondait pas il le regardait, il appréciait davantage cette personnalité plus douce et attentionnée, et le revoyait un peu plus tôt ... Dans le sexe ce petit gars avec un sourire d'ange était en fait un démon.
Dadou : Je vais te chercher, à boire, Msieu David, si tu veux quelque chose, tu me dis...
Quand Dadou revenait avec une bouteille d'eau et un verre, David s'était endormi .
David se réveillait, il faisait déjà nuit, surpris, il se relevait brusquement, une violente douleur au fesses lui rappelait ses expériences de l' après-midi, il regardait l'heure ,18h30, c'est vrai que le soleil se couche très tôt sous ces latitudes. La température semblait baisser et était presque supportable. Il se rafraîchissait sous une douche froide rapide, et se prit a se demander a quoi pouvait servir le robinet d'eau chaude ... Son anus lui faisait toujours mal mai tout semblait en ordre. Il enfilait juste un pantalon en toile large et une chemise légère, des sandales mais pas de sous vêtements, moins on a de trucs sur le dos mieux on se porte.
Il approchait de la bâtisse principale, son grand père Philippe était assis en terrasse, un apéritif devant lui sur une table, il semblait lire un courrier. David prenait place face a son grand père, hésitant, il avait toujours mal au cul.
Philippe : Alors bonhomme, bien dormi ? Le soir c'est le meilleur moment de la journée, la température baisse un peu, on peut se détendre. Demain matin debout à cinq heure, pour profiter de la fraîcheur, à midi la chaleur est trop forte, on se met au frai ou on peut et on sieste. Ok, demain je te fait visiter le coin ...
David n'arrêtait pas de gigoter sur sa chaise tout en faisant des grimaces sans même s'en rendre compte.
David : Ok demain cinq heures.
P : On va manger dans un petit moment, les gars préparent le repas. J'ai reçu un courrier, nous aurons un invite, un jeune de ton âge, sa mère, une vieille amie, m'a fait parvenir un petit cadeau qu'il faudra lui donner le jour de son anniversaire...
D : Je me sers un petit apéritif.
P : Vas y fils, mais qu'est ce que tu as à gigoter comme ça ? Tu as mal quelque par, tu as mal au cul ou quoi ? Tu as fait quoi cet après-midi ?
David devenait tout rouge de confusion, il regardait vers le groupe d'hommes qui préparaient le repas dans une joyeuse pagaille bruyante, et apercevant Dadou son trouble ne fit qu'augmenter. Philippe remarquait ces regard, mais il n'osait pas encore comprendre. Quand Dadou s'approchait des deux hommes avec les couverts pour préparer la table, David baissait la tète, visiblement gêné.
Dadou : Le repas sera près dans dix minutes Msieu Philippe, tu vas bien Msieu David ? Si tu as besoin de quelque chose Msieu Philippe, tu me dis .
David n'osait pas relever la tète pour répondre, il était rouge de confusion, et il remarquai que sous son pantalon de toile Dadou ne portait certainement pas de sous vêtement. Il ne relevait la tète que quand le jeune homme s'était éloigné. Philippe, son grand père le regardait droit dans les yeux.
P : David, pourrais-tu me dire exactement ce que tu as fait aujourd'hui ?
David soupirait longuement, puis tout en continuant à gigoter sur sa chaise, racontait rapidement, sans entrer dans les détails . Médusé, le grand père écoutait.
P : Je ne savait pas que tu était porté sur le cul, gay passif, c'est pour ça que tu voulais porter une PK ... Raconte, tu as eut beaucoup de copains comme ça ...
D : En fait , c'était la première fois. Et tu peux me croire, ça fait mal, vraiment mal.
P : Et il t'a vraiment pénétré ?
D : Et je l'ai senti passé ! Tu peux me croire !
David continuait à gigoter sur sa chaise. Son grand père se levait, là il ne rigolait plus.
P : Viens avec moi, il faut que je vois quelque chose .
Le ton était sec, David compris tout de suite que là, on ne rigolait plus et qu'il valait mieux obtempérer. Philippe entraînait son petit fils dans son bureau et tout en fermant la porte lui demandais de baisser son pantalon et de se pencher en avant. David hésitait un instant puis s'exécutait. Philippe se penchait pour observer de plus près, délicatement écartait les fesses pour examiner l'anus de David qui grimaçait et poussait un léger gémissement. Puis se relevant...
P : Tu m'étonne si tu as mal au cul mon gars... Il t'a bien éclaté la rondelle, il fallait en vouloir pour encaisser ça ... pour une première fois ... Bon ce n'est pas grave, je vais te donner une pommade et dans quelques jour tu pourras recommencer, attends un peu tout de même, ça aurait pu être pire. Une déchirure sérieuse, et tu te retrouvais à l'hôpital. Et ici les hôpitaux ...
Philippe prenait la pomade et lui appliquait tout en lui expliquant comment l'utiliser. L'effet était immédiat, déjà David n'avait plus mal ! Puis les deux hommes retournaient en discutant vers la terrage pour souper, David se sentait mieux, et commençait à avoir faim.
P : C'était la première fois tu dis ... Tu sais il faut toujours commencer par des trucs plus petits. Ensuite tu passes à plus gros ... Toi évidemment tu ... Tiens c'est comme quand tu essaye une PK, tu la mets un jour et tu la garde toujours ... Là c'est pareil, tu veux te faire défoncer le cul, tu te tape un mec qui est monté comme un âne ... Et en plus , je connais le bestiaux, dans le sexe, c'est pas un tendre !
D : C'était pas prémédité, et puis comment tu sais que c'est pas un tendre, a le voir comme ça on dirait un ange ...
P : J'ai plus d'expérience que toi ... Et puis c'est vrai, on dirait un ange, il est adorable, mais dans le sexe, c'est un violent ... Comme premier mec tu aurais du choisir ... Marc par exemple, il est viril, doux, bien monté mais la c'est raisonnable ...
David ne savait plus quoi dire ... La relation de David avec son grand père était en train de changer, il devenait un ami, une confident, un conseiller ... Il l'appréciait de plus en plus .
Ils arrivaient a la terrasse, un jeune homme de peut être trente ans venait d'apporter le repas et terminait de mettre la table. Il avait une bonne tète un silhouette mince mais musclée tout de même. D'un air malicieux Philippe le présentait.
P : Je te présente Marc, qui est le plus ancien ici, à mon service, depuis plus de dix ans. Vous devriez vous entendre, si tu as besoin de quelque chose, n'hésite pas à lui demander.
David rougi, il saisissait l'allusion, (Marc aussi, surtout que Dadou avait raconté ses exploits a tout le monde).
D : Bonjour Marc.
Marc : Bonjour Msieu David, ta première journée parmi nous a été agréable j'espère.
David attendait que Marc s'éloigne, pour demander a son grand père ...
D : Tu penses qu'il est au courant?
P : Je pense que Dadou n'a pas manquer de raconter ses exploits a TOUS les autres. Ils étaient tous au courant avant moi ... C'est sur !
Après le repas, les deux hommes restaient à discuter de choses et d'autres.
D : Les gars qui travaillent ici, ils sont tous ...
P : Tous gay, oui tu peut le dire, tous gay comme toi, comme moi ! Ils sont tous actifs contrairement à nous mais certains sont également passifs, comme toi, comme moi.
D : T'as couché avec plusieurs d'entre eux ?
P : Tous !
D : Tous ?
P : Pas tous en même temps, mais tous, oui !
P : Pour eux cet endroit est une sorte de refuge, certains on été persécutés, brutalisés, rejetés par leur familles … Ici c'est comme une nouvelle famille, d'habitude on mange tous ensemble, ce soir c'est pour te laisser le temps de t'acclimater...
La discussion touchait aussi d'autres sujets ...
P : J'avais prévu une grande balade à cheval pour demain à l'aube mais , je pense qu'il serait préférable de ... Tu as toujours mal.
D : Non j'ai plus du tout mal, elle est super ta pommade ...
P : On évitera le cheval pendant plusieurs jours, c'est plus sûr ...
Le ciel était d'une grande clarté et la course des étoiles offrait un spectacle de rêve. La table était nettoyée, il n'y restait que la bouteille de vin et deux verres. Le groupe des employés ne faisait plus de bruit et à la demande de Philippe, Thom était venu les rejoindre, il avait emmené son verre. Les trois hommes terminaient sans se presser la bouteille de vin ...
P : Nous aurons un invité la semaine prochaine.
T : Un jeune ou une personne plus âgé ?
P : Il doit avoir vingt ans ou à peine plus.
T : Je pense Philippe qu'on pourrait le loger dans le petit pavillon, si David n'y voit pas d'objections.
D : Je suis pour, la maison est grande pour moi tout seul.
P : Il s'appelle Will.
David finissait par aller se coucher, sur la route il rencontrait Marc qui lui lançait.
M : Bonsoir Msieu David, tout vas bien ? Si tu as besoin de quelques chose, tu n'hésites surtout pas. Appelles moi .
En arrivant dans sa chambre David se demandait si Thom n'allait pas terminer la nuit dans le lit de son grand père.
Décidément, la chaleur c'était pas que le climat. Ici les mecs aussi étaient chauds ! Chaleur Chaleur...
Le lendemain matin, David se réveillait un peu avant six heures.
D : Mince ! On avait dit cinq heures !
Sans plus attendre il passait un pantalon en toile et fonçait vers la Maison du Maître , sur le chemin il rencontrait un homme qu'il ne connaissait pas, en le voyant approcher, il se dit ''Ouah, celui-là il est vraiment balèze ! '' . Plus l'homme approchait plus il semblait balèze. Au final David se retrouvait face à un géant de plus deux mètres de haut. Depuis son petit mètre soixante dix, David se sentait tout petit et terriblement impressionné, il se sentait tout frétillante, un peu comme une vierge le soir de sa nuit de noces avec une équipe de rugbyman, il le regardait en penchant sa tête en arrière de plus en plus, il était en fait comme attiré et sans s'en rendre compte continuait a s'approcher jusqu'à le toucher. Là il réagissait et reculait d'un pas, le souffle court. Ce géant avait une bonne tête, un sourire amusé par le trouble et la maladresse de David, une très belle musculature mais pas hypertrophiée.
Camel : Bonjour Msieu David, j'allais voir si tu dormais toujours. Je vois que tu es en forme. On t'attend . Moi c'est Camel je suis heureux de faire ta connaissance.
Les deux hommes marchaient l'un à coté de l'autre, David ne pouvais détacher son regard de ces muscles, ces bras, ce torse ... Camel portait un pantalon de toile et on pouvait voir distinctement une forme allongée de grosse taille se balancer à chaque pas entre ses jambes. Là David était vraiment en chaleur et il se disait qu'on devait se sentir bien dans ces bras... Chaleur ...
Ils arrivaient a la terrage, tout le monde lui lançait un ''Bonjour Msieu David'' auquel il répondait par un ''Salut à tous'' avec un geste de la main.
Son grand père s'approchait l'embrassait pour lui dire bonjour, puis.
Philippe : Alors on avait dit cinq heures ...
David : (Sans lâcher Camel des yeux) Oui !
Philippe : Et tu as rencontré Camel ?
David : (toujours les yeux rivés sur Camel) Oui !
Philippe : Tu ne connaissais pas encore Camel ?
David : (sans changement) Oui !
Philippe : Et tu craques complètement pour lui ?
David : (toujours pareil) Oui !
Puis semblant se réveiller.
David : Ah grand père, (David embrassait son grand père) bonjour , ça va ? Tu disait quelque chose ... ?
Philippe : (l'air désabuse ...) Non … ! Viens prendre ton petit déjeune, après ça ira mieux ...
Tandis que David se servait ...
Philippe : Il faut que je te dise, pour Camel ...
David : Il est bien, non, oui ...
Philippe : Il est très bien , mais ...
David : Il mesure combien ?
Philippe : 2m05, mais c'est pas ça ...
David : Il pèse combien ? Il est balèze ! Il fait de la muscu ?
Philippe : David , on se calme , Dadou a cote de Camel, c'est une petite bite ... !
David : (Prenant un air détendu) Bon ça va là, j'ai entendu, et je suis pas le seul ...
Philippe se retournait l'air con, tous les six le regardaient avec un léger fou rire. On entendit la voix de Dadou : ''Bon ça va, on sait que c'est lui qui a plus grosse...''. Camel ne savait plus ou se mettre, et pour garder une certaine contenance, balançait son bassin d'avant en arrière a l'intention de David, il ne portait pas de sous vêtement, puis il exhibait son manche un instant, toujours pour David qui avait les yeux qui lui ressortaient de la tête, c’était énorme, au repos c’était presque la taille de Dadou en action ... Tout le monde se marrait, sauf David qui restait tétanisé .
Philippe :(a l'oreille de son petit fils) 26cm en action, c'est pas pour les débutants, t'es pas de taille, Dadou ne dépasse pas les 22cm ... Alors ... ( se retournant vers le gros de la bande, d'une voie plus forte) Bon un peu de tenue s'il vous plaît les gars ! Viens par ici David que je te présente aux derniers que tu connais pas ... Voila Boubou, c'est le cuisinier, et Raffi . Voila tu connais toute l’équipe qui s'occupe du domaine.
David et les deux derniers se saluaient. Boubou était un tout petit bonhomme d'environ 1m60, d'un physique sec pas plus de 60 kg, musclé nerveux, la trentaine. Raffi était le dernier arrive dans l’équipe moins d'un an plus tôt, c’était le plus jeune, il n'avait pas vingt ans, 1m80 environ belle corpulence.
David remarquai que tout le monde était habille pareil, un pantalon en toile légère et des sandales, personne ne portait de sous vêtement et chacun semblait prendre un véritable plaisir à laisser percevoir le mouvement de balancier de leur membre viril sous le tissus de leur pantalon ... Chaleur Chaleur.
Philippe : ( prenant la parole ) Grande nouvelle . Les caisses que nous attendons sont en route, mais le camion est coincé à la sortie du village, il faudrait aller le chercher et lui montrer la route ....
Tous les bras se levèrent '' Moi j'y vais''... '' Non moi ...'' . Ça doit être important se dit David, ils sont tous volontaires ! Philippe choisissait Camel .
Philippe : Camel, prend la moto et emmène le ptit, ça lui fera prendre l'air.
David se retrouvait quelques instants plus tard, sur une moto, Camel conduisait et lui dit avant de partir : '' Accroches toi bien a moi, je voudrais pas te laisser sur la piste, ça pourrait être dangereux.''. Les deux hommes étaient torse nue, et pour David ce fut un plaisir, il sentait la musculature avantageuse du géant, sa peau était douce comme de la soie et par moment se surprenait à la caresser. Camel ne semblait pas s'en offusquer, par moment il semblait lui aussi caresser la main ou le bras de son petit camarade. Un peu avant d'arriver a destination, Camel faisait une petite pause pour ... pisser un coup. David se rendait compte que, en fait Camel bandait, et que c'était pas discret surtout qu'il ne portait pas de sous vêtements... David admirait de profil son camarade qui faisait semblant de pisser essayant de se calmer, il se disait : '' C'est moi qui l'ai mis dans cet état ! ... C'est vraiment énorme ! ... Je savais pas que ça pouvait être aussi gros ... Mon dieu ce garçon est vraiment trop beau ... Si j'avais pas mon dispositif, sûr, je serais dans le même état !''. Ils arrivaient finalement au village, un gros camion attendait, le chauffeur s'était endormi, tout allait bien il était seulement perdu. David montait dans le camion et tout le monde rentrait a la propriété, Camel ouvrait le chemin avec sa moto. Ils arrivaient un peu avant dix heures, tous les gars attendaient, le travail n'avait jamais été fait aussi vite, tous voulaient être libre pour le reste de la journée.
Le camion était à peine garé que tous les gars sautaient dedans pour le décharger... ''Ce doit être important '' se dit David qui décidait de les aider. Le chauffeur, lui, allait voir Philippe qui lui offrait un bon repas et lui proposait un coin pour dormir, il avait conduit une bonne partie de la nuit.
Au début de l’après midi toutes les caisses étaient déchargées et rangées sur un terrain prévu à cet effet derrière la maison de David, a proximité de la maison des employés. Mais David ne savait toujours pas de quoi il s'agissait ...
La chaleur devenait étouffante et il préférait faire une pause sieste, il entrait dans la douche pour se rafraîchir, quelques instant après Camel entrait à son tour, et sans faire de bruit alors que David les mains appuyées sur le mur laissait ruisseler l'eau fraîche sur son corps, Camel s'approchait et prenait David dans ses bras, il se penchait pour l'embrasser dans le coup. David ne l'avait pas entendu venir, mais il l'avait reconnu, il l'avait deviné. Le géant enlaçait David de ses bras énormes, il le caressait avec une extrême douceur. David se retournait et passait ses bras autour du coup de Camel, qui le soulevait toujours en douceur, au sens propre comme au figuré, David ne touchait plus le sol ... Il passait ses jambes autour des hanches du géant qui continuait à le caresser et à l'embrasser... Camel reposait David, ce dernier se retrouvait faces à cet énorme pénis, un peu plus long et un peu plus épais que celui qui la veille ...
David : C'est énorme, je ne sais pas si je ...
Camel le faisait taire en l'embrassant tendrement. David était aux anges, il se sentait bien, ce géant était une montagne de chair de muscle de tendresse et de douceur. David n'était qu'un petit jouet dans de tels bras qui pouvaient le soulever le retourner le jeter en l'air le casser en plusieurs morceaux sans efforts, mais l’extrême douceur de son camarade le rassurait, il se sentait en totale sécurité dans ces bras là.
David se penchait et commençait à sucer comme il pouvait le pénis de Camel qui ne dissimulait pas son plaisir, c'était vraiment gros, Camel dirigeait David avec ses deux mains placées de chaque coté de sa tête. Ces deux mains n'exerçait aucune pression, David restait libre de ses mouvements, Camel ne le poussait pas à avaler sa queue. David avalait aussi profond qu'il pouvait, Camel l'accompagnait avec douceur tout en gémissant de plaisir, David caressait des deux mains la queue qui lui était offerte, sa grande taille se prêtait bien a cette manipulation à deux mains... Camel s’asseyait sur un banc les jambes bien écarter pour offrir sa queue au petit David qui profitait de la position pour la caresser, la masser la sucer , il passait longuement sa langue sur le gland. La respiration de Camel devenait plus forte et il caressait plus fortement la nuque de David sans pour autant le forcer à avaler sa queue.
Camel : Oui vas y, c'est bon, je vais jouir, oui.
Camel éjaculait. David qui continuait à masser sa bite se prenait tout dans la figure, il était fasciné et ne tentait même pas d'éviter le jet. A genoux David regardait Camel avec un grand sourire le visage recouvert de sperme. Camel se plaçait à genoux devant son petit camarade, embrassait son visage léchait le sperme puis l'embrassait tendrement sur la bouche. David vivait un rêve, le goût du sperme sur sa langue était un régal. Camel continuait jusqu'à ce que toute trace de sperme ait disparu... Il avait pris David dans ses bras et celui-ci s'abandonnait totalement à cette étreinte... Se relevant tout en soulevant David.
Camel : Maintenant c'est ton tour ...
Disant cela il reposait délicatement son petit camarade sur le dos, une serviette sous la tête, et commençait à lui caresser les cuisses tout en lui embrassant les téton et le ventre. Il lui glissait sa mains entre les cuisses et dirigeait, toujours avec douceur, un doigt ver son anus.
David se contractait et posait une main crispée sur celle de Camel. Celui ci retirait sa main, lui caressait le ventre, l'embrassait en disant .
Camel : Tu n'es pas prêt, tu sais, moi je te ferai pas mal ... un autre jour ...
Plus tard David se dirigeait vers sa chambre, il était pensif ... La veille il était puceau, totalement puceau, jamais aucun flirt, il n'avait jamais embrassé un garçon (ni aucune fille), il n'aurait jamais eut l'idée de s'introduire un gode dans le cul, il n'avait jamais pris un homme (ou une fille) dans ses bras, et aujourd'hui ...
'' Je vais pas regretter mon voyage moi ! '' se dit-il !
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