LES AVENTURES DE DJE Ep 73 : UN CLUB PRIVE 01
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LES AVENTURES DE DJE Ep 73 : UN CLUB PRIVE 01
LES AVENTURES DE DJEEp 73 : UN CLUB PRIVE 01
Je roulais tranquillement à travers le continent, il y a de très belles régions et après plusieurs hôtel et de nombreux kilomètres j'arrivais dans une très jolie vallée. Au fond, tout au fond de la vallée coulait une rivière. Je m'arrêtais un moment près d'un pont. Je descendais de ma voiture, il faisait chaud, très chaud au fond de cette vallée, le soleil était haut dans le ciel.
Je me disais qu'en hiver il devait y faire froid, très froid. Les montagnes de chaque côtés de la vallée étaient hautes et resserrées, la vallée était étroite et en hiver quand le soleil était plus bas sur l'horizon il ne devait pas éclairer beaucoup le fond de la vallée et le côté Sud devait être toujours à l'hombre.
Je pensais à ce micro climat qui aujourd'hui m'offrais un chaleur d'été et cette rivière fraîche et son eau pure, un violente envie de me rafraîchir. Le coin était tranquille, il n'y avait personne aussi je décidais de retirer mes vêtements et de faire un plongeon. Il ne me fallait pas longtemps, j'avais sur moi un T-shirt, deux chaussures légères et un pantalon de toile souple. Il ne me fallait que quelques secondes pour me retrouver nu … Je ne sais plus si je vous l'ai dit mais je ne porte pas de sous vêtements, j'aime bien voyager léger... Et puis on peut dis que si, d'une certaine manière j'ai un sous vêtement … Le dispositif de chasteté dont je ne me sépare jamais …
L'eau était froide et j'étais saisi. Saisi et revigoré, je nageais, remontais sur la berge et plongeais pendant un long moment, jusqu'à ce que, sortant la tête hors de l'eau j'étais surpris par l'apparition d'une silhouette sur le pont.
C'était un homme jeune, il était étrangement habillé. Il avait un pantalon en toile un peu comme ceux qu'on imaginerait sur Astérix le gaulois, et une tunique qui semblait de la même origine mais le tout dessiné avec talent et élégance. Des espadrille aux pieds et un chapeau de paille sur la tête, l'étrange personnage me surprenait et ma faisait un grand sourire.
Titi : Salut, moi on m'appelle Titi ! Il fait chaud, un bain ça rafraîchi …Moi : Oui il fait chaud, moi c'est Djé !
Titi : Je crois que je faire comme toi tiens !
Il retirait rapidement ses vêtements, apparemment lui aussi aimait voyager léger. En quelques secondes il était à poil et plongeait directement depuis le pont. Je n'aurais pas osé, de peur de m'éclater le crâne sur le fond mais il connaissait le coin et savait qu'à cet endroit il y avait assez de fond.
J'avais comme l'impression, je n'étais pas sûr, il m'avait sembler voir un petit éclair, un truc brillant sur Titi au moment ou il plongeait, juste entre ses jambes. Un dispositif de chasteté en métal brillant, ça devait être ça. Une fois dans l'eau je pouvais constater que c'était bien une dispositif de chasteté en métal. C'était même le modèle de chasteté que mon pote Antoine et moi avions dessiné. Mais c'est que ce dispositif devient de plus en plus populaire.
Titi : Il y a de plus en plus de porteurs depuis quelques temps !
Moi : Et toi tu le porte depuis longtemps ce truc ?
Titi : Quelques mois, et toi ?
Moi : Un peu plus de quelques mois, beaucoup plus même !
On continuait la discussion et on faisait connaissance. Il était du monastère, il me disait, un bâtiment très ancien qui avait été restauré il y a quelques année pour devenir un lieu de vacances. Il était sur le côté nord de la vallée. En cette saison c'était un endroit magique, il faisait beau pendant toute la journée, en hiver il était fermé mai là on était en plein été.
Je décidais d'aller voir ce que c'était ce genre de truc. Titi montait avec moi dans la voiture et me montrait la route, il ne nous fallait que quelques minutes pour y arriver. On passait un portail lourd et épais en bois massif. Titi descendait de ma voiture et je l'entendais …
Titi : J'ai trouvé un voyageur qui ne trouvait pas la route …
On me faisait signe de garer la voiture dans un parking ombragé et sécurisé. Le personnel qui me recevait portait un vêtement dans le genre de ces vêtement d'Afrique du Nord, une djellaba, c'est confortable avec cette chaleur, ils portaient tous un chapeau en paille, des sandales, les tenues étaient à la fois simple et confortables …
Une salle d'accueil … un guichet … C'était un hôtel, en tous cas c'était un établissement qui en assurait les fonctions. Un club peut être aussi mais un club privé alors. On ne pouvait y accéder que si on y était recommandé par un membre et c'est là que s'est produit le quiproquo.
J'étais venu en compagnie d'un membre et tout naturellement à l'accueil ils ont pensé qu'il me connaissait. C'est ballot, je sais mais je n'ai pas compris tout de suite non plus. Enfin bref grâce à cette petite erreur j'ai été reçu dans le club et j'en suis devenu membre …
J'aurais du avoir un doute quand on m'a demandé si je portais un dispositif de chasteté en permanence, combien je mesurais … Là bien sûr je répondais.
Moi : Un mètre soixante quinze !
Mon interlocuteur pouffait de rire et répondait …
Lui : Je ne parlais pas de cette taille là … ( il rigolait ) Je parlais de la longueur de ta queue !
Oui je sais, là j'aurais du avoir un doute. Mais vous savez, avec la vie un peu débridée que je menais depuis trois ans … Bein si quand même, débridée, c'est pas parce que je porte un dispositif de chasteté en permanence, je me prends des bites … ou des godes … ou des plug … ou des coups de gode-ceinture … dans le cul !
Là j'ai entendu il y en a un au fond qui vient de dire … '' j'y crois pas ! '' … Celui là je l'invite à lire ou à relire les soixante douze épisodes qui précèdent et il verra si c'est des conneries que je raconte là …
J'vous jure c'est du vécu !
Sinon je ne m'appelle pas Djé !
Bon, j'en étais ou ? Ah oui ! Donc forcément quand on me demande la longueur de ma bite je ne me formalise pas, on ne vas pas se formaliser pour si peux ! Donc oui … '' Vingt bons centimètres '' …
Lui : Donc tu portes !
Moi : Mais comment tu le sais ?
Lui : Tu es un marrant toi !
Moi : Bein oui, je peux dire que le plus souvent ça m'amuse de rire !
Lui : Et en largeur ?
Moi : Cinq !
Lui : Ah dommage ! Avec cette largeur tu pourrais presque prétendre à être un actif !
Là je ne comprenait plus tout à fait de quoi il parlait mais ça ne me dérangeait pas vraiment, il rigolait et je rigolais aussi … Donc …
Lui : Donc on disait une taille quatre !
Moi : Tout juste, taille quatre, modèle CTC en titane …Lui : Mais de quoi tu parles ?
Moi : Modèle CTC en titane, c'est le dispositif que je porte.
Lui : Mais le modèle CTC n'existe pas !
Il avait l'air de s'y connaître le gars. Toutefois je ne voulais pas me faire reconnaître aussi …
Moi : J'ai reçu par hasard un modèle expérimental.
Lui : Ah parce que tu portes déjà ?
Moi : Bein oui ! Mais de quoi on parle depuis tout à l'heure.
Lui : Fais voir !
Sans plus de manière je baissais mon pantalon, il jetais un œil.
Lui : Alors je ne t'en propose pas alors ?
Moi : Bein non !
Il devait être d'humeur joyeuse, il continuait à rigoler …
Moi : Et toi alors tu portes ?
Lui : Mais bien sûr !
Il tirait sur son pantalon et me montrait, il avait le même dispositif que moi mais pas en version prototype.
Moi : Tout le monde en porte ici alors.
Lui : ( toujours en rigolant ) Sauf les actifs !
Bein oui je sais bien que les actifs ne portent pas ce genre de dispositif, sinon ils ne sont pas actif mais comme moi en ce moment , et depuis longtemps déjà, ils sont passif ! Mais il avait l'air bien rigolo le mec à l'accueil. Il rigolait tout le temps !
Il me donnait la tenue réglementaire, la djellaba ou une tunique qui s'arrêtait juste au dessus des genoux, les pantoufles et le chapeau de paille que tout le monde portait ici. Je laissais mes affaires personnelles, y compris mon téléphone … J'avais fini par comprendre que c'était une retraite … J'avais tout de même le droit de modifier le message de mon répondeur et de donner le numéro de téléphone d'ici, en cas d'urgence …
On pouvait se changer sur place, ou dans un vestiaire si on préférait. En ce qui me concerne je choisissais le plus simple et le plus rapide à la fois, et c'est le cœur léger que je suivais le petit bonhomme rigolard vers ma cellule …
Lui : Tu est rudement bien foutu toi, tu fais du sport ?
Moi : Oui pas mal, et je suis assez bon !
Les logements étaient spartiates mais ils n'étaient destinés qu'au repos. Un lit, des murs de deux mètres d'épaisseur, si dehors il faisait très chaud, ici il faisait bon. Le lit était très confortable. On m'expliquait que si je voulais changer de vêtement je n'avais qu'à le demander mais que je n'étais de toutes façon pas obligé d'en porter. Seul le chapeau était fortement conseillé ! Mais uniquement à cause du soleil !
Je passais le reste de la journée autour de la piscine, à l'ombre, au soleil, dans l'eau, au sec ( je résume je n'arrêtais pas de bouger quoi ), il y avait un bar étonnant et un barman … j'aurais aimé qu'il ait une bite de plus de 20 centimètres celui là, il était bâti comme un dieu Grec mais à voir le dispositif qu'il portait, il ne taillait que du deux … P'tit bite quoi. Mais le reste du bonhomme, je ne vous dis pas, c'était à en perdre ses cheveux …
Au tout début j'avais pas tout compris, avec l'autre rigolard qui se marrait tout le temps mais, ici, tout le monde était à poil. L'accueil était le seul endroit ou on pouvait croiser des personnes qui portaient un vêtement par nécessite !
C'était cool et je m'y sentais tout de suite parfaitement à mon aise. Le sublime bar-man faisait des cocktail à tomber, sans alcool bien sûr, mais c'était vraiment super bon !
Les repas étaient servis pendant deux heures, ce qui nous laissait le temps de nous décider si on avait faim ou pas, c'était comme on voulait, une ambiance de cantine mais une cuisine de grande qualité, on pouvait manger sur place ou emporter un plateau. Il y avait un sauna, des massages, des activité sportives, des jeux qui allaient depuis les échecs jusqu'au tennis, foot, lutte ( au passage la lutte à poil j'adore ), une projection cinématographique tous les soirs, yoga conférence bien être …
En un mot on pouvait ne rien faire ou faire plein de choses …
Je sympathisais avec mes nouveaux camarades, quelques uns portaient leur dispositif en dehors du club ( comme moi ), pour d'autres c'était une expérience. Il y en avait pour tous les goût !
Le premier soir j'étais épuisé, détendu mais fatigué. Je me retirait dans la cellule relativement tôt. Je m'endormais rapidement en me demandant ou j'étais. Ce matin je n'avais jamais entendu parler de ce lieu, et ce soir j'y étais chez moi …
Il ne devait pas être beaucoup plus de minuit quand on frappait à ma porte. C'était Titi …
Titi : Tu dors déjà ?
Moi : Bein non plus maintenant pourquoi ?
Titi : J'aurais cru que tu voudrais passer dans le jardin de nuit.
Moi : Le jardin de nuit ?
Titi : Bein oui ! Tu ne connais pas ?
Moi : Tu sais, ce matin je ne savais pas que cet hôtel existait alors …Titi : Et ils t'ont laissé entrer ? Ça c'est étonnant ! Pour entrer ici, il faut être parrainé … Moi : Tu ne te souviens pas ? On es venus ensemble !
Titi : C'est bizarre cette histoire ! Bon je vais t'expliquer ! Ici parmi les clients il y a deux catégories, les passifs, comme toi, moi, tous ceux que tu as vu aujourd'hui … Et les actifs …Moi : Les actifs ? Je t'écoute !
Titi : Les actifs ne portent pas de dispositifs de chasteté, ils ont le droit de se vider les couilles si l'opportunité se présente … Moi : Là moi je ne comprends plus rien du tout !
Titi : Ils sont installés dans une autre partie du bâtiment, mais la nuit la porte qui sépare les deux zones sont ouvertes.
Moi : Tu m'intéresses ! Et comment on fait pour choisir lors de l'inscription !
Titi : On ne choisi pas ! On nous le propose ou on ne nous le propose pas ! Il faut dépasser vingt deux ou vingt trois centimètres … Moi : C'est pour ça qu'il m'a demandé combien je mesurais … Je commence à comprendre.
Titi se levait et me regardant bien dans les yeux …
Titi : Alors tu restes ici ou tu me suis ?
Moi : Attend je passe ma tunique et …
Il rigolait en me regardant, il était à poil et c'est vrai que la tunique je ne l'avais portée qu'à mon entrée … Je me levais et je le suivais. On descendait jusqu'à la piscine, le bar était fermé mais au bout de la piscine les transats avaient disparus, et entre les arbres les haies avaient disparues. Ce qui était un cul de sac était devenu une immense entrée vers … Je me demandais vers quoi !
C'était un jardin qui dans la nuit paraissait magique, il y avait des lampes de faible puissance un peu partout, on ne distinguait pas seulement les silhouettes on pouvait distinguer les corps, et distinguer tous les détails des corps. Je sentais ma queue protester à la première silhouette qui passait devant moi, le dispositif de chasteté se redressait avec force et même avec violence. Si cette érection soudaine n'était pas douloureuse c'est uniquement à cause de l'extrême confort que garantissait mon dispositif.
Titi me caressait les couilles puis le bas du mon ventre, je le laissais faire.
Titi : Tu pourrais presque faire partie des actifs toi, je me trompe ?
Moi : Pas sûr, mais c'est possible.
Plus loin, il y avait un panneau étrangement éclairé, il semblait diffuser ou réfléchir une très faible lumière, on pouvait toutefois y lire … '' Regardez . Choisissez . Consommez '' … Encore un coup de pied au cul de la probité et de la morale telle qu'on l'attend des porteurs …
Je ne vous cacherai pas que là j'étais un peu perdu. Je voyais rapidement passer une homme qui me convenait, il était bien foutu et, surtout, il avait une grosse bite.
Bon d'accord j'en entends encore qui son en train de se dire … '' grosse bite, grosse bite … Il n'y en a que pour les grosse bittes … Pfff '' . Je ne dis pas le contraire mais quand c'est pour se faire enculer … Un grosse bite c'est quand même mieux … Comme le disait une copine à moi, un garçon charmant … '' On n'est pas des gonzesses, quand on se fait enculer, on aime bien le sentir … '' … Non ?
Donc je reprends, celui là il en avait une belle je ne vous dis pas … Oh et puis si je vous le dis finalement, il bandait, ça aurait pu faire peur mais vous devez le savoir … J'ai pas peur de rien et de personne moi ! Je ne lâchais plus des yeux, grand, plus grand que moi et surtout bien monté, mieux monté que moi …
Oui je sais moi en ce moment je ne suis pas vraiment …
Mais bon je vous ai déjà dit que les commentaires désobligeants c'est pas la peine ou j'arrête de raconté moi !
Je le suivais, il le remarquais. Je suis plutôt craquant moi, bien foutu, bien musclé, bien monté … C'est vrai que sur ce dernier point on ne le remarque peut être pas en ce moment mais … Bon … Comme je disais.
Il me remarquais, heureusement sinon j'aurais crisé, et juste sous un de ces lampadaires il se retournait, me regardait et me souriait. Sa queue se relevait fièrement, il y avait de quoi. Sans hésiter une seconde je m'approchais, me mettais à genoux et le suçais. Il semblait surpris de ma rapidité … '' Tu sais ou tu vas et ce que tu veux toi ! ''. Il me tenait la tête avec les deux mains mais sans me forcer, j'en ai pas besoin, en quelques secondes j'enfilais sa queue jusqu'à la garde, je m'écrasais le nez contre son ventre et je sentais son gland s'enfoncer dans ma gorge. Je ne m'attendait pas à ce que la soirée se termine comme ça mais c'était une très bonne surprise, un vrai plaisir.
Il me tenais la tête puis il me la retenait et pour finir il la retenait fort, il ne voulait plus me lâcher et avançait puis reculait son bassin avec douceur, force et régularité. Son mouvement était ample, lent mais ferme. A ce moment il ne s'occupait plus de mes réactions, je n'avais plus le choix, à ce moment je ne pouvais plus que subir.
Rapidement ce n'était plus facile du tout, j'avais du mal à synchroniser ma respiration, je voulais me dégager mais il n'y avait rien à faire. Il me laissait le temps de respirer, juste le temps de respirer et si je tentais de me dégager, à chaque fois que je tentais de me dégager, il me retenait la tête avec force et la tirait vers lui en même temps qu'il balançait son bassin en avant.
Je faisais des bruits bizarres et plus je tentais de me dégager plus il me retenait fermement, plus il me retenait avec force et même avec violence. Je sentais juste derrière moi un homme qui était à genoux également et me donnait des baisers dans le coup, il me caressait et se serrait contre moi. Le pied j'allais me prendre une bite dans le cul. Dans la bouche j'aime bien mais si ça ne se termine pas à un moment ou à un autre par un coup de bite dans le cul il manque quelque chose …
Depuis un moment je ne faisais plus attention à ma queue, et ce contact dans le dos me rappelait que ma queue était toujours sous clé. De nouveau je bandais comme un dingue, mon dispositif se relevais, c'en était gênant, par moment désagréable mais jamais douloureux. Dans mon dos il avançait son bassin se collait à mes fesses et là je devinait la frustration qui allait suivre, il ne m'enculerait pas celui-là, il portait un dispositif de chasteté !
Il me caressait, m'embrassait dans le cou, sur les épaules, dans le dos. Il me mordillait doucement et chaque contacte de ses dents avec ma peau provoquait une contraction de ma queue. Mais elle n'avait pas pour autant plus de place pour se développer …
Je pleurais, pas de tristesse, mais des larmes coulaient des mes yeux, j'avais vraiment beaucoup de mal à avaler cette énorme queue qui entrait et sortait maintenant de plus en plus vite, il ne se retenait plus le gars. Je devinais la présence de plusieurs autres personnes autour de nous mais sans pouvoir toutefois voir s'ils étaient des actifs ou des passifs …
J'avais maintenant vraiment du mal à avaler cette queue, je me concentrais pour garder la bouche ouverte au maximum et le dernier coup de bassin était particulièrement fort au moment ou il giclait dans ma gorge, il tirait alors ma tête violemment vers lui, il retenait ma tête pendant qu'il se vidait les couilles dans ma gorge. A cet instant je ne pouvais plus respirer, je recevais trois giclées de sperme et ma bouche se remplissait du goût de sa semence … Là c'était bon …
Non en fait c'était pas bon du tout, il abusait le mec, je manquais d'air et j'essayais de me dégager, il finissait pas me laisser, par me lâcher. Je retirais ma tête, j'étais en larme, je reprenais mon souffle, je dégustais encore un moment le goût de son sperme. Là c'était bon … Oui là c'était bon !
Mais je restais sur ma fin, je n'avais rien pris dans le cul. Le mec s'était bien amusé avec moi, il n'y avait plus personne autour de nous. Le mec me caressait la joue pendant que je me relevais et m'embrassait goulûment. '' Demain je t'encule '' …
Je me retournais et je voyais Titi, c'était lui qui m'avait pris dans ses bras accroupis derrière moi. Il était en train de se faire défoncer le cul avec vigueur par un mec bien, très bien monté. C'est pas possible ils sont tous montés comme … C'est vrai j'oubliais, il faut être surdimensionné pour pouvoir se dispenser de porter un dispositif de chasteté ici. Je bandais toujours comme un dingue, ma queue protestait et ne voulait pas en rester là. Pas moyen de me calmer ma cage se redressait, ma queue dans un élan de désespoir poussait le dispositif, tirait sur l'anneau cock-ring qui retenait le tout, la pression contre la peau de mes couilles devenait par moment presque douloureuse, à la limite, mais rien ne sortait …
Antoine et moi avions fait du très bon travail, ma queue était dans sa cage et n'avait aucune chance de s'en échapper !
Je roulais tranquillement à travers le continent, il y a de très belles régions et après plusieurs hôtel et de nombreux kilomètres j'arrivais dans une très jolie vallée. Au fond, tout au fond de la vallée coulait une rivière. Je m'arrêtais un moment près d'un pont. Je descendais de ma voiture, il faisait chaud, très chaud au fond de cette vallée, le soleil était haut dans le ciel.
Je me disais qu'en hiver il devait y faire froid, très froid. Les montagnes de chaque côtés de la vallée étaient hautes et resserrées, la vallée était étroite et en hiver quand le soleil était plus bas sur l'horizon il ne devait pas éclairer beaucoup le fond de la vallée et le côté Sud devait être toujours à l'hombre.
Je pensais à ce micro climat qui aujourd'hui m'offrais un chaleur d'été et cette rivière fraîche et son eau pure, un violente envie de me rafraîchir. Le coin était tranquille, il n'y avait personne aussi je décidais de retirer mes vêtements et de faire un plongeon. Il ne me fallait pas longtemps, j'avais sur moi un T-shirt, deux chaussures légères et un pantalon de toile souple. Il ne me fallait que quelques secondes pour me retrouver nu … Je ne sais plus si je vous l'ai dit mais je ne porte pas de sous vêtements, j'aime bien voyager léger... Et puis on peut dis que si, d'une certaine manière j'ai un sous vêtement … Le dispositif de chasteté dont je ne me sépare jamais …
L'eau était froide et j'étais saisi. Saisi et revigoré, je nageais, remontais sur la berge et plongeais pendant un long moment, jusqu'à ce que, sortant la tête hors de l'eau j'étais surpris par l'apparition d'une silhouette sur le pont.
C'était un homme jeune, il était étrangement habillé. Il avait un pantalon en toile un peu comme ceux qu'on imaginerait sur Astérix le gaulois, et une tunique qui semblait de la même origine mais le tout dessiné avec talent et élégance. Des espadrille aux pieds et un chapeau de paille sur la tête, l'étrange personnage me surprenait et ma faisait un grand sourire.
Titi : Salut, moi on m'appelle Titi ! Il fait chaud, un bain ça rafraîchi …Moi : Oui il fait chaud, moi c'est Djé !
Titi : Je crois que je faire comme toi tiens !
Il retirait rapidement ses vêtements, apparemment lui aussi aimait voyager léger. En quelques secondes il était à poil et plongeait directement depuis le pont. Je n'aurais pas osé, de peur de m'éclater le crâne sur le fond mais il connaissait le coin et savait qu'à cet endroit il y avait assez de fond.
J'avais comme l'impression, je n'étais pas sûr, il m'avait sembler voir un petit éclair, un truc brillant sur Titi au moment ou il plongeait, juste entre ses jambes. Un dispositif de chasteté en métal brillant, ça devait être ça. Une fois dans l'eau je pouvais constater que c'était bien une dispositif de chasteté en métal. C'était même le modèle de chasteté que mon pote Antoine et moi avions dessiné. Mais c'est que ce dispositif devient de plus en plus populaire.
Titi : Il y a de plus en plus de porteurs depuis quelques temps !
Moi : Et toi tu le porte depuis longtemps ce truc ?
Titi : Quelques mois, et toi ?
Moi : Un peu plus de quelques mois, beaucoup plus même !
On continuait la discussion et on faisait connaissance. Il était du monastère, il me disait, un bâtiment très ancien qui avait été restauré il y a quelques année pour devenir un lieu de vacances. Il était sur le côté nord de la vallée. En cette saison c'était un endroit magique, il faisait beau pendant toute la journée, en hiver il était fermé mai là on était en plein été.
Je décidais d'aller voir ce que c'était ce genre de truc. Titi montait avec moi dans la voiture et me montrait la route, il ne nous fallait que quelques minutes pour y arriver. On passait un portail lourd et épais en bois massif. Titi descendait de ma voiture et je l'entendais …
Titi : J'ai trouvé un voyageur qui ne trouvait pas la route …
On me faisait signe de garer la voiture dans un parking ombragé et sécurisé. Le personnel qui me recevait portait un vêtement dans le genre de ces vêtement d'Afrique du Nord, une djellaba, c'est confortable avec cette chaleur, ils portaient tous un chapeau en paille, des sandales, les tenues étaient à la fois simple et confortables …
Une salle d'accueil … un guichet … C'était un hôtel, en tous cas c'était un établissement qui en assurait les fonctions. Un club peut être aussi mais un club privé alors. On ne pouvait y accéder que si on y était recommandé par un membre et c'est là que s'est produit le quiproquo.
J'étais venu en compagnie d'un membre et tout naturellement à l'accueil ils ont pensé qu'il me connaissait. C'est ballot, je sais mais je n'ai pas compris tout de suite non plus. Enfin bref grâce à cette petite erreur j'ai été reçu dans le club et j'en suis devenu membre …
J'aurais du avoir un doute quand on m'a demandé si je portais un dispositif de chasteté en permanence, combien je mesurais … Là bien sûr je répondais.
Moi : Un mètre soixante quinze !
Mon interlocuteur pouffait de rire et répondait …
Lui : Je ne parlais pas de cette taille là … ( il rigolait ) Je parlais de la longueur de ta queue !
Oui je sais, là j'aurais du avoir un doute. Mais vous savez, avec la vie un peu débridée que je menais depuis trois ans … Bein si quand même, débridée, c'est pas parce que je porte un dispositif de chasteté en permanence, je me prends des bites … ou des godes … ou des plug … ou des coups de gode-ceinture … dans le cul !
Là j'ai entendu il y en a un au fond qui vient de dire … '' j'y crois pas ! '' … Celui là je l'invite à lire ou à relire les soixante douze épisodes qui précèdent et il verra si c'est des conneries que je raconte là …
J'vous jure c'est du vécu !
Sinon je ne m'appelle pas Djé !
Bon, j'en étais ou ? Ah oui ! Donc forcément quand on me demande la longueur de ma bite je ne me formalise pas, on ne vas pas se formaliser pour si peux ! Donc oui … '' Vingt bons centimètres '' …
Lui : Donc tu portes !
Moi : Mais comment tu le sais ?
Lui : Tu es un marrant toi !
Moi : Bein oui, je peux dire que le plus souvent ça m'amuse de rire !
Lui : Et en largeur ?
Moi : Cinq !
Lui : Ah dommage ! Avec cette largeur tu pourrais presque prétendre à être un actif !
Là je ne comprenait plus tout à fait de quoi il parlait mais ça ne me dérangeait pas vraiment, il rigolait et je rigolais aussi … Donc …
Lui : Donc on disait une taille quatre !
Moi : Tout juste, taille quatre, modèle CTC en titane …Lui : Mais de quoi tu parles ?
Moi : Modèle CTC en titane, c'est le dispositif que je porte.
Lui : Mais le modèle CTC n'existe pas !
Il avait l'air de s'y connaître le gars. Toutefois je ne voulais pas me faire reconnaître aussi …
Moi : J'ai reçu par hasard un modèle expérimental.
Lui : Ah parce que tu portes déjà ?
Moi : Bein oui ! Mais de quoi on parle depuis tout à l'heure.
Lui : Fais voir !
Sans plus de manière je baissais mon pantalon, il jetais un œil.
Lui : Alors je ne t'en propose pas alors ?
Moi : Bein non !
Il devait être d'humeur joyeuse, il continuait à rigoler …
Moi : Et toi alors tu portes ?
Lui : Mais bien sûr !
Il tirait sur son pantalon et me montrait, il avait le même dispositif que moi mais pas en version prototype.
Moi : Tout le monde en porte ici alors.
Lui : ( toujours en rigolant ) Sauf les actifs !
Bein oui je sais bien que les actifs ne portent pas ce genre de dispositif, sinon ils ne sont pas actif mais comme moi en ce moment , et depuis longtemps déjà, ils sont passif ! Mais il avait l'air bien rigolo le mec à l'accueil. Il rigolait tout le temps !
Il me donnait la tenue réglementaire, la djellaba ou une tunique qui s'arrêtait juste au dessus des genoux, les pantoufles et le chapeau de paille que tout le monde portait ici. Je laissais mes affaires personnelles, y compris mon téléphone … J'avais fini par comprendre que c'était une retraite … J'avais tout de même le droit de modifier le message de mon répondeur et de donner le numéro de téléphone d'ici, en cas d'urgence …
On pouvait se changer sur place, ou dans un vestiaire si on préférait. En ce qui me concerne je choisissais le plus simple et le plus rapide à la fois, et c'est le cœur léger que je suivais le petit bonhomme rigolard vers ma cellule …
Lui : Tu est rudement bien foutu toi, tu fais du sport ?
Moi : Oui pas mal, et je suis assez bon !
Les logements étaient spartiates mais ils n'étaient destinés qu'au repos. Un lit, des murs de deux mètres d'épaisseur, si dehors il faisait très chaud, ici il faisait bon. Le lit était très confortable. On m'expliquait que si je voulais changer de vêtement je n'avais qu'à le demander mais que je n'étais de toutes façon pas obligé d'en porter. Seul le chapeau était fortement conseillé ! Mais uniquement à cause du soleil !
Je passais le reste de la journée autour de la piscine, à l'ombre, au soleil, dans l'eau, au sec ( je résume je n'arrêtais pas de bouger quoi ), il y avait un bar étonnant et un barman … j'aurais aimé qu'il ait une bite de plus de 20 centimètres celui là, il était bâti comme un dieu Grec mais à voir le dispositif qu'il portait, il ne taillait que du deux … P'tit bite quoi. Mais le reste du bonhomme, je ne vous dis pas, c'était à en perdre ses cheveux …
Au tout début j'avais pas tout compris, avec l'autre rigolard qui se marrait tout le temps mais, ici, tout le monde était à poil. L'accueil était le seul endroit ou on pouvait croiser des personnes qui portaient un vêtement par nécessite !
C'était cool et je m'y sentais tout de suite parfaitement à mon aise. Le sublime bar-man faisait des cocktail à tomber, sans alcool bien sûr, mais c'était vraiment super bon !
Les repas étaient servis pendant deux heures, ce qui nous laissait le temps de nous décider si on avait faim ou pas, c'était comme on voulait, une ambiance de cantine mais une cuisine de grande qualité, on pouvait manger sur place ou emporter un plateau. Il y avait un sauna, des massages, des activité sportives, des jeux qui allaient depuis les échecs jusqu'au tennis, foot, lutte ( au passage la lutte à poil j'adore ), une projection cinématographique tous les soirs, yoga conférence bien être …
En un mot on pouvait ne rien faire ou faire plein de choses …
Je sympathisais avec mes nouveaux camarades, quelques uns portaient leur dispositif en dehors du club ( comme moi ), pour d'autres c'était une expérience. Il y en avait pour tous les goût !
Le premier soir j'étais épuisé, détendu mais fatigué. Je me retirait dans la cellule relativement tôt. Je m'endormais rapidement en me demandant ou j'étais. Ce matin je n'avais jamais entendu parler de ce lieu, et ce soir j'y étais chez moi …
Il ne devait pas être beaucoup plus de minuit quand on frappait à ma porte. C'était Titi …
Titi : Tu dors déjà ?
Moi : Bein non plus maintenant pourquoi ?
Titi : J'aurais cru que tu voudrais passer dans le jardin de nuit.
Moi : Le jardin de nuit ?
Titi : Bein oui ! Tu ne connais pas ?
Moi : Tu sais, ce matin je ne savais pas que cet hôtel existait alors …Titi : Et ils t'ont laissé entrer ? Ça c'est étonnant ! Pour entrer ici, il faut être parrainé … Moi : Tu ne te souviens pas ? On es venus ensemble !
Titi : C'est bizarre cette histoire ! Bon je vais t'expliquer ! Ici parmi les clients il y a deux catégories, les passifs, comme toi, moi, tous ceux que tu as vu aujourd'hui … Et les actifs …Moi : Les actifs ? Je t'écoute !
Titi : Les actifs ne portent pas de dispositifs de chasteté, ils ont le droit de se vider les couilles si l'opportunité se présente … Moi : Là moi je ne comprends plus rien du tout !
Titi : Ils sont installés dans une autre partie du bâtiment, mais la nuit la porte qui sépare les deux zones sont ouvertes.
Moi : Tu m'intéresses ! Et comment on fait pour choisir lors de l'inscription !
Titi : On ne choisi pas ! On nous le propose ou on ne nous le propose pas ! Il faut dépasser vingt deux ou vingt trois centimètres … Moi : C'est pour ça qu'il m'a demandé combien je mesurais … Je commence à comprendre.
Titi se levait et me regardant bien dans les yeux …
Titi : Alors tu restes ici ou tu me suis ?
Moi : Attend je passe ma tunique et …
Il rigolait en me regardant, il était à poil et c'est vrai que la tunique je ne l'avais portée qu'à mon entrée … Je me levais et je le suivais. On descendait jusqu'à la piscine, le bar était fermé mais au bout de la piscine les transats avaient disparus, et entre les arbres les haies avaient disparues. Ce qui était un cul de sac était devenu une immense entrée vers … Je me demandais vers quoi !
C'était un jardin qui dans la nuit paraissait magique, il y avait des lampes de faible puissance un peu partout, on ne distinguait pas seulement les silhouettes on pouvait distinguer les corps, et distinguer tous les détails des corps. Je sentais ma queue protester à la première silhouette qui passait devant moi, le dispositif de chasteté se redressait avec force et même avec violence. Si cette érection soudaine n'était pas douloureuse c'est uniquement à cause de l'extrême confort que garantissait mon dispositif.
Titi me caressait les couilles puis le bas du mon ventre, je le laissais faire.
Titi : Tu pourrais presque faire partie des actifs toi, je me trompe ?
Moi : Pas sûr, mais c'est possible.
Plus loin, il y avait un panneau étrangement éclairé, il semblait diffuser ou réfléchir une très faible lumière, on pouvait toutefois y lire … '' Regardez . Choisissez . Consommez '' … Encore un coup de pied au cul de la probité et de la morale telle qu'on l'attend des porteurs …
Je ne vous cacherai pas que là j'étais un peu perdu. Je voyais rapidement passer une homme qui me convenait, il était bien foutu et, surtout, il avait une grosse bite.
Bon d'accord j'en entends encore qui son en train de se dire … '' grosse bite, grosse bite … Il n'y en a que pour les grosse bittes … Pfff '' . Je ne dis pas le contraire mais quand c'est pour se faire enculer … Un grosse bite c'est quand même mieux … Comme le disait une copine à moi, un garçon charmant … '' On n'est pas des gonzesses, quand on se fait enculer, on aime bien le sentir … '' … Non ?
Donc je reprends, celui là il en avait une belle je ne vous dis pas … Oh et puis si je vous le dis finalement, il bandait, ça aurait pu faire peur mais vous devez le savoir … J'ai pas peur de rien et de personne moi ! Je ne lâchais plus des yeux, grand, plus grand que moi et surtout bien monté, mieux monté que moi …
Oui je sais moi en ce moment je ne suis pas vraiment …
Mais bon je vous ai déjà dit que les commentaires désobligeants c'est pas la peine ou j'arrête de raconté moi !
Je le suivais, il le remarquais. Je suis plutôt craquant moi, bien foutu, bien musclé, bien monté … C'est vrai que sur ce dernier point on ne le remarque peut être pas en ce moment mais … Bon … Comme je disais.
Il me remarquais, heureusement sinon j'aurais crisé, et juste sous un de ces lampadaires il se retournait, me regardait et me souriait. Sa queue se relevait fièrement, il y avait de quoi. Sans hésiter une seconde je m'approchais, me mettais à genoux et le suçais. Il semblait surpris de ma rapidité … '' Tu sais ou tu vas et ce que tu veux toi ! ''. Il me tenait la tête avec les deux mains mais sans me forcer, j'en ai pas besoin, en quelques secondes j'enfilais sa queue jusqu'à la garde, je m'écrasais le nez contre son ventre et je sentais son gland s'enfoncer dans ma gorge. Je ne m'attendait pas à ce que la soirée se termine comme ça mais c'était une très bonne surprise, un vrai plaisir.
Il me tenais la tête puis il me la retenait et pour finir il la retenait fort, il ne voulait plus me lâcher et avançait puis reculait son bassin avec douceur, force et régularité. Son mouvement était ample, lent mais ferme. A ce moment il ne s'occupait plus de mes réactions, je n'avais plus le choix, à ce moment je ne pouvais plus que subir.
Rapidement ce n'était plus facile du tout, j'avais du mal à synchroniser ma respiration, je voulais me dégager mais il n'y avait rien à faire. Il me laissait le temps de respirer, juste le temps de respirer et si je tentais de me dégager, à chaque fois que je tentais de me dégager, il me retenait la tête avec force et la tirait vers lui en même temps qu'il balançait son bassin en avant.
Je faisais des bruits bizarres et plus je tentais de me dégager plus il me retenait fermement, plus il me retenait avec force et même avec violence. Je sentais juste derrière moi un homme qui était à genoux également et me donnait des baisers dans le coup, il me caressait et se serrait contre moi. Le pied j'allais me prendre une bite dans le cul. Dans la bouche j'aime bien mais si ça ne se termine pas à un moment ou à un autre par un coup de bite dans le cul il manque quelque chose …
Depuis un moment je ne faisais plus attention à ma queue, et ce contact dans le dos me rappelait que ma queue était toujours sous clé. De nouveau je bandais comme un dingue, mon dispositif se relevais, c'en était gênant, par moment désagréable mais jamais douloureux. Dans mon dos il avançait son bassin se collait à mes fesses et là je devinait la frustration qui allait suivre, il ne m'enculerait pas celui-là, il portait un dispositif de chasteté !
Il me caressait, m'embrassait dans le cou, sur les épaules, dans le dos. Il me mordillait doucement et chaque contacte de ses dents avec ma peau provoquait une contraction de ma queue. Mais elle n'avait pas pour autant plus de place pour se développer …
Je pleurais, pas de tristesse, mais des larmes coulaient des mes yeux, j'avais vraiment beaucoup de mal à avaler cette énorme queue qui entrait et sortait maintenant de plus en plus vite, il ne se retenait plus le gars. Je devinais la présence de plusieurs autres personnes autour de nous mais sans pouvoir toutefois voir s'ils étaient des actifs ou des passifs …
J'avais maintenant vraiment du mal à avaler cette queue, je me concentrais pour garder la bouche ouverte au maximum et le dernier coup de bassin était particulièrement fort au moment ou il giclait dans ma gorge, il tirait alors ma tête violemment vers lui, il retenait ma tête pendant qu'il se vidait les couilles dans ma gorge. A cet instant je ne pouvais plus respirer, je recevais trois giclées de sperme et ma bouche se remplissait du goût de sa semence … Là c'était bon …
Non en fait c'était pas bon du tout, il abusait le mec, je manquais d'air et j'essayais de me dégager, il finissait pas me laisser, par me lâcher. Je retirais ma tête, j'étais en larme, je reprenais mon souffle, je dégustais encore un moment le goût de son sperme. Là c'était bon … Oui là c'était bon !
Mais je restais sur ma fin, je n'avais rien pris dans le cul. Le mec s'était bien amusé avec moi, il n'y avait plus personne autour de nous. Le mec me caressait la joue pendant que je me relevais et m'embrassait goulûment. '' Demain je t'encule '' …
Je me retournais et je voyais Titi, c'était lui qui m'avait pris dans ses bras accroupis derrière moi. Il était en train de se faire défoncer le cul avec vigueur par un mec bien, très bien monté. C'est pas possible ils sont tous montés comme … C'est vrai j'oubliais, il faut être surdimensionné pour pouvoir se dispenser de porter un dispositif de chasteté ici. Je bandais toujours comme un dingue, ma queue protestait et ne voulait pas en rester là. Pas moyen de me calmer ma cage se redressait, ma queue dans un élan de désespoir poussait le dispositif, tirait sur l'anneau cock-ring qui retenait le tout, la pression contre la peau de mes couilles devenait par moment presque douloureuse, à la limite, mais rien ne sortait …
Antoine et moi avions fait du très bon travail, ma queue était dans sa cage et n'avait aucune chance de s'en échapper !
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