LES COMMANDES DE NASSIR - 4a - Maxime et Yoann, le retour de balancier
Récit érotique écrit par EricDeFrance [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LES COMMANDES DE NASSIR - 4a - Maxime et Yoann, le retour de balancier
Un retour de balancier. Nassir sentait qu’il avait envie d’un retour de balancier.
Comme il l’avait dit à Caetano, quand tu as été passif, tu as envie d’être actif, et quand tu as été actif, tu as envie d’être passif...
Là, Nassir trouvait qu’il avait été suffisamment passif : Rodolphe, Caetano, Aymeric... sans parler des plans qu’il se faisait dans sa vie, même si, il le ressentait, ils n’avaient pas la même saveur.
En cette fin d’été, il sentait monter en lui comme une overdose de plans comme passif, et une forte envie, à la fois d’être à nouveau actif, et que actif, et aussi une envie de minets qui, pour lui (il était encore bourré de clichés qui, en fait, le rassuraient) étaient forcément passifs. Il avait envie de culs de minets, quoi.
Après la forte sensation du séjour dans l’établissement de Caetano, en juin, où il était passé par toutes les émotions, son été avait été plutôt tranquille, il avait fait une pause dans les “commandes de Nassir”, mais était resté en lien avec Caetano, et surtout avec Aymeric, sur qui il avait flashé.
Avec Caetano, ça s’était limité à des échanges de textos ; par contre, il avait revu Aymeric, deux fois, une fois chez lui à Lyon, où il avait passé deux jours, une fois à Marseille, où il l’avait accueilli, également sur deux journées.
Mais leur coup de foudre initial s’était quelque peu estompé, et ils avaient convenu de rester bons amis, comme on dit, de continuer à échanger, éventuellement de se voir de temps en temps, mais pas d’entamer une relation “de couple”, qu’aucun des deux, finalement, ne cherchait.
A la fin du mois d’août, Nassir se sentait prêt, et avait envie surtout, de reprendre “les commandes de Nassir”, seule “activité” finalement qui mettait un peu de piment dans sa vie.
Il faut dire que le break estival avait aussi été imposé par le séjour, pendant 6 semaines, de son ami (et coloc) Hassane au bled (il était d’origine marocaine) alors que lui était resté en France, et avait même très peu bougé de Marseille. Toujours aussi casanier finalement... ou alors sale période. Un peu des deux, sans doute.
En tout cas, il avait retrouvé Hassane avec plaisir, c’était sa béquille, son soutien, son essence, il se sentait bien quand il était là, sa présence le réconfortait, et même le rassurait, il avait l’impression qu’avec lui à ses côtés rien ne pouvait lui arriver.
Ils reparlèrent assez vite de reprendre les “commandes de Nassir”, peut-être sur de nouvelles bases, comme un “retour aux sources” en quelque sorte.
Nassir confia assez vite à Hassane qu’il avait à nouveau envie d’un plan dans ce cadre, et, surtout, qu’il avait envie de redevenir (pour le prochain plan en tout cas) exclusivement actif, et qu’il avait envie d’un minet bien mignon et bien passif, et même de plusieurs, lui dit-il ; il n’avait rien contre, en tout cas.
Sur ces bases, Hassane commença ses recherches, et revint assez vite avec une proposition qui, du moins l’espérait-il, était susceptible de convenir à Nassir : non pas un, mais deux minets, et en même temps.
Hassane, qui connaissait son Nassir comme sa poche, sentait bien que depuis sa retraite, il y a maintenant tout juste un an, ça n’allait pas fort dans sa vie, que, depuis cet hiver, le concept des “commandes de Nassir” l’avait boosté, mais qu’il avait vécu l’été comme un contrecoup, et qu’il avait besoin d’un nouveau coup de fouet.
Il s’est dit qu’il lui fallait frapper fort, en cette période de rentrée, et c’est pour cela qu’il avait pensé lui proposer, non pas un, mais deux minets. Sacré défi, se disait-il, car un plan à trois avec deux minets passifs, il fallait sacrément assurer : rien à voir avec un plan à trois avec deux actifs (comme avec Caetano et Aymeric), où on n’avait qu’à se laisser “porter”... oui, Hassane en était convaincu, c’est ce genre de défi qu’il fallait à Nassir.
Une fois cette conviction acquise, Hassane trouva assez facilement. Il faut dire que durant l’été il avait pas mal échangé avec Caetano et Aymeric, notamment à propos de ce qui s’était passé en juin et de ce qu’il fallait bien appeler la trahison de Caetano, qu’Hassane n’avait pas du tout appréciée, et il lui avait fallu du temps, et beaucoup d’échanges avec celui-ci, pour qu’il puisse “digérer” cette attitude, et passer à autre chose.
Avec Aymeric ç’avait été plus facile, et facilité par l’”amitié poussée” qu’il avait nouée avec Nassir.
Grâce à eux deux en tout cas, il avait pu mettre sur pied, assez rapidement, une nouvelle “commande” qu’il avait proposée clé en main à Nassir qui, une fois n’est pas coutume, avait tout de suite dit oui, et avec enthousiasme.
Il s’agissait tout simplement de passer une journée à l’établissement de Caetano, sur le thème “détente et bien-être”, ce qui, déjà, bottait Nassir, mais, évidemment pas que...
Hassane avait prévu deux temps : d’abord, en début d’après-midi, un plan avec deux minets sur le concept “les commandes de Nassir”, et, plus tard dans la soirée, une rencontre plus libre, plus “open”, avec, en plus, Caetano et Aymeric.
Ça tombait bien, l’établissement de Caetano était fermé au public pendant une bonne partie du mois de septembre, le temps de quelques travaux, et il était même vide le week-end et, comme il y avait une trève internationale (aucun des quatre n’avait été sélectionné) ils pouvaient tous s’y retrouver.
Caetano et Aymeric avaient mis Hassane en rapport avec deux jeunes joueurs de leur club : Maxime et Yoann, deux petits jeunes très mignons, très “minets”, belle gueule tous les deux (Yoann encore plus), imberbes, bien foutus.
Maxime, 23 ans, était châtain, les cheveux en arrière, fine moustache, Yoann, pas encore 21 ans, était, lui, carrément blond, les cheveux plus en bataille, et totalement imberbe.
Ils étaient tous les deux bi, officiellement hétéros “chasseurs de filles”, mais en réalité ils aimaient aussi baiser avec des mecs, et, en ce cas, étaient plutôt passifs, amateurs de sensations différentes avec un gars qu’avec une fille.
Pour eux deux, c’était une période un peu compliquée. Sportivement, le club ne marchait pas en ce début de saison, et tous les deux venaient de rompre avec leur copine. Ils n’avaient donc pas que besoin de sexe, ils avaient aussi, et avant tout, besoin de câlins et d’affection.
Maxime, qui était du coin, s’était replié sur sa famille, et avait en plus une relation très étroite avec son grand frère, avec qui de temps en temps il avait des rapports sexuels. Yoann, lui, était de Normandie, et en ce moment il avait le mal du pays, de ses parents, de sa famille, de ses amis d’enfance, et il se sentait bien seul à Lyon.
Lorsqu’Hassane les avait approchés, ils avaient tous les deux assez vite dit oui. Ça avait été pour eux l’occasion d’apprendre que “l’autre” aussi était bi, ce qu’ils ignoraient. Jusque là ils étaient plutôt potes, ils sortaient parfois ensemble, allaient se balader, boire un verre, et Maxime avait même invité une fois Yoann à manger chez ses parents, après sa rupture, mais chacun était persuadé que l’autre était hétéro et, même s’ils étaient attirés l’un par l’autre, aucun n’aurait osé faire le premier pas... c’est sacrément tabou dans le foot... En tout cas, l’idée de faire un plan à trois ensemble leur a vite plu, et, en plus, tous deux étaient attirés par Nassir... tout cela s’annonçait donc sous les meilleurs auspices.
Le jour J, un samedi de début septembre, Hassane et Nassir quittèrent Marseille en milieu de matinée, direction Lyon, et l’établissement de Caetano, où Nassir devait être à 14h. Ils avaient de la marge, s’arrêtèrent prendre un sandwich sur l’autoroute, et arrivèrent à bon port à 13h30.
Ils connaissaient le chemin, et après avoir garé la voiture dans le parking souterrain, ils se retrouvèrent dans la chambre réservée pour Nassir, la même que lors de sa précédente venue, en juin, l’une de celles qui donnaient sur la terrasse avec le jacuzzi, et qui était “jumelée” avec l’autre.
Hassane le laissa et Nassir s’installa. Comme l’autre fois les consignes étaient de sortir à l’heure dite, 14h00, et d’attendre dans le jacuzzi.
Nassir se prépara, une bonne douche, ses soins du corps, l’avantage était qu’il était vite habillé puisqu’il n’avait qu’à enfiler un short de bain... avant d’enfiler autre chose... mais ce serait pour plus tard...
A 14h02 (toujours ce petit temps pour se faire attendre...) Samir sortit, posa sa serviette sur un fauteuil, et entra dans le spa.
Il n’eut pas à attendre très longtemps, la porte fenêtre de la chambre à côté de la sienne s’ouvrit, et les deux minets attendus apparurent : Maxime, vêtu d’un short de bain bleu, le torse imberbe et musclé, une serviette sur les épaules, suivi de Yoann, même tenue, si ce n’est que son short était rayé rouge et blanc, lui aussi torse imberbe et musclé, tous les deux une gueule d’ange, et, en plus, souriants.
Nassir ne les avait vus qu’en photo, ou à la télé lors de matches, mais il fut totalement sous le charme. C’est exactement ce qu’il voulait : des minets à la gueule d’ange, qu’il pourrait bien baiser. Deux en même temps ne faisait qu’accentuer son excitation.
Toujours le sourire aux lèvres, Maxime et Yoann entrèrent dans le jacuzzi, mais restèrent d’abord à distance de Nassir, qu’ils saluèrent timidement.
- Approchez-vous, les gars.
Les deux jeunes s’avancèrent, et se mirent face à Nassir, chacun d’un côté de lui.
De chacune de ses mains, Nassir leur caressa la joue, et, à chacun, mit un doigt dans la bouche. Les deux sucèrent le doigt avec application, puis se mirent à caresser le torse de Nassir, qui les empoigna chacun derrière la nuque, pour les amener à rapprocher leur visage.
Les deux jeunes, qui, jusque là, ne s’étaient jamais touchés, mais ressentaient l’un pour l’autre une vive attirance, joignirent leurs lèvres, et se roulèrent une bonne pelle.
Nassir les caressa alors, sur le dos, sur le torse, et descendit jusqu’à la bite, qu’il sentait un peu durcie à travers le caleçon.
- Venez, on va aller dans ma chambre, dit-il en sortant de l’eau.
Sans un mot, Maxime et Yoann sortirent à leur tour.
Il était aisé de voir à travers leur caleçon de bain qu’ils bandaient légèrement. Nassir de son côté était très excité à l’idée de se les faire, leur corps, leur gueule étaient vraiment magnifiques, il se dit même que c’étaient les deux plus beaux mecs avec qui il allait baiser.
Ils le suivirent jusqu’à sa chambre. Derrière eux, il tira le rideau de la porte-fenêtre. Il enleva son short de bain et alla s’allonger sur le lit, sur le dos.
Après avoir fini de s’essuyer, Maxime et Yoann enlevèrent aussi leur short de bain, et vinrent sur le lit, chacun d’un côté de Nassir.
- Allez-y, occupez-vous de ma bite, je m’occuperai ensuite de votre cul.
Des deux, Yoann fut le plus entreprenant. Il se mit à genoux sur le lit (un vaste king-size), se pencha et engloutit la bite de Nassir dans sa bouche. Celui-ci lui caressa aussitôt la nuque :
- Suce, petit.
Très vite, Nassir sentit son membre durcir, et trouva que Yoann suçait vraiment très bien.
- Va sucer, toi aussi.
Maxime ne se fit pas prier, et lui aussi, après s’être agenouillé, approcha sa bouche de celle de Yoann, qui retira la bite de Nassir, et la lui tendit.
Maxime l’engloutit à son tour. Elle était à présent bien raide, bien bonne, et les deux jeunes garçons allaient la sucer tour à tour, très attirés aussi l’un par l’autre, ils en profitaient pour mélanger leur langue, tout en branlant la bite de Nassir.
Celui-ci fermait les yeux et soupirait bruyamment, savourant ainsi cet instant agréable, où il se faisait sucer par deux jeunes éphèbes qui, visiblement, se régalaient de sa queue.
Il les regardait s’appliquer, se demandant lequel il allait pouvoir baiser en premier.
En raison de la position qu’il avait prise, ce fut le cul de Maxime qui s’offrit en premier à sa vue, il se pencha et vint le caresser, d’abord les fesses, puis le trou, après avoir léché ses doigts.
Il se releva, et dit à Maxime de s’approcher, celui-ci se mit à quatre pattes, releva son fessier, et offrit sa croupe à la disposition de Nassir.
Il avait vraiment un cul magnifique, musclé à souhait, charnu, bandant quoi, tout ce dont avait besoin Nassir qui n’avait pas baisé depuis un moment.
Il s’approcha et vint le lui bouffer, il lui trouva particulièrement bon goût, il sentait le suc de la jeunesse, et il donnait l’impression de n’avoir encore guère servi.
Yoann, qui ne perdait pas le nord, avait fait le tour du lit, et, debout, vint présenter sa bite, bien dressée, à la bouche de Maxime, qui n’eut qu’à l’ouvrir et à la recevoir. Yoann entreprit alors des mouvements du bassin qui firent aller et venir son sexe dans la bouche de Maxime.
Dans le même temps, Nassir doigta un peu Maxime, qui se mit à gémir, la bouche pleine. Une vraie salope... se dit Nassir, qui en profita pour approcher sa bite de son anus et, après l’avoir salivée, pour l’y introduire.
Il le fit sans ménagement et Maxime, qui avait déjà encaissé la bite de son frère il n’y a pas si longtemps, encaissa aussi sans trop de difficulté celle de Nassir.
Devant ce spectacle, Yoann se sentait très excité, bandait bien à fond, et baisait sans répit la bouche de Maxime.
Nassir de son côté avait pris possession du cul de ce dernier et, après quelques mouvements de va-et-vient plutôt cool, profita de sa passivité, et se mit à pilonner ses entrailles.
Ça lui faisait beaucoup de bien ; ça faisait longtemps qu’il n’avait pas baisé un minet comme Maxime, et c’était vraiment très agréable.
Dans le même temps, il regardait Yoann, qu’il trouvait aussi très séduidant, et dont le visage expressif trahissait tout le plaisir qu’il prenait à se faire sucer par son pote.
Il avait vraiment un torse magnifique, imberbe, musclé, sur lequel Nassir avait une vue directe.
Yoann retira sa bite de la bouche de Maxime et s’approcha de Nassir qui se mit à caresser son torse, à branler sa bite (il avait envie de la sucer, mais ne le fit pas) et à toucher ses fesses.
Yoann se retourna, les écarta pour dégager au mieux son trou, et les lui présenta.
Nassir se pencha, et se mit à lui bouffer le cul, tout en continuant à enculer Maxime, qui encaissait toujours aussi bien, et gémissait toujours aussi fort.
Hum... deux culs en même temps... Nassir était vraiment aux anges.
Il se retira de celui de Maxime, qui vint reprendre ses esprits en s’allongeant sur le lit, sur le ventre, le fessier relevé.
Yoann prit sa place, et offrit à son tour sa croupe juvénile à Nassir, qui, après s’être nettoyé la bite avec quelques gouttes de salive, le pénétra direct.
Il se fit la réflexion que, malgré son plus jeune âge, le cul de Yoann semblait plus ouvert que celui de son coéquipier.
Ah le pied... deux culs différents, à quelques secondes d’intervalle, Nassir n’avait encore jamais fait.
Il bandait comme un taureau, tout excité de niquer le cul de Yoann et de mater celui de Maxime, qui était aussi à sa portée, et qu’il caressait et doigtait avec fougue. Ses gémissements étaient rauques et couvraient ceux, beaucoup plus aigus, de Yoann et de Maxime, qui se faisaient défoncer, l’un par la bite, l’autre par les doigts de Nassir.
C’était vraiment le pied intégral, un niveau de plaisir que celui-ci avait rarement atteint.
Il se retira du cul de Yoann, et reprit possession de celui de Maxime, plus étroit, mais qu’il avait déjà contribué à élargir. Il prit aussi beaucoup de plaisir à bien le baiser. Visiblement, ces deux jeunes, l’un comme l’autre, aimaient se faire défoncer.
L’un comme l’autre, ils avaient le cul chaud et accueillant. Nassir s’y sentait bien, et faisait aller sa bite d’avant en arrière, de gauche à droite aussi.
Il se retira une nouvelle fois, et demanda à Yoann de s’intercaler entre lui et Maxime, il pénétra à nouveau le cul de Yoann, qui pénétra de son côté celui de Maxime.
Nassir aurait aimé avoir deux bites pour pilonner chacun des culs de ces deux minets en même temps. Il profitait de sa position derrière Yoann pour bien lui caresser le torse, ainsi que sa bite qui allait et venait dans le cul de Maxime, qu’il caressait aussi.
Yoann de son côté sentait monter la sauce, ça l’excitait trop d’enculer Maxime, et il finit par éjaculer dans ses fesses, en poussant un cri strident. Comme il branlait en même temps la bite de Maxime, celui-ci jouit à son tour et envoya la purée sur le haut du lit, au niveau des oreillers.
Ah ces jeunes, qu’est ce qu’ils jouissent vite... se dit Nassir, qui, lui, parvint à maîtriser son excitation et à se retirer doucement de l’anus de Yoann, qu’il avait senti se contracter au moment de l’éjaculation.
Prudent, Nassir gardait ses couilles pleines pour le plan de la fin d’après-midi.
Les deux jeunes s’excusèrent d’avoir joui si vite, Nassir leur répondit qu’il n’y avait pas de souci, et leur demanda s’ils avaient pris leur pied, ils lui assurèrent que c’était le cas.
Après s’être essuyés, ils remirent leur caleçon, lui dirent à tout à l’heure, et sortirent de la chambre par la porte fenêtre.
Nassir souriait : même s’il n’avait pas joui, il avait pris son pied, et il se disait qu’ils allaient remettre le couvert un petit peu plus tard, avec, en plus, Caetano et Aymeric, ce qui le bottait. Il se disait aussi que Maxime et Yoann, une fois dans leur chambre, juste à côté de la sienne, allaient peut-être baiser entre eux, et l’idée de les imaginer en train de forniquer l’excita grandement.
Comme il l’avait dit à Caetano, quand tu as été passif, tu as envie d’être actif, et quand tu as été actif, tu as envie d’être passif...
Là, Nassir trouvait qu’il avait été suffisamment passif : Rodolphe, Caetano, Aymeric... sans parler des plans qu’il se faisait dans sa vie, même si, il le ressentait, ils n’avaient pas la même saveur.
En cette fin d’été, il sentait monter en lui comme une overdose de plans comme passif, et une forte envie, à la fois d’être à nouveau actif, et que actif, et aussi une envie de minets qui, pour lui (il était encore bourré de clichés qui, en fait, le rassuraient) étaient forcément passifs. Il avait envie de culs de minets, quoi.
Après la forte sensation du séjour dans l’établissement de Caetano, en juin, où il était passé par toutes les émotions, son été avait été plutôt tranquille, il avait fait une pause dans les “commandes de Nassir”, mais était resté en lien avec Caetano, et surtout avec Aymeric, sur qui il avait flashé.
Avec Caetano, ça s’était limité à des échanges de textos ; par contre, il avait revu Aymeric, deux fois, une fois chez lui à Lyon, où il avait passé deux jours, une fois à Marseille, où il l’avait accueilli, également sur deux journées.
Mais leur coup de foudre initial s’était quelque peu estompé, et ils avaient convenu de rester bons amis, comme on dit, de continuer à échanger, éventuellement de se voir de temps en temps, mais pas d’entamer une relation “de couple”, qu’aucun des deux, finalement, ne cherchait.
A la fin du mois d’août, Nassir se sentait prêt, et avait envie surtout, de reprendre “les commandes de Nassir”, seule “activité” finalement qui mettait un peu de piment dans sa vie.
Il faut dire que le break estival avait aussi été imposé par le séjour, pendant 6 semaines, de son ami (et coloc) Hassane au bled (il était d’origine marocaine) alors que lui était resté en France, et avait même très peu bougé de Marseille. Toujours aussi casanier finalement... ou alors sale période. Un peu des deux, sans doute.
En tout cas, il avait retrouvé Hassane avec plaisir, c’était sa béquille, son soutien, son essence, il se sentait bien quand il était là, sa présence le réconfortait, et même le rassurait, il avait l’impression qu’avec lui à ses côtés rien ne pouvait lui arriver.
Ils reparlèrent assez vite de reprendre les “commandes de Nassir”, peut-être sur de nouvelles bases, comme un “retour aux sources” en quelque sorte.
Nassir confia assez vite à Hassane qu’il avait à nouveau envie d’un plan dans ce cadre, et, surtout, qu’il avait envie de redevenir (pour le prochain plan en tout cas) exclusivement actif, et qu’il avait envie d’un minet bien mignon et bien passif, et même de plusieurs, lui dit-il ; il n’avait rien contre, en tout cas.
Sur ces bases, Hassane commença ses recherches, et revint assez vite avec une proposition qui, du moins l’espérait-il, était susceptible de convenir à Nassir : non pas un, mais deux minets, et en même temps.
Hassane, qui connaissait son Nassir comme sa poche, sentait bien que depuis sa retraite, il y a maintenant tout juste un an, ça n’allait pas fort dans sa vie, que, depuis cet hiver, le concept des “commandes de Nassir” l’avait boosté, mais qu’il avait vécu l’été comme un contrecoup, et qu’il avait besoin d’un nouveau coup de fouet.
Il s’est dit qu’il lui fallait frapper fort, en cette période de rentrée, et c’est pour cela qu’il avait pensé lui proposer, non pas un, mais deux minets. Sacré défi, se disait-il, car un plan à trois avec deux minets passifs, il fallait sacrément assurer : rien à voir avec un plan à trois avec deux actifs (comme avec Caetano et Aymeric), où on n’avait qu’à se laisser “porter”... oui, Hassane en était convaincu, c’est ce genre de défi qu’il fallait à Nassir.
Une fois cette conviction acquise, Hassane trouva assez facilement. Il faut dire que durant l’été il avait pas mal échangé avec Caetano et Aymeric, notamment à propos de ce qui s’était passé en juin et de ce qu’il fallait bien appeler la trahison de Caetano, qu’Hassane n’avait pas du tout appréciée, et il lui avait fallu du temps, et beaucoup d’échanges avec celui-ci, pour qu’il puisse “digérer” cette attitude, et passer à autre chose.
Avec Aymeric ç’avait été plus facile, et facilité par l’”amitié poussée” qu’il avait nouée avec Nassir.
Grâce à eux deux en tout cas, il avait pu mettre sur pied, assez rapidement, une nouvelle “commande” qu’il avait proposée clé en main à Nassir qui, une fois n’est pas coutume, avait tout de suite dit oui, et avec enthousiasme.
Il s’agissait tout simplement de passer une journée à l’établissement de Caetano, sur le thème “détente et bien-être”, ce qui, déjà, bottait Nassir, mais, évidemment pas que...
Hassane avait prévu deux temps : d’abord, en début d’après-midi, un plan avec deux minets sur le concept “les commandes de Nassir”, et, plus tard dans la soirée, une rencontre plus libre, plus “open”, avec, en plus, Caetano et Aymeric.
Ça tombait bien, l’établissement de Caetano était fermé au public pendant une bonne partie du mois de septembre, le temps de quelques travaux, et il était même vide le week-end et, comme il y avait une trève internationale (aucun des quatre n’avait été sélectionné) ils pouvaient tous s’y retrouver.
Caetano et Aymeric avaient mis Hassane en rapport avec deux jeunes joueurs de leur club : Maxime et Yoann, deux petits jeunes très mignons, très “minets”, belle gueule tous les deux (Yoann encore plus), imberbes, bien foutus.
Maxime, 23 ans, était châtain, les cheveux en arrière, fine moustache, Yoann, pas encore 21 ans, était, lui, carrément blond, les cheveux plus en bataille, et totalement imberbe.
Ils étaient tous les deux bi, officiellement hétéros “chasseurs de filles”, mais en réalité ils aimaient aussi baiser avec des mecs, et, en ce cas, étaient plutôt passifs, amateurs de sensations différentes avec un gars qu’avec une fille.
Pour eux deux, c’était une période un peu compliquée. Sportivement, le club ne marchait pas en ce début de saison, et tous les deux venaient de rompre avec leur copine. Ils n’avaient donc pas que besoin de sexe, ils avaient aussi, et avant tout, besoin de câlins et d’affection.
Maxime, qui était du coin, s’était replié sur sa famille, et avait en plus une relation très étroite avec son grand frère, avec qui de temps en temps il avait des rapports sexuels. Yoann, lui, était de Normandie, et en ce moment il avait le mal du pays, de ses parents, de sa famille, de ses amis d’enfance, et il se sentait bien seul à Lyon.
Lorsqu’Hassane les avait approchés, ils avaient tous les deux assez vite dit oui. Ça avait été pour eux l’occasion d’apprendre que “l’autre” aussi était bi, ce qu’ils ignoraient. Jusque là ils étaient plutôt potes, ils sortaient parfois ensemble, allaient se balader, boire un verre, et Maxime avait même invité une fois Yoann à manger chez ses parents, après sa rupture, mais chacun était persuadé que l’autre était hétéro et, même s’ils étaient attirés l’un par l’autre, aucun n’aurait osé faire le premier pas... c’est sacrément tabou dans le foot... En tout cas, l’idée de faire un plan à trois ensemble leur a vite plu, et, en plus, tous deux étaient attirés par Nassir... tout cela s’annonçait donc sous les meilleurs auspices.
Le jour J, un samedi de début septembre, Hassane et Nassir quittèrent Marseille en milieu de matinée, direction Lyon, et l’établissement de Caetano, où Nassir devait être à 14h. Ils avaient de la marge, s’arrêtèrent prendre un sandwich sur l’autoroute, et arrivèrent à bon port à 13h30.
Ils connaissaient le chemin, et après avoir garé la voiture dans le parking souterrain, ils se retrouvèrent dans la chambre réservée pour Nassir, la même que lors de sa précédente venue, en juin, l’une de celles qui donnaient sur la terrasse avec le jacuzzi, et qui était “jumelée” avec l’autre.
Hassane le laissa et Nassir s’installa. Comme l’autre fois les consignes étaient de sortir à l’heure dite, 14h00, et d’attendre dans le jacuzzi.
Nassir se prépara, une bonne douche, ses soins du corps, l’avantage était qu’il était vite habillé puisqu’il n’avait qu’à enfiler un short de bain... avant d’enfiler autre chose... mais ce serait pour plus tard...
A 14h02 (toujours ce petit temps pour se faire attendre...) Samir sortit, posa sa serviette sur un fauteuil, et entra dans le spa.
Il n’eut pas à attendre très longtemps, la porte fenêtre de la chambre à côté de la sienne s’ouvrit, et les deux minets attendus apparurent : Maxime, vêtu d’un short de bain bleu, le torse imberbe et musclé, une serviette sur les épaules, suivi de Yoann, même tenue, si ce n’est que son short était rayé rouge et blanc, lui aussi torse imberbe et musclé, tous les deux une gueule d’ange, et, en plus, souriants.
Nassir ne les avait vus qu’en photo, ou à la télé lors de matches, mais il fut totalement sous le charme. C’est exactement ce qu’il voulait : des minets à la gueule d’ange, qu’il pourrait bien baiser. Deux en même temps ne faisait qu’accentuer son excitation.
Toujours le sourire aux lèvres, Maxime et Yoann entrèrent dans le jacuzzi, mais restèrent d’abord à distance de Nassir, qu’ils saluèrent timidement.
- Approchez-vous, les gars.
Les deux jeunes s’avancèrent, et se mirent face à Nassir, chacun d’un côté de lui.
De chacune de ses mains, Nassir leur caressa la joue, et, à chacun, mit un doigt dans la bouche. Les deux sucèrent le doigt avec application, puis se mirent à caresser le torse de Nassir, qui les empoigna chacun derrière la nuque, pour les amener à rapprocher leur visage.
Les deux jeunes, qui, jusque là, ne s’étaient jamais touchés, mais ressentaient l’un pour l’autre une vive attirance, joignirent leurs lèvres, et se roulèrent une bonne pelle.
Nassir les caressa alors, sur le dos, sur le torse, et descendit jusqu’à la bite, qu’il sentait un peu durcie à travers le caleçon.
- Venez, on va aller dans ma chambre, dit-il en sortant de l’eau.
Sans un mot, Maxime et Yoann sortirent à leur tour.
Il était aisé de voir à travers leur caleçon de bain qu’ils bandaient légèrement. Nassir de son côté était très excité à l’idée de se les faire, leur corps, leur gueule étaient vraiment magnifiques, il se dit même que c’étaient les deux plus beaux mecs avec qui il allait baiser.
Ils le suivirent jusqu’à sa chambre. Derrière eux, il tira le rideau de la porte-fenêtre. Il enleva son short de bain et alla s’allonger sur le lit, sur le dos.
Après avoir fini de s’essuyer, Maxime et Yoann enlevèrent aussi leur short de bain, et vinrent sur le lit, chacun d’un côté de Nassir.
- Allez-y, occupez-vous de ma bite, je m’occuperai ensuite de votre cul.
Des deux, Yoann fut le plus entreprenant. Il se mit à genoux sur le lit (un vaste king-size), se pencha et engloutit la bite de Nassir dans sa bouche. Celui-ci lui caressa aussitôt la nuque :
- Suce, petit.
Très vite, Nassir sentit son membre durcir, et trouva que Yoann suçait vraiment très bien.
- Va sucer, toi aussi.
Maxime ne se fit pas prier, et lui aussi, après s’être agenouillé, approcha sa bouche de celle de Yoann, qui retira la bite de Nassir, et la lui tendit.
Maxime l’engloutit à son tour. Elle était à présent bien raide, bien bonne, et les deux jeunes garçons allaient la sucer tour à tour, très attirés aussi l’un par l’autre, ils en profitaient pour mélanger leur langue, tout en branlant la bite de Nassir.
Celui-ci fermait les yeux et soupirait bruyamment, savourant ainsi cet instant agréable, où il se faisait sucer par deux jeunes éphèbes qui, visiblement, se régalaient de sa queue.
Il les regardait s’appliquer, se demandant lequel il allait pouvoir baiser en premier.
En raison de la position qu’il avait prise, ce fut le cul de Maxime qui s’offrit en premier à sa vue, il se pencha et vint le caresser, d’abord les fesses, puis le trou, après avoir léché ses doigts.
Il se releva, et dit à Maxime de s’approcher, celui-ci se mit à quatre pattes, releva son fessier, et offrit sa croupe à la disposition de Nassir.
Il avait vraiment un cul magnifique, musclé à souhait, charnu, bandant quoi, tout ce dont avait besoin Nassir qui n’avait pas baisé depuis un moment.
Il s’approcha et vint le lui bouffer, il lui trouva particulièrement bon goût, il sentait le suc de la jeunesse, et il donnait l’impression de n’avoir encore guère servi.
Yoann, qui ne perdait pas le nord, avait fait le tour du lit, et, debout, vint présenter sa bite, bien dressée, à la bouche de Maxime, qui n’eut qu’à l’ouvrir et à la recevoir. Yoann entreprit alors des mouvements du bassin qui firent aller et venir son sexe dans la bouche de Maxime.
Dans le même temps, Nassir doigta un peu Maxime, qui se mit à gémir, la bouche pleine. Une vraie salope... se dit Nassir, qui en profita pour approcher sa bite de son anus et, après l’avoir salivée, pour l’y introduire.
Il le fit sans ménagement et Maxime, qui avait déjà encaissé la bite de son frère il n’y a pas si longtemps, encaissa aussi sans trop de difficulté celle de Nassir.
Devant ce spectacle, Yoann se sentait très excité, bandait bien à fond, et baisait sans répit la bouche de Maxime.
Nassir de son côté avait pris possession du cul de ce dernier et, après quelques mouvements de va-et-vient plutôt cool, profita de sa passivité, et se mit à pilonner ses entrailles.
Ça lui faisait beaucoup de bien ; ça faisait longtemps qu’il n’avait pas baisé un minet comme Maxime, et c’était vraiment très agréable.
Dans le même temps, il regardait Yoann, qu’il trouvait aussi très séduidant, et dont le visage expressif trahissait tout le plaisir qu’il prenait à se faire sucer par son pote.
Il avait vraiment un torse magnifique, imberbe, musclé, sur lequel Nassir avait une vue directe.
Yoann retira sa bite de la bouche de Maxime et s’approcha de Nassir qui se mit à caresser son torse, à branler sa bite (il avait envie de la sucer, mais ne le fit pas) et à toucher ses fesses.
Yoann se retourna, les écarta pour dégager au mieux son trou, et les lui présenta.
Nassir se pencha, et se mit à lui bouffer le cul, tout en continuant à enculer Maxime, qui encaissait toujours aussi bien, et gémissait toujours aussi fort.
Hum... deux culs en même temps... Nassir était vraiment aux anges.
Il se retira de celui de Maxime, qui vint reprendre ses esprits en s’allongeant sur le lit, sur le ventre, le fessier relevé.
Yoann prit sa place, et offrit à son tour sa croupe juvénile à Nassir, qui, après s’être nettoyé la bite avec quelques gouttes de salive, le pénétra direct.
Il se fit la réflexion que, malgré son plus jeune âge, le cul de Yoann semblait plus ouvert que celui de son coéquipier.
Ah le pied... deux culs différents, à quelques secondes d’intervalle, Nassir n’avait encore jamais fait.
Il bandait comme un taureau, tout excité de niquer le cul de Yoann et de mater celui de Maxime, qui était aussi à sa portée, et qu’il caressait et doigtait avec fougue. Ses gémissements étaient rauques et couvraient ceux, beaucoup plus aigus, de Yoann et de Maxime, qui se faisaient défoncer, l’un par la bite, l’autre par les doigts de Nassir.
C’était vraiment le pied intégral, un niveau de plaisir que celui-ci avait rarement atteint.
Il se retira du cul de Yoann, et reprit possession de celui de Maxime, plus étroit, mais qu’il avait déjà contribué à élargir. Il prit aussi beaucoup de plaisir à bien le baiser. Visiblement, ces deux jeunes, l’un comme l’autre, aimaient se faire défoncer.
L’un comme l’autre, ils avaient le cul chaud et accueillant. Nassir s’y sentait bien, et faisait aller sa bite d’avant en arrière, de gauche à droite aussi.
Il se retira une nouvelle fois, et demanda à Yoann de s’intercaler entre lui et Maxime, il pénétra à nouveau le cul de Yoann, qui pénétra de son côté celui de Maxime.
Nassir aurait aimé avoir deux bites pour pilonner chacun des culs de ces deux minets en même temps. Il profitait de sa position derrière Yoann pour bien lui caresser le torse, ainsi que sa bite qui allait et venait dans le cul de Maxime, qu’il caressait aussi.
Yoann de son côté sentait monter la sauce, ça l’excitait trop d’enculer Maxime, et il finit par éjaculer dans ses fesses, en poussant un cri strident. Comme il branlait en même temps la bite de Maxime, celui-ci jouit à son tour et envoya la purée sur le haut du lit, au niveau des oreillers.
Ah ces jeunes, qu’est ce qu’ils jouissent vite... se dit Nassir, qui, lui, parvint à maîtriser son excitation et à se retirer doucement de l’anus de Yoann, qu’il avait senti se contracter au moment de l’éjaculation.
Prudent, Nassir gardait ses couilles pleines pour le plan de la fin d’après-midi.
Les deux jeunes s’excusèrent d’avoir joui si vite, Nassir leur répondit qu’il n’y avait pas de souci, et leur demanda s’ils avaient pris leur pied, ils lui assurèrent que c’était le cas.
Après s’être essuyés, ils remirent leur caleçon, lui dirent à tout à l’heure, et sortirent de la chambre par la porte fenêtre.
Nassir souriait : même s’il n’avait pas joui, il avait pris son pied, et il se disait qu’ils allaient remettre le couvert un petit peu plus tard, avec, en plus, Caetano et Aymeric, ce qui le bottait. Il se disait aussi que Maxime et Yoann, une fois dans leur chambre, juste à côté de la sienne, allaient peut-être baiser entre eux, et l’idée de les imaginer en train de forniquer l’excita grandement.
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