Les grands parents de Lorie 3
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les grands parents de Lorie 3
La douceur de la bouche d'Antoine, parcourt chaque parcelle de peau du corps de Lorie. Elle frissonne, en poussant de nombreux soupirs, les caresses sont douces, malgré les cals sur les paumes des mains du vieux travailleur de la terre. La bouche humide se pose sur le nombril, quelques coups de langue font geindre Lorie de plaisir, elle s'accroche à la table, les deux amants n'entendent même plus les gémissements qui émanent du film.
La bouche voyage sur le ventre plat de la jeune femme, les coups de langue et les petits baisers, la font fondre de bonheur. Antoine se place face à Lorie, elle ouvre doucement le compas que forment ses jambes. Le vieil amant regarde la fente entourée d'une fine toison, il ravale sa salive puis avance lentement sa tête entre les cuisses accueillantes. Il respire à s'enivrer les effluves que rejette la vulve odorante. La pointe de sa langue, monte et descend sur les grandes lèvres plusieurs fois avant de s'insérer dans le doux sillon.
Antoine, en amant expérimenté, titille le bouton d'amour, l'agace longuement avant de le prendre en bouche. Il le suce comme un bonbon, le mordille tendrement puis l'aspire. Lorie croit mourir tellement c'est délicieux, elle gémit en ondulant comme un félin son bassin. La langue, avant de s'enfoncer dans la grotte de l'amour, voyage entre les grandes lèvres, en agaçant les petites. Lorie pousse un très long râle lorsque la langue rapeuse lui fouille chaque recoin de son conduit brûlant. La cyprine s'évacue, en petit filet continue.
Quelques nouvelles succions sur le clito font cambrer Lorie comme un pont, sa jouissance est inouïe, son corps se met à trembler. L'heure de l'estocade est venue. Antoine place contre la vulve détrempée, son gland marbré. Il prend doucement Lorie par les hanches et pousse. Un long râle sort de la gorge de Lorie, la pénétration est lente, mais ininterrompue. Antoine cesse de pousser, lorsque ses testicules entre en contactent avec la vulve de son amante. Lorie s'accroche à lui, en gémissant de bonheur. Le va-et-vient, très lent au début, prend de la vitesse.
La verge puissante d'Antoine, dilate la gaine qu'elle visite. Les gémissements de Lorie ne sont simulés, elle souffle, couine, gémit comme une bête blessée. Antoine sait quand il faut accélérer. Son mandrin coulisse de plus en plus aisément dans la gaine qui se lubrifie naturellement. Lorie à la bouche grande ouverte, ses yeux sont révulsés, un rictus affreux déforme son visage. Soudain son corps reçoit comme une décharge électrique, elle se cabre et jouit fortement. Antoine continue de lui pilonner le ventre. Lorie est secouée par de nombreux spasmes violents, de nouveaux orgasmes la font délirer de plaisir, elle s'agrippe fortement à son amant, elle ne peut contrôler ses frissons.
Antoine serre les dents, il accélère, ses coups de reins deviennent violents. Il se bloque en poussant un rugissement de fauve. Il envoie dans le ventre de Lorie un flot épais de semence en hurlant :
-Hortense, Hortense mon amour !
Lorie, haletante, serre très fort Antoine dans ses bras, et lui offre ses lèvres. Le baiser est intense, les langues se nouent comme deux reptiles qui s'accouplent. Lorie, après le baiser, regarde Antoine et lui dit :
-Antoine, j'aimerai, que tu me fasses des choses que tu faisais à ma grand-mère !
Antoine la regarde et lui avoue :
-Quelques-fois, on utilisait des objets sexuels, Hortense les rangeait dans une boite sans le sellier, allons voir s'ils y sont toujours !
Antoine et Lorie, nus, ouvrent tous les tiroirs du sellier, soudain Lorie sursaute :
-J'ai trouvé Antoine, elle ouvre la boite et voit, des godes de plusieurs diamètres et longueurs, des étuis étranges. Les deux reviennent au salon, Lorie lave les engins, elle est intriquée par un fourreau garnit de picots. Elle regarde Antoine et lui dit :
-Je veux ça !
Antoine, souriant, répond :
-C'était le jouet préféré de ta grand-mère, je suis ravi de ton choix princesse !
Antoine faire remettre Lorie sur la petite table, et commence à l'exciter avec sa bouche. Il lui suce le clito qui n'a pas dégonflé, sa vulve se remet à rejeter son jus, Lorie s'agite en se cramponnant à Antoine. Le bougre bande comme un cheval. Il sait que c'est le moment, il se redresse et enfile le fourreau sur sa verge. Il place son engin contre la chatte en délire et pousse. Le Râle que pousse Lorie et monstrueux, les picots du fourreau qui lui raclent les muqueuses la font gémir, elle serre les dents, grimace. Antoine cesse de pousser Lorie lui hurle :
-Va à fond Antoine, fais comme avec grand-mère !
Antoine tire sur les hanches de Lorie, et lui enfonce le mandrin jusqu'à la garde dans le ventre. Il commence le ramonage, Lorie a les yeux larmoyants. Le mandrin qui racle les parois de la gaine vaginale, la fait gémir. Rapidement la douleur cède la place au plaisir. Elle grogne :
-Oui, oui, Antoine, oh comme c'est bon, bourre-moi bien, c'est extraordinaire ce truc, mon Dieu, je vais jouir !
Antoine se donne à fond, son va-et-vient est dévastateur, Lorie dans un hurlement explose de jouissance. Antoine déverse sa semence brûlante dans le ventre de sa princesse. Ils restent soudés un long moment avant de se déparer. Antoine dit :
-J'ai vraiment cru faire l'amour à Hortense, tu es aussi chaude qu'elle, c'est un régal de faire l'amour avec toi princesse !
Les jours suivants, Antoine vient honorer Lorie, leurs jouissances sont terribles. Mais les congés de Lorie se termine. Il faut qu'elle rentre, c'est le cœur serré qu'elle embrasse Antoine en espérant le revoir.
La bouche voyage sur le ventre plat de la jeune femme, les coups de langue et les petits baisers, la font fondre de bonheur. Antoine se place face à Lorie, elle ouvre doucement le compas que forment ses jambes. Le vieil amant regarde la fente entourée d'une fine toison, il ravale sa salive puis avance lentement sa tête entre les cuisses accueillantes. Il respire à s'enivrer les effluves que rejette la vulve odorante. La pointe de sa langue, monte et descend sur les grandes lèvres plusieurs fois avant de s'insérer dans le doux sillon.
Antoine, en amant expérimenté, titille le bouton d'amour, l'agace longuement avant de le prendre en bouche. Il le suce comme un bonbon, le mordille tendrement puis l'aspire. Lorie croit mourir tellement c'est délicieux, elle gémit en ondulant comme un félin son bassin. La langue, avant de s'enfoncer dans la grotte de l'amour, voyage entre les grandes lèvres, en agaçant les petites. Lorie pousse un très long râle lorsque la langue rapeuse lui fouille chaque recoin de son conduit brûlant. La cyprine s'évacue, en petit filet continue.
Quelques nouvelles succions sur le clito font cambrer Lorie comme un pont, sa jouissance est inouïe, son corps se met à trembler. L'heure de l'estocade est venue. Antoine place contre la vulve détrempée, son gland marbré. Il prend doucement Lorie par les hanches et pousse. Un long râle sort de la gorge de Lorie, la pénétration est lente, mais ininterrompue. Antoine cesse de pousser, lorsque ses testicules entre en contactent avec la vulve de son amante. Lorie s'accroche à lui, en gémissant de bonheur. Le va-et-vient, très lent au début, prend de la vitesse.
La verge puissante d'Antoine, dilate la gaine qu'elle visite. Les gémissements de Lorie ne sont simulés, elle souffle, couine, gémit comme une bête blessée. Antoine sait quand il faut accélérer. Son mandrin coulisse de plus en plus aisément dans la gaine qui se lubrifie naturellement. Lorie à la bouche grande ouverte, ses yeux sont révulsés, un rictus affreux déforme son visage. Soudain son corps reçoit comme une décharge électrique, elle se cabre et jouit fortement. Antoine continue de lui pilonner le ventre. Lorie est secouée par de nombreux spasmes violents, de nouveaux orgasmes la font délirer de plaisir, elle s'agrippe fortement à son amant, elle ne peut contrôler ses frissons.
Antoine serre les dents, il accélère, ses coups de reins deviennent violents. Il se bloque en poussant un rugissement de fauve. Il envoie dans le ventre de Lorie un flot épais de semence en hurlant :
-Hortense, Hortense mon amour !
Lorie, haletante, serre très fort Antoine dans ses bras, et lui offre ses lèvres. Le baiser est intense, les langues se nouent comme deux reptiles qui s'accouplent. Lorie, après le baiser, regarde Antoine et lui dit :
-Antoine, j'aimerai, que tu me fasses des choses que tu faisais à ma grand-mère !
Antoine la regarde et lui avoue :
-Quelques-fois, on utilisait des objets sexuels, Hortense les rangeait dans une boite sans le sellier, allons voir s'ils y sont toujours !
Antoine et Lorie, nus, ouvrent tous les tiroirs du sellier, soudain Lorie sursaute :
-J'ai trouvé Antoine, elle ouvre la boite et voit, des godes de plusieurs diamètres et longueurs, des étuis étranges. Les deux reviennent au salon, Lorie lave les engins, elle est intriquée par un fourreau garnit de picots. Elle regarde Antoine et lui dit :
-Je veux ça !
Antoine, souriant, répond :
-C'était le jouet préféré de ta grand-mère, je suis ravi de ton choix princesse !
Antoine faire remettre Lorie sur la petite table, et commence à l'exciter avec sa bouche. Il lui suce le clito qui n'a pas dégonflé, sa vulve se remet à rejeter son jus, Lorie s'agite en se cramponnant à Antoine. Le bougre bande comme un cheval. Il sait que c'est le moment, il se redresse et enfile le fourreau sur sa verge. Il place son engin contre la chatte en délire et pousse. Le Râle que pousse Lorie et monstrueux, les picots du fourreau qui lui raclent les muqueuses la font gémir, elle serre les dents, grimace. Antoine cesse de pousser Lorie lui hurle :
-Va à fond Antoine, fais comme avec grand-mère !
Antoine tire sur les hanches de Lorie, et lui enfonce le mandrin jusqu'à la garde dans le ventre. Il commence le ramonage, Lorie a les yeux larmoyants. Le mandrin qui racle les parois de la gaine vaginale, la fait gémir. Rapidement la douleur cède la place au plaisir. Elle grogne :
-Oui, oui, Antoine, oh comme c'est bon, bourre-moi bien, c'est extraordinaire ce truc, mon Dieu, je vais jouir !
Antoine se donne à fond, son va-et-vient est dévastateur, Lorie dans un hurlement explose de jouissance. Antoine déverse sa semence brûlante dans le ventre de sa princesse. Ils restent soudés un long moment avant de se déparer. Antoine dit :
-J'ai vraiment cru faire l'amour à Hortense, tu es aussi chaude qu'elle, c'est un régal de faire l'amour avec toi princesse !
Les jours suivants, Antoine vient honorer Lorie, leurs jouissances sont terribles. Mais les congés de Lorie se termine. Il faut qu'elle rentre, c'est le cœur serré qu'elle embrasse Antoine en espérant le revoir.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Linsee pour cette histoire encore et toujours terriblement excitante....
Cyrille
Cyrille
Ouah quelle histoire, c'est merveilleux de lire des récits comme celui-ci.
linsee bravo, je suis toute humide.
linsee bravo, je suis toute humide.