Les opportunités sexuelles ! - histoire érotique

Quand je repense à mes "aventures sexuelles" de jeunesse, je réalise qu'elles ont conditionné mon gout pour l'interdit et l'imprévu.

Bien sûr, j'ai pris énormément d'orgasmes dans les darkrooms, forêts de bord de Mer, cinémas pornos et tout le reste, mais se faire surprendre en public, par un homme qui vous aborde, pour vous baiser, ça m'a toujours plu !

Ce qui déclenche le premier pas, ce sont souvent les regards persistants de l'homme, sur moi.
La différence avec un autre regard ? Sa durée et sa fixation, l'étincelle lubrique en plus.
Ce qui augmente le coté pervers, c'est que parfois, il y a des tas de gens autour de nous, qui ignorent ce qui se joue !
Parfois, des hommes passent leur langue sur le bout de leur lèvre supérieure, ou exerce un massage discret, sur leur bite avec leur main.

C'est arrivé quelques fois, que c'est moi qui envoyais les signaux !
La fébrilité qui me saisissait ne les trompaient pas, et je finissais toujours par fixer leur partie génitale ensuite !

Je me souviens de cet homme qui me fixait d'un banc, à coté du mien.
C'était sur une place très fréquentée de la ville, sous laquelle se trouvait un parking.
J'ai repensé au cinéma porno, quand on veux attirer un homme, on se rend aux toilettes, en espérant qu'il nous y rejoigne.

Cela a marché, il m'a emboité le pas, et m'a vite poussé dans les chiottes.
Après une rapide fellation, il m'a défoncé comme une pute pendant un long quart d'heure supplémentaire !
J'ai pris une succession d'orgasmes énormes ! il s'est vidé ensuite, longuement et complètement, dans mon cul.

Je ne me souviens plus de son physique, seulement de notre plaisir commun.
Pervers et intense ! Comme j'aime ! Nous n'étions que deux inconnus qui se donnait du plaisir !
Ce rapport m'a hanté plus d'une semaine, j'ai du calmer mes envies au cinéma porno, quelques jours plus tard !

Ce jour, aussi, ou j'étais sur une plage d'une autre ville, en début de soirée, vers 20 h, je me suis promené dans les dunes, jusqu'à tomber, nez à nez, sur un magrébin immense.
J'ai baissé la tête en le croisant, mais il m'a suivi.

Au détour, d'un taillis de roseaux, il a surgit et m'a bloqué contre lui.
Il ne parlait pas très bien le français, et il me parlait comme si j'étais une "bon femme".

Malgré mes réticences, qu'il n'écoutait pas, n'en faisant qu'à sa tête, il m'a déballé sa bite, un engin énorme !
Le contraste était incroyable, entre son physique repoussant et le coté exceptionnel de la taille de sa bite !

J'étais à la fois excité et dégouté par son aspect ragoutant.
J'étais tétanisé, incapable de réagir !

Il a choisi pour moi, et m'a dénudé facilement, même sous mes refus, pas très convaincants, il faut le reconnaitre !
Mon corps disait oui, même si ma bouche disait le contraire, jusqu'à ce qu'il me la pénètre de force, en me faisant taire.
J'ai mis un certain temps, à ne plus sentir son gout d'urine, en recevant ses coups de bite dans la gorge.

Puis, il m'a redressé, et m'a tourné, en plaçant mon cul devant sa bite, dure et très épaisse.
la pénétration ne fut pas sans difficulté.
Je me suis senti transpercé et écartelé, littéralement, debout devant lui, qui me bloquait avec ses bras énormes.

Dès qu'il a entendu mes premiers râles de plaisir, il m'a mis en levrette et m'a déchiré le cul pendant une éternité. Il a ensuite enchainé les positions, m'a pilonné l'anus, pendant que j'étais allongé sur le sable.

Puis, lui sous moi, pendant que je le baisais en espérant le faire jouir enfin !

Il m'a aussi enculé en m'écartant les cuisses, et s'amusait à me détruire le cul en me voutant sous lui.

Jamais, un inconnu ne m'avait baisé aussi longtemps que lui ! Ce magrébin d'une cinquantaine d'années, au physique repoussant, et malodorant m'a fait jouir comme peu d'hommes !
Tellement qu'après une petite pose, il m'a remis ça ! Je suis rentré à l'hôtel, avec le cul éclaté et les vêtements pleins de foutre !
Je venais de vivre une de mes expériences sexuelles, les plus intenses avec un amant exceptionnel !

Je me souviens, encore, de cet homme qui me matait sur la terrasse d'un bar.
Quand il s'est levé, j'ai su que je devais le suivre ! Ses appels du regard en disaient long !
Il m'a attiré vers un vieil immeuble, dont la porte était ouverte.
En scrutant l'intérieur, il a trouvé l'idée d'aller vers la cave.
L'endroit était désert et sombre.
Encore une fois, après une longue fellation, pour faire connaissance, il m'a relevé, en me touchant le cul.

Je me suis dénudé les fesses, et me suis laissé enculer en me tenant aux escaliers de pierre !
J'ai encore bien joui, et reçu tout son foutre dans l'anus.
Tout cela s'est passé sans un mot, uniquement des actes pervers !

J'ai du attendre mon retour chez moi, pour m'en libérer ! Paradoxalement, c'est lorsque j'ai évacué son sperme, que je me suis souvenu qu'il m'avait inséminé ! Ma journée fut tellement intense que j'avais oublié ce détail !
En me quittant, l'homme ne m'a même pas adressé la parole ! Même pas un merci !

Il y en a eu beaucoup d'autres ! Je n'ai jamais refusé les opportunités avec des hommes qui correspondaient à mes gouts sexuels !
Dans des soirées étudiantes de jour de l'an, mariages de connaissances (pas de famille !).
Séjour en gite chez un ami, dans les toilettes d'un jardin public, et derrière les haies d'un autre jardin également !
Au départ, vous pensez simplement uriner, et vous terminez avec une autre bite dans la gorge ou dans l'anus !

Je l'ai fait également, dans un wagon de train, en rentrant au camp !
Le wagon était désert ! Très tôt, parce que j'avais peur d'être en retard !

Un type assez corpulent et d'une quarantaine d'années est passé d'un pas décidé, dans le couloir.
Puis, il fait marche arrière et me dévisage, il jette un œil sur les deux cotés de l'allée, puis entre dans ma cabine.
Je le vois baisser les rideaux coté couloir ! Et mettre le loquet de la porte.

J'assiste à tout ça, sans dire un mot ! Encore surpris de son manège !
Il pose sa serviette et vient vers moi.

"Tu veux pas qu'on prenne du bon temps tous les deux ?".
"Comm... Comment vous savez que !".
"Que t'aime la bite ? Ca se voit, minot ! On sait ça, entre nous ! Ca fait longtemps que j'ai envie d'un p'tit jeune comme toi !".

Il me plonge vers sa braguette.
En me tenant à lui, pour ne pas faire tomber, je touche sa queue épaisse, il bande déjà !
Il se défait la ceinture, et libère sa belle queue rapidement.

"Allez bouffes-moi la bite, minot !".
"Mais ! Si quelqu'un vient ?".
"Les wagons sont presque vides ! Et le contrôleur est passé ! Allez suces-moi !".

Il commence par me violer la bouche, jusqu'aux premiers signes d'acceptation, de ma part.

Je prends la suite en le pompant avec gourmandise.
Il m'a placé devant la vitre du train.
Il s'excite du fait que les gens à l'extérieur, peuvent me voir entrain de le sucer !

Puis, il me fait comprendre que je dois lui offrir mes fesses.

Je me surprend à adorer me faire éclater le cul par cet inconnu, en regardant à travers la vitre, et voir le visage surpris des gens qui comprennent ce que je subis.
Il a fini par m'écraser le visage contre la vitre froide, en m'enculant.

On a du voir mon plaisir, sur ma face collée à la vitre, à coté de la buée, causée par mon souffle.
En moins de dix minutes, il me remplissait le cul, puis m'a laissé, après un court dialogue basé sur le sexe.

J'ai eu, juste assez de temps pour me libérer de son jus, et m'essuyer l'anus, afin d'être dispo pour mon amant militaire.

Et puis, il y a eu aussi ce jour, ou je suis allé trop loin ! Mais j'ignorais la véritable situation, dans laquelle, je me laissais embraquer !

Je me suis rendu chez un très bon ami.
On passe l'après midi à parler de choses et d'autres, écouter et jouer de la musique, etc... !

Puis, sa mère lui impose de l'accompagner aux courses, mon autre ami décide de rentrer en emportant sa guitare !
Si je reste, je me retrouverai seul, donc je m'apprête à partir, en tirant la porte derrière moi, sur les instructions de la mère de mon ami.

Mais le père de mon pote, surgit, il rentre du travail.

"Qui tu es, toi ?".
"Euh, je suis Pascal ! Le copain de Bruno !".
"Oh, t'es devenu un beau garçon ! Dis-moi !".

J'y crois pas ! Je reconnais ce regard lubrique ! Il a envie de me baiser ! Non ! Pas le père de mon copain d'enfance !

"Merci ! Je vais partir ! Votre femme est aux courses avec Bruno !".
"Hop, hop, hop ! Non ! Tu vas rester un peu ! Tu vas pas te sauver comme ça !".

Il m'a toujours fait un peu peur, avec son physique proche des deux mètres, et musclé, je n'ose pas lui résister !
Il m'attire dans son garage, au fond de sa maison.
Rapidement, entre deux phrases dominantes, je me retrouve avec la main sur son gros paquet.
Il me reproche de le faire bander.

"Regardes ! C'est ta faute, si elle est dans cet état ! Maintenant, tu vas assumer !".
"Mais, Monsieur, je suis un garçon !".
"Et alors ! J'aime bien les p'tits gars comme toi ! C'est pas déplaisant !".

C'est sur qu'à coté de sa femme, je suis bien plus attirant ! Elle doit approcher les 100 Kgs !

"Allez, on arrête de perdre du temps ! Tu vas me sucer la queue ! Viens là !".

Il m'applique une force énorme sur les épaules, je me vois écarter mes lèvres, pour recevoir son membre épais et long, comme lui.
Je me dis que cela ne va pas durer longtemps, il va éjaculer et je serai tranquille, après tout, il n'est pas le premier !

Je m'en veux d'aimer sucer sa bite, je bande comme un âne, en le pompant goulument.
Je déteste cette réaction, vous savez que vous ne devez pas être excité, mais cela arrive quand même !
Il m'insulte, me traite de petite pédale, me menace de tout raconter à mes copains, si je parle !
Je salive énormément sur sa grosse verge.

Puis, il me taquine l'anus, j'ai le mauvais pressentiment que je vais me faire baiser par le père de mon pote !
J'y échappe pas, il me dénude les fesses et me plaque sur une vieille table de jardin.
Il me crache vulgairement entre les fesses, puis me pénètre sans précaution.
Je le retiens un peu, puis me laisse enculer, emporté par les premières montées de plaisir anal.

Le rapport est bestial, il me claque les fesses.
Je suis "Sa p'tite pute", "Sa p'tite salope, chienne, pédale, ect...", il me pousse à lui avouer que j'aime qu'il m'encule, me défonce, etc...
Je joue son jeu, pour abréger sa défonce, mais je joui aussi, en ayant honte de mon plaisir.

Il m'insémine bien profondément, me libérant enfin, de la peur d'être surpris, avec sa bite dans mon anus, à tout moment !

Je serre mon muscle anal, dès qu'il se retire.
Je me remet en état, il me sourit vicieusement et ajoute méchamment:

"Allez ! Casses-toi, salope ! Tu m'as bien vidé les couilles ! Quand tu reviendras, je te remettrai la même chose !".

Je ne lui en ai jamais donné l'occasion !

J'ai un bon souvenir, par contre, du jour, ou je me baignais à la mer, près d'une plage nudiste.
Comme je déteste uriner dans l'eau, je suis allé dans les roseaux, au loin.
Un type nu s'est approché, me regardant de bas en haut, comme un objet de désir.
En se masturbant, il m'a dit:

"Tu suces ?".

La largeur de sa bite m'a séduit tout de suite.
Après contrôle autour de nous, je me suis baissé devant lui.
J'ai pris un plaisir énorme à lui dévorer la bite !
Tout en ayant peur, qu'on nous surprenne !

Il a fait partie des hommes qui m'a abreuvé le plus abondamment !
Je bandais comme un dingue en avalant son foutre !

En retournant à ma place, j'ai croisé un groupe d'hommes qui baisaient une libertine.
Je n'étais pas au courant que l'endroit servait de lieu de rencontre aux libertins et aux homos !

Du coup, comme la fellation m'a excité, j'ai attendu la fin d'après-midi pour me faire enculer par trois autres hommes, et me masturber ensuite !
Je n'y suis jamais retourné seul, la proximité avec les hétéros me gênait !

Mais Corinne l'a testé, elle aussi ! Avec quatre inconnus ! Pendant qu'un cinquième flashait sur moi ! C'est clair que c'est moi qu'il avait envie de baiser !